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Achraf Ben Dhiaf à l'ES Zarzis

Le joueur Achraf Ben Dhiaf s'est engagé pour une durée de deux saisons avec l'Espérance sportive de Zarzis, en provenance de l'équipe saoudienne ''Mud

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Achraf Ben Dhiaf

Houcine Mansour à l'AS Marsa

Le bureau directeur de l'Avenir sportif de la Marsa a annoncé, ce jeudi 3 juillet, avoir recruté le milieu de terrain offensif Houcine Mansour pour un

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Houcine Mansour

Les portes de l’enfer s’ouvrent au paradis : De l’épître du pardon d’Al- Ma’arrî, de la divine comédie de Dante

Les portes de l’enfer s’ouvrent au paradis : De l’épître du pardon  d’al- ma’arrî, de la divine comédie de Dante Par Latifa Lakhdhar - Ce titre est celui d’un livre dont l’auteur est Ahmed Ben Salah. Il a été  co-édité au début de cette année 2025,  par Orients- éditions à Paris et les  éditions Déméter à Tunis. Ahmed Ben Salah, ingénieur centralien  qui vient de s’essayer à l’écriture et à l’essai avec un esprit  cartésien,  nourri à la maturité du grand lecteur qu’il est,  revisite, ces deux œuvres magistrales, celle de l’Epître du Pardon d’el Maari et celle de la Divine Comédie de Dante avec méthode, grande pédagogie, minutie,  précision, sens de la contextualisation et du détail signifiant,  en offrant au lecteur une  étude  passionnée pour ...

Protection civile : appel à interdire la conduite aux mineurs

Dans un communiqué publié ce vendredi 4 juillet 2025, la Protection Civile a émis un appel pressant pour interdire aux mineurs la conduite de voitures ou de motos.

Par la même occasion, elle a insisté sur l’importance de boucler sa ceinture de sécurité, de vérifier l’état du véhicule avant tout déplacement, et de respecter scrupuleusement les limitations de vitesse, en particulier dans les zones très fréquentées. La Protection Civile recommande également d’éviter de prendre le volant en cas de fatigue et de ne pas utiliser son téléphone portable en conduisant.

Tunisie : le géant émirati IFFCO mise gros sur l’huile d’olive tunisienne

La Tunisia Investment Authority (TIA) a reçu ce mardi Abdelghani Abdullah, Directeur des affaires corporatives et du développement commercial du groupe IFFCO, basé aux Émirats arabes unis, marquant une nouvelle étape dans le renforcement des relations économiques entre la Tunisie et les Émirats.

Cette rencontre a été consacrée à l’extension des investissements d’IFFCO dans les secteurs de l’huile d’olive et de l’agro-industrie, ainsi qu’à l’amélioration des performances des filiales déjà présentes en Tunisie, notamment Cogia SA, SDA Zitouna et L’Appétissante. Les deux parties ont également exploré de nouvelles opportunités dans l’industrie tunisienne de la transformation alimentaire.

À cette occasion, Namia Ayadi, Présidente de la TIA, a présenté les mécanismes de facilitation offerts aux investisseurs étrangers ainsi qu’un accompagnement personnalisé pour soutenir les projets d’expansion d’IFFCO. Elle a aussi mis en avant les avantages compétitifs de la Tunisie pour les investissements dans l’agroalimentaire, tant sur le plan stratégique que logistique.

Ce dialogue s’inscrit dans le cadre de la stratégie nationale visant à attirer des investissements directs étrangers à haute valeur ajoutée, en particulier dans des filières porteuses comme l’agriculture durable, l’huile d’olive premium et les produits transformés destinés à l’exportation.

Le club égyptien Al-Ahly en stage de préparation à Tabarka

Le club égyptien Al-Ahly a annoncé qu’il effectuera son stage de préparation de pré-saison dans la ville de Tabarka, en Tunisie. Ce stage, qui débutera fin juillet, fait suite aux recommandations de l’entraîneur espagnol, José Ribeiro.

Celui-ci inclut trois matchs amicaux, dans le but d’optimiser la forme physique et la préparation des joueurs avant le début de la nouvelle saison.

