L’IACE appelle à accélérer la mise en œuvre des réformes du tourisme
Le Liban s’apprête à porter l’affaire devant les Nations unies. Dimanche, le Premier ministre Nawaf Salam a demandé au ministre des Affaires étrangères, Youssef Raji, de déposer une plainte urgente auprès du Conseil de sécurité au sujet des frappes aériennes israéliennes menées dans la nuit de samedi à dimanche, et visant selon Beyrouth des « infrastructures civiles et commerciales » dans le sud du pays. Dix frappes ont touché six sites d’exposition de pelles-mechanique et bulldozers le long de la route de la localité de al-Massalih, causant la destruction de 300 engins et véhicules. Le ministère de la Santé libanais […]
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Le tennisman tunisien Moez Echargui participera la semaine prochaine au tournoi d’Olbia, en Italie. Cette compétition fait partie du Challenger Tour et se joue sur surface dure, avec un prize money total de 181 250 euros.
Un premier tour déjà connu
Le tirage au sort a opposé Echargui, 145e joueur mondial, au Lituanien Edas Butvilas, classé 291e. Le match est prévu lundi. Les deux joueurs se sont déjà affrontés en quart de finale du Challenger de Porto, début août, où Echargui l’avait emporté 2 sets à 1.
Une année riche en succès
Moez Echargui a connu plusieurs succès en 2025. Il a remporté le Challenger d’Hersonissos en Grèce, le Challenger de Porto au Portugal, ainsi que le tournoi Future international de Monastir. Ces performances soulignent sa montée régulière dans le classement mondial et son retour en forme sur les surfaces dures.
Objectifs et enjeux
Le tournoi d’Olbia constitue une étape importante pour Echargui dans le circuit Challenger, lui permettant de consolider son classement et d’engranger de nouvelles expériences face à des adversaires européens. Ce match contre Butvilas sera une première étape cruciale pour ses ambitions cette saison.
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© Mosaique FM
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Avec un coût de 850 millions d’euros et une mise en service prévue pour 2028, le projet ELMED ambitionne de relier la Tunisie à l’Italie via un câble sous-marin de 200 kilomètres. Au-delà de l’infrastructure, cette interconnexion électrique de 600 MW pourrait redéfinir le positionnement énergétique de la Tunisie en Méditerranée et transformer le pays en acteur clé du futur réseau euro-méditerranéen. Ezzedine Khalfallah, consultant international en énergie, décrypte les enjeux stratégiques, économiques et géopolitiques de ce projet d’intérêt commun reconnu par l’Union européenne, tout en alertant sur les défis qu’il faudra relever pour en maximiser les bénéfices.
Bien avant de parler du projet ELMED, un rappel est primordial. Pourriez-vous nous rappeler en quoi consiste ce projet ?
Le projet ELMED consiste à réaliser une interconnexion électrique entre la Tunisie et l’Italie à travers la construction d’un câble sous-marin haute tension en courant continu et à flux bidirectionnel de 400 kV d’une longueur de 200 kilomètres. Ce câble reliera le Cap Bon à la Sicile pour une capacité de 600 MW et une profondeur d’eau maximale d’environ 800 mètres. L’infrastructure du projet comprend également deux stations de conversion courant continu-courant alternatif, l’une à Partanna en Sicile et l’autre à Mlaabi dans la région du Cap Bon. Cette infrastructure comprend aussi un câble terrestre souterrain de 18 kilomètres qui relie le point d’atterrissage du câble sous-marin sur la côte sicilienne à la station de Partanna, ainsi qu’un câble terrestre souterrain de 6 kilomètres reliant le point d’atterrissage du câble sous-marin sur la côte tunisienne à Kélibia Sud jusqu’à la station de Mlaabi.
La réalisation du projet sera assurée par les sociétés qui gèrent les réseaux électriques des deux pays, à savoir Terna du côté italien et la STEG du côté tunisien. Le coût total du projet est estimé à environ 850 millions d’euros avec une contribution financière de la part de l’Union européenne sous forme de subvention de 307 millions d’euros à travers le Connecting Europe Facility, un programme européen dédié au soutien de projets visant le développement des infrastructures énergétiques de l’Union européenne. C’est la première fois que des fonds du CEF sont alloués à un projet d’infrastructure impliquant un État membre et un pays tiers. L’infrastructure à réaliser sur le territoire tunisien, comprenant le tronçon du câble sous-marin d’environ 100 kilomètres, le tronçon du câble souterrain de 6 kilomètres et la station de conversion à Mlaabi, est financée par différents bailleurs de fonds.
À quelle étape d’avancement se trouve actuellement le projet ELMED, et quel est le niveau global de sa progression ?
