Atlético Madrid: Le capitaine Koke prolonge
© Mosaique FM
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Lundi 2 juin, la première chaîne de télévision française TF1 ouvrait son JT de 20H par le crime abject d’un Tunisien de 45 ans, ayant également visé un Turc, samedi 31 mai, à Puget-sur-Argens.
Le suspect, âgé de 53 ans, avait multiplié les propos racistes et menaçants sur les réseaux sociaux avant de passer à l’acte, rapportent plusieurs médias français.
Dans ce cadre, le parquet national antiterroriste (Pnat) français indique s’être saisi de l’enquête ouverte après le meurtre.
Le suspect est donc interrogé dans le cadre d’une enquête désormais confiée à la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) et à la Sous-direction antiterroriste (SDAT).
Les investigations sont menées pour assassinat et tentative d’assassinat, en relation avec une entreprise terroriste, « commis en raison de la race, de l’ethnie, la nation ou la religion ». Elles sont aussi lancées pour association de malfaiteurs terroriste criminelle.
Affaire à suivre.
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Cette question n’est pas une hypothèse de travail, mais concerne les moyens que les entreprises tunisiennes doivent mettre en œuvre pour saisir les immenses opportunités qu’offre le continent.
Lors d’une rencontre organisée, lundi 2 juin à Tunis, par par le projet Qawafel, financé par l’Agence Française de Développement (AFD) et mis en œuvre par Expertise France, il a été souligné que trois critères sont nécessaires pour y parvenir, à savoir: la compréhension des marchés, l’établissement de relations de confiance et l’adoption d’une vision à long terme.
Quant aux secteurs considérés comme porteurs sur le continent africain, il s’agit entre autres l’agro-industrie, les bureaux d’études, les BTP, la santé, le digital et la formation, assurent les organisateurs de la rencontre.
Placé sous l’égide du ministère de l’Économie et de la Planification et en partenariat avec des opérateurs publics et le secteur privé, le projet Qawafel vise à soutenir le renforcement, la structuration et la valorisation de l’écosystème tunisien de l’internationalisation, contribuant à la visibilité du pays et l’émergence d’initiatives innovantes tunisiennes sur les marchés prioritaires du continent, rapporte l’agence TAP.
A rappeler que Qawafel a tenu fin mai 2025 une nouvelle session de « Qawafel Gathering », une initiative conçue pour soutenir l’internationalisation des PME et startups tunisiennes sur le continent africain, axée sur les dynamiques des marchés africains.
La discussion a permis de montrer que pour l’entreprise, l’implantation d’une filiale en Afrique, si elle est plus coûteuse initialement, s’avère souvent plus rentable à long terme. Il importe de « comprendre le pays », en commençant « par exporter pour tester le marché ».
Il s’agit, aussi de « commencer par des partenaires locaux pour travailler à moyen ou long termes ». Si le soutien institutionnel est utile, « la volonté de faire des affaires en Afrique subsaharienne » prime pour un entrepreneur qui ambitionne de conquérir le marché africain.
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Le ministre de l’Intérieur, Khaled Nouri, s’est entretenu par téléphone, ce lundi, avec son homologue français, Bruno Retailleau, à la suite du crime “terroriste” et dont a été victime le citoyen tunisien Hichem Miraoui en France. Le crime “odieux” est survenu dans la soirée du samedi 31 mai 2025 dans la ville de Puget-sur-Argens. Lors […]
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D’après les prévisions de l’Institut national de la météorologie, la journée de mardi 3 juin 2025 sera marquée par un temps généralement ensoleillé. Le ciel restera dégagé dans l’ensemble, avec la présence de quelques nuages légers par endroits. Les températures resteront stables, oscillant entre 19°C en matinée et 26°C dans l’après-midi. Un vent modéré soufflera […]
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L’étoile du Hezbollah continue de pâlir. Après l’épuisement enduré lors de la guerre destructrice de l’automne 2024, son infiltration par le Mossad, la chute de son allié Bachar Al-Assad et l’affaiblissement de l’Iran, le gouvernement libanais est déterminé à désarmer le groupe chiite pro-iranien. Chose complètement impensable il y a moins d’une année.