Tunisie : une application numérique pour déclarer vos devises avant le départ

La Douane tunisienne franchit une nouvelle étape dans sa stratégie de transformation numérique. Elle annonce le développement d’une application mobile innovante qui permettra aux voyageurs, notamment les Tunisiens résidant à l’étranger, de déclarer leurs devises à distance, avant même leur arrivée ou leur départ du territoire.

Cette solution, actuellement en phase de test, vise à simplifier les procédures douanières, à réduire les délais d’attente aux points de passage et à renforcer la transparence des opérations de change.

Le colonel Elyes Belkhir, cadre à la Douane, a précisé que cette initiative s’inscrit dans une politique de modernisation globale menée depuis le début de l’année 2025. Elle vient s’ajouter à d’autres outils numériques déjà en place, tels que le paiement électronique (TPE) ou encore l’application Smart Traveller.

Rappelons que la législation tunisienne impose aux voyageurs de déclarer toute somme en devises dépassant 20 000 dinars tunisiens à la sortie du territoire. La déclaration est également recommandée à l’entrée, même pour des montants inférieurs, afin de garantir la possibilité de réexporter les fonds ultérieurement.

La douane assure que l’application offrira plus de flexibilité, de sécurité et de fluidité, tout en s’adaptant aux besoins spécifiques des voyageurs internationaux.

Routes tunisiennes : 20 000 km à entretenir sous forte pression budgétaire

La Tunisie compte environ 20 000 kilomètres de routes numérotées (nationales, régionales et locales), dont 80 % sont revêtues de béton bitumineux, a annoncé ce vendredi Ali Ben Mohamed, directeur de l’exploitation et de l’entretien routier à la Direction générale des ponts et chaussées relevant du ministère de l’Équipement et de l’Habitat.

Malgré l’étendue du réseau routier, les moyens financiers demeurent insuffisants, a-t-il souligné lors de son passage sur les ondes de la Radio Nationale. Le budget alloué en 2025 pour l’entretien des routes numérotées s’élève à 200 millions de dinars, tandis que 87 millions de dinars sont réservés aux pistes rurales, dont la longueur atteint 58 000 kilomètres.

Le responsable a en outre précisé que la durée de vie de la couche d’asphalte supérieure d’une route varie entre 10 et 15 ans, notant que sa réfection est coûteuse, en raison notamment du budget restreint alloué à l’entretien. La majorité des routes situées en milieu urbain (environ 90 %) relèvent de la responsabilité des municipalités, qui doivent en assurer l’entretien.

Entretien complexe et ponts à risque

L’entretien des routes numérotées ne se limite pas au revêtement, mais inclut également la signalisation horizontale et verticale, les panneaux routiers, ainsi que les équipements de sécurité (barrières en béton ou en acier, éclairage public, etc.).

Concernant les pistes rurales, les interventions portent sur la réhabilitation de la couche de roulement, la réparation des nids-de-poule, le remblayage des accotements, le curage des caniveaux, le nettoyage, ainsi que la maintenance des ponts. Pour ces derniers, le pays en compte environ 4 000, dont certains sont dans un état de dégradation avancée nécessitant une intervention urgente.

Ben Mohamed a indiqué que les priorités de réhabilitation des ponts sont fixées après diagnostic technique, en collaboration avec les directions régionales et des bureaux d’études, et peuvent déboucher sur une rénovation ou une reconstruction selon les cas.

En ce qui concerne les autoroutes, leur gestion et leur entretien relèvent de la Société Tunisie Autoroutes. Toutefois, les recettes générées sont jugées insuffisantes pour couvrir les coûts d’entretien, et ce, en comparaison avec d’autres pays.

Les autorités grecques ont annoncé l’évacuation d’environ 5 000 personnes, habitants et touristes, de l’île de Crète en raison de feux de forêt

Yorgos Tzarakis, président de l’association des hôteliers de Crète, a déclaré que les équipes de pompiers avaient évacué environ 3 000 touristes, en plus de 2 000 habitants de l’île, par mesure de précaution. Il a ajouté que six hôtels et de nombreuses chambres touristiques avaient été évacués dans la zone autour de la ville côtière d’Ierapetra, précisant que la plupart des touristes avaient été transférés dans le nord de la Crète.