Le projet a connu plusieurs étapes importantes. Son inclusion depuis 2017 par la Commission européenne dans la liste des projets d’intérêt commun et sa confirmation dans la cinquième liste des PIC en 2021 constituent les premiers jalons. L’accord intergouvernemental Italie-Tunisie a été établi le 30 avril 2019 et est entré en vigueur le 25 janvier 2022. La procédure de passation des marchés a commencé en mai 2023 lorsque les avis de préqualification pour le câble sous-marin et les stations électriques de conversion ont été publiés au Journal officiel de l’Union européenne, dans les médias et sur les sites web concernés. Actuellement, le projet a connu un avancement notable en matière de passation des marchés avec la sélection du constructeur pour le lot relatif à la fourniture et à l’installation du câble sous-marin. Les deux partenaires Terna et STEG ont retenu le groupe Prysmian pour un coût d’environ 460 millions d’euros. Quant à la construction des deux stations de conversion de Mlaabi côté tunisien et de Partanna côté italien, les procédures de choix des entreprises adjudicataires sont en cours. Toutefois, on ne peut parler d’un vrai avancement qu’une fois que les travaux de construction démarreront, sachant que l’achèvement de l’ouvrage est prévu pour 2028.
Pouvez-vous préciser quelles études économiques ou stratégiques ont été réalisées par le ministère afin de garantir que ce projet contribue réellement à l’intérêt national et au renforcement de la souveraineté énergétique du pays ?
Le projet ELMED a fait l’objet de différentes études qui devaient garantir sa faisabilité sur les plans technique, économique, financier et environnemental. Les premières études achevées en 2016 et 2017 ont concerné l’évaluation économique du projet réalisée par le bureau italien CESI et son analyse financière à travers une analyse coût-bénéfice. Les résultats de ces études ont confirmé l’intérêt du projet aussi bien du côté tunisien que du côté italien.
D’autres études nécessaires à l’avancement de la préparation du projet ont été lancées en 2019 et achevées en 2022. Il s’agit de l’étude du tracé du câble sous-marin réalisée par RINA Consulting et COMETE Engineering, de l’étude du tracé du câble terrestre réalisée par KWARSA et COLENCO Consulting, ainsi que de l’étude d’impact environnemental et social réalisée par le groupement HPC, IDEA Consult, PROGER, ELARD et PLEXUS Energy. Ces études ont confirmé la faisabilité du projet en optimisant ses tracés et son impact environnemental. Toutes ces études ont bénéficié d’un soutien technique et financier de la part des différents bailleurs, ce qui montre l’intérêt stratégique du projet pour une connexion Tunisie-Europe.
Peut-on considérer que le projet ELMED constituera, une fois mis en œuvre, une garantie de l’indépendance énergétique du pays ?
Le projet ELMED présente divers avantages tant pour l’Italie et l’Europe en général que pour la Tunisie. Du côté tunisien, le principal avantage réside dans la contribution du projet à la diversification et à la sécurisation de l’approvisionnement énergétique, vu la forte dépendance de notre pays au gaz naturel, majoritairement importé, pour la production d’électricité.
ELMED pourrait également représenter une option de moindre coût pour la STEG en termes d’approvisionnement en électricité dans la mesure où ce projet permettrait d’éviter ou de reporter des investissements en moyens de production, notamment le report de la construction d’une centrale électrique conventionnelle d’au moins 500 MW. Il permettrait aussi de baisser la consommation de gaz naturel pour la production d’électricité et donc de réduire la dépendance de la Tunisie à l’égard de ce combustible, de contribuer à une meilleure maîtrise du coût de revient du kilowattheure à travers le développement des échanges commerciaux avec le réseau européen, et de renforcer la sécurité du système électrique tunisien en termes de stabilité et de flexibilité tout en augmentant sa réserve.
Le projet apporterait également un secours instantané en cas d’incident sur le réseau national et contribuerait à l’amélioration de l’intégration des énergies renouvelables dans le système électrique du pays. Il permettrait aussi de renforcer les échanges industriels entre l’Italie et la Tunisie, avec des retombées positives sur l’économie du pays mais aussi sur sa transition énergétique et écologique. Enfin, ELMED assurerait une plus grande sécurité, durabilité et résilience dans l’approvisionnement en énergie, ainsi que le développement des échanges d’électricité produite à partir de sources renouvelables, constituant ainsi un levier vers de nouveaux investissements dans les centrales de production d’énergie propre.
ELMED peut-il aider la Tunisie à devenir un acteur régional, que ce soit vers l’Afrique du Nord ou l’Europe du Sud ?
