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Equipe nationale – Deux victoires méritées sur la route du mondial : Une chance à saisir 

01. April 2025 um 17:05

L’entame de match réussie et la victoire à Monrovia et le pressing haut, qui a donné le succès sur le Malawi, ont donné les prémices d’un possible changement de l’identité de jeu de la sélection. A Sami Trabelsi d’apposer son empreinte dans ce changement.

La Presse — Quand on s’arrête sur le résultat du match Tunisie – Malawi et à cette victoire par deux buts à zéro qui vaut une position de leader du Groupe H, on ne peut qu’être rassuré et confiant pour les quatre matches restants surtout avec cet écart de 4 points sur la Namibie. Sans doute l’adversaire le plus dangereux qui reste aux trousses et dans le rétroviseur de Sami Trabelsi et de ses joueurs.  Mais pour ne pas dormir sur nos lauriers en croyant que ce billet pour la 7e participation à  la Coupe du monde est quasiment dans la poche, il faudra travailler plus durant le temps qui nous sépare du sprint final des mois de septembre et d’octobre prochains pour atteindre l’objectif attendu .

Pour autant, Sami Trabelsi ne doit pas fustiger ces éternels insatisfaits qui n’ont pas apprécié une première mi-temps laborieuse face au Malawi qui s’est bien défendu avec un bloc bas très serré et qui s’est montré fort dangereux dans la transition rapide. Ces critiques, pas très appréciées pour leur véracité, sont utiles tout de même dans le sens où elles incitent le sélectionneur national à corriger les lacunes que la victoire des cinq dernières minutes ne doit pas cacher.  Ceci pour faire mieux et pour convaincre ces sceptiques qu’il est en mesure de faire progresser le jeu de l’équipe au fil des matches. Sami Trabelsi aurait tort d’être rassasié par les six points arrachés et de se limiter au constat que le plus dur et l’essentiel ont été faits. «Un bon entraîneur est celui qui doute en permanence et qui se remet en question à chaque match», ne cesse de conseiller un technicien et analyste aussi chevronné comme Arsène Wenger. Il ne suffit pas d’être plus proche des joueurs, de faire revenir la bonne ambiance dans les vestiaires, pour s’en tirer avec succès. Sami Trabelsi est devant l’obligation d’accorder également plus d’importance au volet tactique de son travail à la tête de la sélection, d’améliorer la gestion de son effectif et l’identité de jeu de l’équipe. Si ses correctifs de la deuxième mi-temps contre le Malawi ont été payants, ce n’est pas pour autant une garantie pour que ça réussisse à tous les coups et face à d’autres adversaires moins naïfs. L’équipe de Tunisie n’a pris le match à bras le corps que quand elle s’est trouvée en supériorité numérique après le carton rouge écopé par un joueur pion du milieu des «Flames» à la 64 ‘ qui a déréglé tout leur dispositif.

Un exercice dur mais  utile

Le premier enseignement à tirer de cette victoire éprouvante est cette difficulté toujours face à ces blocs bas. La dure épreuve passée, avant de trouver la faille pour inscrire le premier but libérateur par Seïfeddine Jaziri et conforter cet acquis par un deuxième but salvateur de Elyès Achouri, montre bien que le schéma de jeu de départ en 4 – 1 – 4 – 1 (quand Anis Ben Slimane a joué sur la même ligne avec Naïm Sliti côté droit , Hannibal Mejbri et Elyès Achouri côté gauche) puis en 4 – 2 – 3 – 1 en phase de repli avec recul d’un cran de Ben Slimane ou de Mejbri pour soutenir Aïssa Laïdouni dans son rôle de ratisseur, indique bien qu’on a encore des problèmes de libération d’espaces. C’est le 4 – 3 – 3 adopté avec Saifallah Ltaïef bien étiré sur le couloir droit comme ailier de débordement et de percussion qui a donné cet équilibre au compartiment offensif qui n’avait plus à opter seulement pour le tandem du côté gauche Abdi-Achouri. C’est dans ce même système de jeu qu’on a découvert que Hannibal Mejbri, dans un profil de milieu régisseur qui joue court et rapide, peut distiller les meilleurs ballons et fournir les bonnes passes  aux attaquants de couloirs. De plus, une pointe comme Seïfeddine Jaziri n’a pas perdu ses qualités de chasseur de buts qui sent le jeu dans la surface pour être dans le timing exact et dans le positionnement idéal. C’est sur cette bonne seconde mi-temps contre le Malawi qu’il faudra se baser pour construire une assise de jeu qui nous permettra de surmonter des adversaires plus cotés que le Libéria et le Malawi. Les quatre matches restants dans ces éliminatoires, surtout contre le Libéria et la Namibie au Stade de Radès,  doivent être une répétition de cet exercice de football d’attaque qui nous sera indispensable pour aller le plus loin possible dans la CAN marocaine. Et en même temps pour réaliser ce rêve de passer au second tour, objectif derrière lequel nous courons depuis notre première qualification en phase finale de Coupe du monde en 1978. On n’en est pas encore là, mais Sami Trabelsi doit continuer dans cette voie même encore timide de changer, voire de révolutionner le jeu de l’équipe.

