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Ridha Bergaoui: Une petite dose quotidienne d’huile d’olive suffit pour vous sauver la vie

Ridha Bergaoui: Une petite dose quotidienne d’huile d’olive suffit pour vous sauver la vieLa culture de l’olivier en Tunisie remonte à très loin. Le tunisien a été jusqu’à la fin du siècle dernier un grand consommateur d’huile d’olive, utilisée à la fois pour la cuisine, les gâteaux, se soigner et également comme cosmétique pour les soins des cheveux, visage, corps… Pour le Tunisien, l’huile d’olive revêt une valeur symbolique et sentimentale particulière. Elle fait partie de sa culture et de son patrimoine et bénéficie d’une réputation exceptionnelle pour ses bienfaits sur la santé reconnus depuis longtemps.A l’approche de la saison de cueillette des olives, le consommateur s’inquiète pour la disponibilité, le prix de l’huile, de plus ...

Communiqué du Ministère des Affaires étrangères : La Tunisie dénonce fermement le bombardement du Liban et exprime son soutien envers son peuple

 

La Tunisie condamne fermement le bombardement de la capitale libanaise, Beyrouth, par les forces d’occupation sionistes, ce qui constitue un nouveau chapitre des attaques terroristes en cours contre des civils innocents et une atteinte flagrante à la souveraineté du Liban et son peuple, et en violation flagrante de toutes les conventions internationales.

La Tunisie présente ses sincères condoléances aux familles des victimes, ainsi que ses vœux aux blessés d’un rapide rétablissement.

La Tunisie réaffirme sa solidarité avec le Liban frère et son soutien contre toutes les menaces et attaques qui visent la  sécurité et la stabilité du Liban.

La Tunisie tient la communauté internationale et toutes les parties qui soutiennent l’occupant pleinement responsables pour mettre fin à ces attaques répétées contre les pays et les peuples de la région, soulignant l’urgence de mettre un terme à  ces graves violations qui mettent en péril  la paix et la sécurité de la région.

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ARP : Des députés soumettent une proposition de loi pour amender la loi des élections et référendums

 

La commission de législation générale de l’ARP se réunira lundi prochain pour examiner une proposition de loi et auditionner les auteurs de l’initiative, ainsi que les représentants du ministère de la Justice.

Le Bureau de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP), réuni hier, sous la présidence du président du Parlement, Brahim Bouderbala, a examiné une proposition de loi organique portant modification de certains articles de la loi organique n°16 du 26 mai 2014 relative aux élections et aux référendums.

La proposition de loi est présentée par 34 députés représentant divers groupes parlementaires, outre les indépendants, hors-groupe. La proposition de loi a été déposée hier au bureau d’ordre de l’ARP.

Le bureau de l’ARP a soumis la proposition de loi à la commission de la législation générale, avec une demande d’examen en urgence, selon le Parlement.

De son côté, la commission de la législation générale de l’ARP annonce se réunir lundi prochain pour examiner cette proposition de loi et auditionner les auteurs de l’initiative, ainsi que les représentants du ministère de la Justice, selon le site du parlement.

Selon les auteurs, cette initiative législative vise à sauvegarder «l’homogénéité du corps judiciaire», en charge du contentieux électoral de manière à éviter «les inconvénients» de la répartition actuelle (ordre judiciaire, ordre financier et ordre administratif) qui, dans la pratique, a démontré son inefficacité.

Ces députés estiment que leur proposition de loi vient en réponse aux différends et controverses observés en lien avec des décisions prises et des positions déclarées par l’Instance supérieure indépendante des élections et le Tribunal administratif.

Il s’agit, selon eux, d’éviter d’éventuelles crises dans l’avenir et tout danger menaçant le processus électoral.

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Bourse de Tunis-Emprunt obligataire national 2024 : Les lignes de la 3e tranche seront négociables à partir du 23 septembre 2024

 

La loi de finances 2024 prévoit la mobilisation d’une enveloppe globale de 2,87 milliards de dinars, à travers l’émission des quatre tranches de l’emprunt obligataire national pour l’année 2024.

Les lignes de la troisième tranche de l’emprunt obligataire national 2024 seront admises à la cote de la Bourse et négociables à partir du 23 septembre 2024, a annoncé, hier, la Bourse de Tunis.

Le trésor a levé 1 270,7 millions de dinars (MD) pour la troisième tranche de l’emprunt national 2024, dépassant, ainsi, le montant initialement fixé à 700 millions de dinars, soit un taux de réponse de 182%.

