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Masters ATP: Sinner bat Fritz

Le N.1 mondial Jannik Sinner a été bousculé par l'Américain Taylor Fritz (5e), avant d'enchaîner une deuxième victoire 6-4, 6-4 dans les Masters ATP,

© Mosaique FM

Masters ATP: Sinner bat Fritz

Influenceurs et créateurs de contenu : 15 millions de dinars de recettes fiscales en Tunisie

Lors de la session plénière parlementaire du 12 novembre 2024, la ministre des Finances, Sihem Boughdiri Nemssia, a révélé de nouvelles avancées en matière de collecte de revenus fiscaux, particulièrement auprès des influenceurs et créateurs de contenu.

Le ministère a mis en place une cellule dédiée à la surveillance des activités non déclarées, se concentrant notamment sur les acteurs actifs des réseaux sociaux. Cette initiative a permis de recueillir plus de 15 millions de dinars de recettes fiscales provenant de cette catégorie de professionnels.

En outre, une nouvelle application a été lancée pour générer automatiquement des notifications aux contribuables n’ayant pas soumis leurs déclarations fiscales. À ce jour, environ 45.000 notifications ont été envoyées dans le cadre de cette initiative visant à renforcer la transparence fiscale.

La ministre a également souligné le succès de la mise en œuvre du système d’échange international d’informations, qui a rapporté au trésor public plus de 11 millions de dinars.

Et d’ajouter que ces actions s’inscrivent dans une stratégie plus large visant à régulariser et à optimiser les revenus fiscaux, notamment dans les secteurs en pleine expansion tels que celui du contenu en ligne.

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Tunisie – Météo : Légère hausse des températures 

Mercredi 13 novembre 2024, la Tunisie connaîtra un temps partiellement nuageux couvrant l’ensemble du pays. Selon l’Institut national de la météorologie, les vents souffleront du sud-ouest, se montrant relativement forts à proximité des côtes nord, mais restant faibles à modérés dans les autres régions.

La mer sera particulièrement agitée dans le nord, avec des vagues élevées près des côtes. Elle sera toutefois agitée à peu agitée le long des autres rivages.

En ce qui concerne les températures, une légère hausse est prévue. Les maximales oscilleront entre 19 et 23 degrés dans les régions nord et centre, tandis qu’elles avoisineront 17 degrés dans les hauteurs de l’ouest. Dans le sud, les températures maximales devraient se situer entre 22 et 26 degrés. Ces prévisions témoignent d’une météo relativement stable, malgré des vents parfois soutenus et une mer perturbée, en particulier au nord du pays.

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Météo: baisse des températures pour 13 novembre 2024

L’Institut national de météorologie (INM) prévoit un temps partiellement nuageux sur l’ensemble du pays ce mercredi 13 novembre 2024. Les températures seront en légère hausse, avec des maximales comprises entre 19 et 23 degrés sur le nord et le centre, autour de 17 degrés dans les hauts plateaux de l’ouest, et entre 22 et 26 degrés sur les régions du sud.

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Une circulaire du chef du gouvernement définit les missions des gouverneurs

Kamel Maddouri, chef du gouvernement, a émis une circulaire à l’adresse des gouverneurs, le 6 novembre 2024, dans laquelle il définit leurs missions et leur demande « de redoubler d’efforts pour offrir de meilleurs services aux citoyens, stimuler le rythme du développement dans les régions, identifier les obstacles et œuvrer à leur trouver des solutions appropriées ».

Il les a aussi incités « à veiller à une gestion efficace, tant dans l’exécution et le suivi que dans l’évaluation des missions et des prérogatives qui leur sont confiées, en vertu de l’ordonnance n° 457 de 1989, relative à la délégation de certaines compétences des membres du gouvernement aux gouverneurs, ainsi que des compétences originales qui leur reviennent ».

Publiée par la présidence du gouvernement, ce mardi 12 novembre 2024, ladite Cette circulaire « s’inscrit dans la mise en œuvre des politiques et des programmes définis, notamment ceux visant à soutenir le rôle social de l’État, améliorer les performances des services publics, garantir leur qualité, renforcer l’attraction des investissements dans les régions et stimuler le développement régional ».

