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Le CRLDHT alerte sur des conditions de détention de Khayem Turki

Le Comité pour le respect des libertés et des droits de l’Homme en Tunisie (CRLDHT) a dénoncé les conditions de détention de Khayem Turki

Dans son communiqué le CRLDHT rappelle que Khayem Turki est détenu depuis plus de deux «dans des conditions qui violent gravement sa dignité et ses droits fondamentaux ».

Le CRLDHT affirme que le quotidien de Khayem Turki en prison est marqué par une lumière allumée 24h/24 dans sa cellule, le privant de sommeil naturel depuis plus de deux ans, au point de déclarer : « J’ai envie de voir une heure de nuit. Même les coupures d’électricité me procurent du répit. »

LE Comité affirme aussi que Khayem Turki vit avec une présence massive de punaises de lit et le risque de maladies de peau graves, sachant qu’il a été condamné à 48 ans de prison après deux ans de détention préventive, pour son activité politique pacifique et sa participation à la création d’un front d’opposition.

Ce traitement constitue une forme de torture psychologique et une violation flagrante des standards internationaux.

Le CRLDHT alerte sur l’urgence d’agir pour garantir à Khayem Turki des conditions de détention humaines.

Communiqué

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Tourisme intérieur en Tunisie : l’éveil d’un moteur oublié de l’économie

Et si le salut du tourisme tunisien venait d’où on ne l’attendait pas ? Jalel Eddine Henchiri, vice-président de la Fédération tunisienne de l’hôtellerie, a lancé un appel clair lors de son intervention sur les ondes radiophonique d’Express FM, ce jeudi 26 juin 2025, à l’adresse d’un secteur trop longtemps tourné vers l’extérieur : il est temps de regarder vers l’intérieur, vers les Tunisiens eux-mêmes.

 

Car derrière les façades blanches des hôtels balnéaires et les campagnes de promotion à destination des marchés européens, une autre réalité émerge : le tourisme intérieur ne joue plus les seconds rôles. En 2024, les Tunisiens ont généré plus de 5 millions de nuitées hôtelières, représentant 21 % du total national. Plus frappant encore : 38 % des clients des hôtels sont des résidents tunisiens. Ces chiffres ne sont pas anecdotiques ; ils traduisent une dynamique sociale profonde, celle d’une population qui s’approprie peu à peu son propre pays comme espace de découverte, de repos et de fierté.

Mais pour Henchiri, l’hôtellerie classique n’est qu’une pièce d’un puzzle bien plus large. Le vice-président insiste sur la nécessité de repousser les frontières de l’offre touristique : le tourisme alternatif, souvent ignoré dans les grandes stratégies nationales, pourrait devenir un levier majeur de développement régional. Moins centralisé, plus respectueux de l’environnement, plus inclusif sur le plan social — ce tourisme-là incarne peut-être la seule voie durable.

Le ministère du Tourisme semble enfin en prendre conscience. Une étude globale est actuellement en cours pour forger une vision intégrée du tourisme intérieur, intégrant les nouvelles aspirations des citoyens comme les impératifs de développement local. Dans cette perspective, les futurs cahiers des charges pour l’hébergement alternatif pourraient être déterminants.

Mais au-delà des chiffres, ce débat en cache un autre : celui de la réappropriation d’un patrimoine, d’une géographie, d’une culture. Dans un pays où le désenclavement des régions et la revitalisation des économies locales sont devenus des urgences, miser sur le tourisme intérieur, ce n’est plus une option secondaire. C’est un acte politique, un choix de société.

« Le Cheval et la Nuit » clôture le festival de ASBU: Un tableau vivant de l’âme arabe

Dans un monde morcelé, « Le cheval et la nuit » tente de rassembler. Karim Thlibi orchestre un récit en musique et en images, convoquant deux symboles universels de la culture arabe pour parler à l’âme : la liberté du cheval, le mystère de la nuit. Un voyage sensoriel d’une rare intensité que l’artiste orchestre tel un hymne visuel et musical.

En clôture de la 25e édition du Festival arabe de la radio et de la télévision, l’Opéra de la Cité de la Culture accueillera une création inédite : «Le cheval et la nuit», une immersion onirique signée Karim Thlibi. Bien au‑delà d’un simple concert, cette œuvre hybridaire tisse un pont entre mémoire collective et imaginaires contemporains, convoquant deux symboles puissants de la culture arabe : le cheval, emblème de majesté et de liberté, et la nuit, voile propice à l’introspection et à la rêverie.

