Wadhah Zaïdi en Arabie Saoudite
© Mosaique FM
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Temps généralement peu nuageux, avant que les nuages ne deviennent plus denses l’après-midi sur les régions de l’ouest, où des cellules orageuses locales accompagnées de pluies éparses sont attendues.
Le vent soufflera du secteur nord sur le nord et le centre, et du secteur est sur le sud, relativement fort près des côtes et à l’extrême sud, faible à modéré ailleurs.
La mer sera peu agitée à agitée. Les températures resteront stables, variant entre 29 et 34 °C sur les zones côtières et les hauteurs, et entre 35 et 39 °C dans le reste des régions.
La Société des Transports de Tunis informe ses clients qu’une panne sur les câbles aériens électriques, survenue ce matin au niveau du dépôt de Tunis Marine, a provoqué une coupure de courant entre les stations de conversion de Tunis Marine et de l’avenue de la Gare.
Cet incident a empêché la sortie complète des rames de métro, limitant la circulation à une rame par ligne.
En attendant la réparation et la remise en service progressive des rames, des bus de substitution ont été mis en place sur les itinéraires suivants :
De la station terminus de Ben Arous à la station Barcelone
Entre les stations d’interconnexion Ariana et République, via la station 10 Décembre
Entre les stations Kheireddine et Barcelone, via la station d’interconnexion Slimane Kahia
Entre les stations Intilaka et République, via Bab Saadoun
Entre les stations M’hamdia – M’hamdia 4 et Barcelone, via la station d’interconnexion El Menzah
Par ailleurs, les lignes régulières de bus reliant les quartiers au centre-ville ont été renforcées.
En l’absence de stratégies dynamiques et crédibles pour aider les Tunisiens à s’adapter au dérèglement climatique auquel la Tunisie est sérieusement exposée, des ONG s’emploient, par de petites initiatives, à alerter sur l’enjeu de s’y préparer. Il s’agit, particulièrement, d’intensifier la formation des ressources humaines dans les métiers verts ou verdissants.
C’est dans ce contexte que s’inscrit la conclusion, ces derniers jours, d’une convention de partenariat entre la Chambre de Commerce et d’Industrie de Tunis (CCIT) et l’organisation EFE-Tunisie (Education For Employment Tunisie), organisation à but non lucratif faisant partie d’un réseau international dont le programme Challenge Fund for a Just Transition. Ce programme vise à contribuer à l’atténuation du changement climatique en soutenant les petites entreprises vertes en croissance (PEC).
Objectif du partenariat : accélérer l’intégration des jeunes dans les métiers verts et former 235 jeunes (dont au moins 50 % de femmes) dans des emplois verts au sein d’entreprises ayant engagé une transition écologique, en particulier dans le secteur industriel.
Le communiqué publié à cette occasion précise que ce rapprochement entre acteurs économiques et structures de formation « ambitionne à répondre à un double enjeu, renforcer les compétences vertes au sein des entreprises et offrir aux jeunes des débouchés professionnels dans des secteurs en mutation ».
Par-delà ces détails, cette initiative est certes louable, mais elle demeure fort limitée dans le temps (durée réduite du programme) et dans l’espace (Tunis), alors que les enjeux sont énormes.
Est-il besoin de rappeler qu’au moment où des pays comme le Maroc, l’Égypte, la Jordanie, également exposés au réchauffement climatique, investissent intensément dans la formation aux métiers verts et verdissants, la Tunisie est carrément à la traîne.
D’où l’enjeu, pour les gouvernants qui veulent entendre, d’intensifier la formation dans les métiers verts et verdissants et de saisir cette précieuse opportunité qu’offrent la transition énergétique et l’adaptation au réchauffement climatique pour créer, partout dans le pays, des métiers spécialisés, utiles et surtout durables.
On ne le répétera jamais assez : ces métiers écologiques dans l’industrie sont devenus, de nos jours, un prérequis essentiel pour la transition vers une économie plus durable. Ils offrent de nombreuses opportunités d’emploi et permettent de contribuer activement à la protection de l’environnement.