Cette circulaire invite les gouverneurs à « garantir le bon fonctionnement des services publics, assurer la continuité de leurs prestations avec la qualité requise, inciter les responsables à mieux être à l’écoute des préoccupations des citoyens et à répondre pleinement à leurs demandes », tout en renforçant « les actions de suivi, d’évaluation et de contrôle et en signalant toute forme de négligence ou de manquement pour y remédier, conformément à la législation et aux réglementations en vigueur ».

En outre, ils sont chargés « de coordonner, avec les services régionaux et centraux compétents, pour renforcer la protection des biens de l’État contre toutes formes d’atteintes et d’exploitation illégales, notamment les terres agricoles, en appliquant les mécanismes juridiques disponibles pour prévenir ces pratiques, dans le cadre de la loi ».

Parmi leurs missions, ils doivent, également, « veiller à la mise en œuvre efficace des régulations concernant l’assainissement et la préservation de l’environnement, en assurant une coopération et une coordination optimales entre les municipalités, les services centraux et régionaux des ministères et institutions publiques concernés et en luttant contre toute forme de pollution, en réprimant les violations et en garantissant l’entretien des bâtiments et des espaces environnants, ainsi que le respect du drapeau tunisien, symbole de la souveraineté et en veillant à la propreté et à l’entretien des espaces verts et des jardins publics, tout en intensifiant les actions de nettoyage, de maintenance et de soins ».

Et ce n’est pas tout, puis que les gouverneurs sont appelés à « suivre de près l’avancement des projets publics dans les délais fixés, à résoudre les difficultés rencontrées dans le cadre des comités régionaux, créés conformément à la législation et aux réglementations en vigueur, à renforcer le rôle des comités régionaux de suivi de l’évolution des prix, à garantir un approvisionnement régulier, à lutter contre la contrebande, le monopole, les commerces, informel et parallèle, ainsi qu’à assurer la qualité des produits alimentaires ».

Enfin, « les gouverneurs doivent envoyer des rapports quotidiens à la présidence du gouvernement sur les besoins essentiels des citoyens, ainsi qu’une liste mensuelle des projets d’investissement et de développement publics et privés rencontrant des difficultés d’exécution, leur niveau d’avancement et les propositions pour les résoudre », précise la circulaire de la présidence du gouvernement.

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DOSSIER SPECIAL (III) – Trump et le Maghreb : entre défis et opportunités dans un monde reconfiguré

La présidence de Donald Trump, marquée par son style de gouvernance non conventionnel et son approche centrée sur les intérêts américains, aurait des répercussions significatives sur les relations internationales et sur les pays du Maghreb, dont la Tunisie.

Dans un contexte global marqué par les rivalités géopolitiques, les tensions commerciales et une polarisation accrue, les choix de politique étrangère de Trump pourraient introduire des incertitudes. Tout en offrant des opportunités de repositionnement stratégique pour les pays maghrébins.

 

ZOOM 3 – Troisième incertitude : immigration et sécurité… des politiques plus restrictives

Les politiques migratoires et sécuritaires adoptées sous la présidence de Donald Trump ont marqué une volonté claire de restriction, avec un renforcement de la surveillance des frontières et un resserrement des conditions d’accès aux États-Unis pour certaines catégories de migrants.

Dans ce contexte, les pays du Maghreb se trouvent à la croisée des enjeux migratoires et sécuritaires. Avec des impacts potentiels tant pour leurs diasporas aux États-Unis que pour leur coopération en matière de sécurité.

 

  • Effets des restrictions sur l’immigration et l’impact sur les diasporas maghrébines

La présidence de Trump a introduit une série de mesures visant à limiter l’immigration aux États-Unis, avec une forte attention portée aux migrations en provenance de pays considérés comme des sources de risques potentiels pour la sécurité nationale.

Les diasporas maghrébines, constituées en majorité de communautés marocaines, algériennes et tunisiennes, pourraient faire face à des restrictions accrues pour les demandes de visas de travail, de regroupement familial ou même de visas étudiants. Ces restrictions risquent de réduire les opportunités de mobilité pour les Maghrébins. Ce qui pourrait affaiblir les liens économiques et culturels entre les diasporas et leurs pays d’origine.

Pour de nombreux Maghrébins, les États-Unis représentent une destination pour des opportunités académiques et professionnelles. Et ce, notamment dans des secteurs comme la technologie, l’ingénierie et les sciences. Cependant, des mesures restrictives pourraient freiner la participation des étudiants et des jeunes professionnels aux programmes d’échanges académiques ou de stages, réduisant ainsi le transfert de connaissances et d’expertise vers les pays du Maghreb.

