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Gestern — 17. Dezember 2024Haupt-Feeds

Coupe de la CAF – Le CSS perd son troisième match d’affilée : Pas seulement l’arbitre…

17. Dezember 2024 um 13:00

On peut faire tous les reproches à cet arbitre qui a faussé le match et engendré tous les incidents regrettables et condamnables avec les mots les plus vifs, il faudrait reconnaître aussi que le CSS aurait pu rentrer avec ce point du moindre bien.

On s’attendait à un sursaut rageur des Sfaxiens devant Simba Sports, à un résultat positif qui ferait du bien à l’équipe, à son staff technique et renforcerait les chances de qualification. Mais même s’il y a eu une bonne riposte et une moins mauvaise mine  par rapport au match contre Bravos do Maquis, le résultat final a été une nouvelle fois décevant avec une défaite dans les ultimes secondes des arrêts de jeu que l’arbitre malgache Andofetra Rakotojaona a prolongés jusqu’à 9 minutes, jusqu’à ce que le club tanzanien marque son but d’une victoire inespérée. On peut faire tous les reproches à cet arbitre qui a faussé le match et engendré tous les incidents regrettables et condamnables avec les mots les plus vifs, notamment la violence exacerbée du public local qui s’en est pris aux joueurs et aux quelques supporters sfaxiens choqués et abasourdis par cet arbitrage maison qui les a privés d’un point du nul pour lequel Aymen Dahmen et ses coéquipiers se sont bien battus, mais il faudrait reconnaître aussi que le CSS aurait pu rentrer avec ce point du moindre bien malgré tout ce climat de la peur dans lequel il a joué ce match de sa survie en Coupe de la CAF.  Le CSS a fait le plus difficile dans un match à enjeu très crucial : ouvrir très rapidement le score par Hazem Haj Hassen (3‘). Ce but était la clé du gain de ce match tellement il a mis les « Noir et Blanc » dans une position confortable et les joueurs de Simba Sports sous forte pression. Mais le but égalisateur trop rapide lui aussi de Kibu Denis (7’) va éteindre cette flamme et cette entrée pimpante et flamboyante dans le match et va faire revenir le coach Alexandre Santos à ses réflexes défensifs avec un recul qui va s’avérer fatal en fin de match.

Santos a joué avec le feu

En laissant son adversaire dominer carrément la partie et jouer très à l’aise dans la relance du jeu à partir du milieu de terrain avec le monopole de la possession du ballon (entre 75 et 80 pour cent ), le technicien portugais a joué avec le feu. Il fallait des ressources physiques et mentales énormes aux Sfaxiens pour pouvoir résister aussi longtemps à ce pressing haut auquel ils ont été contraints plus par la stratégie défaillante de leur entraîneur que par la suprématie de leur adversaire.

Durant le dernier quart d’heure, ce repli défensif a été total et sur le banc de touche, le staff technique n’arrêtait pas de consulter son chrono et de compter les minutes pour faire éclater sa joie et savourer le point du nul pas encore atteint. Mais c’était oublier que le vrai chrono était à la main de l’arbitre, seul décideur de la fin du match. Le dernier coup de rein offert par l’arbitre malgache aux joueurs de Simba va leur être salutaire. Le même joueur Kibu Denis qui les a fait revenir dans la rencontre va leur offrir le but de la victoire et de la délivrance par un nouveau coup de tête très chanceux ( 90’+ 9 ).

Alexandre Santos ne pouvait que constater,  pantois et assommé, le résultat du style et de l’identité d’un jeu ultra réaliste et contre nature qu’il a imposé au CSS qui, auparavant, rayonnait en Afrique grâce à la vocation offensive de son dispositif et à la richesse et la variété de son compartiment d’attaque. En rentrant avec zéro point de ces deux déplacements africains, le CSS est logiquement écarté de la course et quasiment éliminé.  Seul un exploit miraculeux,  avec 3 victoires par plus d’un but d’écart sur ce même Simba et sur Bravos do Maquis au match retour et sur le CS Constantine en déplacement, pourrait le tirer d’affaire et le qualifier. Avant de rêver à pareil scénario, il va falloir régler avant le problème assez épineux de faire partir Alexandre Santos, premier responsable de cette déboire du CSS en Coupe de la CAF et de tous ses maux.

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Trio d’arbitres étrangers pour le derby EST-CA : Une porte qui ne se refermera jamais !

16. Dezember 2024 um 17:15

La course effrénée entre grands clubs derrière le résultat est de retour.