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Prêts pour l’épreuve de vérité : Dernier virage pour la Zliza

30. März 2025 um 21:00

Les Gabésiens ont mis les bouchées doubles durant la trêve pour bien négocier et réussir leur fin de parcours.

 La Zliza de Gabès vient d’engager l’entraîneur Tarek Jarraya pour les cinq derniers matches et le dernier virage décisif du championnat. Sa venue a coïncidé avec une remontée du Carrelage à la 13e place avec 20 points après la réclamation contre l’AS Soliman qui lui a permis de gagner deux précieux points sur le tapis. 

« Certes, cet acquis inespéré n’est pas encore définitif pour crier victoire avant le verdict en appel, affirme le nouveau coach des Gabésiens. C’est pourquoi nous devons attendre d’en avoir le cœur net le 8 avril pour savoir ce qui nous attend et bien calculer nos chances de maintien. Mais même avec l’hypothèse que ces deux points seront confirmés, on est loin d’être à l’abri avec les 20 points actuels. Nous avons donc beaucoup à bosser pour réaliser l’objectif maintien ». 

Des matches couperets

la Zliza a disputé deux matches amicaux durant la trêve qui se sont soldés par deux nuls (1 à 1 contre l’équipe voisine de Téboulbou de Gabès et 0-0 contre le SRS ) . « Nous avons choisi deux équipes de division inférieure pour travailler plus les  automatismes et éviter les blessures, poursuit le nouveau coach des Rouge et Noir de Gabès. 

Le match des seizièmes de finale contre Jendouba sera une répétition avant les trois matches à domicile face à l’ESZ, la JSO et le CA, coupés par deux déplacements à haut risque chez les deux concurrents directs pour le maintien, l’USBG et EGSG. Ce sont ces cinq matches de vérité qui sont pour nous plus importants, car ils décideront de notre sort en Ligue 1»

Le CSS ne s’en remet pas : La sonnette d’alarme de nouveau !

28. März 2025 um 20:30

La crise financière est de retour dans le camp des « Noir et Blanc ».
Cette fois plus aiguë et plus embarrassante.

 Le 15 février 2025, un nouveau comité de direction provisoire présidé par Mahdi Frikha a pris les commandes du CSS pour une mission de trois mois. Si Mahdi Frikha et son premier bras droit, Thameur Fendri, savaient que cette mission est à haut risque, ils n’ont saisi sa sensibilité qu’après un mois passé à faire l’état des lieux.

Les résultats auxquels ils sont parvenus ne sont guère encourageants et pas du tout rassurants. Sur le plan financier, la situation est plus qu’alarmante. Elle est critique et n’écarte pas le retour à la case départ : une crise financière qui sera cette fois plus longue et plus aigüe et qui ne sera pas facile à résoudre. Les chiffres donnés après ce diagnostic rapide sont inquiétants. Le club a besoin dans les mois à venir de plus de 14 millions de dinars pour éviter le naufrage financier et sportif.

Selon M Thameur Fendri, les 3 chiffres qui inquiètent le plus concernent les arriérés des rémunérations des joueurs (salaires et primes) dont certains remontent à la saison 2022 / 2023 s’élevant à 3,750 millions de dinars, les dettes envers créanciers, fournisseurs et Cnss qui avoisinent les 3,5 millions de dinars et enfin les litiges à régulariser dans les plus brefs délais qui ont franchi la barre de 6,750 millions de dinars dont 640 mille dinars pour les litiges nationaux.

Un tel endettement, même réparti sur des échéances espacées, est vraiment colossal et ce n’est pas un comité d’urgence pour 3 mois qui va en venir à bout. En avouant qu’il n’est pas venu avec une baguette magique pour effacer toute cette monstrueuse ardoise, Mahdi Frikha a voulu tirer la sonnette d’alarme sur les risques encourus suite à ce casse-tête financier. Ses craintes n’ont pas d’ailleurs tardé à se confirmer.

