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Ligue 1 – 26e journée – UST : À quitte ou double

13. April 2025 um 11:35

Pour les Tataouinis, le match contre les redoutables Usémistes n’autorise pas à prendre trop de risques devant, mais l’UST est condamnée à sortir le grand jeu et à gagner pour entretenir l’espoir du maintien.

Aujourd’hui, l’UST n’a d’autres choix que de jouer l’attaque car même un match nul ne ferait pas les affaires des « Lions du Sahara». La mobilisation est donc très forte pour le match d’aujourd’hui entre l’UST et l’USM. Match de vérité, match de la saison,  match de la survie en Ligue 1 sont les principaux slogans qu’on entend. Une campagne de vente de tickets a été lancée au milieu de la semaine juste après le match des seizièmes de finale contre le Club Africain.  Elle a déjà porté ses fruits avec des prévisions pour une affluence record et un grand soutien du public pour cette rencontre contre les Bleus. 

L’entraîneur Sami Gafsi ne peut bien entendu que se réjouir d’une telle affluence annoncée. «Nous avons besoin de notre public dans cette rencontre que nous devons remporter coûte que coûte pour rester en course jusqu’à la fin dans l’optique du maintien, affirme-t-il. Cette pression que ne manqueront pas d’exercer nos supporters sur les joueurs sera positive. Elle les forcera à donner le meilleur d’eux-mêmes, à livrer cette bataille pour être les premiers sur tous les ballons et être constamment présents et forts dans les duels. 

Dans un match à enjeu aussi crucial, ce sont les ressources physiques et mentales qui font la plupart du temps la différence. Nous sommes prêts, bien préparés et outillés sur ce plan pour rivaliser avec notre redoutable et prestigieux adversaire du jour». 

Retour du trio de base de l’équipe

Sami Gafsi a pris toutes les précautions nécessaires pour ménager physiquement son groupe dans le match des seizièmes de finale contre le CA qui a précédé cette partie à quitte ou double contre l’USM. Trois joueurs-clés de son dispositif ont été absents contre les «Rouge et Blanc» pour purger une sanction de trois avertissements.  

Le gardien Slim Rebaî, qui a cédé son poste à son suppléant Yassine Bguir, sera dans les buts pour faire face au raz de marée des Usémistes qui ne vont pas y aller de main morte pour tenter d’engranger les trois points qui les garderont en tête du classement. Dans le compartiment offensif, Wahid Tymy et Zied Ounalli, qui ont beaucoup manqué à l’attaque des Tataouinis dans le match de Coupe, effectueront leur retour pour former avec Hosni Guezmir le trio de fer de lance de l’attaque de l’UST sur qui reposera l’espoir de sceller le sort d’un match dont le résultat déterminera les chances des «Bleu et Rouge» d’échapper au purgatoire. 

Car pour les quatre matches qui resteront à disputer après cette confrontation avec l’USM, les Lions du Sahara joueront trois fois à l’extérieur (Zarzis, Soliman et Métlaoui) et une seule fois à domicile (ST). Autant dire que la victoire pour Sami Gafsi et ses protégés est aujourd’hui impérative. 

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Ligue 1 – 26e journée – CSS : En pensant à la Coupe

12. April 2025 um 10:50

Répétition pressentie pour le CSS au Bardo avant les huitièmes de coupe contre l’USBG.

Septièmes au classement général avec 36 points, et 7 points de retard sur leurs adversaires bardolais, les Clubistes Sfaxiens ne seront pas sous forte pression pour ce match, sans réel enjeu pour eux, sauf  concernant l’envie de grimper davantage vers le haut du tableau, même si logiquement ils ne peuvent pas espérer mieux que cette place où ils sont actuellement positionnés.

Toutefois,  cette partie à l’extérieur avec le ST sera une occasion pour mieux peaufiner les automatismes au sein d’une formation et un dispositif rectifiés et remodelés durant la trêve par l’entraîneur Lassâad Dridi. 