On a tant parlé ces derniers jours des liens d’amitié assez forts qui lient les deux présidents de l’Espérance Sportive de Tunis et du Club Africain, Hamdi Meddeb et Haykel Dkhil, via des entretiens téléphoniques assez cordiaux échangés régulièrement entre eux pour se concerter et surtout anticiper et éviter tout ce qui peut nuire aux bonnes relations instaurées entre les deux grands clubs de la capitale, afin d’apaiser le climat et de baisser la tension dans les deux camps «Sang et Or» et «Rouge et Blanc». Bien entendu, on ne peut que s’en féliciter si l’objectif réel est d’œuvrer pour que la rivalité soit uniquement sportive et ne dépasse pas les limites du seul débat loyal entre joueurs sur le terrain. Mais on est en droit aussi de redouter une paix de façade et que les vieux démons de la concurrence aveugle soient toujours présents au sein des fans des deux camps et que le résultat d’un derby, comme celui de dimanche prochain, risque de tout remettre en question. La preuve c’est que les deux clubs ont demandé ou plutôt exigé un arbitrage étranger pour le classico du 22 décembre et ont réussi à faire plier le Comité de normalisation de la FTF qui a exaucé leur vœu.

Coup dur porté à l’arbitrage tunisien

Un coup dur porté à l’arbitrage tunisien et un grand pas en arrière qui aura un effet domino contagieux avec d’autres clubs qui vont emprunter la même voie à chaque fois qu’il y aura match à gros enjeu et à qui on ne pourra pas désormais opposer un veto catégorique. Cette porte rouverte aux arbitres étrangers est le pire des cadeaux empoisonnés qu’un Comité de normalisation sortant puisse «offrir» à un nouveau Bureau fédéral entrant. On aurait dû réfléchir à deux fois avant d’aller dans cette voie. Les deux clubs auraient mieux fait s’ils avaient renoncé à demander un arbitrage étranger. Le Comité de normalisation aurait marqué des points aux yeux des arbitres tunisiens s’il leur avait maintenu sa confiance et n’avait pas cédé et s’il avait persisté à désigner un trio parmi les meilleurs d’entre eux pour mener à bon port ce match qui pèse par la lourdeur de son enjeu. Les deux clubs et le Comité de normalisation ont choisi la solution de facilité pour se dégager de toute éventuelle responsabilité. L’intérêt de l’arbitrage tunisien, qui a beaucoup perdu en crédibilité sur la scène internationale et son image ternie qu’on doit commencer à redorer en lui confiant les grands chocs de nos compétitions nationales, ne sont pas visiblement au cœur du projet actuel de restructuration de notre football. Kamel Idir peut arguer qu’il n’est pas là pour ça, mais on peut lui rétorquer aussi qu’il aurait pu ne pas franchir le Rubicon et soutenir davantage les arbitres tunisiens.

Tout cet acharnement à solliciter des arbitres étrangers n’est pas un indice rassurant sur les relations entre nos grands clubs. La méfiance est de retour et les résultats priment sur toutes les autres considérations. Plutôt que de jouer à visages découverts, avec les moyens du bord, la rivalité bat son plein au prix de grands sacrifices financiers. Qu’importe que des dizaines de millions soient dépensés pour faire venir un trio étranger, que la grogne recommence à gagner nos arbitres frustrés et impayés. Les responsables de nos clubs ont un œil uniquement sur le score final inscrit sur le tableau d’affichage et sur la position au classement général. Que notre arbitrage en paie le prix, c’est le dernier de leurs soucis.

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C3 — 3E JOURNÉE — SIMBA SC-CSS (14H00):  Vaincre ou capituler

15. Dezember 2024 um 17:35

Les Sfaxiens n’ont d’autre alternative que de tout tenter et de ne rien lâcher face à Simba Sports pour empocher les trois points de la victoire et rester dans la course pour la qualification.

C’est sûr que rares sont les équipes et leurs entraîneurs qui aimeraient ce dimanche être à la place du coach sfaxien, Alexandre Santos, et de ses hommes.

En effet, rien n’est plus dur pour une équipe que de se trouver dos au mur. Avec un match à gagner coûte que coûte, en terre adverse, face à un adversaire coriace qui est lui aussi devant l’obligation de se racheter et d’engranger les trois points après sa défaite en 2e journée face au CS Constantine.

Devant ce difficile challenge à relever en Tanzanie, Aymen Dahmen et ses coéquipiers vont-ils trouver des ressources mentales,  techniques et physiques exceptionnelles pour l’emporter et changer leur destin ? Le technicien portugais, dont le management a été jusqu’à ce jour imprévisible et assez controversé, va-t-il faire la bonne approche tactique de cette rencontre où tout faux pas lui est interdit pour sauver sa place de chef du staff de l’équipe des «Noir et Blanc» ? Pour cette partie du dernier espoir de garder les chances intactes pour la qualification, la balle est ainsi autant dans le camp des joueurs que dans celui de leur entraîneur.

En cas de succès, ils vont tous gagner en confiance et pousser un gros soupir de délivrance. En cas de défaite ou même de match nul, les chances de rachat seront très minces et il faudrait aux Sfaxiens le plein de points lors des trois parties qui restent ( deux victoires sur Bravos do Maquis et Simba Sports Club au match retour à Tunis et un exploit à Constantine ) pour pouvoir décrocher une qualification sur le fil.