L’ossature du spectacle repose sur 21 pièces, mêlant compositions originales et réinterprétations de chants classiques. Chaque séquence est pensée comme une scène visuelle et sonore : musiques, chants, lumières et projections dialoguent pour créer une écriture scénique évocatrice, où le temps suspend son cours.

Sept voix arabes, autant d’itinérances et d’univers poétiques, incarnent ce récit collectif.

Rassem Dammak

Le Marocain Radouane El Asmar navigue entre mélancolie traditionnelle et modernité urbaine. La Mauritanienne Mouna Dendeni exhale la douceur saharienne du chant Hassani. Le Saoudien Abdelmajid Ibrahim, à l’âme voyageuse, insuffle la chaleureuse influence des terres du Golfe, d’Egypte et du Maghreb. Christia Kassab, du Liban, mêle raffinement classique et langue familière. Souha Al‑Masri, du Yémen, prête à la création une profondeur mélodique ancrée dans son patrimoine. Ahmed Rebai, jeune chantre tunisien, incarne l’avenir du chant classique avec grâce et rigueur. Enfin, Baha Eddine Ben Fadhel, compositeur et orchestrateur tunisien, structure l’ensemble d’une architecture musicale solide et inventive.

Tous évoluent sous la baguette de Rassem Dammak, dont la direction fera vibrer la diversité des timbres arabes. L’orchestre devient un espace de dialogue entre les uns et les autres, un lieu où se mêlent les héritages vocaux et instrumentaux.      

Ce spectacle-anthologie ne suit pas un récit conventionnel mais propose un parcours intérieur, une construction symbolique nourrie d’éclats de mémoire, de fulgurances musicales et de silences habités.

À une époque où la fragmentation culturelle gagne du terrain, «Le cheval et la nuit» apparaît comme une réponse sensible et incarnée, un appel à l’union par l’émotion et la beauté.   

L’œuvre transpose dans le présent un vieux vers d’Al-Mutanabbi : «Le cheval, la nuit et le désert me connaissent». Mais ici, il ne s’agit pas seulement de se souvenir : il s’agit de recréer, de redonner vie à une appartenance vivante et plurielle, dans un geste artistique lumineux et fraternel.

Festival International du Cirque et des Arts de la Rue jusqu’au 29 juin: Le cirque s’invite dans nos rues

Placée sous le thème  « L’art pour tous, l’art dans la rue», cette édition a mis à l’honneur des performances d’acrobatie et de jonglage, des spectacles de clowns comiques et des ateliers participatifs pour petits et grands.

La Presse — La 8e édition du Festival international du cirque et des arts de la rue bat son plein depuis quelques jours déjà, avec des spectacles gratuits en plein air dans les places publiques de plusieurs régions tunisiennes. Elle a réuni des artistes venus de 10 pays, dont la Tunisie, l’Italie, le Mexique, le Kenya, l’Argentine, le Chili et d’autres encore.

L’événement, qui est le premier en son genre en Afrique du Nord, est organisé depuis 2018 par le Paparouni Circus avec le soutien des ministères des Affaires culturelles, du Tourisme et de l’Artisanat.

Après une ouverture haute en couleur le 12 juin à l’avenue Habib-Bourguiba à Tunis, le festival a parcouru plusieurs villes tunisiennes, faisant escale le 13 juin à la corniche de Radès, puis le 14 juin devant la Maison de la culture de Mateur (gouvernorat de Bizerte), à Sfax le 21 juin, Sidi Bouzid le 22 juin, pour se poursuivre à Sousse aujourd’hui 26 juin avant de clôturer sa tournée à Zaghouan le 29 juin.

Placée sous le thème « L’art pour tous, l’art dans la rue », cette édition met à l’honneur des performances d’acrobatie et de jonglage, des spectacles de clowns comiques et des ateliers participatifs pour petits et grands.

En vue de soutenir les talents émergents, le festival a lancé, depuis 2024, une compétition nationale des arts du cirque. Cette compétition inédite en Tunisie donne l’occasion à de jeunes artistes tunisiens de se produire devant un jury national et de présenter leurs numéros au grand public.