L’amalgame des « Noir et Blanc » entre joueurs chevronnés et jeunes talents doués qui a donné satisfaction dans le match de coupe contre l’équipe divisionnaire de Hammam Zriba a besoin d’être rodé pour les prochains matches, avec comme premier objectif: être fin prêt pour la dure confrontation des huitièmes de finale de la coupe de Tunisie contre l’USBG à Ben Guerdane. Sur ce, la nouvelle formule en défense avec Ahmed Ajjel côté droit, Mohamed Nasraoui et Mohamed Amine Ben Ali dans l’axe et Hichem Baccar à gauche est une garantie défensive devant le portier Aymen Dahmen. 

Fabien sur le couloir gauche

Ce faisant, le retour des joueurs étrangers, après avoir été absents en match de coupe, ne sera pas un casse-tête pour Lassâad Dridi qui n’aura qu’à opérer deux seuls changements dans son onze de départ recomposé. Moussa Bella Konté ou Traoré est un duo utile pour un meilleur travail de récupération et de fermeture des espaces au milieu de terrain.

Et Fabien Winley est pressenti pour retrouver l’aile gauche de l’attaque où il a brillé et s’est montré plus performant. Avec Mohamed Dhaoui, enfin en verve sur le côté droit, et Omar Ben Ali, qui s’est illustré comme fer de lance et a retrouvé son sens du but, le CSS est en mesure de faire bonne figure au Bardo et de convoiter même les trois points du succès. Ce serait l’idéal pour le moral en cette fin de saison avec l’espoir d’une montée sur le podium en coupe de Tunisie qui ferait oublier un parcours cahotant en championnat. 

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Après les verdicts controversés et contestés de la Commission nationale d’appel : Le gros piège…

11. April 2025 um 19:10

On espérait une sortie facile du trou, mais, au contraire, on est tombé dans un gouffre sans issue.

L’image restée de cette interminable soirée de mardi dernier et qui résume et illustre fidèlement l’embarras du président et des membres de cette commission est leur sortie de cette réunion décisive sur la pointe des pieds, par une porte dérobée. Pour fuir les quelques journalistes présents dans la salle qui attendaient pour leur demander des explications et des clarifications ou pour ne pas croiser les quelques responsables de clubs qui se seraient estimés lésés et qui allaient exprimer leur désapprobation et même leur indignation ? Quand on annonce de cette façon des verdicts aussi importants sur des dossiers aussi brûlants qui vont chambarder tout le classement, on ne doit pas être surpris de ces flots de critiques qui ont plu.

Certains n’ont pas hésité à parler « d’anguille sous roche » et de décisions qui ont foulé de plain pied les textes en vigueur en attendant leur amendement après la fin de la saison. Tout ça dans le seul objectif de faire revenir au premier plan le mérite sportif, les résultats acquis sur le terrain et de redonner de la crédibilité à un championnat dont l’image a été ternie par ces nombreuses victoires sur le tapis.

« Et de se poser cette question inévitable : pourquoi Moez Nasri, maintenant président de la Fédération, n’a pas eu ce même « courage » d’assumer les décisions des organes juridictionnels prises avec sa bénédiction, que quand il a annoncé lui-même, en plein jour devant caméras et micros en tant que président de la Commission nationale d’appel à l’époque, le rejet et l’avortement des listes candidates aux élections du Bureau fédéral des mois de mars et de mai 2024 ? 

Imprudence fatale 

Si on est arrivé à ce tollé quasi général avec trois clubs (le CA, l’ASG et EGSG) qui ont rejeté les verdicts qui les concernent et qui ont décidé d’aller au TAS, c’est parce que ce Bureau fédéral n’a pas été trop soucieux d’éviter le conflit d’intérêts en choisissant « les siens» dans les différentes commissions juridiques, alors qu’elles devaient être équilibrées et composées de juristes neutres et compétents pour que ce cirque de prise de décision par vote ne fasse pas autant délier les langues.

Le président de la Commission nationale d’appel, Ridha Sellami, était un équipier et premier adjoint de Moez Nasri dans ce même organe juridictionnel. Il est tout à fait normal qu’on élabore les scénarios les plus fous et qu’on réclame la dissolution de cette commission désignée « sur mesure » qui, au lieu d’apaiser le paysage sportif, l’a plutôt embrasé. 

