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Leganés – Real Madrid : Heure et chaîne pour suivre le match en direct

Leganés – Real Madrid : Heure et chaîne pour suivre le match en direct

Le Real Madrid poursuit sa course en Liga avec un déplacement sur le terrain de Leganés, dans l’espoir de réduire l’écart avec le FC Barcelone avant un choc européen à Liverpool. Voici comment suivre cette rencontre en direct. Leganés traverse une période encourageante, avec sept points récoltés sur ses cinq derniers matchs de Liga. Actuellement […]

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Lille OSC vs Stade Rennais: lien streaming, chaîne tv pour regarder le match

Lille OSC vs Stade Rennais: lien streaming, chaîne tv pour regarder le match

La Ligue 1 reprend ses droits après une trêve internationale mouvementée. Ce dimanche, le Lille OSC accueille le Stade Rennais au Stade Pierre-Mauroy pour le compte de la 12e journée. Quatrième au classement avec 19 points, le LOSC n’est qu’à une unité de l’Olympique de Marseille, actuellement troisième. Une victoire permettrait aux Lillois, emmenés par […]

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Le poème du dimanche : ‘‘Plus loin’’ de Jalel El Gharbi

Né en 1958 à Mateur, Jalel El Gharbi est poète, romancier, essayiste et traducteur tunisien.

Ancien professeur de littérature française à la Faculté des Lettres de la Manouba, il est l’auteur d’essais et de travaux sur Baudelaire, Jules Supervielle, Michel Deguy, José Ensch, et d’un roman, En quête d’une ombre.

Vient de paraître de lui, un recueil de poésie, A l’heure du limoncello, suivi de Dialogues du maître aux Ed. Asmodée Edern, en Belgique.

Tahar Bekri

Plus loin vers l’Ouest

Là où les hommes donnent au calame un autre sens

Travaillent la pierre et la peinture autrement

Et apprennent autrement

La rhétorique et la séduction

Mais aiment comme nous

Tu seras l’Est de leur Ouest

Et grandira la part de l’Ouest en toi

Les choses sont plus simples

Comme la chenille n’est pas le ver

Comme la strophe n’est pas le poème

L’autre n’est pas autre

Il y a plus loin que la mer des ténèbres

Plus loin que cette pointe où finit la terre

Une île où ces mots ne veulent plus rien dire

Il y a à l’Est de nos cœurs

Un peu vers l’Ouest de nos âmes

Au plus profond de nous-mêmes

Une île où l’autre est le même.

A l’heure du limoncello, Ed. Asmodée Edern, 2024.

(Remerciements à l’auteur et à l’éditeur)

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Edito: Cohérence

Principal enseignement de l’histoire : la croissance ne se décrète pas. Elle se construit laborieusement, patiemment et savamment. Il faut aller la chercher avec les dents, là où elle est ensevelie et là où elle se trouve. Ici et ailleurs. Exercice difficile s’il en est, dès lors qu’il exige une concordance de temps, de ton et de moyens. Aucun élément des ingrédients matériels, humains, financiers et institutionnels ne doit faire défaut. L’économie tunisienne ne déroge pas à la règle, à ce sacro-saint principe. Mieux : parce qu’elle est le ventre mou de la région à cause d’une croissance atone, victime qu’elle est d’euthanasie précoce, rien ne doit être laissé au hasard. Tout doit concourir pour vaincre la loi de la gravité et soulever la fusée économie, longtemps clouée au sol, en panne ou à l’arrêt. On comprend qu’il faille une très forte poussée coordonnée et synchronisée pour la faire décoller et la placer sur une trajectoire de croissance forte et inclusive.

L’annonce faite au cours de la présentation du budget économique par le chef du gouvernement, Kamel Maddouri, d’un taux de croissance prévisionnel de 3,2% pour 2025 est de nature à mettre du baume au cœur si elle ne paraissait quelque peu déconnectée de la réalité. Elle ne fait pas l’unanimité chez nos économistes, alors même que ce niveau s’inscrit au plus bas de l’échelle de croissance des pays à revenus intermédiaires et émergents. Elle semble même hors de notre portée, au vu de l’état de santé de l’économie tunisienne.

