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Bilel Sahnoun : “La Bourse de Tunis, levier de financement de l’économie nationale”

Le marché financier a atteint des niveaux importants, ce qui en fait l’espace idéal pour la mobilisation de l’épargne à long terme, de financement de l’investissement et une source complémentaire au financement bancaire, a indiqué le directeur de la Bourse de Tunis, Bilel Sahnoun.

Intervenant, au cours de Conférence Annuelle de la Fédération Arabe des Marchés de Capitaux (AFCM) qui se tient, les 13 et 14 mai à Tunis, Sahnoun a estimé que le marché financier est un partenaire actif dans le développement économique, d’autant plus qu’elle enregistre une dynamique à travers plusieurs projets stratégiques visant à renforcer la contribution du marché financier dans le financement de l’économie nationale.

La Bourse de Tunis œuvre à diffuser la culture financière auprès des chefs d’entreprises du secteur privé et à faire connaitre les avantages de financement via la bourse à travers des applications spécialisées, ainsi que d’autres mécanismes, a fait savoir le responsable.

Sahnoun a rappelé dans ce sens que la Bourse a contribué au renforcement des pratiques de responsabilité sociétale et de développement durable auprès de tous les acteurs du marché, notamment les sociétés cotées, rappelant la publication du Guide du reporting Environnemental, Social et de Gouvernance (ESG) en 2021.

Il a annoncé, dans ce cadre, la publication, au cours de la semaine prochaine, du rapport ESG, rappelant aussi de l’obtention au cours des dernières années de trois certificats ISO.

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Arrestation d’un braqueur opérant près du campus universitaire Tunis-El Manar

La police a réussi à à arrêter un braqueur opérant près du campus universitaire Tunis-El Manar, annonce le ministère de l’Intérieur ce mardi 13 mai 2025.

Suite à des plaintes déposées par des vicitimes, une surveillance a été mise en place par différentes unités de sécurité de Tunis qui sont parvenues à identifier et à arrêter le suspect en flagrant délit, alors qu’il s’apprêtait à s’en prendre à des étudiants.

Le ministère public a ordonné la mise en détention du suspect, sachant qu’il a également été formellement reconnus par d’autres victime, ajoute encore le département de l’Intérieur.

Y. N.

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Ben Youssef vers un départ d’Al-Masry

L’attaquant tunisien Fakhreddine Ben Youssef est proche de quitter le club égyptien d’Al-Masry de Port-Saïd à la fin de la saison en cours, son équipe n’ayant pas encore tranché la question du renouvellement de son contrat. Le contrat de la star tunisienne arrive à son terme à l’issue de cette saison avec le club de […]

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IA et journalisme, quand la machine s’en mêle

L’intelligence Artificielle est partout, il n’y a pas un séminaire sur n’importe quelle thématique qui n’aborde pas de manière indirecte ou indirecte la question de l’émergence de l’IA. Suite à une formation autour de l’utilisation de l’Intelligence artificielle dans le domaine du journalisme, nous avons voulu expérimenter, avec nos lecteurs, un travail journalistique élaboré entièrement par DES intelligences artificielles. En effet, nous avons combiné plusieurs outils pour générer du texte, des images et même du son 

IA

Mais attention, cela ne veut pas dire que le journaliste s’est contenté du rôle de spectateur, bien au contraire. Notre démarche est effectivement de démontrer le rôle actif du journaliste dans un monde qui serait dominé par l’IA. D’abord, le recueil des témoignages est bien réel par exemple, mais nous avons demandé à la machine de combiner tout cela. Pour les documents volumineux, nous avons également demandé à l’Intelligence Artificielle d’extraire les informations dont nous avions besoins. Et pour finir, le gros travail a consisté en une relecture minutieuse du contenu généré pour éviter d’induire le lecteur en erreur. Le titre de l’article est également fait du journaliste.

Nous invitons nos lecteur à réagir et à commenter cette expérience et à partager avec nous vos appréhension en général au sujet de l’Intelligence Artificielle dans le journalisme, mais aussi dans d’autres domaines…à vos claviers et n’hésitez pas à vous faire aider par une IA.