Ces métiers se retrouvent dans de nombreux secteurs d’activité, tels que le bâtiment, les transports, l’industrie, l’énergie, l’agriculture, la gestion des déchets, la protection de la nature.
On distingue deux types de métiers écologiques dans l’industrie :
Tout investissement dans la formation aux métiers verts et verdissants est un bon placement pour l’État tunisien, car il permet de disposer de ressources humaines bien qualifiées et fortement demandées, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur du pays.
Abou SARRA
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L’Union générale tunisienne du travail (UGTT) est une institution digne de respect. Ses hommes et ses femmes ont joué un rôle essentiel dans l’histoire de la Tunisie. Mais, on ne peut nier aujourd’hui la dérive de cette institution se trouvant entre des mauvaises mains. La grève générale du secteur du transport, 3 jours en pleine canicule et alors que l’économie est en pleine crise constitue une grave erreur. La goutte qui a fait déborder le vase…
Moktar Lamari
Cinq reproches sont faits à l’équipe dirigeante actuelle. Une équipe qui s’accroche au pouvoir, sans se livrer à une autocritique, à un débat démocratique et simplement à une réélection libre, hors des clans et polarités qui rongent mortellement l’institution et éparpillent ses potentialités. Une équipe de profanes et d’aventuriers, qui est à l’origine de tous les griefs adressés au bureau exécutif actuel et aux valeurs qui régissent l’institution.
1- Corruption. C’est une monnaie courante dans les valeurs et principes retenus. Plusieurs dossiers de corruption impliquent des syndicalistes, preuve à l’appui. Il suffit de penser au syndicaliste en chef de Tunisair. Un scandale hors normes et qui en dit long sur l’épidémie et la gravité de la corruption à tous les niveaux au sein des instances syndicales. Les tribunaux sont saisis et plusieurs dossiers sont en instruction. On ne commente pas cela, même si…
2- Chantage. Cette institution a perdu le sens de l’État et le devoir de servir l’intérêt général. Plusieurs pressions et revendications dites syndicalistes, relèvent du chantage, loin de tous les principes de la lutte syndicale et de la volonté d’amélioration du pouvoir d’achat. On place les syndicalistes dans des postes clefs de la fonction publique; on leur procure des avantages, des primes, des subventions indues (même à l’Université), hors des règles du mérite et des principes de la performance mesurable à l’aune d’indicateurs objectifs. L’UGTT a fermé les yeux durant la période où les islamistes de Ghannouchi ont bourré la fonction publique par pas moins de 250 fonctionnaires, sans concours et souvent avec des diplômes bidouillés. L’UGTT assume une responsabilité historique dans la déchéance de la fonction publique en Tunisie post-2011.
3- Sabotage. L’UGTT a depuis longtemps arrêté de faire du vrai syndicalisme, elle s’est mise dans le corporatisme, pour défendre au cas par cas, des professions particulières, dans des régions particulières, au gré des circonstances et intérêts obscures de ses leaders et décideurs de haut niveau.
L’UGTT s’oppose systématiquement aux réformes structurelles, puisque celles-ci touchent aux intérêts de ses hommes de paille dans les organisations et ministères en question. La dernière grève du secteur du transport a été accompagnée de sabotage et occasionné un énorme coût économique, alors que l’économie cherche encore ses appuis et ses moteurs de relance.
4- Enrichissement. On a vu des membres des hautes instances de l’UGTT rouler dans des voitures de luxe, construire de belles villas, multiplier les acquisitions de terrain, ou encore organiser des fêtes de mariage ostentatoires pour des milliers d’invités. Un autre monde, un système qui saute aux yeux. On ne peut se comporter ainsi si on veut garder la confiance du citoyen. On ne peut justifier l’indifférence au contexte social, marqué par une paupérisation avancée du citoyen et des catégories particulières, par exempleles femmes rurales et les enfants dans le secteur informel.
5- Politique. L’UGTT fait aussi de la politique politicienne. Elle appuie tel ou tel parti, tel ou tel corporation, tel ou tel lobby, en tirant les ficelles. Et ce n’est pas difficile de retracer les accointances. L’incompétence avérée des hautes instances de l’organisation, la durée illégalement prolongée de leur mandat et leur arrogance et incohérence, ne font que ruiner la confiance envers cette institution historique, qui est devenue presque folklorique par ses dérives actuelles. Son actuel, l’inénarrable Noureddine Taboubi règne en maitre des lieux depuis plus 10 ans et il ne semble pas prêt à lâcher le morceau. Il faut le faire.