De son côté, Vassilios Vathrakoyiannis, porte-parole des sapeurs-pompiers grecs, a confirmé que des renforts avaient été envoyés d’Athènes dans la région pour aider les pompiers locaux, dont la tâche est rendue difficile par les vents violents qui soufflent sur la zone. Le porte-parole a indiqué qu’environ 270 pompiers, dix hélicoptères et des drones luttaient contre les flammes sur l’île.

Par ailleurs, les autorités grecques ont annoncé qu’un autre incendie s’était déclaré à environ 30 kilomètres d’Athènes, près de la station balnéaire de Rafina, d’où partent les ferries vers certaines îles touristiques. Cela a entraîné la fermeture de la route principale menant à Athènes à la circulation.

La Grèce est l’un des pays européens les plus vulnérables aux feux de forêt pendant les mois d’été. Les vagues de chaleur répétées, où les températures dépassent souvent les 40 degrés Celsius, assèchent la végétation et la transforment en un environnement facilement inflammable.

Ces dernières années, le pays a connu une augmentation du nombre et de l’intensité des incendies, ce qui a poussé le gouvernement à renforcer les capacités de la défense civile et à moderniser sa flotte d’avions de lutte contre les incendies. Les autorités ont également appelé à la coopération européenne dans le cadre du mécanisme de réponse d’urgence, en particulier face aux pressions croissantes exercées par le changement climatique sur les pays du bassin méditerranéen.

Déclaration de devises : ce que doivent savoir les voyageurs quittant la Tunisie

La Douane tunisienne rappelle que tout voyageur quittant le pays avec une somme en devises dépassant 20 000 dinars tunisiens est tenu de la déclarer auprès des autorités douanières, conformément à la réglementation en vigueur depuis mars 2016.

Cette déclaration devient également obligatoire dans trois situations spécifiques, même si le montant transporté est inférieur à ce seuil : en cas de projet d’ouverture d’un compte en devises, si le voyageur prévoit de réexporter un montant supérieur ou égal à 5 000 dinars à son retour, ou si le montant global atteint ou dépasse 20 000 dinars.

Dans ce cadre, le colonel Elyes Belkhir, de la Douane tunisienne, a précisé ce vendredi dans une intervention sur les ondes de Radio Express FM que toute déclaration effectuée à l’entrée sur le territoire tunisien est valable pour une durée de trois mois et couvre un seul voyage.

Il recommande vivement aux voyageurs de déclarer leurs devises dès leur entrée en Tunisie, indépendamment du montant, soulignant que cette démarche facilite les transactions de change et la réexportation ultérieure des fonds.

Une application numérique en phase de test

Par ailleurs, dans le cadre de sa stratégie de digitalisation progressive, la Douane tunisienne développe actuellement une nouvelle application mobile destinée à faciliter la déclaration de devises à distance, notamment pour les Tunisiens résidant à l’étranger. Ce service, actuellement en phase pilote, permettra aux voyageurs de soumettre leurs déclarations en ligne, simplifiant ainsi les formalités douanières.

Cette initiative s’inscrit dans une politique de modernisation des services douaniers visant à réduire les délais, accroître la transparence et fluidifier le retour des Tunisiens au pays.

En parallèle, d’autres outils numériques sont déjà opérationnels, comme le paiement électronique (TPE) et l’application Smart Traveller, conçue pour optimiser les contrôles aux frontières et raccourcir les temps d’attente.

BEI : 60 % des PME confrontées à la pression des marchés étrangers

Une enquête récente menée par la Banque européenne d’investissement (BEI) dans le cadre du programme Trade & Competitiveness (TCP), cofinancé par l’Union européenne, révèle que 60 % des PME tunisiennes identifient la concurrence accrue et la saturation des marchés étrangers comme leurs principaux obstacles à l’exportation. 