Après une courte période de grâce, les premiers signes de mécontentement des joueurs ont commencé à refaire surface. Après une préparation en apparence calme durant la trêve ( le feu couvait sous les cendres ) et deux matches amicaux contre une équipe de division inférieure, le Croissant Sportif de Badr El Ain (victoire par 5 buts à 0 dont quatre inscrits par Amor Ben Ali), puis face à  un gros morceau l’ESZ ( défaite par 1 but à 0 ), les joueurs sont entrés en grève et la troisième rencontre programmée mercredi avec l’Astre Sportif de Agareb a été annulée.

Heureusement que le tirage au sort de la Coupe de Tunisie pour les seizièmes de finale des 5 et 6 avril a offert un adversaire moins fort (l’Union Sportive de Hammam Zriba) et que l’entraîneur Lassâad Dridi a encore le temps pour se  préparer à la reprise du championnat avec un match contre un adversaire de grand calibre, le ST, au Bardo le 12 avril.    

Répit jusqu’à quand ? 

Mise dos au mur, entre le marteau et l’enclume (payer les échéances de paiement du staff technique portugais limogé et des joueurs étrangers Pedro Sá et Rubin Hebaj ou honorer une partie des engagements avec les joueurs grévistes), la direction provisoire du club a opté pour la deuxième solution jugée plus urgente. Les joueurs, pas tout à fait satisfaits des avances faites mais résignés, ont repris les entraînements hier avec une double séance, l’une durant la journée et l’autre en nocturne après la rupture du jeûne. Ce n’est qu’un petit répit dans un long et pénible chemin qui va être long et harassant. Tout cela ne va pas faciliter la venue d’un nouveau comité directeur élu pour le 15 mai, date de la fin du mandat du comité provisoire de Mahdi Frikha plus que jamais décidé  de léguer le lourd fardeau à quelqu’un d’autre.

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Eliminatoires mondial 2026 – L’équipe de Tunisie l’emporte sur le fil contre le Malawi : Récompensés de leurs efforts

26. März 2025 um 21:20

Vainqueurs du Malawi par deux buts inscrits en fin de match, les équipiers de Mejbri ne peuvent que se réjouir d’avoir empoché  trois points aussi précieux dans leur conquête d’un 7e billet pour le Mondial.

 Les matches les plus passionnants sont ceux qui livrent leur verdict dans les derniers instants. Et le plus beau dans le football, c’est la finition, l’efficacité et les buts. La mission des hommes de Sami Trabelsi était d’engranger les trois points pour creuser un peu plus l’écart avec la Namibie qui en a perdu deux en se faisant accrocher chez elle par la Guinée équatoriale. En forçant le verrou du Malawi dans les quatre dernières minutes d’un duel acharné, les Tunisiens ont accompli le plus important et enchaîné avec un deuxième succès après celui de Monrovia contre le Liberia.

Avec quatre bonnes longueurs d’avance sur les Namibiens, deuxièmes du Groupe H et six sur les Libériens troisièmes, c’est un avantage sécurisant mais pas encore déterminant. Néanmoins, l’équipe de Tunisie est de plus en plus favorite pour obtenir son billet pour la Coupe du monde 2026. 

Une première mi -temps pas bien rassurante 

Les protégés de Sami Trabelsi, qui ont fait le plus difficile à Monrovia en trouvant le chemin du but dès la quatrième minute de jeu, n’ont pas eu la même bonne entame de match. Face à une équipe visiteuse quadrillant à la perfection sa moitié de terrain, les Tunisiens ont été à court d’imagination et d’arguments offensifs pour contourner le bloc hermétique des « Flames » du Malawi.

Avec un jeu trop latéral et pas très bien étiré sur le côté droit où Naïm Sliti, mal soutenu par Mahmoud Ghorbel, n’a pas été très à l’aise dans la percussion, il n’ y pas eu cet équilibre avec le couloir gauche Abdi-Achouri plus entreprenant et plus percutant. Un déséquilibre dans le dispositif qui n’a pas donné cette variété dans le jeu pour créer beaucoup d’espaces et des occasions de but assez nettes. On a eu même chaud à la fin de cette première période avec une occasion en or pour le Malawi, très rapide dans la transition, qui a failli nous coûter un but contre le cours du jeu sans ce bon réflexe du gardien Aymen Dahmen, la barre transversale, et Montasser Talbi sur la ligne. 