La fermeture de certaines portes pourrait également limiter l’apport de fonds par les diasporas maghrébines vers leurs familles restées au pays. Ce qui aurait un effet indirect sur l’économie locale.

 

  • Effets de la priorité accordée à la sécurité et à la lutte contre le terrorisme

La politique de sécurité de l’administration Trump a fait de la lutte contre le terrorisme une priorité stratégique, renforçant les pressions sur les pays partenaires, y compris ceux d’Afrique du Nord, pour intensifier leur coopération sécuritaire. Cette priorité pourrait se traduire par des demandes accrues de la part des États-Unis pour que les pays du Maghreb renforcent leurs dispositifs de sécurité intérieure. Et ce, notamment en matière de contrôle aux frontières, de partage de renseignements et de surveillance des flux migratoires.

Toutefois, malgré l’intensification de la coopération en matière de sécurité, les pays du Maghreb pourraient ne pas recevoir en retour un soutien financier ou technologique significatif. En d’autres termes, ils seraient encouragés à augmenter leurs efforts dans la lutte contre le terrorisme, sans pour autant obtenir les moyens nécessaires pour renforcer leur infrastructure sécuritaire. Ce manque de soutien pourrait aggraver la pression économique et logistique sur les gouvernements du Maghreb. Surtout si ces mesures de sécurité exigent des investissements considérables.

 

  • Effets des conséquences pour les relations bilatérales et la stabilité régionale**

L’absence de soutien financier ou technologique substantiel dans le cadre de la coopération sécuritaire pourrait mettre à mal les relations bilatérales entre les États-Unis et les pays du Maghreb. Ces derniers pourraient percevoir la coopération sécuritaire comme un engagement unilatéral, dans lequel ils assument les coûts opérationnels sans bénéficier des avantages de ressources ou de formation.

À long terme, ce déséquilibre pourrait affaiblir la stabilité régionale. Car les États du Maghreb seraient contraints de détourner des ressources de projets de développement vers des programmes sécuritaires. Et ce, au détriment des investissements dans les infrastructures, la santé ou l’éducation.

Par ailleurs, une pression sécuritaire accrue pourrait exacerber la surveillance des populations locales et engendrer des tensions internes, en particulier si des politiques de contrôle et de répression sont mal perçues par les citoyens.

Dans un contexte social souvent fragile, ces mesures pourraient générer des sentiments de frustration et d’injustice, affectant la confiance envers les gouvernements locaux.

 

  • Effets des répercussions sociales et perte de capital humain

Les politiques restrictives de Trump en matière d’immigration affectent également le capital humain du Maghreb.

De nombreux talents maghrébins, qui pourraient contribuer à des secteurs clés aux États-Unis ou y acquérir des compétences avancées avant de retourner dans leurs pays d’origine, pourraient voir leurs parcours compromis.

La limitation des échanges académiques et professionnels réduit les perspectives pour les jeunes générations et affaiblit la compétitivité des pays maghrébins, en freinant l’accès aux connaissances technologiques de pointe et aux réseaux internationaux.

Dans un monde globalisé, ces restrictions se traduisent par une forme d’isolement intellectuel, qui pourrait compromettre la capacité des pays maghrébins à rester compétitifs sur le marché international.

En privant les jeunes talents d’opportunités de développement à l’étranger, les États-Unis risquent de couper un lien essentiel entre les diasporas et leurs pays d’origine. Avec des conséquences de long terme pour le développement humain de la région.

 

En définitive, les politiques migratoires et sécuritaires restrictives de l’administration Trump posent des défis majeurs pour le Maghreb.

En limitant les opportunités de mobilité pour les diasporas et en exigeant une coopération sécuritaire sans soutien financier accru, ces mesures risquent d’affaiblir les relations bilatérales, de réduire le capital humain et d’accroître les pressions internes dans les pays du Maghreb.

Dans ce contexte, les gouvernements maghrébins devront naviguer avec prudence pour équilibrer leur engagement sécuritaire avec la protection de leurs intérêts économiques et sociaux. Tout en cherchant des partenariats alternatifs pour pallier les restrictions imposées.