Cette étude, réalisée auprès de 150 dirigeants de PME opérant dans les secteurs clés de l’agro-industrie, du textile et de l’automobile, dresse un état des lieux du  tissu entrepreneurial qui fait face  à un environnement international très compétitif. Il convient de noter que les PME représentent près de 97 % du tissu productif national, manifestant une forte volonté d’ouverture à l’international. 

Toutefois, il faut rappeler également que les PME sont confrontées à des réalités structurelles et conjoncturelles. Ce qui limite leur développement, que ce soit via la saturation des marchés que via la pression concurrentielle. Cela signifie également que cela impacte fortement l’export. 

De ce fait, un tel constat met l’accent sur l’importance de renforcer la compétitivité via des formations ciblées sur des sujets stratégiques comme les règles d’origine ou la décarbonation. Et ce, dans le but de mieux positionner les PME tunisiennes sur les marchés européens.

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BEI : pour 48 % des dirigeants de PME, le financement constitue un frein à leur exportation

L’accès au financement demeure un enjeu crucial pour les PME. En effet, l’enquête de la BEI a révélé que 48 % des dirigeants estiment que le manque de financement comme un frein principal à leur développement à l’international. Tandis que 88 % des PME interrogées exportent déjà. Et dont seulement la moitié qui exportent de façon  régulière.

En ces temps de réflexion, le Trade & Competitiveness Programme agit en réponse à cette problématique. Il met en lumière que pour faciliter l’accès au crédit, devraient être liées des lignes de financement dédiées. Et qu’elles soient également allégées en garanties et orientées vers des projets structurants. 

En partenariat avec les banques tunisiennes, ces dispositifs visent à libérer la capacité d’investissement des PME pour leur permettre de franchir le cap de l’international avec des bases solides.

Par ailleurs, les PME impactées par un environnement financier difficile, sont confrontées au monopole des grandes entreprises. Ce qui entraîne une difficulté à obtenir des crédits bancaires sur le long terme. 

Toutefois, le taux de décès des PME reste élevé, avec une durée de vie moyenne de 18 mois. Ce qui souligne l’urgence d’un accompagnement ciblé et d’une réforme du cadre législatif et fiscal pour soutenir durablement ce secteur vital de l’économie du pays.

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Divorce entre Trump et Musk : le vers était dans le fruit !

Que s’est-il passé au juste pour que l’idylle de courte durée entre Donald Trump et Elon Musk se transforme en une haine aussi implacable? Retour sur une rupture inévitable mais lourde de conséquences.  

 L’on s’attendait à ce que la lune de miel entre le dirigeant le plus puissant de la planète et l’homme le plus riche du monde soit de courte durée. Mais personne ne s’attendait à ce que le télescopage public entre ces deux têtes brûlées soit aussi brutal, spectaculaire et lourd de conséquences.

Dernier coup en dessous de la ceinture porté par Donald Trump au patron de Tesla? Le président américain accuse son ancien allié et mécène de profiter des subventions fédérales et de vivre ainsi au crochet du contribuable américain. « Sans subvention, Elon aurait probablement dû fermer boutique et retourner chez lui en Afrique du Sud », a-t-il écrit mardi 1er  juillet en lettres capitales sur son réseau Truth Social ; dénonçant à l’occasion « un système de gaspillage massif » incarné par Tesla et SpaceX.

Licencié comme un majordome

Mais que s’est-il passé pour que le 47ème président des Etats-Unis brandisse la menace d’expulser Elon Musk et de lui retirer même la nationalité américaine, lui qui l’avait soutenu durant sa campagne, y compris en finançant à hauteur de 250 millions de dollars ses ambitions électorales?

Après un passage jugé en demi-teinte au sein du gouvernement, où placé à la tête Doge (Department of Government Efficiency), Musk affichait l’ambition de réaliser 2 000 milliards d’économie. Une utopie, puisque fin janvier, il abaissait déjà l’objectif à 1 000 milliards. Finalement son passage s’est soldé par seulement 175 millions de dollars d’économies. Fin mai, il aurait démissionné ou été limogé sans ménagement par le locataire de la Maison Blanche.