Dans le grand chambardement technologique que connaît le monde, le secteur du journalisme n’est pas épargné. Après le raz-de-marée du web et la déferlante des réseaux sociaux qui ont déjà remodelé la fabrique et la diffusion de l’information, une troisième vague, celle de l’intelligence artificielle, promet de transformer encore plus profondément nos métiers. Entre excitation et appréhension, les salles de rédaction du monde entier s’interrogent : comment naviguer dans cette ère nouvelle sans se noyer dans le flot d’informations – bonnes comme mauvaises – générées à la vitesse de l’éclair par des machines ?

Si la Tunisie, modeste nation sur l’échiquier mondial de la production d’IA, n’est pas encore au coude à coude avec les géants de la technologie, son écosystème médiatique, lui, n’entend pas rester à la traîne. C’est dans cette optique que Hammamet a servi de cadre, du 6 au 8 mai 2024, à une formation intensive sur le thème très actuel de : « Journalisme à l’ère de l’IA Générative : Nouvelles technologies et défis éthiques ». Pendant trois jours, sous la houlette éclairée de Kerim Messadi et Hanene Zbiss, des journalistes tunisiens ont plongé dans les arcanes de l’IA, cherchant à apprivoiser cette force tantôt alliée, tantôt rivale potentielle.

De la charrette à la Tesla : une transformation ressentie

L’IA dans le journalisme, c’est un peu tout à la fois. C’est un sujet d’actualité brûlant, mais c’est aussi un ensemble d’outils qui s’insèrent potentiellement sur toute la chaîne de production de l’information, de la collecte à la diffusion. Imaginez : des assistants capables d’aider à trouver des angles neufs, à structurer un article, à générer des brouillons de texte, à transformer des images ou des sons, à traduire ou sous-titrer des contenus pour toucher un public plus large.

Pour certains, découvrir ces possibilités a été une révélation. Jihene Eddayaa, journaliste à Radio Monastir, l’exprime avec une analogie qui ne manque pas de saveur : « Participer à une formation sur l’utilisation de l’intelligence artificielle dans le journalisme, c’est un peu comme passer d’une charrette à une Tesla ». Un saut quantique dans l’efficacité et les perspectives, loin des méthodes d’antan. Basma Amari, de Radio Gafsa, a ainsi acquis des connaissances fondamentales sur les différents types d’IA et a pu constater comment elle « transforme le monde de l’information : automatisation de la production de contenus, algorithmes de recommandation, vérification des faits, etc. », découvrant au passage des outils utiles pour son travail quotidien.

L’IA : alliée ou remplaçante ? La question qui fâche (ou pas)

Derrière l’enthousiasme pour ces nouveaux joujoux technologiques se cache une question délicate : l’IA va-t-elle remplacer les journalistes ? Les plus optimistes y voient une « technologie d’assistance » qui rend le travail plus efficace, notamment pour les tâches répétitives et chronophages comme la transcription automatique d’interviews. Ainsi, l’IA excelle à traiter de vastes quantités de données pour des investigations complexes, agissant comme des « mains supplémentaires » dont parle Phil Chetwynd de l’AFP, dans un reportage de France 24.

Mais la menace du remplacement plane, du moins pour certaines tâches. L’exemple de Channel One, cette startup américaine qui rêve d’une salle de rédaction entièrement automatisée, du journaliste virtuel au présentateur synthétique, a de quoi donner des sueurs froides. Leur logique ? Produire plus, à moindre coût, en compilant et reformulant des informations issues d’agences de presse. Un cauchemar pour qui défend la valeur ajoutée humaine.

Et c’est là que réside le cœur de la riposte journalistique : l’IA ne peut (pour l’instant ?) pas remplacer l’essentiel. Kerim Messadi, data Scientist et formateur n’a pas cessé de le marteler pendant toute la formation : « L’IA est un outil de travail qui ne saurait remplacer l’humain ». L’IA peut simplifier certaines étapes, potentiellement rendre des rôles moins nécessaires ou l’édition plus aisée à l’avenir, mais l’âme du métier, le contact humain, l’analyse critique, l’éthique, c’est le domaine réservé de l’homme. Manel Harzi, journaliste à Radio Maghreb, le voit bien : L’IA peut compléter certaines tâches et ouvrir de nouvelles perspectives, mais elle doit être un « véritable allié du journaliste, sans nuire à l’éthique ni à la créativité ».