Est-ce à dire qu’il faut s’interdire une telle audace et une telle ambition, du reste à peu de frais ? Bien sûr que non. De toute évidence, il est de bon ton sinon de bonne guerre de placer le curseur de la croissance, comme le fait le chef du gouvernement, plus haut que plus bas. Cette approche ajoute au crédit de l’homme politique, qui fait ainsi la démonstration de son volontarisme et de son attitude conquérante, en osant défier obstacles et contraintes en tout genre. Le pays n’en attend pas moins.

 

Las des difficultés quotidiennes, des conditions de vie qui se dégradent, le moral au plus bas en l’absence de perspectives pour le moins rassurantes, les Tunisiens, toutes catégories confondues, espèrent une éclaircie dans le ciel chargé et brumeux du pays.

 

Las des difficultés quotidiennes, des conditions de vie qui se dégradent, le moral au plus bas en l’absence de perspectives pour le moins rassurantes, les Tunisiens, toutes catégories confondues, espèrent une éclaircie dans le ciel chargé et brumeux du pays. Ils aspirent à pouvoir enfin relever la tête, en même temps que se redresse l’économie en retrouvant les chemins de la croissance et de la prospérité qui nous ont fait tant défaut. Nous avons fini par nous accommoder de la stagnation, de la récession, de la flambée des prix et par nous laisser gagner par une sorte de résignation. Pour autant, il n’y a aucune fatalité à la persistance de la crise économique et sociale.

Le chef du gouvernement est dans son rôle. Son discours a une forte tonalité volontariste. Objectif de croissance: 3,2%, alors que de partout, les oracles nous prédisent des niveaux beaucoup plus bas. Dans la foulée, il dessine à grands traits le périmètre d’un Etat social au cœur du quinquennat présidentiel. Il avance à cet égard tout un train de mesures comme gages de crédibilité à l’effet de simplifier, de faciliter et d’accélérer la finalisation des projets en souffrance. Plus de 1200 projets structurants seraient en rade, à l’arrêt en début ou en fin de parcours, à la destinée aléatoire en raison d’excès de modalités ou de formalités administratives, bref, de tout un maquis bureaucratique pour qui le temps est dépourvu de valeur.

Le discours de Kamel Maddouri a sa propre cohérence, sauf qu’il est quelque peu détaché de la réalité. Il est bâti sur un postulat, sur une série d’hypothèses pour le moins problématiques. A commencer par l’évolution du PIB, largement surestimée. Il y a loin de la coupe aux lèvres. On ne peut tordre le cou à la réalité et considérer avec légèreté les lois de l’économie. Par quel miracle peut-on passer du simple au double sans même se donner les moyens dont on disposait un an plus tôt ? En 2025 (comme en 2024), les taux d’investissement et d’épargne seront au plus bas et il n’y a rien qui laisse présager une quelconque amélioration. L’investissement public, inchangé ou presque, aux alentours de 5 milliards de dinars (MD), moins de 7% du budget, est réduit au rôle de variable d’ajustement. Il ne peut à ce niveau amorcer la pompe de l’investissement privé et étranger.

La fiscalité, devenue confiscatoire et rédhibitoire, se limite à la collecte de l’impôt, au mépris de toute politique d’offre. Elle frappe autant les entreprises locales que les IDE. On n’a pas, à cet égard, besoin de redoutables concurrents pour craindre le risque de décrochage. Les taux d’intérêt sont deux fois plus élevés que ce qu’ils sont au Maroc ou en Europe. Et pour ne rien oublier, la situation des entreprises publiques qui tirent vers le bas ne fait qu’empirer, sans réelle perspective de transformation. Certaines d’entre elles ne font que produire des déficits que rien ne justifie; elles accumulent des dettes et plombent la croissance. Jusqu’à quand et jusqu’où ? Situation peu soutenable, surtout à l’annonce du recul de la zone euro, Allemagne et France en tête, deux de nos principaux partenaires de tout temps. Il n’y a rien de plus facile et de plus direct que la propagation de la crise. Il est vain et illusoire de s’attendre à un appel d’air ou à une bouffée d’oxygène du côté des BRICS, par qui le déficit commercial abyssal arrive.