Imed Bahri
Pis encore, c’est avec des informations israéliennes fournies par les Américains que l’armée libanaise localise et détruit les dépôts d’armes du Hezbollah. Le gouvernement entend étendre ce processus aux factions armées palestiniennes présentes sur le territoire libanais. Le chef du gouvernement Nawaf Salam invoque le monopole de la force légitime ce qui veut dire que seul l’État est habilité à détenir des armes.
Le Wall Street Journal a publié une enquête d’Omar Abdel Baqi et d’Adam Shamseddine indiquant que l’armée libanaise, avec l’aide des services de renseignement israéliens, s’emploie à démanteler la force militaire du Hezbollah dans le sud du Liban. Ces progrès, selon le journal américain, contribuent à la préservation du fragile accord de cessez-le-feu entre le Liban et l’État hébreu.
L’armée libanaise a largement réussi à désarmer le Hezbollah dans ses bastions du sud du pays. Pour le WSJ mentionne, «ce succès a été obtenu en partie grâce aux services de renseignement israéliens alors que le nouveau gouvernement libanais cherche à mettre en œuvre l’accord de cessez-le-feu qui a mis fin à une vague de violents combats avec Israël l’année dernière».
Le journal cite des responsables américains et israéliens qui se disent surpris par l’ampleur des progrès réalisés et les considèrent comme une avancée importante pour la préservation de la fragile trêve conclue en novembre dernier. Cependant ils se posent la question suivante : le gouvernement libanais sera-t-il en mesure de mener à bien cette tâche jusqu’au dans le sud et d’étendre ses efforts au reste du pays ?
Dans une déclaration au WSJ, le Premier ministre libanais Nawaf Salam a déclaré: «Dans tout le pays, les armes doivent être entre les mains de l’État», ajoutant que le gouvernement libanais avait atteint environ 80% de ses objectifs en matière de désarmement des milices dans l’extrême sud.
De hauts responsables arabes ont déclaré que les renseignements israéliens ont transmis à l’armée libanaise via des canaux américains les informations qui ont permis de localiser et de détruire les derniers dépôts d’armes et positions militaires du Hezbollah dans le sud. L’armée libanaise a expliqué qu’elle détruisait une partie des armes confisquées au Hezbollah tout en conservant celles en état de marche pour renforcer son arsenal limité.
Le journal ajoute que ces efforts ont permis à l’armée libanaise de consolider son autorité au sud de la rivière Litani où elle contrôle désormais les points d’entrée et de sortie auparavant sous contrôle du Hezbollah.
«Nous constatons déjà que l’armée libanaise est plus efficace que prévu dans de nombreuses zones», a déclaré un responsable militaire israélien ajoutant que «Tsahal se félicite globalement de cette tendance et s’attend à ce qu’elle se poursuive».
Par ailleurs, le gouvernement libanais promeut un plan en plusieurs phases pour désarmer les groupes armés palestiniens à l’intérieur du pays. Ces groupes sont souvent basés dans des camps de réfugiés surpeuplés. En avril, les responsables de la sécurité libanaise ont lancé une campagne contre une cellule armée palestinienne soupçonnée d’être impliquée dans des tirs de roquettes vers Israël, ce qui a donné lieu à de rares arrestations.
L’accord de cessez-le-feu stipule que les efforts de désarmement doivent commencer au sud du fleuve Litani, à peu près parallèlement à la frontière avec Israël. Nawaf Salam, de concert avec les États-Unis, a appelé au désarmement de ces groupes. De hauts responsables de la sécurité libanaise ont confirmé que le Hezbollah avait partiellement coopéré aux efforts de désarmement dans le sud et, en même temps, avait été contraint d’abandonner le contrôle sécuritaire dans d’autres zones.