Le défi éthique et la lutte contre la désinformation

Le revers de la médaille de l’IA générative, c’est son potentiel à produire, avec une facilité déconcertante, du contenu synthétique de plus en plus réaliste : fausses images, fausses vidéos (« deepfakes »), fausses voix. L’IA elle-même peut « halluciner », inventant des faits avec une crédibilité troublante, rendant la vérification d’autant plus cruciale.

Face à cela, l’éthique n’est plus une simple option, c’est une urgence. La Recommandation de l’UNESCO sur l’éthique de l’IA, adoptée en 2021, pose un cadre universel basé sur des valeurs fondamentales comme le respect des droits humains, la transparence, la responsabilité et la non-discrimination. Les systèmes d’IA comportent et accentuent des biais, ce qui soulève des préoccupations éthiques importantes. L’UNESCO souligne la nécessité de renforcer l’éducation aux médias et à l’information pour lutter contre la désinformation et l’utilisation abusive des données.

Le séminaire à Hammamet a accordé une place centrale à ces enjeux. Un atelier pratique a même été dédié à l’élaboration d’une charte de déontologie pour l’utilisation de l’IA en journalisme, une démarche essentielle alors qu’une grande majorité de rédactions manquent encore de politiques claires en la matière. Les participants ont discuté de l’éthique de l’IA, des cas concrets comme OpenAI vs NYT, des débats sur les limites des images IA, les deepfakes et le droit d’auteur. Dhiya Dine Krifi, de la radio nationale, résume bien cette prise de conscience, lui, qui utilisait l’IA de manière intuitive auparavant, confie que désormais, il travaille « avec ces outils de manière plus professionnelle et responsable en tenant compte des enjeux éthiques liés au journalisme ».

Maîtriser l’outil, pas le subir

L’objectif de cette formation n’était pas de diaboliser l’IA, mais de la démystifier et de donner aux journalistes les clés pour l’utiliser de manière éclairée et responsable. Les sessions pratiques sur le « prompting » – l’art et la manière de dialoguer efficacement avec l’IA pour en tirer le meilleur – ont été cruciales. Apprendre à formuler des requêtes précises pour générer des contenus ou même « interroger » des sources via l’IA est une compétence d’avenir. Les outils de recherche sémantique et les techniques de « fact-checking » assistées par l’IA ont également été explorés, précieux dans la guerre contre les « hallucinations » algorithmiques.

Tarek Ghediri, fondateur de la plateforme Zajel, témoigne de la transformation concrète. En effet, il reconnait qu’avant la formation, il utilisait l’IA comme un simple moteur de recherche ; aujourd’hui, il a décidé de créer « département IA » pour son site d’information, une sorte d’atelier de travail qui produit avec efficacité, rapidité et professionnalisme grâce au contrôle et à la révision humaine ».

Tunisie : Le ministère des Transports lance un appel d’offres pour l’acquisition de 30 rames de métro léger