 

Au programme aussi des workshops en arts du cirque et de la danse, de quoi permettre aux participants de perfectionner leurs compétences et d’élargir leurs horizons pour intégrer les écoles spécialisées dans les différentes disciplines.

Pour préparer le spectacle de clôture, une résidence artistique s’est tenue du 13 au 15 juin à la Maison de la culture Ibn Rochd à M’hamdia (Ben Arous), sur le thème « Appuie-toi sur moi », encadrée par Claudia Franco du Cirque Cometa (Italie).

Cirque Cometa est une compagnie italo-péruvienne de cirque contemporain, née de la rencontre entre deux parcours différents mais profondément liés, celui de Claudia Franco et Cristian Trelles. Tous deux diplômés d’écoles professionnelles de cirque, ils partagent la scène pour la première fois en 2015 au Pérou, et depuis, ils poursuivent ensemble leur chemin artistique.

Cartographie des politiques publiques du livre dans le monde arabe: Miroir d’un monde arabe en mutation

Fruit de cinq années de travail coordonné par l’Alliance internationale de l’édition indépendante (Aiei), en partenariat avec le ministère tunisien des Affaires culturelles, l’Alecso et l’OIF, cette étude de 130 pages vise à fournir une base de données fiable sur les politiques publiques du livre dans 18 pays arabes.     

Au cœur d’une rencontre professionnelle exceptionnelle à Tunis, réunissant 30 maisons d’édition de 17 pays arabes et francophones, la Palestine s’est imposée non seulement comme sujet central, mais aussi comme révélateur des fractures et aspirations du secteur du livre dans le monde arabe. Cet événement, organisé dans le cadre du lancement de la «Cartographie des politiques publiques du livre dans le monde arabe», a dressé un tableau sans concession des défis structurels, tout en mettant en avant des dynamiques de solidarité éditoriale inédites.

Fruit de cinq années de travail coordonné par l’Alliance internationale de l’édition indépendante (Aiei), en partenariat avec le ministère tunisien des Affaires culturelles, l’Alecso et l’OIF, cette étude de 130 pages vise à fournir une base de données fiable sur les politiques publiques du livre dans 18 pays arabes. Toutefois, seules 11 ont pu être couvertes, en raison de contraintes majeures:  absence de données officielles, méconnaissance du cadre juridique par les professionnels et décalage entre lois et pratiques.

Parmi les principales recommandations : la réforme des cadres juridiques, la promotion de la liberté d’expression, le soutien à l’édition indépendante, la lutte contre le piratage et l’amélioration de la formation professionnelle, quasi inexistante dans la région. L’étude pointe également le manque criant de politiques culturelles claires dans certains pays comme le Yémen ou le Soudan, ainsi que le rôle trop exclusif des institutions officielles dans la définition de ces politiques.

Si les éditeurs palestiniens n’ont pu être présents, empêchés par la guerre en cours dans les Territoires occupés depuis octobre 2023, leur voix a résonné à travers les livres présentés par leurs confrères. Cette solidarité s’est matérialisée par la mise à disposition d’une collection d’ouvrages palestiniens pour échange de droits de traduction ou de réédition.

Des œuvres comme «Un pays appelé Jabalia» de Hassan Hamid, récit poignant d’un directeur d’hôpital à Gaza, «Portrait collectif d’une femme» d’Amal Ismail ou encore «Je ne partirai pas, mon histoire est celle de la Palestine» de Mohamed El Sabaaneh, bande dessinée en noir et blanc sur la résistance palestinienne, incarnent une littérature de témoignage, de mémoire et d’engagement. Autant de récits qui redessinent les contours d’une lutte pour la dignité, au-delà des frontières.

La cartographie révèle un paradoxe : alors que le livre est porteur de mémoire, d’émancipation et d’identité, les politiques publiques dans le monde arabe entravent souvent sa libre circulation. Les éditeurs dénoncent la censure — qu’elle soit administrative, judiciaire ou électronique —, la lourdeur des procédures fiscales, l’inadéquation des lois sur la propriété intellectuelle, et un manque flagrant de soutien à la traduction.

Par ailleurs, l’absence de statistiques fiables empêche une lecture claire des besoins et des évolutions du secteur. Dans ce contexte, les éditeurs indépendants jouent un rôle crucial mais sous-financé. La solidarité éditoriale, comme celle exprimée envers les éditeurs palestiniens, devient un levier de résilience et de création.