Revanche

Furieux et blessé dans son amour propre, Musk s’attaqua avec virulence à la réforme budgétaire intitulée pompeusement le « grand et beau projet de loi ». A savoir un projet de loi budgétaire massif, promu par Trump, qui prévoit d’augmenter de façon inédite le plafond de la dette fédérale de 5 000 milliards de dollars. Un texte que Musk qualifier même de « complètement insensé et destructeur » et de « gaspillage éhonté ».

Le magnat conservateur de la tech avait finalement rétropédalé le 11 juin, regrettant « être allé trop loin ». Mais son opposition à la « grande et belle loi » a repris le dessus lundi 30 juin, lorsqu’il a publié une série de tweets sur X pour étriller le projet. « Il est évident, vu les dépenses ahurissantes du texte – qui augmente de manière record le plafond de la dette de 5 000 milliards DE DOLLARS –, que nous vivons dans un pays au parti unique : le parti des cochons qui se goinfrent », a déploré le milliardaire de la tech.

Donald Trump riposta en menaçant de rompre les contrats fédéraux accordés à Tesla et SpaceX. Les conséquences ne se sont pas fait attendre : en effet, la proposition du projet de loi budgétaire supprime les aides aux véhicules électriques. Un coup dur pour Tesla, bénéficiaire historique de 38 milliards de dollars d’aides, dont 595 millions sur les seuls quatre premiers mois de 2025.

Pis. Tesla a vu sa capitalisation boursière fondre de 150 milliards de dollars le 5 juin, un record de baisse en une journée pour le constructeur automobile. Mardi 1er juillet, le titre reculait encore de 5 % à la clôture.

Et ce n’est pas fini. Puisque la Maison Blanche envisage de remettre en cause certains contrats fédéraux, notamment ceux de SpaceX, qui pèsent plus de 22 milliards de dollars.

Musk contre-attaque sur le terrain politique. Il a évoqué lundi la possibilité de créer un nouveau parti qui serait « exactement au milieu entre les démocrates et les républicains ».

« Si cette loi folle est adoptée, le parti de l’Amérique sera créé dès le lendemain », a-t-il prévenu dans un autre message, le décrivant comme un « parti trans-partisan démocrate-républicain pour que le peuple ait réellement une VOIX ». Une menace à laquelle s’ajoute celle de financer la campagne des primaires des républicaines de candidats opposés aux élus qui auraient voté la loi budgétaire. « Ils perdront leur primaire l’année prochaine », a écrit Elon Musk.

Plus grave. Musk porta un coup mortel à son ancien ami en insinuant qu’il figurait dans les dossiers liés à Jeffrey Epstein, l’homme d’affaires accusé d’exploitation sexuelle de mineurs qui s’est donné la mort en prison. La ligne jaune a été allégrement franchie et la rupture entre les deux hommes est totale, irrévocable et définitive.

Rivalité politique

Au final, que dire de cette rupture fracassante entre ces deux milliardaires qui continuent de s’étriper publiquement par mails interposés et déclarations intempestives?

Au-delà du choc frontal entre la personnalité imprévisible d’un président détenant entre ses mains tous les leviers du pouvoir, ne tolérant aucune concurrence, aucune contestation et celle d’un génie de la tech, tout aussi fantasque, tout aussi puissant, immensément riche et qui se comporte de surcroit comme un président bis, la coexistence est impossible entre un président populiste qui réclame un État fort, de préférence à son service, et un entrepreneur qui prône l’émergence d’un Etat réduit à sa plus simple expression et ramené à l’essentiel le plus basique. Surtout au service des intérêts privés.

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Décret-loi 54 : L’ARP examine une proposition de révision pour garantir les droits numériques

La commission de la législation générale à l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) a décidé mercredi de poursuivre l’examen d’une proposition d’amendement du décret-loi n°54 de 2022 sur la lutte contre les crimes liés aux systèmes d’information et de communication, après avoir entendu ses initiateurs.