Des avocats qui ont mis de l’huile sur le feu 

Il faut reconnaître aussi que depuis que des avocats de droit commun se sont introduits dans le monde sportif, les choses ont empiré et les débats juridiques, auparavant sereins et mesurés, sont devenus assez bouillonnants et envenimés. Quand un soi-disant expert dans les règlements sportifs comme Anis Ben Mime lit et interprète les articles 46 et 53 du Code disciplinaire à l’envers pour justifier la restitution des 4 points à son client l’ASS et le retrait des deux points accordés en première instance au CA suite à sa réclamation formulée contre l’USBG, on ne peut que se taper la tête contre le mur.

Cet avocat aurait dû se montrer plus courtois en évitant de demander dans une émission radio aux autres juristes d’apprendre à lire le français, car il est tombé lui-même dans le piège de la confusion entre ces deux articles 46 et 53 qui sont bien distincts l’un de l’autre et parlent de deux cas de figure différents.

L’article 46 évoque le cas du dirigeant passible d’une amende de 20.000 DT au cas où il serait présent sur l’aire de jeu ainsi que dans ses abords immédiats ou prenant place sur le banc de touche, sans avoir (phrase et condition-clés) « purgé intégralement sa sanction d’interdiction de banc ».

Amende qui doit être payée avant le prochain match sous peine que son équipe perde le match par pénalité en cas de réclamation du club adverse. L’article 53 évoque, lui, le cas du dirigeant qui « a purgé l’intégralité de sa sanction d’interdiction de banc mais qui demeure suspendu en cas de non-acquittement de l’amende qui lui a été infligée ».

Aucun lien entre les deux articles. L’article 46 ne s’applique pas à ce cas de figure complètement différent et les réclamations sur la base de l’article 53 par le Club Africain contre le dirigeant de l’USBG, Aymen Chandoul, et de cette même USBG et de l’ASG contre un dirigeant administratif ou technique de l’ASS, qui ont purgé l’intégralité de leur sanction d’interdiction de banc sans que leurs clubs respectifs ne se soient acquittés de l’amende, auraient dû aboutir.

Si on respecte les règlements à la lettre, on aurait dû voir la confirmation en appel de la perte des matches par pénalité des deux clubs fautifs, l’USBG et l’ASS, comme décidé par une lecture juste des deux articles dans le verdict de première instance.

La Commission nationale d’appel, de laquelle on espérait une sortie de l’impasse juridique sans dégâts, a, au contraire, enfoncé plus le couteau dans la plaie et fait que la crédibilité du championnat soit plus que jamais remise en question. Avec toutes les conséquences et retombées néfastes possibles pour l’année prochaine où nous aurons à préparer et à disputer la Coupe d’Afrique et la Coupe du monde.

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Décisions nocturnes de la commission nationale d’appel : Justice sous pression 

10. April 2025 um 18:50

Les gros dégâts provoqués par les décisions de la Commission nationale d’appel étaient prévisibles. Elles sont loin de calmer le jeu mais vont plutôt attiser encore plus le feu.  

Nous avons eu raison dans ces mêmes colonnes du lundi 7 avril, un jour avant les verdicts très attendus et donnés tard dans la soirée du mardi 8 avril, de poser la question si la Commission nationale d’appel, «mise entre le marteau et l’enclume, ne va pas céder, sous la pression et la crainte de discréditer la compétition, de trancher en faveur des résultats acquis sur le terrain quitte à ne pas respecter à la lettre les textes et règlements en vigueur».

Les verdicts de la Commission ont confirmé que cette option a été choisie non pas par pure conviction, mais parce que c’était la meilleure porte de sortie de cette impasse juridique sans précédent par son ampleur sur le classement du haut comme sur le bas du tableau. On ne peut qu’être stupéfait par le grand chambardement,  que ces verdicts tirés par les cheveux par la voie d’un vote qui n’a pas fait l’unanimité, a engendré.