Le ministre des Transports, Rachid Ameri, a annoncé que la Tunisie publiera, jeudi prochain, un appel d’offres pour l’acquisition de 30 rames de métro léger de 45 mètres de long, dans le cadre de son projet visant à moderniser et diversifier le réseau de transports publics du pays. Cette initiative s’inscrit dans les efforts continus du ministère pour introduire de nouveaux types de métro léger.
Lors d’une session plénière à l’Assemblée des représentants du peuple, qui a abordé notamment un accord entre la Tunisie et l’Italie relatif à la reconnaissance mutuelle des permis de conduire dans le cadre des échanges, le ministre a précisé que son département mettait également un accent particulier sur le développement du métro léger à Sfax.
“Nous avons mis à jour l’étude du projet et nous travaillons en étroite collaboration avec les autorités publiques, telles que la Société nationale de production et de distribution des eaux (SONDE) et la Société tunisienne de l’électricité et du gaz (STEG), afin de trouver des solutions adaptées pour la réalisation de ce projet”, a déclaré Rachid Ameri.
Le ministre a en outre évoqué la volonté de son département de soutenir le développement des régions disposant d’aéroports, notamment en diversifiant les produits et en renforçant les infrastructures locales. Cette démarche vise à dynamiser ces régions, même si l’activité aéroportuaire y reste limitée, et à promouvoir leur potentiel en matière de développement économique.
Concernant les défis de main-d’œuvre au sein de la Compagnie tunisienne de navigation, Rachid Ameri a souligné un déficit important en personnel, notamment en cadres. “Le ministère a entrepris des démarches pour pallier ce manque, notamment par le recours à des officiers du ministère de la Défense nationale, tout en prévoyant la réouverture de programmes de formation, en partenariat avec le ministère de la Défense ou celui de l’Enseignement supérieur”, a ajouté le ministre.
Enfin, Rachid Ameri a réaffirmé l’engagement de la Tunisie à moderniser ses réseaux ferroviaires, avec un accent particulier sur la réactivation de plusieurs lignes de transport, tant pour les passagers que pour les marchandises. Parmi les projets phares figure la réhabilitation des liaisons ferroviaires avec les ports de Sousse, Bizerte et Gabès, destinées à faciliter le transport des ressources naturelles et des biens.

Emmanuel Macron: entre politique étrangère et poursuite des réformes

Ce mardi 13 mai 2025, Emmanuel Macron, président de la République français, a participé à une émission spéciale de deux heures sur TF1 intitulée « Les défis de la France ». Au cours de cet entretien, il a répondu aux questions de journalistes et de représentants de la société civile sur les principaux sujets notamment la politique intérieure, les réformes à venir, la situation internationale…

Politique internationale 

Gaza et Israël : Emmanuel Macron a vivement critiqué l’action du gouvernement israélien à Gaza, qualifiant la situation d’ »inacceptable » et de « honte ». Il se dit ouvert à une remise en cause de la coopération entre l’Union européenne et Israël, tout en appelant les États-Unis à accentuer la pression. Il refuse d’utiliser le terme de « génocide », estimant que ce sera aux historiens d’en juger.

Ukraine et Russie : Il a promis de nouvelles sanctions contre Moscou après le rejet d’une trêve par la Russie et a réaffirmé son soutien à l’Ukraine, tout en rejetant l’idée d’utiliser les avoirs russes gelés pour financer la défense ukrainienne. Il insiste sur la nécessité d’aider l’Ukraine sans « déclencher un troisième conflit mondial ».

Dissuasion nucléaire : Emmanuel Macron s’est dit prêt à ouvrir une discussion sur le partage de la dissuasion nucléaire française avec d’autres pays européens, tout en rappelant que la décision finale resterait française.

La question des réformes

Réforme des retraites : Il a catégoriquement exclu tout référendum sur l’abrogation de la réforme des retraites de 2023, défendant la nécessité de cette réforme pour l’équilibre du système.

Emploi et industrie : il a mis en avant la création nette de plusieurs millions d’emplois industriels depuis 2017 et la réindustrialisation du pays, tout en reconnaissant la persistance de « grands drames humains » liés aux plans sociaux. Ainsi il souhaite que le travail soit mieux rémunéré et propose d’alléger la fiscalité sur les salaires, plaidant pour plus de mobilité sociale et une simplification des normes.

Concernant la consultation citoyenne, il envisage l’organisation de référendums sur plusieurs sujets, comme la dépense publique, la dette, les retraites ou l’interdiction des écrans pour les plus jeunes, mais exclut un référendum sur les retraites.

Sécurité et justice : Il propose de « louer » des places de prison à l’étranger pour lutter contre la surpopulation carcérale et se dit favorable à la facturation des frais d’incarcération aux détenus.