Le projet ELMED a été reconnu comme un projet d’infrastructure transfrontalier clé de l’Union européenne et identifié comme un projet d’intérêt commun par la Commission européenne. Cette interconnexion électrique qui constitue un véritable pont entre l’Italie et la Tunisie et qui reliera deux grands systèmes électriques Europe-Afrique du Nord pourra contribuer à la sécurité et à la durabilité énergétique des pays de l’Union européenne et donner une impulsion significative à la création d’un réseau électrique méditerranéen reliant l’Europe à l’Afrique du Nord en vue d’une intégration notable du marché de l’électricité.
Avec ce projet considéré comme un pilier du développement du réseau de transmission euro-méditerranéen, la Tunisie, compte tenu de sa position régionale, pourra bénéficier de plusieurs opportunités, à savoir un accès direct au marché européen de l’électricité, l’attraction d’investissements pour de grands projets solaires et éoliens économiquement attractifs et d’intérêt pour la Tunisie, ainsi que le renforcement du rôle géopolitique de la Tunisie qui devient une liaison entre l’Afrique du Nord et l’Europe, permettant d’augmenter son poids dans les discussions énergétiques régionales.
Au-delà des avantages indéniables qu’apporte ELMED, quels sont les défis majeurs que la Tunisie devra relever pour transformer cette infrastructure en un véritable levier de souveraineté énergétique et de positionnement stratégique sur l’échiquier euro-méditerranéen ?
À la lumière des intérêts et avantages présentés par le projet ELMED, que ce soit au niveau des deux pays directement interconnectés, la Tunisie et l’Italie, ou bien à l’échelle de la région Europe-Afrique du Nord, on ne peut que saluer cet acquis qui milite en faveur d’un avenir énergétique de plus en plus sûr, durable et renouvelable. Toutefois, le projet pourrait présenter certaines limites qu’il ne faut pas sous-estimer et qui sont de différents ordres.
Au niveau réglementation et marchés, la vente d’électricité vers l’Union européenne nécessite des cadres commerciaux clairs tels que les tarifs d’export, les garanties d’origine et les contrats à long terme. Au niveau des réalités commerciales, les gains importants arriveront surtout après 2030 ou 2035, et l’effet immédiat sur l’économie et les recettes sera donc modeste. Au niveau du réseau national, l’export de l’électricité demande un transport de la production renouvelable locale jusqu’aux points d’injection, et donc des investissements en lignes et en stockage sont nécessaires.
Au niveau de la capacité du projet, les 600 MW semblent corrects à court terme, mais en cas d’export massif ultérieurement, cette capacité s’avère insuffisante et mériterait d’être augmentée. Enfin, au niveau des prix européens, nous risquons d’avoir une certaine dépendance et éventuellement de la concurrence avec d’autres pays de l’Afrique du Nord, notamment le Maroc et l’Algérie, pour les prix à l’export.
Pour que la Tunisie devienne un acteur régional majeur, il faut monter en capacité renouvelable, moderniser et renforcer le réseau, et créer des marchés et des contrats d’export crédibles, afin de rendre notre pays compétitif et stratégique sur l’échiquier euro-méditerranéen.
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Mondial 2026 (Gr H) : sur quelles chaines et à quelle heure voir Tunisie – Namibie ?
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Le décret-loi relatif aux transferts en devises pour les études et stages à l’étranger a été officiellement publié au Journal officiel de la République tunisienne (JORT) le 10 octobre 2025, marquant son entrée en vigueur immédiate. Cette réforme majeure vise à moderniser le cadre des transferts étudiants tout en renforçant le contrôle des sorties de devises. Des plafonds relevés et des procédures simplifiées Le texte introduit plusieurs dispositions nouvelles. Le plafond des frais d’installation passe de 4 000 à 6 000 dinars par an, tandis que l’allocation de séjour est fixée à 4 000 dinars par mois. Les frais d’inscription […]
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Après plusieurs mois dominés par les géants de l’intelligence artificielle (IA), les marchés boursiers connaissent un changement de rythme : des investisseurs vendent une partie de leurs positions gagnantes (« prises de bénéfices ») et redirigent des capitaux vers des segments jugés moins chers. Objectif : rééquilibrer les portefeuilles face à une volatilité qui remonte, sur fond d’incertitudes commerciales (tensions entre grandes puissances) et budgétaires (déficits publics, trajectoires d’emprunt). Ce qui se passe concrètement Après des mois d’envolée spectaculaire, certains titres liés à l’intelligence artificielle — fabricants de puces, éditeurs de logiciels ou géants du cloud — commencent à être […]
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Voici le classement global Netflix le plus récent (semaine du 29 septembre au 5 octobre 2025) avec le nombre de vues estimé et une brève description pour chaque titre, ainsi que le pays d’origine. Séries — Top 10 mondial 1) Wayward (Canada / Royaume-Uni) — 14,1 M de vuesMini-série thriller ambientée dans une ville apparemment modèle, dissimulant des mystères au sein d’un pensionnat. 2) Monster: The Ed Gein Story (États-Unis) — 12,2 MDocumentaire / dramatisation retraçant la vie et les actes du tristement célèbre criminel américain Ed Gein. 3) House of Guinness (Royaume-Uni / Irlande) — 6,4 MSaga familiale historique […]
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La région continue de naviguer entre signes de reprise et défis structurels persistants. Les dernières prévisions macroéconomiques, les initiatives régionales et les grands projets d’infrastructures dominent l’actualité.