On a retiré au CA les deux points accordés en première instance au détriment de l’USBG. Une décision qui, tout en gardant les «Rouge et Blanc» à la troisième place, a fait que leur retard sur les deux premiers, l’USM et L’EST, est maintenant de trois points. Cette fois, ce n’est pas Hamed Mbarek qui est monté au créneau pour tirer à boulets rouges sur le Bureau Fédéral (il a retenu la leçon après l’amende de 15.000 dinars dont il a écopé), mais c’est une partie du public clubiste qui a été envoyée pour manifester devant le siège de la Fédération. 

EGSG-ESS à rejouer

Dans l’affaire ESS-EGSG, la Commission a décidé : ni vainqueur ni vaincu. Le match sera rejoué pour «erreur administrative» de la part de la Commission du Statut des joueurs qui a procédé au renouvellement de la licence du joueur guinéen Alkhaly Bangoura, alors qu’il était encore en litige avec El Gawafel. Pour le bas du tableau,  c’est l’AS Soliman qui s’en est bien tiré avec la récupération des quatre précieux points enlevés.

Revenu à la 11e place avec 23 points, il est maintenant bien à l’abri de la descente aux enfers et de la relégation. L’USBG a perdu les trois points obtenus sur le tapis devant l’ASS, mais le fait d’avoir récupéré son point devant le CA a tempéré sa colère pour revenir à 21 points. Ses chances de maintien sont toujours réelles.

Le grand perdant dans les verdicts du mardi, c’est la Zliza de Gabès qui s’est retrouvée de nouveau dans une position très délicate avec 18 points. Seul un miracle pourrait lui éviter le purgatoire. Surtout qu’El Gawafel de Gafsa a une chance de s’octroyer 3 points en or dans le match à rejouer contre l’Etoile. Pourquoi en est-on  arrivé à tout ce gâchis qui remet en question la crédibilité du championnat ?

Les textes en vigueur bourrés de pièges sont-ils les seuls coupables ? Ou ces dirigeants incapables d’en faire une bonne lecture et une meilleure interprétation ? Ou ces organes juridictionnels composés d’hommes qui ne sont pas exempts de tout reproche et qui, par leurs décisions contestables, ont fait souffler le chaud et le froid et envenimé le climat avec une fin de saison qui s’annonce sous haute tension ? Trop tard pour désigner le vrai coupable. Le mal est déjà fait. 

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USBG – Khcharem s’en va : Afouen Gharbi pour lui succéder 

09. April 2025 um 19:40

Départ surprenant de Khcharem qui a préféré rejoindre le championnat libyen.
Gharbi serait là pour le suppléer.

Sans dire au revoir, sans souhaiter à ses joueurs bonne chance pour les cinq matches restants en championnat, Jamel Khcharem à quitté dans la nuit de dimanche lundi la ville de Ben Guerdane  après le match de Coupe des seizièmes de finale et la qualification en huitièmes aux dépens du CAB.

Direction la Libye et précisément le Club d’El Ittihad Al- Misraty SC où un contrat juteux lui a été proposé. Le président du club, Fethi Hlel, a été le premier pris de court et fortement surpris par la nouvelle du départ de Khcharem en qui il avait placé toute sa confiance pour mener jusqu’à son terme l’opération sauvetage des «Jaune et Noir». «Il avait carte blanche et était payé rubis sur l’ongle, a précisé Fethi Hlel. Il n’avait aucun prétexte pour partir de cette manière. C’est une rupture unilatérale de son contrat moral avec nous avant de parler de contrat écrit. 

Dommage, le mot n’est pas assez fort pour qualifier notre étonnement et nos regrets». L’USBG a connu le même scénario que celui réservé il y a quelques mois par  Chiheb Ellili à l’ASG. Un entraîneur qui part à la sauvette, sans même donner un simple coup de fil, est un comportement indigne dans un championnat professionnel. «Nous allons entamer les procédures pour saisir la Commission fédérale des litiges nationaux pour exiger réparation du grave préjudice que nous avons subi», a ajouté Fethi Hlel. Même si les contrats types entre clubs et entraîneurs tunisiens ne vont pas au-delà de l’équivalent de trois salaires mensuels à payer par le Club ou à restituer par l’entraîneur en cas de rupture unilatérale par l’une ou l’autre des deux parties.  