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“BRUT” à l’IFT : dix artistes et mille récits autour du patrimoine vivant tunisien

Dix artistes visuels participent à l’exposition “BRUT – Regards croisés – Patrimoine vivant tunisien” qu’abritera la galerie de l’Institut Français de Tunisie (IFT) du jeudi 22 mai au jeudi 5 juin 2025.

L’Institut français a annoncé une exposition “pour rendre hommage au patrimoine vivant tunisien” à travers les œuvres de Samia Achour, Asma Ben Aissa, Mehdi Benedetto, Sellema Goucha Essayem, Skander Khelil, Irane Ouanes, Olivia Grasshoff Rassas, Reem Saad, Hada SaÏdani, Laurence Bauza Peyron.

Organique et exaltante, “BRUT” célèbre la Terre, le Marbre, l’Argile, la Céramique, la Peinture, les Tissus et les Pierres, à travers un parcours atypique inspiré par la nature et le vivant. À chaque étape, une histoire se dévoile, un personnage prend vie, et une vision s’exprime.

Tout commence par une rencontre, fortuite, comme la vie sait tant bien nous en offrir. De cette rencontre naît une amitié, puis un lien profond, et enfin un rêve : celui de partager ensemble une force qui anime tout artiste, l’expression. Expression de soi, de son âme, de son corps, de ses idées, de ses perceptions et de ses convictions profondes.

“BRUT” est une exposition unique, où les esprits se libèrent et les regards se croisent. Composée de 10 artistes unis par le travail manuel, cette exposition témoigne de la diversité et la richesse des expressions artistiques issues des traditions artisanales.

Les artistes exposants dans “BRUT – Regard croisés – Patrimoine vivant tunisien” :

●Samia Achour
C’est l’histoire d’une femme qui se cherche…
Le point de départ à toute création est souvent un mot-clé : puissant, frivole, exubérant, dynamique, inattendu… Inspirant des formes modelées dans une terre argileuse que des textures et des couleurs viendront sublimer telle une poésie. Poésie des formes, terre capricieuse guidant nos mains et nos pensées sur notre planète Terre où trois éléments sont essentiels à sa survie, l’eau pour son modelage, l’air pour son séchage et le feu pour sa cuisson.

●Asma Ben Aissa
C’est l’histoire d’une femme qui brode son histoire…
Asma s’intéresse fondamentalement au paysage en tant que notion esthétique, où l’expérimentation est mise au service de son art. Son travail explore les thèmes de l’habitat, de la transmission, de l’architecture, des espaces intérieurs et extérieurs, des transformations sociales et du patrimoine local, faisant écho à la relation entre la construction environnementale et les expériences personnelles.

●Mehdi Benedetto
C’est l’histoire d’un homme qui se cherche…
Mehdi Alexandre Benedetto est depuis plus de vingt ans mosaïste et sculpteur maniant le marbre et les pierres semi-précieuses. Il conçoit et réalise des articles de décoration en marqueterie de marbre et mosaïque. Il expose régulièrement depuis l’an 2000. En 2004 et 2005, il a été choisi pour décorer les vitrines mythiques de Hermès à Paris.

●Sellama Goucha Essayem
C’est l’histoire d’une femme qui balade ses cartons…
Grandie entre deux continents, deux pays, deux nationalités, deux langues maternelles, Sellama est une citoyenne du monde… Peinture acrylique, encre acrylique, aquarelles ou encore pastels pour le dessin, elle explore sans cesse un champ immensément grand. Chacune de ses œuvres représente un instantané d’une émotion capturée. La découverte de la sculpture n’a fait que renforcer son envie de continuer à explorer un univers infini, un monde riche de surprises et de possibilités.

●Skander Khelil
C’est l’histoire d’un homme qui travaille de 7h à 12h…
Tout commence il y presque 40 ans. Autodidacte, Skander fait de la sculpture sur pierre son métier et passion. On peut dire aujourd’hui qu’aucune pierre -marbre, albâtre, calcaire, serpentine, sélénite, grés…- ne lui résiste. Il joue avec les formes, mettant en valeur les textures de la matière, sorte de jeu entre lui et son œuvre. 3 D, bas-relief, haut-relief, tout l’amuse, le fatigue, l’inspire !