Le travail et la productivité que l’UGTT est censée défendre ne sont plus que l’ombre de ce qu’ils devraient être.
On ne fait que faire fuir l’investissement, pousser les entreprises vers le secteur informel, pour éviter le racket et les rançons syndicales, sous toutes ses formes perverses. Le branding de l’UGTT est en ruine. Tout s’écroule dans l’indifférence des élites, syndicales ou pas. Dans l’indifférence des médias. Ce qui est dramatique…
* Economiste universitaire.
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Le 8 août 2025, Noëlle Lenoir, ancienne ministre et ex-conseillère constitutionnelle, a tenu sur CNews des propos racistes envers les Algériens. Lors de l’émission ‘‘L’Heure des Pros 2 Été’’, elle a affirmé que «des millions d’Algériens présentent des risques majeurs» pouvant commettre des violences dans l’espace public, avant de suggérer qu’ils devraient être maintenus en rétention administrative «le temps qu’ils fichent le camp».
SOS Racisme a réagi en déposant une plainte pour injure publique à caractère raciste et en saisissant l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle (Arcom), dénonçant la stigmatisation collective d’une communauté et la répétition de discours haineux sur CNews.
Pour Dominique Sopo, président de l’association, cette sortie traduit «le naufrage d’une partie des élites» et illustre «l’offensive raciste» menée par la chaîne.
Face à ce climat toxique, SOS Racisme demande au régulateur audiovisuel d’agir fermement pour faire respecter la loi et mettre fin à la banalisation du racisme dans le débat public.
D. G.
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Le Club sportif d'Hammam Lif s’incline en match amical
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Hand – Mondial masculin U19 : sur quelles chaines et à quelle heure suivre Tunisie – Bahreïn ?
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Le président de la République, Kaïs Saïed, a effectué, cet après-midi, une visite inopinée au bâtiment qui abritera le siège du Conseil supérieur de l’éducation et de l’enseignement.
Lors de cette visite, le chef de l’État a appelé à accélérer les travaux de restauration et à entreprendre les réformes nécessaires dans les plus brefs délais. L’objectif est de permettre à cette institution constitutionnelle de s’installer et de démarrer ses activités dans les meilleures conditions.
Kaïs Saïed a rappelé que le cadre législatif et réglementaire du Conseil a été entièrement finalisé, en vertu du décret n° 2 de 2024, daté du 16 septembre 2024, et du décret gouvernemental n° 246 de 2025, daté du 8 mai 2025.
Le président de la République, Kaïs Saïed, a reçu, lundi, au palais de Carthage, le secrétaire général de l’Union des avocats arabes, le bâtonnier Mekkawi Ben Issa, ainsi que Abdel Halim Allam, président de l’Union.
Lors de cette rencontre, le chef de l’État est revenu sur l’origine de la notion de « mandat de représentation en justice » avant que la profession d’avocat ne prenne sa forme actuelle et ne soit régie par des lois contribuant à la réalisation de la justice et à la défense des droits et libertés.
Kaïs Saïed a souligné le rôle des avocats, non seulement dans l’instauration de la justice au sein des sociétés, mais aussi dans la lutte pour l’indépendance de plusieurs pays arabes. Il a salué, à cette occasion, les avocats qui se sont engagés bénévolement pour défendre les droits légitimes du peuple palestinien dans les instances internationales.
Le doyen de l’Ordre national des avocats, Hatem Mziou, a également assisté à la rencontre.
Les autorités italiennes ont mis en garde, lundi, contre un nouveau pic de chaleur qui frappe le pays, plaçant 11 villes, à partir de ce mardi, en alerte rouge.