Une seconde période à sens unique  

Averti, Sami Trabelsi a fait deux correctifs dans le dispositif. Le premier à la mi-temps avec l’incorporation de Saifallah Ltaïef injustement sacrifié. Replacé au milieu comme soutien derrière l’attaquant de pointe, Naïm Sliti a laissé le côté droit pour le virevoltant et insaisissable ailier de Twenty. Saifallah Ltaïef a multiplié les percées rapides, les courses folles et les alertes sur ce flanc pour la défense adverse.

On a eu affaire à un véritable combat à sens unique attaque-défense. Les occasions sont venues, mais il y a eu ce déchet, cette précipitation dans la touche finale comme ce tir à bout portant de Sliti stoppé avec difficulté par le gardien William (54’). On pensait, dans cette course contre la montre, à un  deuxième attaquant de pointe.

Mais Sami Trabelsi a vu autrement en faisant sortir Hazem Mastouri, qui a occasionné les pertes de duels et qui n’a pas été lucide dans la finition, pour utiliser le joker Seïfeddine Jaziri. Un joueur qui s’est avéré idéal pour son entraîneur en trouvant cette faille inespérée à quatre minutes de la fin.

Un but qui a soulagé joueurs sur le terrain, staff sur le banc et tout le public tunisien qui y ont cru jusqu’au bout et n’ont pas désespéré. Un but qui a donné aussi des ailes à l’infatigable Ali Abdi pour obtenir un penalty dans la foulée et permettre à son partenaire du couloir gauche Elyès Achouri de le transformer imparablement en deuxième but (90 + 2). Tout n’a pas été rose et parfait dans ce match avec des ajustements à opérer. Mais cette fin de match attrayante et cette récompense sur le fil méritent d’être saluées et savourées pendant ces cinq mois qui nous séparent de la reprise de ces éliminatoires. 

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UST : Craintes et espoirs

25. März 2025 um 20:50

Relégués à la dernière place, avec un calendrier loin d’être rassurant pour les cinq matches restants, les Lions du Sahara sont sur des charbons ardents.

A Tataouine, même si l’UST n’est pas concernée directement par ces affaires de réclamations et les verdicts qui ont chambardé le classement dans le bas du tableau, on est quand même inquiets pour les cinq matches déterminants qui restent à disputer. «Cinq matches de coupe où tout faux pas est interdit, affirme Sami Gafsi. Mon équipe a besoin au minimum de 9 points pour espérer assurer son maintien sur le fil. Et le pire, ça pourrait être insuffisant. La Commission nationale d’appel pourrait redistribuer de nouveau les cartes et on aurait affaire à un autre classement.

Autant dire qu’il nous faudra essayer de faire le plein de points dans les cinq matches à venir et attendre.

Ce sera une épreuve très dure pour le staff comme pour les joueurs».
Avec trois matches en déplacement (Zarzis, Soliman et Métlaoui) et deux rencontres au Stade Néjib Khattab (USM et ST), la mission est tellement délicate. «Des matches couperets dans tous les sens du terme, poursuit Sami Gafsi. Il va nous falloir d’abord battre cette redoutable équipe monastirienne invaincue depuis des semaines. Et qui viendra pour continuer sa belle série d’invincibilité et tenter de grappiller les trois points. L’autre match qui nous fait peur, c’est ce quitte ou double à Soliman où l’équipe locale ne va pas faire dans la dentelle pour ne plus lâcher le moindre point afin de compenser les 4 points perdus sur le tapis. Si on perd ces deux confrontations chocs, on pourra dire qu’on est grillé. Un seul match nul dans les trois matches pièges contre des équipes comme l’ESZ, le ST et l’ESM qui ont moins de pression sur les épaules nous coûtera la capitulation. Ce serait dommage après tous les efforts que nous avons déployés et tous les précieux points que nous avons réussis à empocher. Quand j’ai pris les commandes de l’équipe de Tataouine, elle n’avait que 7 points au compteur.

Maintenant nous avons 18 points. Le progrès est énorme. C’est la défaite contre El Gawafel de Gafsa qui me reste en travers de la gorge. Ces trois points gâchés bêtement pourraient être fatals. Espérons que je n’aurais pas à regretter cet accident de parcours à un moment crucial du championnat».

L’entraîneur Sami Gafsi y croit quand même malgré le peu de chances qui restent et le peu de cartes à jouer. Beaucoup plus que la direction du club qui semble avoir déjà capitulé avec la démission du président Akrema Wadhen dans un moment aussi crucial. C’est le président d’honneur du club, Mokhtar Lassoued, qui a été désigné par les autorités de la région pour réussir ce qui apparaît comme une mission impossible avec une crise financière qui est loin d’être arrivée à son terme.

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