Les montants souscrits, lors de la période du 3 au 11 septembre 2024, proviennent des intermédiaires en bourse et des banques avec des taux de souscription respectifs de 69% et 31%, a indiqué, récemment, à l’Agence TAP, le directeur général de Tunisie Clearing, Maher Zouari.

La catégorie B (une durée de remboursement de 7 ans) a permis de mobiliser 679,7 MD, ce qui représente 53,5% du montant global de la troisième tranche de l’emprunt obligataire national pour l’exercice 2024.

Quant aux souscriptions pour une durée de 10 ans (catégorie C), elles ont attiré 590,2 MD, soit 46,4% du total du montant.

Pour rappel, la loi de finances 2024 prévoit la mobilisation d’une enveloppe globale de 2,87 milliards de dinars, à travers l’émission des quatre tranches de l’emprunt obligataire national pour l’année 2024.

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Recrudescence de la violence entre mineurs : Pourquoi nos enfants sont-ils de plus en plus violents ?

 

Le 16 septembre, jour de la rentrée scolaire, deux jeunes garçons ont tabassé à mort un élève devant le lycée de Mégrine. Le lendemain matin, une vidéo choc circule sur les réseaux sociaux, montrant une mère en train d’inciter ses deux petits, inscrits dans un jardin d’enfants, à répondre à la violence par la violence. Frappe contre frappe, morsure contre morsure… !

Il semble que de nos jours la violence est banalisée ! Cependant, on ne parle pas d’actes isolés. Or, il s’agit bel et bien d’un phénomène social qui doit être observé de près. «Je suis encore sous le choc du meurtre de l’élève de Mégrine, lorsque j’ai vu partager sur Facebook la vidéo de la maman qui pousse ses enfants à être violents. Malheureusement, ce discours est adopté par plusieurs mamans. Il vient rompre avec l’image traditionnelle de la mère comme première école d’apprentissage des valeurs sociétales, notamment la tolérance et le respect de l’autre», déclare Dr Mariem Touati, psychologue clinicienne et psychothérapeute de l’enfant et de l’adolescent.

Mère ou père, un modèle !

Et de poursuivre sur sa lancée: «Cette mère inconsciente appelle au désordre. Normalement, nous vivons dans une société basée sur un contrat social, dont la principale valeur est le respect d’autrui. D’après elle, la cour de jardin d’enfants ou de l’école va se transformer en une scène de combat et non un lieu de respect et d’acceptation de la différence d’autrui. Je me demande si son enfant rencontre un enfant plus fort, est-ce que c’est elle qui va intervenir et régler les choses à sa façon».

Elle ajoute que la personnalité de la mère ou du père se reflète dans le comportement de leur enfant. Donc, il faut avoir une attitude positive pour aider son enfant à se forger une personnalité solide capable de se faire respecter sans être obligé de recourir à la violence physique. «Les parents doivent transmettre à l’enfant une image positive de lui-même, ainsi, il développe sainement son estime de soi et sa confiance en lui. Dans cette ambiance saine, il va acquérir des compétences émotionnelles et  sociales qui vont l’aider à avoir un équilibre psychologique et se faire respecter dans l’école et la société», explique Dr Touati.

Et si la famille était démissionnaire !

La responsabilité des parents envers leurs petits ne cesse de croître. Auparavant, dans la famille élargie, grands-parents, tantes, oncles, tous participent à la socialisation et à la bonne éducation de l’enfant. Actuellement, dans la famille nucléaire, les parents sont trop occupés et parfois démissionnaires. Malheureusement, la famille ne joue plus le rôle qui lui incombe ordinairement.