L’événement de Tunis n’a pas esquivé les enjeux futurs : les ateliers consacrés à l’intelligence artificielle ont posé la question de l’éthique, des droits d’auteur et du rôle de la technologie dans une industrie encore marquée par des outils traditionnels. Le professeur tunisien Hamadi Jaballah a rappelé combien, dans l’histoire du monde arabe, la publication de livres a souvent été synonyme de résistance, face à la répression politique ou religieuse.

La Tunisie, le Maroc, l’Algérie, l’Égypte ou l’Arabie saoudite ont également contribué à cette mosaïque éditoriale en présentant des œuvres traduites, rééditées ou engagées, telles que «Masque de la couleur du ciel» de Bassem Khondaqji, lauréat du «Booker du roman arabe» 2024, écrit depuis une prison israélienne, ou encore «Souvenirs de Jérusalem» de Sirine Husseini Shahid, mémoire historique d’un exil.

La cartographie initiée par l’Aiei ouvre une voie, mais reste inachevée. Le défi est double : construire des politiques publiques cohérentes, inclusives et transparentes, tout en préservant la liberté de création et la diversité éditoriale. La Palestine, bien que meurtrie, s’affirme comme un catalyseur symbolique, rappelant que la culture est un territoire de résistance autant que de dialogue.

Cette rencontre inédite à Tunis a permis de mettre en lumière l’urgence d’une réforme globale du secteur du livre dans le monde arabe. Une réforme qui passe autant par la volonté politique que par la mobilisation des éditeurs, auteurs, traducteurs et lecteurs. La Palestine y tient lieu de boussole morale et littéraire.

Synthèse Asma DRISSI avec TAP

Urgent – Si vous êtes assujettis à l’IFI, ceci vous concerne

Le ministère des Finances appelle les contribuables assujettis à l’impôt sur la fortune immobilière (IFI) à régulariser leur situation avant le 30 juin 2025, sous peine de pénalités de retard et sanctions légales.

Dans un communiqué, le ministère précise que cet impôt concerne les personnes physiques dont le patrimoine immobilier atteignait au moins trois millions de dinars tunisiens au 1er janvier 2025, incluant les biens de leurs enfants mineurs à charge.

Les contribuables doivent impérativement déclarer leurs actifs immobiliers et s’acquitter des sommes dues auprès de la recette des finances de leur lieu de résidence principale avant cette échéance.

L’IFI, fixé à un taux de 0,5 % de la valeur nette des propriétés, a été institué par l’article 23 de la loi de finances 2023. Le ministère souligne l’urgence pour les personnes éligibles de se conformer à cette obligation pour éviter toute poursuite.

Avec TAP

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Les atouts de la Tunisie expliqués à des investisseurs chinois

Des hommes d’affaires chinois, actifs dans des secteurs stratégiques, telles que les énergies renouvelables, les mines, les industries pharmaceutiques, l’eau et les infrastructures, ont exprimé leur intérêt pour le site Tunisie et leur volonté d’y élargir leurs investissements.

La délégation a été reçue à la résidence de l’ambassadeur de Tunisie à Pékin par le ministre de l’Économie et de la Planification, Samir Abdelhafidh, en marge de la réunion annuelle de la Banque asiatique d’investissement dans les infrastructures (AIIB).

Le ministre de l’Economie a saisi cette occasion pour mettre en avant un certain nombre des atouts de la Tunisie, entre autres la position géographique stratégique du pays entre Europe et Afrique, son capital humain qualifié et un climat d’affaires en amélioration, propice à l’investissement international.

Par ailleurs, le ministre entretenu avec plusieurs hauts responsables chinois, dont le vice-ministre des Finances, Liao Min, le président de l’AIIB, Jin Liqun, des dirigeants de Huawei, ainsi que des représentants de la Banque de développement de Chine et de la China Eximbank.

Objectif : renforcer les partenariats économiques et mobiliser les financements pour les projets de développement tunisiens, notamment dans les domaines de l’eau, des transports, des infrastructures et des énergies propres.

A noter du reste qu’un accord a été trouvé pour organiser une mission technique de l’AIIB en Tunisie, afin d’examiner de près les projets en cours.