Les porteurs de cette initiative législative ont souligné que le décret-loi actuel, bien qu’adapté au contexte historique de son adoption, « avait porté atteinte au fond même aux droits et libertés garantis par la Constitution, sans respecter le principe de proportionnalité entre les restrictions et leurs justifications ».

Selon un communiqué de l’Assemblée des représentants du peuple, les initiateurs jugent nécessaire de modifier certaines dispositions en raison des difficultés rencontrées dans l’application du texte et de contradictions avec d’autres textes en vigueur. Cette proposition d’amendement vise également à aligner le décret-loi sur la Constitution de juillet 2022 et sur les engagements internationaux de la Tunisie, notamment la Convention de Budapest sur la cybercriminalité, ratifiée par l’ARP en février 2024.

La commission a décidé d’organiser des auditions avec toutes les parties concernées avant d’engager un débat article par article sur cette proposition d’amendement. Un député a précisé que le décret-loi cible notamment « les manifestations de violence et de diffamation sur les réseaux sociaux ».

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Al Kitab, librairie indépendante tunisienne, primée au Grand Prix Livres Hebdo des Librairies 2025

La librairie indépendante tunisienne Al Kitab a remporté le Prix spécial de la librairie francophone hors de France 2025. Cette distinction lui a été décernée dans le cadre de la 7ème édition du Grand Prix Livres Hebdo des Librairies.

Ce prix institué par Livres Hebdo, (pôle média français de référence sur l’industrie du livre destiné aux professionnels du livre, notamment les libraires, les bibliothécaires et les éditeurs) vise à promouvoir les acteurs et les initiatives innovantes des librairies indépendantes.

Les lauréats des cinq catégories thématiques (animation, valorisation du fonds, espace intérieur, service innovant et communication) ainsi que les vainqueurs des Prix spéciaux, dont celui remporté par Al-Kitab, ont été dévoilés lors d’une cérémonie organisée le jeudi 3 juillet 2025 au Théâtre Debussy de Maisons-Alfort, dans le cadre de l’Université d’été de l’Ecole de la librairie.

Décerné par un jury interprofessionnel et paritaire, le Grand Prix Livres Hebdo des Librairies récompense des librairies francophones indépendantes proposant des services particulièrement efficaces et novateurs sachant que la candidature pour ce prix est ouverte à toutes les librairies indépendantes francophones, quel que soit leur pays d’origine, leur taille, leur nature ou leur année d’ouverture.

Le Prix spécial de la Librairie francophone hors de France distingue un projet original et innovant mené par une librairie indépendante située en dehors du territoire français.

Selon Livres Hebdo, “Al Kitab” se distingue par une approche singulière où le livre devient une véritable source d’inspiration visuelle, offrant à un public varié une expérience sensorielle et intellectuelle enrichie. Véritable passerelle littéraire entre la Tunisie et la France, la librairie réussit aussi à fédérer les générations autour de la culture dans une perspective fédératrice, ouverte et innovante.

Dans cette perspective, ajoute la même source, le lieu mêle les langues et les styles via une redécouverte du livre sous toutes ses dimensions et à travers toutes les époques.

Chez Al Kitab, ajoute la même source, l’écrit devient une passerelle interculturelle avec des rayons qui font habilement cohabiter des romans tunisiens traduits en français tels que ceux de Faten Fazaa ou encore des livres écrits dans la langue de Molière comme ceux de l’écrivain tunisien Saber Mansouri, avec avec les plumes françaises incontournables de Proust, Zola ou Voltaire.

La création d’une galerie d’art dédiée au livre, est venue prolonger cette démarche. Située au-dessus de la librairie, elle permet également à la littérature d’être sublimée par d’autres formes d’expression, au moyen d’expositions picturales et d’événements réguliers.

Au service du livre depuis 1967, Al Kitab est la première librairie du monde arabe fondée par une femme, Lilia Kabadou. Aujourd’hui, près de soixante ans plus tard, son petit-fils Skander Jabbes en reprend le flambeau, avec l’ambition de donner “un second souffle à la tradition livresque dans le nouveau siècle tunisien”.

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