Auparavant, le phénomène de la violence était observé chez les adolescents et les jeunes. Cette violence s’explique par des causes physiologiques. Le changement hormonal rend les adolescents plus violents. A cet âge, l’enfant en quête d’une identité propre à lui adopte certains actes déviants et des méfaits. «Mais, aujourd’hui, la violence est manifeste chez les enfants en bas âge. Les moins de 12 ans sont de plus en plus agressifs. Normalement, cette phase qu’on appelle la phase de latence qui s’étend de 6 à 12 ans se caractérise par une importante diminution des activités pulsionnelles et violentes. A ce stade, l’enfant développe des compétences qui vont lui permettre de s’intégrer dans la société», a-t-elle encore expliqué. Hélas, tout est bouleversé. «Ce qu’on observe aujourd’hui est tout à fait le contraire d’un développement sain de l’enfant. Ce dernier est en train de se débrouiller tout seul. Avec une famille démissionnaire et une école qui a abandonné son rôle d’éducatrice, le petit trouve dans la société virtuelle, notamment les réseaux sociaux, Tik Tok, les jeux vidéo, des exemples à suivre. Ce phénomène s’est développé dans la période de confinement durant le Covid. Des enfants de 6 et 7 ans passaient des nuits blanches accrochés à leurs téléphones. Résultats : troubles de sommeil, une grande frustration qui se transforme en agressivité et des enfants incapables de gérer leur colère», poursuit la psychologue.

La communication de mise

D’après la théorie du psychologue canadien Bandura, l’apprentissage social est basé sur l’observation et l’imitation des comportements, attitudes et émotions des autres. Ainsi, un enfant exposé quotidiennement à des centaines de vidéos et de comportements violents va s’approprier ces comportements. Malheureusement, les délinquants et les vagabonds, qui se montrent sur les réseaux sociaux et dans les feuilletons ramadanesques, sont devenus des idoles pour les petits. «Tout doit être remis en place. Aujourd’hui, les parents sont dans l’obligation d’assumer leurs responsabilités. Ils sont les premiers accompagnateurs de leurs enfants. Ainsi, l’apprentissage des valeurs et de la bonne conduite se fait à la maison et se poursuit à l’école. Les enseignants doivent prendre la relève au sein des établissements scolaires.

Nous savons que le nombre des élèves par classe est énorme et que le travail de l’instituteur devient fatigant, mais il faut sauver cette génération et reconstruire une relation basée sur la confiance entre la famille et l’école. L’élève doit se sentir protégé et respecté dans un lieu où règne la discipline», confie notre psychologue.

D’autre part, la communication verbale est très importante. La gestuelle également. L’enfant doit être accompagné dès son bas âge, afin d’acquérir les compétences nécessaires pour se défendre, sans être forcément violent. Un simple regard, un visage ferme et des mots bien choisis suffisent pour se faire respecter.

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Pourquoi | Remettre en état les infrastructures dégradées

 

Lorsque l’infrastructure ne rime pas avec la pluie, pourtant perçue comme une bénédiction céleste, le quotidien des citoyens se mue en véritable calvaire. Le même scénario se répète inlassablement à chaque région touchée par des précipitations, à l’instar de la ville de Sfax, mercredi, et précisément au niveau des routes Menzel Chaker et de l’Aéroport, et ce, en raison de notre négligence vis-à-vis de l’entretien des égouts et des routes durant la saison estivale. Nous ne tirons jamais les leçons des inondations dévastatrices qui ont frappé diverses régions par le passé. La vie quotidienne ne devrait pas devenir un calvaire simplement parce que quelques gouttes de pluie, tant espérées, viennent à tomber.

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L’Arforghe lance la 11e édition des HR Awards : Pour une gestion optimale des ressources humaines

 

La 11e édition, prévue pour le 29 novembre 2024, s’inscrit dans la continuité des précédentes avec une attention particulière accordée aux enjeux de durabilité et de droits humains. L’événement récompensera les entreprises qui se distinguent par leurs pratiques responsables et leur engagement pour le bien-être de leurs employés.

L’Association des responsables en formation et de gestion des ressources humaines dans les Entreprises (Arforghe) annonce la tenue de la 11e édition des «Human Rights Environmental Awards» (HR Awards) lors d’un point de presse à Tunis. Un événement attendu pour la promotion de l’excellence en gestion des ressources humaines en Tunisie. Organisée en partenariat avec la GIZ–Tunisie dans le cadre de l’initiative «Initiative for Global Solidarity» (IGS), cette édition mettra l’accent sur la diligence raisonnable, le développement durable et le respect des droits de l’Homme.   

Encourager la coopération internationale

La 11e édition, prévue pour le 29 novembre 2024, s’inscrit dans la continuité des précédentes avec une attention particulière accordée aux enjeux de durabilité et de droits de l’homme. L’événement récompensera les entreprises qui se distinguent par leurs pratiques responsables et leur engagement pour le bien-être de leurs employés.