Avec TAP

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Industrie auto : la Tunisie dans le radar de SEAT

Une rencontre stratégique s’est tenue à Tunis entre la FIPA (Agence de Promotion de l’Investissement Extérieur) et une délégation du constructeur automobile espagnol SEAT, dans le but d’explorer les opportunités de collaboration avec l’écosystème industriel tunisien.

Conduite par Marc Riera Schöngarth, vice-président des achats de SEAT, la délégation a échangé avec le DG de la FIPA en présence de dirigeants d’ENNAKL Automobiles, distributeur officiel de la marque en Tunisie, selon l’agence TAP.

Les échanges entre les deux parties ont porté essentiellement sur 3 points, à savoir : l’intégration de la Tunisie dans la chaîne de valeur de SEAT ; les atouts du pays dans le secteur des composants automobiles ; et la richesse de son écosystème industriel et le vivier de talents locaux.

Il a été rappelé à cette occasion que la Tunisie compte aujourd’hui plus de 280 entreprises actives dans la fabrication de composants automobiles, employant près de 100 000 personnes. En 2023, le secteur a généré près de 3 milliards d’euros d’exportations, indique la FIPA. Un potentiel qui attire l’attention des grands noms de l’automobile.

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Kylian Mbappé porte plainte pour harcèlement moral contre le PSG

Kylian Mbappé porte plainte pour harcèlement moral contre le PSG

Un nouvel épisode du conflit opposant Kylian Mbappé à son ancien club, le Paris Saint-Germain, vient de s’ouvrir. L’attaquant et capitaine de l’équipe de France a déposé une plainte pour « harcèlement moral » contre le club parisien, selon le parquet de Paris qui a confirmé, ce jeudi 26 juin 2025, l’ouverture d’une enquête à […]

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Maintien en détention d’un avocat lié à l’affaire Mimouni

La justice a rejeté la demande de libération d’un avocat lié au dossier de l’homme d’affaires Youssef Mimouni relatif à une affaire de corruption.

La Chambre d’accusation spécialisée dans les affaires de corruption financière près la Cour d’appel de Tunis a décidé de maintenir en vigueur le mandat de dépôt émis à l’encontre du prévenu, précise Mosaïque FM.

L’affaire concerne un litige judiciaire opposant des sociétés de Youssef Mimouni à une banque publique, rappelle la même source.

Y. N.

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Tourisme intérieur: Une vision nationale prend déjà forme

Considéré comme un bouclier face aux chocs extérieurs, le tourisme intérieur occupe aujourd’hui une place cruciale dans l’activité touristique. Désormais, la priorité des professionnels du secteur et du ministère de tutelle est d’adapter l’offre aux attentes des touristes locaux.

Le tourisme intérieur a été au centre des débats lors de la journée d’information organisée hier à Tunis, en présence du ministre du Tourisme et de l’Artisanat, Sofiène Tekaya, ainsi que de représentants des différentes structures et organisations professionnelles du secteur.

L’événement visait à mettre en lumière l’importance du tourisme intérieur, considéré comme un levier de résilience pour l’ensemble de l’activité touristique. Il s’agissait également de débattre des moyens d’améliorer et d’adapter l’offre et les services touristiques aux attentes des touristes locaux.

Un rôle socioéconomique grandissant

Selon les statistiques de 2024, les Tunisiens ont généré plus de 6 millions de nuitées dans les établissements hôteliers, représentant ainsi 25 % du total. Plus de 2,5 millions de résidents ont choisi de séjourner à l’hôtel, portant leur part à plus de 35 % du nombre total de résidents dans les établissements touristiques du pays.

« Ces chiffres reflètent l’engouement croissant des Tunisiens pour les produits touristiques locaux. Ils confirment l’importance du tourisme intérieur et le rôle socioéconomique grandissant qu’il est en train de jouer », a déclaré le ministre dans son allocution d’ouverture.

Il a aussi insisté sur l’importance de la digitalisation dans l’organisation des réservations et l’accès des touristes locaux à des tarifs préférentiels, contribuant ainsi à l’amélioration de la qualité des services. « La réservation à l’avance est un levier essentiel pour une meilleure organisation des voyages, un accès à des prix compétitifs et à des prestations de qualité, via les agences de voyages accréditées, qui garantissent les droits des consommateurs. Par ailleurs, les voyages organisés jouent un rôle central dans le développement du tourisme intérieur, en facilitant l’accès à des offres ciblées et complètes », a-t-il précisé.