 

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OSSIER SPECIAL (II) – Trump et le Maghreb : entre défis et opportunités dans un monde reconfiguré

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* Dr. Tahar EL ALMI,

Economiste-Economètre.

Ancien Enseignant-Chercheur à l’ISG-TUNIS,

Psd-Fondateur de l’Institut Africain

D’Economie Financière (IAEF-ONG)

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Appel à rassemblement à Paris pour les libertés en Tunisie

Le Comité pour le respect des libertés et des droits de l’homme en Tunisie (CRLDHT) organise un rassemblement à Paris pour la défense des libertés et des droits humains en Tunisie.

L’association franco-tunisienne a lancé un appel où elle invite les militants des libertés et des droits humains en Tunisie à «unir leurs voix pour exiger la libération des détenu·e·s politiques et d’opinion, la liberté de la presse, l’abrogation des lois liberticides (décret 54), l’indépendance de la justice, la justice sociale et un État de droit».

Le rassemblement est fixé pour le 15 novembre 2024, la Place Joachim-Du-Bellay, Fontaine des Innocents, Paris  75001, Métro Châtelet (Lignes 1, 4, 7, 11, 14).

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‘‘Zarî‘at Iblīs’’, roman de Nesrine Meddeb, traduit en français

L’autrice Nesrine Meddeb célèbre aujourd’hui un accomplissement majeur : la publication en français de son roman ‘‘Zarî‘at Iblīs’’ (‘‘La semence du diable’’, 2024), rendue possible grâce à la collaboration de partenaires passionnés et talentueux.

Djamal Guettala

Ce projet, qu’elle qualifie elle-même de «rêve devenu réalité», est le fruit d’un travail collectif réalisé en partenariat avec Arcadia Editions et son directeur, Walid Ahmed Ferchichi, romancier lui-même, dont le soutien indéfectible a permis de porter cette œuvre à un nouveau public.

Au cœur de cette adaptation se trouve le travail méticuleux de Karim Gammoudy, chargé de la traduction. En retranscrivant toute la richesse et la subtilité de l’ouvrage original, le traducteur a su respecter l’essence et le rythme de l’œuvre, au point que Nesrine Meddeb qualifie sa traduction de «véritable œuvre d’art». «Karim a su saisir l’âme du texte et offrir aux lecteurs francophones une expérience de lecture aussi fidèle qu’envoûtante», confie l’autrice, exprimant toute sa gratitude pour le travail accompli.

La préface de l’ouvrage a été confiée à l’écrivaine Wafa Ghorbel, dont le texte empreint d’émotion souligne toute la profondeur de ‘‘Zarî‘at Iblīs’’. Forte de son attachement au projet, Mme Ghorbel a apporté un soutien précieux, contribuant à valoriser le message universel de l’œuvre.

«J’espère que cette version française saura toucher de nouveaux lecteurs et éveiller en eux la même curiosité et fascination que celles qui m’ont inspirée en écrivant ce livre», confie Nesrine Meddeb, qui se dit fière de partager cette aventure avec des professionnels passionnés. Elle conclut en remerciant tous ceux qui l’ont soutenue depuis le début de son parcours et qui continuent de croire en son travail, des soutiens qu’elle considère comme une source de motivation et d’inspiration constante.

Avec cette version française de ‘‘Zarî‘at Iblīs’’, Nesrine Meddeb aspire à élargir encore l’audience de son œuvre, convaincue que cette nouvelle aventure littéraire saura émouvoir et captiver un large public.

Le titre du roman, ‘‘Zarî‘at Iblīs’’ ou «graine du diable» est une expression populaire souvent utilisée par les Tunisiens, y compris certaines Tunisiennes, pour désigner la femme en général et établir un lien entre elle et le diable.

N’est-ce pas Eve qui a incité Adam à manger le fruit interdit et qui a causé sa chute, selon la mythologie religieuse responsable de la déchéance de la condition féminine durant les siècles de décadence, et pas seulement dans le monde musulman ?

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Kamel Maddouri adresse une circulaire aux gouverneurs

La présidence du gouvernement a publié, mardi 12 novembre 2024, une circulaire adressée aux gouverneurs, les appelant à lui fournir des rapports quotidiens sur l'approvisionnement des différents besoins du citoyen ainsi qu'une liste mensuelle sur les projets d'investissement en cours de réalisation, leur avancement et les solutions proposées aux difficultés qu'ils peuvent rencontrer.
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