Comme cité dans le communiqué de presse, l’objectif de cette 11e édition est de récompenser les entreprises qui adoptent des pratiques préventives pour assurer la santé, la sécurité et le bien-être de leurs employés, tout en respectant les normes internationales en matière de droits de l’homme et de durabilité. Ce projet encourage une coopération internationale, notamment avec la Tunisie, en mettant l’accent sur la prévention des risques.   

Cette nouvelle édition, organisée avec le soutien de la GIZ–Tunisie et en collaboration avec l’initiative IGS, promet de renforcer la résilience socioéconomique des entreprises en Tunisie, tout en valorisant leurs efforts pour un développement durable et inclusif.

Les entreprises souhaitant participer au «HR Awards 2024» devront soumettre leur candidature via un formulaire en ligne. Un comité d’audit composé d’experts en RH se chargera de visiter les entreprises candidates, d’évaluer leurs pratiques et de sélectionner les lauréats. Les résultats seront annoncés lors de la cérémonie de remise des prix qui se tiendra le 29 novembre 2024.     

Un atout pour l’économie tunisienne     

Florian Garcia, directeur de programme au sein de la GIZ Tunisie, déclare, lors de la rencontre presse autour de «HR Awards», que ce genre d’initiative est un atout et une richesse pour le secteur économique tunisien et ses entreprises et c’est aussi une condition préalable qui permet d’accéder aux marchés européens et internationaux. Il s’agit d’un facteur de compétitivité pour les entreprises tunisiennes. Hatem Bacha, DRH de «Valeo», revient sur l’historique des «HR Awards», qui vise à affiner son réseautage, à rapprocher les personnes travaillant dans les ressources humaines, et à consolider les pratiques des employés au sein des petites et grandes entreprises. Les personnes travaillant dans les RH, en étant en compétition, sortent de leur quotidien et s’innovent.

Créée en 1976, l’Arforghe rassemble des professionnels des ressources humaines issus de divers secteurs d’activité. Depuis plus de 45 ans, l’association œuvre à valoriser la fonction RH dans les entreprises tunisiennes, qu’elles soient publiques ou privées, en plaçant l’humain au centre de la stratégie d’entreprise. Elle mène des initiatives visant à moderniser et à optimiser la gestion des ressources humaines, favorisant ainsi une performance organisationnelle durable. Lancé en 2013, le «HR Awards» récompense les meilleures pratiques RH en Tunisie.        

Au fil des ans, cet événement a évolué, intégrant des catégories variées, allant de la gestion des talents à la digitalisation des ressources humaines. Chaque édition met en lumière les innovations et les stratégies qui placent les collaborateurs au cœur de la croissance des entreprises.

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Express

 

Chambre de Commerce et d’Industrie de Tunis – Adhésion à l’Evbb : Contribuer à la compétitivité internationale des entreprises tunisiennes

La Chambre de commerce et d’industrie de Tunis vient d’annoncer son adhésion, en tant que membre, à l’Association européenne des instituts de formation professionnelle (Evbb).

L’Evbb est une organisation européenne regroupant des associations étatiques, des instituts de formation, ainsi que des prestataires de services de formation aux niveaux national, régional et local. Son objectif principal est de promouvoir et d’améliorer la qualité de la formation professionnelle à travers toute l’Europe.

En rejoignant cette prestigieuse association, la Ccit réaffirme son engagement à renforcer la formation professionnelle en Tunisie, à développer des partenariats internationaux et à offrir des solutions innovantes et adaptées aux besoins des entreprises et des professionnels. Cette adhésion permettra également à la Ccit d’échanger les bonnes pratiques et de bénéficier d’une expertise européenne reconnue dans le domaine de la formation. La Ccit se réjouit de cette nouvelle opportunité qui s’inscrit dans sa mission de contribuer à la compétitivité des entreprises tunisiennes à l’échelle internationale.

«Health awards 2024» : Huit destinations à l’honneur

A l’occasion du sommet mondial du tourisme médical «Health awards 2024» qui se tiendra, le 7 novembre 2024, à Dubaï, une dizaine d’entreprises tunisiennes opérant dans le secteur du tourisme médical, seront distinguées. Initié par la Health Tourism Industry (HTI), une structure para-publique européenne, cet événement comblera de ses honneurs huit destinations d’excellence du tourisme médical, dont la Tunisie, les Emirats arabes unis, la Turquie, la Malaisie, l’Inde, la Thaïlande, Singapour, ainsi que d’autres pays européens.