 

La situation est beaucoup plus complexe qu’elle n’y paraît ou telle qu’elle est décrite. Trop de contraintes subies ou voulues se dressent contre un rebond et un retour à la croissance, aussi modeste soit-elle. Eternel cri de ralliement : libérer l’investissement

 

La situation est beaucoup plus complexe qu’elle n’y paraît ou telle qu’elle est décrite. Trop de contraintes subies ou voulues se dressent contre un rebond et un retour à la croissance, aussi modeste soit-elle. Eternel cri de ralliement : libérer l’investissement. De fait, certains raccourcis s’imposent, sachant que le mieux n’est pas toujours l’ennemi du bien. En boudant le financement extérieur, on réduit notre effort d’investissement et on restreint notre potentiel de croissance, de création de richesse et d’emplois. Sur les 27 milliards de dinars que l’Etat projette d’emprunter en 2025 pour boucler son budget, 21 MDT seront mobilisés localement et donc soustraits du financement de l’économie. A peine 2 milliards d’euros d’emprunts extérieurs. Moins que ce qu’il faut pour régler la facture des importations incompressibles telles que les céréales, les carburants, les viandes, le lait, les médicaments…

Que reste-t-il pour les importations de matières premières et de biens d’investissement nécessaires à la relance de l’activité ? Avec en toile de fond le remboursement du service de la dette extérieure. L’aide internationale, après que le pays a prouvé sa capacité de s’en passer, nous sera d’une grande utilité. Elle nous permettra un gain de temps et un déploiement d’activité sur une plus grande échelle pour fluidifier l’économie et réactiver au plus vite tous les moteurs de la croissance. L’investissement, la consommation et les exportations repartiront de plus belle, aussitôt ouvertes les mannes du financement extérieur auprès des organismes internationaux, des pays et des marchés à des conditions bien meilleures que celles que nous avons subies jusque-là.

Il fut un temps pas très lointain où une croissance à 3,2% relevait plus de l’échec que de l’exploit. Aujourd’hui, au terme d’une décennie peu glorieuse, tout au moins en économie, ce taux est perçu différemment, il est à la fois peu et beaucoup. Reste qu’on peut le porter à des niveaux beaucoup plus élevés au regard de notre énorme potentiel de développement, qui aura, quand même, subi des altérations significatives. La voie est toute tracée : injecter de l’efficacité dans les entreprises publiques, libérer l’investissement du contrôle tatillon et de l’emprise de l’Administration, construire la confiance et nous réconcilier avec les bailleurs de fonds et les marchés financiers.

L’endettement n’a pas que le côté sombre, il a aussi d’immenses vertus quand il est utilisé à bon escient et qu’il contribue à l’effort de développement tout en étant contenu dans des limites tolérables. Vu sous cet angle, il n’est pas en contradiction avec la volonté du « compter-sur-soi ». Le recours à l’emprunt extérieur c’est aussi l’affirmation du droit au développement et d’un réel désir d’aller vite et loin, sur la voie de l’émergence. C’est la manifestation d’une ambition nationale qui n’a rien à voir avec la mendicité.

Pourquoi se priver d’investissements d’avenir à peu de frais qui font sens avec notre attachement à notre souveraineté nationale ? L’Etat social a besoin d’un tel apport. Il en faut beaucoup pour mettre au niveau des standards mondiaux les prestations publiques : infrastructures, hôpitaux, écoles, universités, habitat, transport public et toutes sortes de transferts. C’est la face visible de l’Etat social qui cimente la cohésion et l’union et signifie le rejet de toute forme d’inégalité.

Cet édito est disponible dans le mag de l’Economiste Maghrébin n° 907 du 20 novembre au 4 décembre 2024.