Pistes abandonnées      

Une bien maigre consolation qui n’est pas de nature à stopper ce genre de pratique. Après Fakhreddine Galbi limogé le 11 novembre 2024, le divorce à l’amiable avec Mohamed Ali Mâalej le 8 février 2025 et le départ de Jamel Khcharem le 7 avril, Fethi Hlel a entamé une course contre la montre pour trouver un successeur. Les deux pistes Ramzi Jarmoud (partant pour le Bahreïn) et Nidhal Khiari (sous contrat avec l’ES Jerba), ont été abandonnées. L’entraîneur disponible pour le moment et le plus pressenti demeure Afouen Gharbi. Il prendrait les manettes du club après le match contre l’Etoile du samedi 12 avril.   

Le CSS se qualifie aisément en coupe de Tunisie : Du baume au cœur…

08. April 2025 um 18:30

Le large succès sur l’équipe de Hammam Zriba a conforté la confiance et redonné de la vivacité au jeu des joueurs sfaxiens.

L’Union Sportive de Hammam Zriba , un club amateur de la Ligue 3 Niveau 2 ( 4ème Division), n’avait  pas les moyens de rivaliser avec le CSS et de bousculer la hiérarchie. Il a fait bonne figure dans un match à armes inégales durant la première demi-heure de jeu avant de craquer et de laisser la voie libre à son adversaire du jour.

Son coach a avoué que les trois tours préliminaires les ont aguerris, mais les ont beaucoup usés sur le plan physique. L’entraîneur sfaxien, Lassaâd Dridi, a salué, lui, cette équipe de Hammam Zriba pour son courage et son abnégation et ajouté qu’elle n’a pas à rougir de sa défaite : «Nous avons mis plus de 30 minutes pour trouver nos marques et asseoir notre jeu, a-t-il concédé. Il nous fallait un premier but pour nous libérer et dès que Firas Sekkouhi a ouvert le score, mes protégés se sont déchaînés et ont fait valoir leur suprématie. Ils se sont livrés à une belle répétition avant notre match du 12 avril contre le ST à Tunis. Je ne peux que m’en réjouir. Nous nous sommes bel et bien remis sur orbite pour faire une bonne fin de saison». 

Le grand mérite de Omar Ben Ali 

Si la note a été très lourde pour l’équipe locale avec 5 buts encaissés, c’est parce que le CSS a trouvé en Omar Ben Ali un chasseur de buts efficace. Ni Amen Allah Haboubi, ni Hazem Haj Hassen, ni Rubin Hepaj, utilisés à tour de rôle par l’entraîneur partant Alexandre Santos comme numéros 9, n’ont donné satisfaction. Il fallait pour Lassaâd Dridi tenter autre chose et trouver le bon avant-centre qui a le sens du but. La piste Omar Ben Ali était la bonne. Son «super Hat- Trick» a confirmé ses qualités de fauve de la surface de réparation.  «Ça montre bien que ce joueur de moins de 20 ans est en train de progresser et de monter en puissance.

Et que je peux compter sur lui pour mieux concrétiser notre travail offensif  surtout avec la présence de bons derniers passeurs comme Firas Sekkouhi, Mohamed Absi, Youssef Becha, Mohamed Aziz Sekrafy, Mohamed Amine Aïdi et Mohamed Mahdi Kachouri. Le problème d’efficacité devant les buts est en voie de résolution. C’est un excellent indice avant la reprise du championnat et pour les autres tours  de la Coupe de Tunisie où nous devons aller jusqu’au bout pour sauver notre saison». Le match contre le ST donnera les premières confirmations, avec le retour des joueurs étrangers, du probable renouveau de l’équipe sfaxienne qui se porte mieux en défense, avec plus de créativité au milieu de terrain et moins de déchets  dans le travail de finition. 

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