La participation tunisienne est organisée par la HTI, en partenariat avec la Chambre nationale des entreprises des services de santé (Cness), la Chambre nationale des établissements sanitaires privés (Csnesp) et la Fédération nationale de la santé relevant de l’Union tunisienne de l’industrie, du commerce et de l’artisanat (Utica) avec l’appui du ministère de la Santé.

Le président de la Cness, Ghazi Mejbri, a déclaré, au cours d’une conférence de presse, qu’une dizaine d’opérateurs tunisiens, agissant dans divers maillons de la chaîne de valeur du tourisme médical (cliniques, agences d’intermédiation, plateformes électroniques de télémédecine et sociétés de services…), recevront diverses distinctions. Par ailleurs, Mejbri a également indiqué que les entreprises seront sélectionnées à la faveur d’un appel à candidature par un jury national sur la base de critères précis. 

Abdelkader Boudrigua : «Créer des emplois de qualité dépend d’un taux de croissance respectable»

Abdelkader Boudrigua, le président du Cercle des financiers tunisiens, a précisé, lors d’une intervention radiophonique, que l’économie nationale n’est pas capable de créer des emplois qui peuvent fournir des revenus respectables. Il n’est pas possible d’ambitionner de développer des stratégies financières et économiques lorsque des données fiables et pertinentes ne sont pas disponibles. L’absence d’une estimation du taux de croissance relative au troisième trimestre de l’année en cours est une véritable entrave. Il est, également, impossible d’effectuer un suivi en temps réel des stocks de certains produits à l’instar des pommes de terre.

Selon Boudrigua, «les indicateurs concernant l’investissement ne sont, en fait, que des intentions et non pas des projets réalisés. Il y a, aussi, le problème du stress hydrique qui s’impose comme une grande priorité. Le mode de développement économique adopté actuellement ne permet pas le dépassement des seuils de 2,5 et de 3% de croissance. Or, il n’est pas possible de créer des emplois de qualité si les taux de croissance n’avoisinent pas les 6 et 7%. Le développement ne devrait pas être limité aux régions intérieures, mais devrait également comprendre les grandes villes». 

Abdelkader Boudrigua a fait savoir que les start-up préfèrent s’installer à l’étranger à cause de la législation en vigueur, ce qui est considéré comme une forme de fuite des talents. Il est nécessaire d’encourager les jeunes à entreprendre et il est important de réviser les législations en vigueur à même de les inciter à créer leurs propres entreprises et à adopter le statut de consultant ou de freelancer.

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Les festivals de cinéma : L’espoir d’une nouvelle dynamique

 

Aucun représentant des Journées cinématographiques de Carthage, la plus importante manifestation du cinéma arabo-africain, n’était présent à la rencontre organisée dans le cadre des Jeudis du cinéma à la salle Tahar Cheriaâ (Cité de la culture), par le Groupement professionnel de l’industrie cinématographique de la Conect sur le thème «Spécificité des festivals de cinéma dans la promotion de l’attractivité territoriale».

Cette absence dénote du désintérêt accordé à ce genre de rencontre qui vise à repenser les enjeux et les perspectives des festivals. Pourtant l’un des thèmes inscrit dans le programme concerne «les JCC : Quelle vision stratégique pour l’avenir ?» outre, la cartographie des festivals et le calendrier des manifestations», «les incidences de la Tunisia Film Commission sur l’essor régional» et «la diversité éditoriale selon les particularités locales».

Ceci étant dit, la parole a été donnée en premier à Mehdi Bhouri, trésorier de la Conect, qui a fait un rappel des deux axes stratégiques du grand projet de réforme de l’industrie cinématographique fédérateur pour l’économie, à savoir la carte des festivals et la Tunisia Film Commission sans toutefois être précis ni sur l’un, ni sur l’autre axe.

Pour sa part, Hichem Ben Ammar, réalisateur et porteur du projet Conect avec Mohamed Ali Ben Hamra, président du Gpic, a mis l’accent sur la convention de partenariat avec la ministère du Tourisme sur un projet de communication et d’appui logistique pour la valorisation des régions. Le but consiste à consolider le tissu économique par la création de pôles attractifs ainsi que la régulation et la répartition des festivals dans les régions, et ce,  par rapport à leur spécificité à l’instar du festival du film ouvrier de Menzel Bourguiba qui se tenait le 1er mai de chaque année mais qui a disparu au bout de quelques sessions. Il y a aussi le festival du ciné-musée à Sousse ou encore celui de Douz Doc Days, ce dernier a aussi disparu. L’intervenant a suggéré la mise en place d’une cartographie des festivals qui serait de trois types ; les grandes manifestations internationales, les festivals de taille moyenne et les festivals de proximité.