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Southampton – Liverpool : Où et quand regarder le match de Premier League ?

Southampton – Liverpool : Où et quand regarder le match de Premier League ?

Ce dimanche 24 novembre 2024 à 15h, Southampton accueille Liverpool pour le compte de la 12e journée de Premier League. Ce duel opposera le leader incontesté du championnat à la lanterne rouge, dans une confrontation qui s’annonce, sur le papier, déséquilibrée. Une opposition de styles et de dynamique Liverpool domine la Premier League avec 28 […]

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Transport des ouvrières agricoles : 7 décès et 115 blessés depuis janvier 2024

L’association féministe Aswat Nissa a appelé l’État à trouver des solutions radicales et à réglementer le transport des travailleuses du secteur agricole afin de mettre fin aux drames sur les routes.

Le communiqué de l’association survient après deux accidents enregistrés cette semaine, le premier mercredi au Kef et qui a fait 10 blessées parmi les ouvrières agricoles et le deuxième à Sbeïtla (Kasserine) et a fait 17 blessées.

Aswat Nissa estime que ces accidents révèlent la fragilité des conditions de transport des travailleuses du secteur agricole et a par ailleurs pointé du doigt l’absence de réelles solutions de la part des autorités pour assurer la sécurité des ouvrières agricoles.

La même source a par ailleurs rappelé que depuis le début de l’année les accidents ont coûté la vie à 7 ouvrières agricoles et ont également fait 115 blessés.

Y. N.

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Lancement de la 2e phase du programme régional culturel NACP: Une cohorte et des créations 

La phase 2 du programme régional culturel NACP (North Africa Cultural Program) a démarré sur les chapeaux de roues à Tunis, appuyée par la Coopération suisse (Swiss Cooperation Office) et conçue par l’Afac (Arab Fund for Arts and Culture). Une quinzaine d’artistes tunisiens et d’autres issus du Maghreb et du continent africain sont bénéficiaires, à savoir le Sénégal, le Rwanda, le Maroc, l’Algérie, la Libye et d’autres pays…


Ce programme de soutien à la culture alternative et indépendante est une aubaine pour des projets prometteurs, en cours de concrétisation. Il crée aussi l’occasion et le contexte pour tisser des liens entre artistes de différents pays, cible les institutions culturelles arabes et africaines opérant sur le terrain et accompagne des visions artistiques nouvelles, et des projets culturels concrets, à long terme.

Lire l’intégralité de l’article dans notre version papier du 24 novembre 2024

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Tunisie : Lamia Belkaïed Guiga à la tête du Cnci 

C’est officiel l’information vient d’être publiée au Jort : Lamia Guiga est nommée à la tête du Centre national du cinéma et de l‘image.

Lamia Belkaïed Guiga est docteure en sciences de l’information et de la communication de l’Université Paris II, et enseigne l’histoire du cinéma et l’analyse filmique et dirige l’École supérieure de l’audiovisuel et du cinéma (Université de Carthage).

Elle a été membre du jury de plusieurs festivals et déléguée générale en 2017, après avoir été responsable des sections courts métrages et Carthage Ciné Promesses aux JCC 2016. Actuellement, elle est la directrice artistique des JCC.

 

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Séminaire sur « la nouvelle réglementation des chèques à la lumière de la loi n°41-2024 du 2 août 2024»:  Un pas décisif pour renforcer la confiance bancaire en Tunisie

La loi n°41-2024 du 2 août 2024, portant sur la réglementation des chèques en Tunisie, constitue un tournant majeur dans le secteur financier du pays. Face à l’augmentation des chèques sans provision, cette réforme est nécessaire pour sécuriser l’utilisation des chèques, tout en renforçant la transparence.


La Chambre de commerce et d’industrie de Tunis a organisé un séminaire sur « la nouvelle réglementation des chèques à la lumière de la loi n°41-2024 du 2 août 2024 », et ce, le jeudi 21 novembre 2024 à Tunis. Ce séminaire a pour objectifs d’expliquer et de mieux maîtriser cette nouvelle réglementation ainsi que de clarifier tous les dispositifs y afférents.