La Banque mondiale a revu à la hausse ses prévisions pour l’Afrique subsaharienne : 3,8 % de croissance en 2025, soutenue par la baisse de l’inflation et une plus grande stabilité des changes.
Selon le rapport Africa’s Pulse, la croissance attendue atteindrait 3,8 % en 2025, après 3,5 % en 2024, avec une accélération possible à 4,4 % les années suivantes.
Pourtant, la Banque africaine de développement (AfDB) ajuste à la baisse ses propres estimations pour 2025 (3,9 %) en raison de l’incertitude liée aux tarifs commerciaux mondiaux.
L’AfDB prévoit d’octroyer 500 millions USD à la Nigeria en soutien budgétaire, dans le cadre d’un programme de 1 milliard sur deux ans.
Le bloc COMESA (marché commun d’Afrique orientale et australe) a lancé une plateforme de paiements numériques inter-États, favorisant les transactions dans les monnaies locales pour réduire les coûts liés au dollar.
En Mozambique, un projet hydroélectrique de 6 milliards USD – le plus ambitieux de l’ère récente dans la région – vise à renforcer l’accès à l’électricité.
L’accès à l’électricité demeure un frein majeur : le nombre de personnes sans électricité stagne, en grande partie à cause d’une croissance démographique rapide qui annule les progrès.
De plus, l’accent est désormais mis sur la production industrielle et la viabilité économique des réseaux (et non uniquement sur l’accès rural immédiat).
Sur le plan du financement, l’AfDB prévoit dès 2027 de lever 5 milliards USD tous les trois ans sur les marchés de capitaux pour alimenter ses prêts aux pays à faibles revenus.
Enfin, la dépendance aux flux commerciaux externes et aux marchés étrangers rend la région vulnérable aux chocs tarifaires mondiaux, incitant des ajustements prudents.
Chiffres clés de la semaine
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Après le carton plein face à Sao Tomé-et-Principe (6-0), vendredi, les Aigles de Carthage ambitionnent de clôturer en beauté les éliminatoires africaines pour la Coupe du monde 2026 de football, et abordent le dernier match des qualifications avec un moral au beau fixe et l’ambition renouvelée de l’emporter haut la main sur la Namibie, lundi, […]
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Une carte publiée par l’université d’Oxford met en lumière le riche héritage académique du monde arabo-musulman, révélant que les universités les plus anciennes et toujours en activité dans le monde sont, en majorité, fondées dans la région arabe, bien avant les institutions occidentales.
L’université d’Oxford publie une carte indiquant les plus anciennes universités du monde :
1- Université Zitouna en Tunisie (737 après J.-C.)
2- Université Al Quaraouiyine au Maroc (859 après J.-C.)
3- Al-Azhar en Égypte (972 après J.-C.)
4- Université de Bologne en Italie (1088 après J.-C.)
5- Université d’Oxford au Royaume-Uni (1096 après J.-C.)Les trois premières universités les plus anciennes de l’histoire de l’humanité sont arabes
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La Tunisie s’est classée en tête des cinq meilleures destinations pour les touristes chinois en matière de « choix sûrs » pendant les vacances de la mi-automne, du 1er au 8 octobre 2025, selon le classement des destinations touristiques les plus sûres publié par Tongcheng Travel, une plateforme de voyage majeure en Chine.
Considérée comme la destination la plus attractive et sécurisée pour les touristes chinois, la Tunisie devance ainsi plusieurs pays réputés, notamment le Japon, l’Espagne, le Vietnam et la Nouvelle-Zélande, qui figurent également parmi les cinq premières destinations préférées.
Le rapport, transmis par l’Agence TAP, souligne que les voyageurs chinois s’orientent de plus en plus vers des destinations long-courrier offrant une qualité élevée. La région du Moyen-Orient et l’Afrique ont aussi connu une forte croissance des réservations hôtelières, selon cette source.
Cette tendance reflète une mutation dans les attentes des touristes chinois, qui privilégient désormais des séjours à la fois sécurisés, authentiques et de haute qualité.
Avec TAP
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