Noomane Habassi, chargé de la direction du Cnci, a présenté, quant à lui, le programme «Minasset» qui comporte trois projets importants : le ciné-culture, le ciné-festivals et le ciné-écrans. Le ciné-culture consiste à créer des cinéphiles, et ce, avec le concours de la Ftcc et la Ftca. Le ciné-festivals est un projet qui vise la redistribution de la carte des festivals dans les régions. Enfin, le ciné-écrans s’intéresse à la création des salles de cinéma dont le nombre ne dépasse pas actuellement les 25 salles.

La présidente de l’Association Bizerte Cinéma, Saoussen Tabia, a fait savoir que l’Association a été créée en 2011 par un groupe de cinéphiles et qu’elle organise un festival d’auteur et de résistance qui en est à sa 10ème édition mais souffre de problèmes financiers. Malgré les difficultés, l’Association a, quand même, lancé une autre manifestation Tazouart orienté vers la culture Amazigh.

Le Festival International du film de l’enfance et de la jeunesse (Fifej), festival moribond depuis quelques années, créé en 1991 à Sousse, n’a pas organisé de session depuis 4 ans selon le président de l’Association qui l’organise et son ex-directeur Hassen Allilèche. Faute de moyens, ce dernier a fini par céder la direction au cinéaste Anis Lassoued, qui devra résoudre les difficultés financières et trouver les fonds nécessaires pour le réintégrer dans la cartographie des festivals. L’aide allouée par le ministère de la Culture est passée de 90.000 dinars en 1991 à 40 .000 dinars pour tomber à 13.000 dinars.

Le dernier participant Adel Abid, président de la Ftca et directeur du Fifak de Kélibia, a relevé l’absence de diagnostic du secteur cinématographique, insistant sur le renforcement du cadre réglementaire et institutionnel et le développement d’infrastructures cinématographiques ainsi que la création d’un concept de ciné-tourisme tout en tenant compte de l’identité de chaque festival.

Ce diagnostic permettra au Gpic de trouver des solutions adéquates à ces festivals dans un écosystème qui leur donnera une nouvelle impulsion.

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Première édition du festival du court métrage au Bardo : Une vitrine pour un petit format

 

Du 6 au 9 novembre, à Dar el Masrahi, un festival du court métrage aura lieu. Faisant de cet espace un lieu de rencontre pour jeunes créateurs. 

 Le cinéma tunisien s’apprête à accueillir un nouvel événement dédié à la créativité et à l’innovation : «Festival du Court Métrage-Bardo». Organisé par Dar Masrahi du 6 au 10 novembre 2024, ce festival se veut un rendez-vous annuel pour les jeunes réalisateurs, les professionnels de l’industrie et les passionnés de cinéma.

Cette initiative s’inscrit dans une volonté de promouvoir les talents émergents et d’accompagner les jeunes cinéastes dans leurs premiers pas vers une carrière artistique. En offrant une plateforme d’exposition, le festival souhaite créer des opportunités pour ces nouveaux créateurs, tout en permettant au public de découvrir des œuvres inédites. L’accent est mis sur la diffusion de films courts réalisés par des étudiants en cinéma et de jeunes réalisateurs indépendants. Le programme se base sur une compétition  de films de fiction, de documentaires et films d’école, ainsi que des œuvres tournées avec des smartphones, une manière de souligner l’importance des nouveaux moyens de filmage accessibles à tous.

Le festival propose également des moments d’échanges entre le public, les réalisateurs et les professionnels du secteur, avec des débats autour des films projetés. Les jeunes talents auront ainsi l’occasion de se confronter à un public averti, de recevoir des critiques constructives et de renforcer leurs compétences. En parallèle, des ateliers pratiques sur l’écriture de scénarios, la musique de films et la création de vidéos pour les réseaux sociaux seront organisés, offrant aux participants une immersion dans les différentes facettes de la production cinématographique.

À travers cette initiative, Dar el Masrahi espère faire du Bardo un pôle de créativité et un incubateur pour le cinéma tunisien.

Les prix décernés aux meilleurs films permettront de récompenser l’originalité et la qualité des œuvres. Ce festival se positionne ainsi comme un événement culturel destiné à encourager la création cinématographique indépendante et à offrir une visibilité accrue aux jeunes talents du pays.