Une nouvelle vague de chaleur envahit l’Italie avec des températures avoisinant les 40°C, selon un bulletin du ministère de la Santé, qui a placé en vigilance rouge onze villes, dans le nord et le centre de la Péninsule, en l’occurrence Bologne, Bolzano, Brescia, Florence, Frosinone, Latina, Milan, Pérouse, Rieti, Rome et Turin.
Ce niveau d’alerte maximale s’étendra, mercredi, à d’autres villes, à savoir Campobasso (sud), Gênes (nord-ouest), Venise (nord-est), Vérone (nord) et Viterbe (centre), a précisé le département italien de la Santé.
L’alerte rouge « dénote une situation d’urgence (vague de chaleur) avec des effets négatifs possibles sur les personnes en bonne santé et actives, et non seulement sur les groupes à risque tels que les personnes âgées, les très jeunes enfants et les personnes atteintes de maladies chroniques », a expliqué le ministère, ajoutant que « plus la vague de chaleur dure, plus les effets négatifs sur la santé sont importants ».
L’Europe enregistre une forte vague de chaleur, ces derniers jours, déclenchant des alertes à la chaleur généralisées dans de nombreux pays du continent.
Le dollar gagnait du terrain lundi, les cambistes se préparant à accueillir de nouveaux chiffres sur l’inflation aux États-Unis, tout en surveillant les derniers développements sur le front commercial.
Vers 18 H 30, le billet vert prenait 0,30% par rapport à la monnaie unique, à 1,1607 dollar pour un euro et 0,20% contre la devise britannique, à 1,3425 dollar pour une livre.
La journée a été relativement calme sur le marché des changes, selon les analystes, soulignant que la tendance générale à moyen terme reste celle d’une attention particulière accordée à la politique monétaire de la banque centrale américaine (Fed).
L’indice des prix à la consommation (CPI) aux États-Unis, qui mesure l’inflation côté consommateurs, doit être publié mardi. Il sera suivi par l’indice de l’inflation côté producteurs (PPI), jeudi.
Une très large majorité des économistes estiment que la Fed réduira ses taux d’un quart de point de pourcentage à l’issue de sa prochaine réunion de politique monétaire, programmée en septembre. Toutefois, si le CPI s’avérait beaucoup plus élevé que prévu, cela pourrait changer la donne.
Les experts s’inquiètent aussi d’une morosité sur le marché du travail, après une forte révision à la baisse des créations d’emplois au printemps.
Côté commercial, de nouveaux droits de douane sont entrés en vigueur jeudi, mais les cambistes attendent d’en savoir plus quant aux négociations sino-américaines.
Le ministère de l’Éducation a alloué un budget de 239 millions de dinars pour la maintenance, la création et la réhabilitation des établissements scolaires en vue de la rentrée scolaire 2025/2026, dans le cadre de son plan stratégique visant à faire de l’école publique tunisienne un lieu attractif, équitable et moderne.
Selon un communiqué du ministère publié, ce lundi, sur sa page officielle Facebook, ces investissements, réalisés durant les vacances d’été, concernent l’ensemble des commissariats régionaux de l’éducation. Ils comprennent la construction de nouveaux établissements, l’équipement de salles de classe supplémentaires, la rénovation des bureaux administratifs, l’amélioration des espaces pédagogiques et la généralisation de laboratoires scientifiques mobiles dans les collèges et lycées.
Pour assurer une gestion transparente et efficace des projets, le ministère a mis en place un système numérique de hiérarchisation des priorités, permettant un suivi en temps réel de l’avancement des travaux et une allocation optimale des ressources.
Cette initiative s’inscrit dans une vision nationale d’égalité des chances et d’équité territoriale, conformément aux orientations du Président de la République, Kaïs Saïed, qui a fait de la refondation de l’école publique un pilier fondamental du développement social et national.
Le ministère souligne que ces réformes visent à restituer leurs droits aux élèves, enseignants et personnels éducatifs, en améliorant leurs conditions d’apprentissage et de travail. L’objectif est de bâtir une école publique accessible, de qualité, et capable de relever les défis de l’avenir.
Ces réalisations, affirme le ministère, marquent une étape décisive dans la transformation du système éducatif tunisien, posant les bases d’un édifice national fondé sur la justice sociale, l’équité et la dignité de tous les acteurs de l’école.