Saison estivale 2025 : cap sur la propreté des plages

Concernant les préparatifs pour la saison estivale 2025, le ministre a annoncé l’allocation de 1,5 million de dinars à l’Agence de protection et d’aménagement du littoral pour la mise en œuvre de programmes de nettoyage des plages. En parallèle, un budget de 2,4 millions de dinars a été consacré aux 57 municipalités touristiques dans le cadre du programme de propreté des plages. À cela s’ajoutent 1,7 million de dinars mobilisés pour l’acquisition d’équipements de nettoyage. « Le ministère accorde une attention particulière à l’aménagement des 133 plages publiques. Des mécanismes d’entretien et d’appui continu sont mis en place pour garantir leur propreté, améliorer les infrastructures d’éclairage et assurer un cadre agréable. Ces interventions sont menées en étroite coordination avec le ministère de l’Environnement et les structures chargées de la préservation du littoral », a-t-il souligné.

De nouveaux concepts touristiques à explorer

Le ministre a, par ailleurs, mis en avant l’émergence de nouveaux concepts comme les villages de vacances et de camping, qu’il juge adaptés au contexte tunisien. Il a indiqué que leur concrétisation nécessitera l’intervention de l’Agence foncière touristique, appelée à mobiliser ses réserves foncières pour permettre le développement de nouveaux projets.

« Mettre simplement des terrains à disposition des investisseurs ne suffit plus. Le complexe El Kantaoui constitue un modèle de réussite à l’échelle méditerranéenne, qui mérite d’être reproduit et décliné sous d’autres formes dans différentes régions. Repenser les choix antérieurs devient impératif pour ouvrir la voie à l’innovation. Nous devons faire preuve de créativité et de vigilance dans le contexte mondial actuel », a-t-il déclaré.

Enfin, le ministre a annoncé le lancement prochain d’une étude pour mieux cerner les préférences des touristes locaux en matière d’hébergement, notamment ceux qui privilégient la location de maisons. Il a aussi souligné la nécessité de voir émerger des plateformes de location de vacances, à l’image d’Airbnb, qui devraient être intégrées dans le paysage touristique tunisien.

Tourisme : la Tunisie vise les 11 millions de visiteurs en 2025

Après avoir franchi le cap des 10 millions de touristes en 2024, la Tunisie espère faire encore mieux cette année. Objectif annoncé : 11 millions de visiteurs, selon Houssem Ben Azzouz, président de la Fédération interprofessionnelle du tourisme tunisien, ce jeudi sur Mosaique FM.

Les marchés traditionnels — France, Allemagne, Angleterre, Pologne — reviennent en force, et la Tunisie s’impose de plus en plus face à des poids lourds comme l’Espagne et la Turquie. « La Tunisie est redevenue une destination compétitive », assure Ben Azzouz.

Autre fait marquant : un quart des réservations en 2024 provenait de touristes tunisiens. Pour mieux répondre à cette demande locale, il appelle les professionnels à diversifier les offres : campings, hébergements alternatifs, formules adaptées au pouvoir d’achat des classes moyennes.

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Vague de chaleur en Tunisie : jusqu’à 49°C sous le soleil ce 26 juin 2025

Vague de chaleur en Tunisie : jusqu’à 49°C sous le soleil ce 26 juin 2025

La Tunisie connaît ce mercredi 26 juin 2025 une vague de chaleur intense qui touche la majorité des régions du pays. Selon les données du Centre météorologique tunisien, des températures particulièrement élevées ont été relevées cet après-midi. À Tozeur, le thermomètre a affiché 44°C à l’ombre, ce qui correspond à près de 49°C sous les […]

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Récolte 2024/2025 : Siliana atteint 47 % de son objectif avec 12,25 % des céréales nationales

Récolte 2024/2025 : Siliana atteint 47 % de son objectif avec 12,25 % des céréales nationales

La saison de récolte et de collecte des céréales dans le gouvernorat de Siliana pour la campagne 2024/2025 enregistre une avancée notable, avec un taux de réalisation de 47 %. À ce jour, environ 790 000 quintaux ont été collectés, ce qui représente 12,25 % des quantités nationales. Siliana se positionne ainsi au deuxième rang […]

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