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Ce soir, première internationale de «Sh’hili» de Habib Ayeb au Rio : Un film essentiel face à l’urgence climatique

 

Le Cinéma Le Rio à Tunis abritera ce soir la première internationale de «Sh’hili» (Sirocco), le nouveau documentaire de Habib Ayeb. Dès 17h00, les spectateurs pourront découvrir cette œuvre qui s’attaque de plein fouet à l’un des enjeux les plus pressants de notre époque: le changement climatique.

Géographe de formation et réalisateur engagé, Habib Ayeb a déjà signé plusieurs films remarqués, dont «Couscous : les graines de la dignité» et «Gabes Labess». Son parcours académique n’est pas en reste : professeur émérite à Paris 8, il a consacré ses recherches à des sujets aussi divers que cruciaux, de la souveraineté alimentaire aux dynamiques de résistance en passant par la marginalité. Avec son tout dernier film documentaire «Sh’hili» (Sirocco en français), Ayeb se lance un nouveau défi : décrypter les rouages du dérèglement climatique tout en pointant les responsabilités. Le film part d’un constat amer, c’est que malgré la profusion de conférences et de publications sur le sujet, les actes concrets tardent à suivre. Pendant ce temps, le thermomètre continue de grimper, les catastrophes naturelles se multiplient, et des crises comme celle du Covid-19 nous rappellent brutalement notre vulnérabilité. Mais «Sh’hili» ne se contente pas de dresser ce tableau noir. A travers son œuvre, il lance un appel plus qu’urgent à la mobilisation et à l’action collective. En effet, le film plaide pour une «justice climatique» et la protection des plus vulnérables face aux bouleversements en cours. On y retrouve la touche de Habib Ayeb, qui a toujours considéré sa caméra comme un outil de sensibilisation et d’éveil des consciences. À l’heure où le changement climatique n’est plus une menace lointaine mais une réalité quotidienne, «Sh’hili» s’impose comme une œuvre incontournable. Rendez-vous, donc, ce soir au Rio pour découvrir cette contribution cinématographique tunisienne à la lutte pour la préservation de notre planète. Le film sera suivi d’un débat qui s’annonce riche en échanges. Un événement incontournable à ne pas rater !

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L’once d’or atteint un prix record de 2 609 dollars

L’or a enregistré le 20 septembre 2024 un prix record d’environ 2 609 dollars l’once, dans la perspective d’une nouvelle baisse des taux d’intérêt américains.

Le prix de l’once d’or a atteint 2.609,74 dollars, deux jours après que la Réserve fédérale a réduit les coûts d’emprunt pour la première fois depuis la propagation de la pandémie de Covid-19 en 2020 et indiqué qu’elle pourrait approuver de nouvelles réductions, selon l’Agence France-Presse (AFP).

Plus tôt dans la journée du vendredi, l’or se situait près de niveaux records et se dirigeait vers des gains hebdomadaires après la réduction significative des taux d’intérêt américains et à la lumière des indications d’autres baisses imminentes à l’horizon. L’or a augmenté dans les transactions instantanées de 0,2%, à 2 592,17 $ l’once et a augmenté d’environ 0,6% depuis le début de la semaine, selon Reuters.

Les prix de l’or ont atteint un niveau record de 2 599,92 dollars mercredi après que la Réserve fédérale (la Banque centrale américaine) a commencé à assouplir sa politique monétaire en réduisant les taux d’intérêt d’un demi-point de pourcentage.

La banque s’attend également à réduire ses taux d’intérêt d’un demi-point de pourcentage supplémentaire d’ici la fin de l’année, d’un point complet l’année prochaine et d’un demi-point supplémentaire en 2026.

“Les tendances actuelles sont très positives pour l’or, et si ces conditions de marché favorables se maintiennent, les prix pourraient atteindre entre 2 600 et 2 800 dollars au cours des 12 prochains mois”, a déclaré Kyle Rodda, analyste des marchés financiers chez Capital.com.

La baisse des taux d’intérêt aux États-Unis et les tensions géopolitiques rendent la détention d’or plus attractive.

“Les prix de l’or devraient bénéficier d’un bon soutien dans les mois à venir en raison de la faiblesse du dollar américain et de la baisse des rendements obligataires, ainsi que dans le contexte de tensions géopolitiques croissantes”, a indiqué BMI dans une note.