Dans ce contexte, Oualid Gadhoum, professeur à la Faculté de droit de Sfax et expert indépendant, nous a expliqué lors de son intervention que la promulgation de la loi 41-2024 en date du 2 août 2024 vise à renforcer la sécurité et la fiabilité des transactions par chèque, améliorer les pratiques bancaires, réaliser le développement économique et la justice sociale et régulariser la situation des personnes condamnées ou poursuivies pour émission de chèques sans provision.


Lire l’intégralité de l’article dans notre version papier du 24 novembre 2024

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Comportements déviants chez les enfants: Il y a péril en la demeure

Ces dernières années, des crimes ont été commis par des mineurs, à partir d’affaires pénales qui ont été tantôt médiatisées tantôt passées inaperçues. Ce sujet est d’actualité, en Tunisie, et est très douloureux.


Trois enquêtes nationales réalisées en 2013, 2017 et 2021 par le ministère de la Santé et le groupe de coopération en matière de lutte contre l’abus et le trafic de stupéfiants font état de l’augmentation de cette consommation chez les élèves âgés de 15 à 17 ans. L’enquête de 2021, dont les résultats ont été publiés l’année dernière, a été effectuée auprès de 7.565 élèves scolarisés dans des établissements publics et privés, répartis dans les 24 gouvernorats. D’où l’impératif d’observer ce qui peut conduire à la délinquance juvénile, comment peut-elle être prévenue et comment réhabiliter des mineurs en proie à mille et un dangers ?

Lire l’intégralité de l’article dans notre version papier du 24 novembre 2024

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Biens confisqués : le gouvernement tunisien adopte des mesures pour une gestion efficace

Ce samedi, le chef du gouvernement, Kamel Madouri, a présidé un conseil ministériel restreint consacré au suivi de la gestion des fonds et biens confisqués ou restitués au profit de l’État. La réunion a rassemblé plusieurs ministres, dont Leila Jaffel (Justice), Moustafa El-Farjani (Santé), Sihem Boughdiri Nemssia (Finances), Azeddine Ben Cheikh (Agriculture, Ressources hydrauliques et Pêche), Rachid Amri (Transport), Wajdi El-Hedhili (Domaines de l’État et Affaires foncières) et Sofiane Taqiyya (Tourisme).

Au début des travaux, le chef du gouvernement a rappelé l’importance de mettre en œuvre la vision du Président de la République visant une gestion efficace et durable des biens confisqués. Il a insisté sur l’urgence de préserver et valoriser ces actifs, tout en accélérant les procédures administratives, souvent ralenties par la complexité des démarches et l’absence d’un cadre juridique unifié.

Dans ce cadre, il a appelé à la création d’une base de données complète et actualisée des biens confisqués, permettant leur classification pour une gestion optimisée et transparente. Il a également mis en avant la nécessité d’une coordination renforcée entre les différents comités et structures impliqués, afin d’améliorer la prise de décision et d’augmenter la contribution de ces actifs au développement économique et aux ressources de l’État.

 

Exposé ministériel et recommandations du conseil

Lors de la séance, la ministre des Finances, Sihem Boughdiri Nemssia, a présenté un rapport détaillé sur les aspects juridiques et institutionnels liés à la confiscation des biens. Elle a souligné les résultats obtenus, les difficultés rencontrées et les propositions élaborées à partir des expériences des différents organes publics impliqués.

 

À l’issue des discussions, plusieurs recommandations ont été formulées :

• Amélioration de la performance des biens confisqués : Renforcer la gestion des entreprises et actifs présentant un potentiel économique important afin de maximiser leur rendement au profit de l’État, que ce soit par leur valorisation ou leur cession.

* Inventaire précis et actualisé : Réaliser un recensement exhaustif des biens confisqués et mettre en place un tableau de bord pour faciliter leur classification et une prise de décision rapide.