Ceux qui connaissent bien le Hezbollah affirment qu’il cherche à marquer des points en politique intérieure en gagnant du temps alors que le Liban sollicite une aide à la reconstruction auprès des pays occidentaux et ceux du Golfe, hostiles au Hezbollah, qui imposent des conditions à leur soutien financier.
Cependant, il est difficile de savoir si le Hezbollah continuera de coopérer aux efforts de désarmement dans d’autres régions du pays. «À moins que le Hezbollah ne soit disposé à se désarmer, je ne peux imaginer un scénario dans lequel le gouvernement déciderait de recourir à la force pour le désarmer. Il devrait plutôt utiliser son refus comme un levier et le lier au processus de reconstruction dans les zones chiites», a déclaré au journal Randa Slim, chercheuse à l’Institut du service extérieur de l’Université Johns Hopkins.
D’un autre côté, le désarmement du Hezbollah représente un risque politique important pour le gouvernement de Salam, compte tenu du large soutien populaire dont bénéficie le parti au sein de la communauté chiite libanaise. Toutefois, le parti se trouve actuellement dans une position de faiblesse suite à la guerre destructrice de l’automne dernier avec les multiples frappes aériennes et la campagne d’assassinats visant la plupart de ses dirigeants.
Les responsables du Hezbollah ont souligné l’importance de maintenir son arsenal militaire compte tenu de la faiblesse de l’armée libanaise, de la supériorité militaire d’Israël et de la présence de menaces provenant d’autres groupes armés. Ibrahim Al-Moussawi, député du Hezbollah au Parlement libanais, a déclaré: «Les armes du Hezbollah, toujours présentes dans certaines zones, représentent une force pour le Liban». Des paroles qui ne convainquent pas grand monde.
Dans les faits, le parti rencontre d’importantes difficultés pour reconstituer son arsenal militaire notamment après la chute du régime de Bachar Al-Assad, la fermeture des routes de contrebande en provenance d’Iran via la Syrie et surtout la perte de contrôle de l’aéroport de Beyrouth.
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La Fédération des Tunisiens pour une citoyenneté des deux rives (FTCR) a publié, le 2 juin 2025, le communiqué suivant où elle «exprime sa plus vive indignation» et adresse ses sincères condoléances à la famille et aux proches de Hichem Miraoui, coiffeur tunisien de 35 ans, tué froidement à Puget-sur-Argens dans une attaque raciste, ainsi que du ressortissant turc également blessé lors de cette même attaque.
Un crime raciste clairement revendiqué dans des vidéos publiées par l’assassin, où il exprimait sa volonté de «tuer des étrangers» tout en se réclamant de l’idéologie d’extrême droite.
Le Parquet national anti terroriste (PNAT) s’est saisi de l’affaire, en raison du caractère politique de l’acte.
Ce drame n’est ni un fait divers ni un acte isolé. Il s’inscrit dans une escalade préoccupante, à l’image de l’assassinat d’Aboubakar Cissé en avril à La Grand-Combe (Gard), et dans la continuité tragique de celui de Brahim Bouarram, assassiné en 1995 après un défilé du Front National, poussé dans la Seine parce qu’il était étranger.
Ces actes sont le résultat direct et tragique de la banalisation des discours de haine. Certains partis d’extrême droite, figures politiques et relais médiatiques alimentent sans relâche un climat de stigmatisation. Des propos racistes, xénophobes et islamophobes sont relayés et normalisés, jusqu’à devenir un bruit de fond quotidien. Et quand la parole haineuse devient la norme, elle prépare le passage à l’acte.
Nous rendons hommage à Hichem, unanimement décrit par les habitants de Puget comme un homme respectueux, généreux, et aimé de tous. Sa mémoire nous engage.
Face à ce crime odieux, la FTCR appelle à un sursaut politique, citoyen et institutionnel. Nous demandons :
Hichem Miraoui ne sera pas oublié.
Le racisme tue. La République doit réagir.
Communiqué.
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