●Irane Ouanes
C’est l’histoire d’une femme qui rêve…
Artiste sculptrice tunisienne autodidacte et éclectique. Ancienne enseignante de langue et littérature françaises, elle a exercé pendant vingt ans avant de se consacrer pleinement à sa passion artistique à partir de 2017. Son univers est marqué par une approche libre, engagée et profondément humaine, mêlant matériaux bruts, humour, critique sociale et poésie visuelle.

●Olivia Grasshoff Rassas
C’est l’histoire d’une femme qui unifie pigments, matière et couleurs…
Diplômée de l’École Supérieure des Arts et Techniques de la Mode (ESMOD) à Paris, Olivia a été, pendant 32 ans, professeure de stylisme à ESMOD Tunis. Elle y développe parallèlement une passion pour les arts visuels, avec plusieurs expositions dans les domaines de la céramique, de la peinture et de la création vestimentaire.

●Reem Saad
C’est l’histoire d’une femme qui veut vivre et non survivre…
Reem Saad est une artiste visuelle et pédagogue tunisienne. Depuis 2006, elle développe une pratique artistique singulière, mêlant aquarelle, dessin, photographie et création artisanale. En 2012, elle initie ses “Aquarelles Introspectives” ( AI fait-main), une technique minutieuse basée sur la représentation de cellules colorés, évoquant des mosaïques organiques à l’eau.

●Hada Saïdani
C’est l’histoire d’une femme qui lutte…
Pendant longtemps, nous sommes allés, avec mes enfants, à la montagne récupérer la terre. Puis, c’est devenu trop physique et trop fatiguant pour nous, et avons excavé dans notre jardin. Quand, la météo le permet, je descends dans le trou et récupère de la terre. D’ailleurs, la réserve pour l’hiver prochain est prête.L’amour de la terre pour moi, est quelque chose de naturel, ça circule dans tout mon être. Cela s’est enraciné en moi.

●Laurence Bauza Peyron
C’est l’histoire d’une femme qui aime la vie…
Artiste autodidacte, ses créations en argile modelée sont inspirées par la nature et le vivant : personnages, animaux et arts primitifs, utilisant un mélange harmonieux de techniques et de matériaux. Son approche libre et exploratoire lui a permis de développer un style spontané et intuitif, influencé par son parcours de vie autour du monde : Algérie, Chili, Canada, Espagne, Grèce, France et Tunisie.

L’exposition sera ouverte au public du lundi au samedi (sauf le dimanche) de 10h à 17h.

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Bourse de Tunis : volume modeste de 5,6 MD, POULINA en tête des échanges

Le marché boursier a terminé, la séance de mardi, proche de l’équilibre (-0,08 % à 11308,5 points), dans un modeste volume de 5,6 MD, selon l’intermédiaire en bourse, Tunisie Valeurs.

Le titre CARTHAGE CEMENT s’est offert la palme des hausses. L’action du plus grand cimentier en Tunisie s’est appréciée de 4 % à 2,080 D, en générant un faible flux de 90 mille dinars.

Le titre ASSURANCES MAGHREBIA VIE a figuré parmi les plus grands gagnants de la séance. L’action de la compagnie d’assurance vie a pris +1,5 % à 5,990 D, dans un volume très réduit de 8 mille dinars.

Le titre SAM a accusé la plus forte correction à la baisse de la séance. L’action du spécialiste des meubles de bureaux a essuyé un repli de 4,7 % à 6,040 D. La valeur a amassé des échanges limités de 31 mille dinars sur la séance.

Le titre ASSAD s’est mal comporté sur la séance. L’action du spécialiste des batteries automobiles s’est pliée de 4,4 % à 1,950 D. La valeur a brassé un flux global de 211 mille dinars sur la séance.

Le titre POULINA GROUP HOLDING a chapeauté le palmarès des échanges. L’action du plus grand holding en Tunisie a reculé de 0,5 % à 15,100 D, en alimentant le marché avec des capitaux de 1 MD.