* Coordination interinstitutionnelle : Assurer une collaboration étroite entre les structures impliquées dans les processus de confiscation et de restitution pour stimuler les revenus de l’État, dynamiser l’investissement et soutenir l’économie nationale.

* Réforme législative : Élaborer un cadre juridique unifié sur la confiscation et la restitution des biens, visant à surmonter les obstacles actuels, combler les lacunes juridiques et garantir une gestion efficace.

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Tunisie – Ouverture des journées théâtrales de carthage: De l’espoir sur fond de guerre ! 

A la Bonbonnière s’est tenue la cérémonie d’ouverture de la 25e édition des Journées théâtrales de Carthage, la scène habillée par des déclinaisons de l’affiche officielle: un quatuor à cordes pour l’hymne national.

Puis la comédienne Saousen Maâleg, de rouge vêtue, prend la scène pour un numéro sympa de chant et de jeu, elle épouse des personnages, évoque des souvenirs, nommé celles et ceux qui ont construit le théâtre tunisien. Saousen Maâleg invite Mounir Argui directeur des j’te. A son tour, il rend à la scène un fervent hommage et rappelle à quel point le théâtre est liberté.
Les jtc sont un festival engagé, rappelle-t-il, un festival qui se range du côté des opprimés, particulièrement cette édition qui se lève contre l’injustice et le génocide.
Puis, les 12 coups du brigadiers annonçant le début d’une semaine intense en programmation.
Shedi Zaqtan était une des belles surprises de cette cérémonie, chanteur, auteur et compositeur palestinien de la scène alternative. Il s’est investi, corps et âme, pour un moment poétique d’une extrême sensibilité.

Puis, l’on a donné à voir un tableau d’une extrême tendresse avec des enfants en hommages à leurs pairs palestiniens.
La cérémonie d’ouverture des jtc a réservé plus d’une surprise au public présent. Sur lesquelles nous reviendrons avec plus de détails dans nos pages culturelles, et des hommages émouvants à plus d’une figure de notre théâtre arabe et tunisien. Pour annoncer vers la fin, le début d’une édition qui s’organise sur fond de guerre. Une édition qui ne peut que traduire à chaque instant toute la solidarité et le soutien  aux peuples palestinien et libanais dans leur lutte pour la survie.

Jusqu’au 30 novembre le tout-Tunis respirera théâtre pour la plus belle des manifestations du 4e Art en Afrique et dans le monde arabe

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Explosion du trafic de cocaïne en Tunisie : 1000 fois plus de cocaïne saisie en dix ans

Explosion du trafic de cocaïne en Tunisie : 1000 fois plus de cocaïne saisie en dix ans

Selon Mohamed Ali Chaïbi, chef de service à la sous-direction de lutte contre les stupéfiants, la quantité de cocaïne saisie en Tunisie a connu une augmentation exponentielle au cours de la dernière décennie, passant de 146 grammes en 2013 à 140 kilogrammes en 2023, soit une multiplication par 1000. Cette évolution alarmante reflète la croissance […]

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Espérance de Tunis : Quatre semaines d’absence pour Yan Sasse

Blessé hier face à l’US Ben Guerdane, le milieu de terrain de l’Espérance sportive de Tunis (EST) Yan Sasse devra s’absenter pendant quatre semaines.

C’est ce qu’a annoncé l’Espérance de Tunis dans la soirée de ce samedi 23 novembre 2024, en précisant dans un communiqué que les examens médicaux ont révélé que Yan Sasse souffre d’une blessure musculaire qui nécessite 4 semaines de repos.

Yan Sasse sera absent à la première rencontre de la phase de poules de la Ligue des Champions africaine attendue mardi.

Y. N.

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Tunisie : Des indicateurs d’amélioration du ravitaillement des marchés en produits de consommation

Le ministère du Commerce et du Développement des exportations a révélé que les indicateurs d’approvisionnement du marché en produits de consommation de base au cours de la période à venir montraient des signes d’amélioration et que cette question nécessite une surveillance attentive pour contrôler les prix afin de protéger le pouvoir d’achat. Ces données ont […]

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