Quant aux autres métaux précieux, l’argent a augmenté dans les transactions au comptant d’environ 1%, à 31,09 dollars l’once, et le palladium a augmenté de 0,6%, à 1 086,75 dollars.

Le platine s’est établi à 988,30 $ et a chuté d’environ 0,9% depuis le début de la semaine.

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Mondher Zenaidi critique l’ISIE et menace d’actions légales

Le candidat à l’élection présidentielle, Mondher Zenaidi, exclu à deux reprises par l’Instance supérieure indépendante pour les élections (ISIE) mais réhabilité par le tribunal administratif, a annoncé, dans une vidéo publiée le vendredi 20 septembre 2024, qu’il pourrait engager un recours contre l’ensemble du processus électoral.

Zenaidi a déclaré que si l’Isie refuse d’appliquer les décisions du tribunal administratif, il serait contraint de demander la dissolution de l’instance et d’engager des poursuites contre ses membres. Il a également remis en question la légitimité des élections, estimant qu’il ne pouvait pas participer à un processus qu’il juge falsifié et illégal.

Dans sa déclaration, il a dénoncé les méthodes de l’Isie, qu’il accuse de saper les fondements de l’État et d’entraver la justice administrative. Selon lui, participer à des élections dans de telles conditions reviendrait à cautionner un simulacre d’élections, sans campagne, sans candidats et sans programmes, qui seraient marquées par “la mort, la guerre, les ténèbres et la trahison”.

Zenaidi a exprimé son intention de poursuivre la bataille juridique avec confiance, affirmant que le tribunal administratif restait un rempart solide face à un système cherchant à le discréditer. Il a réitéré que le refus de l’Isie de se plier aux décisions judiciaires mettait en péril la légitimité du processus électoral.

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L’inflation au Maroc a atteint 1,7% sur un an en août

Le Haut-Commissariat au Plan du Maroc a indiqué, vendredi 20 septembre 2024, que le taux d’inflation annuel du Royaume, mesuré par l’indice des prix à la consommation, s’est élevé à 1,7% en août contre 1,3% le mois précédent.

Les prix des produits alimentaires, principal moteur de l’inflation, ont augmenté de 2% par rapport à l’année précédente, contre une augmentation de 1,4% pour l’inflation non alimentaire.

L’inflation sous-jacente, qui exclut les matières premières les plus volatiles, a augmenté de 0,3% sur une base mensuelle et de 2,6% sur une base annuelle.

Il est à noter que le flux net des investissements directs étrangers au Maroc s’est élevé à plus de 13,06 milliards de dirhams (environ 1,3 milliard d’euros), à fin juillet 2024, en hausse de 46,8% par rapport à la même période de l’année dernière.

L’Office marocain des changes a confirmé, dans son dernier bulletin sur les indicateurs mensuels des changes, que les revenus issus de ces investissements ont enregistré une croissance de 9,5%, à plus de 22,23 milliards de dirhams (un peu plus de 2 milliards d’euros), tandis que les dépenses ont enregistré une baisse de 19,6%, à 9,16 milliards de dirhams.

Le bureau ajoute que l’afflux net des investissements directs marocains à l’étranger s’est élevé à 741 millions de dirhams (ou 68,7 millions d’euros), notant que les recettes (ventes de ces investissements) ont augmenté de 6,2%, à 9,77 milliards de dirhams, tandis que les dépenses ont diminué de 35,5%, à 10,51 milliards de dirhams.

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Réouverture des inscriptions en ligne pour les classes préparatoires à partir du 24 septembre courant

Les ministères de l’éducation, de la famille, de la femme, des séniors et des affaires religieuses ont annoncé la réouverture des inscriptions en ligne pour les classes préparatoires au titre de l’année scolaire 2024-2025 et ce, à partir de mardi 24 septembre courant. Dans un communiqué conjoint, ces ministères ont souligné que cette mesure concerne […]

Campagne agricole 2024/2025 : Mise en place d’une ligne de financement auprès de la BTS au profit des céréaliers

Une ligne de financement a été mise en place auprès de la Banque tunisienne de solidarité (BTS) pour permettre aux producteurs de céréales d’obtenir des prêts saisonniers directement ou à travers les sociétés coopératives centrales ou de base auxquelles ils sont affiliés, pour l’achat des intrants de production nécessaires à la campagne agricole 2024/2025, a […]

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