A la mémoire de notre très cher mari et père
Moncef BALTI
Il y a quelque chose de plus fort que la mort, c’est la présence des absents dans la mémoire des vivants.
Triste fut et sera à jamais le 06/01/2000 jour fatidique où tu nous as tragiquement quittés, laissant un vide profond et douloureux et une blessure incurable dans nos cœurs, ce vide infiniment immense et que nul ne saura combler nous donne le sentiment que rien ne sera comme avant. Ce ne sont ni les mois, ni les années qui pourront altérer l’affection que nous te portons, car «les personnes ne meurent pas quand on les enterre, elles meurent quand on les oublie», et toi, il nous est impossible de t’oublier.
Tu nous manques, on te pleure, mais comment l’admettre, que c’est cruel et dur.
Tu étais le meilleur : grand par le cœur, pétri de gentillesse et capable de toutes les générosités. Un être exceptionnel.
Tu nous as tant aimés, tant gâtés que personne ne pourra te remplacer. Nous parlons toujours de toi et ton prénom continue à être la plus belle de nos citations. Notre seule consolation est que tu sois dans un monde meilleur.
Que tous ceux qui t’ont aimé et pas oublié aient une pieuse pensée pour toi et récitent la Fatiha à ta mémoire.
Ta femme Leïla, tes enfants Belhassen, Myriam, Kaïs et Brahim et tes petits-enfants Eya, Moncef et Aïcha qui ne cesseront jamais de t’aimer et qui ne t’oublieront jamais
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