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Kasserine : forte hausse de la production agricole malgré des dégâts causés par la grêle

Kasserine : forte hausse de la production agricole malgré des dégâts causés par la grêle

La saison agricole actuelle dans le gouvernorat de Kasserine connaît un net regain grâce à des conditions climatiques favorables, marquées notamment par des précipitations abondantes et un froid hivernal bénéfique à la croissance des cultures. Selon des sources citées par Mosaïque FM, ces facteurs ont permis une amélioration significative de la production agricole. Ainsi, la […]

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Tunisair : 14 avions remis en service d’ici fin mai 2025 dans le cadre d’un plan de redressement

Tunisair : 14 avions remis en service d’ici fin mai 2025 dans le cadre d’un plan de redressement

La compagnie aérienne nationale Tunisair prévoit de remettre en service 14 avions d’ici la fin mai 2025, dans le cadre d’un plan de restructuration ambitieux visant à renforcer sa flotte sans recourir à la privatisation. Cette annonce a été faite par le ministre des Transports, Rachid Amri, lors d’une séance plénière à l’Assemblée des représentants […]

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Après Kasserine, un imposteur se fait passer pour haut responsable du gouvernement à Kairouan

Après Kasserine, un imposteur se fait passer pour haut responsable du gouvernement à Kairouan

Après Kasserine, un nouveau cas d’usurpation d’identité impliquant un faux directeur de cabinet du gouvernement a été signalé à Kairouan. Un quadragénaire, habitant le quartier Mohamed Ali, a été placé en garde à vue le 12 mai 2025 sur décision du ministère public près le Tribunal de première instance de Kairouan. Se faisant passer pour […]

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Donald Trump annonce la levée des sanctions américaines contre la Syrie

Donald Trump annonce la levée des sanctions américaines contre la Syrie

Le président américain Donald Trump a annoncé ce mardi la levée des sanctions imposées à la Syrie, lors d’un discours prononcé à Riyad, la capitale saoudienne. Cette décision, saluée par des applaudissements nourris, intervient alors qu’un rapprochement diplomatique semble se dessiner avec le président syrien de transition, que Trump prévoit de rencontrer prochainement. Le chef […]

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Hajj 2025 : Ooredoo vous accompagne avec des services exceptionnelles pour rester connectés à vos proches

Comme chaque année, à l’occasion du pèlerinage, Ooredoo se mobilise pour rester proche de ses clients et leur offrir les meilleurs services au meilleur prix.

Les pèlerins peuvent profiter d’une réduction de 70% sur les appels émis depuis l’Arabie Saoudite vers les numéros tunisiens et saoudiens, leur permettant de rester en contact avec leurs proches à moindre coût.

Des Passports Roaming sont également disponibles à partir de seulement 5 dinars, incluant Internet et appels pour répondre à tous vos besoins durant votre séjour aux lieux saints. Pour en profiter, composez simplement le #147# ou utilisez l’application MyOoredoo.

Depuis la Tunisie, les familles et amis peuvent également joindre leurs proches grâce au service “Dhayafni en roaming” : il suffit de composer le #4# avant le numéro Ooredoo pour prendre en charge le coût de l’appel, au tarif préférentiel de 0,350 TND/min au lieu de 0,700 TND.

Grâce à ces offres bien pensées, Ooredoo réaffirme son engagement à innover constamment et à accompagner les Tunisiens et les Tunisiennes dans les moments les plus précieux de leur vie. Car la proximité, ce n’est plus une question de distance.

Communiqué

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Trafic de drogue | Des peines de 15 à 20 ans pour des membres d’un réseau international

Récemment arrêtés dans le cadre d’une opération menée au port de La Goulette (banlieue nord de Tunis), des dealers de cannabis ont été condamnés à des peines allant de 15 à 20 ans de prison ferme.

Il s’agit de 5 dealers qui ont comparu devant la chambre criminelle du tribunal de première instance de Tunis, qui a prononcé les verdicts, hier, lundi 12 mai 2025.

Rappelons que ces trafiquants, qui ont également été condamnés à une amende de 50 000 dinars tunisiens, avaient été arrêtéS au port de La Goulette en possession de plus de 60 kilos de cannabis.

Y. N.

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