Partir du bon pied

La question qu’on se pose avant un match à enjeu aussi crucial est comment prendre le taureau par les cornes dès le coup d’envoi. Emballer la rencontre dès les premières minutes, jouer à quitte ou double ou chercher un succès mesuré, avec un dispositif toujours équilibré, sans trop s’exposer au danger de se faire piéger par une équipe qui ne fera pas dans la dentelle pour s’imposer ? Trois changements clés sont pressentis dans le onze de départ sfaxien pour composer un groupe solide, opter pour un jeu ouvert, à vocation offensive et entamer de bon pied ce match à gagner. Haythem Ayouni prendra la place de Salah Harrabi dans la charnière centrale de la défense. Youssef Becha devrait en principe faire tandem avec Firas Sakkouhi au milieu de terrain dans des postes avancés de joueurs de projection, de création et de construction des actions offensives. Amor Ben Ali serait aligné comme pointe si Hazem Haj Hassen n’est pas bien rétabli de sa blessure contractée lors du match contre Bravos do Maquis. Les deux couloirs devraient rester actifs dans les percées sur les ailes pour faire étirer au maximum la défense de Simba Sports, ouvrir le plus d’espaces et créer le plus de failles dans son dispositif de protection de son périmètre de vérité. Et il n’y a pas actuellement meilleure formule d’attaque dans l’équipe sfaxienne que Mohamed Dhaoui sur le côté droit et Achraf Habbassi sur le flanc gauche.

Avec, comme jokers d’une équipe d’attaque tous azimuts en cours de jeu, Fabien Winley et Baraket Lahmidi. Dans un match qu’il doit bien coacher et remporter, Alexandre Santos aurait tort de continuer ses maladresses et son style arrogant, rugueux et trop prudent. Et de brider ainsi ses atouts et talents offensifs. Ce match contre Simba Sport en Coupe de la CAF est plus pour Alexandre Santos qu’un petit virage dans son parcours à la tête du CSS. C’est le dernier tournant qu’il ne devra pas manquer pour ne pas être poussé à faire ses valises et à capituler.

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FTF – Quota des joueurs étrangers et nombre de recrutements par saison : Un nouveau camouflet pour Kamel Idir   

12. Dezember 2024 um 17:35

Le veto à l’amendement de l’article 91 du cahier des charges du football professionnel est un autre coup dur pour le comité de normalisation.

Le Comité de normalisation de la FTF, dont le mandat prendra fin bientôt, n’arrête pas de multiplier les gaffes de toutes sortes et de fourrer le nez dans des dossiers qui n’entrent pas dans ses prérogatives d’instance désignée dont la principale mission est de réunir les conditions idéales pour la tenue d’une assemblée générale élective et de passer le relais à un nouveau Bureau fédéral. La réunion de mardi avec les représentants des clubs de Ligue 1, que le trio Kamel Idir, Zakia Bartagi et Chedli Rahmani prend plaisir à convoquer toutes les semaines, n’aurait pas dû avoir lieu pour l’amendement de l’article 91 du Cahier des charges du football professionnel en vue  d’augmenter le quota de recrutement de dix (10) joueurs âgés de plus de 21 ans ( transfert ou prêt) qu’un club de la Ligue 1 ou 2 peut opérer par saison. C’est bizarre quand même qu’un juriste aussi chevronné que Chedli Rahmani oublie l’un des principes majeurs et l’une des règles d’or de la crédibilité d’un championnat. Celle de ne pas changer les règles du jeu d’une compétition en plein championnat. Une démarche que n’aurait pas osée un Bureau fédéral élu qui se respecte. Que dire alors d’un comité de direction provisoire ?!

Erreurs de forme et de fond

Premier grief à faire à Kamel Idir et à ses deux lieutenants, l’article 91 auquel il a voulu toucher concerne les clubs des Ligues 1 et 2. Pour une deuxième fois, Kamel Idir s’est contenté de réunir les «ténors» des clubs de Ligue 1 et a ignoré les clubs de Ligue 2. Sûr que ces derniers ne vont pas mâcher leurs mots pour le lui faire savoir. Sur le fond, la limitation du nombre de recrutements à 10 joueurs d’âge senior, pendant une saison sportive  dans cet article 9, est en pleine harmonie avec l’article 71 qui limite à six (6 ) le nombre de joueurs étrangers à inscrire sur la feuille de match et à quatre (4 ) à faire jouer en même temps tout au long du match.

Ces deux articles ont une philosophie commune : respecter le principe d’égalité des chances entre clubs nantis et clubs démunis pour ne pas creuser davantage le fossé entre eux et assurer un championnat plus équilibré avec du suspense et de l’incertitude jusqu’au bout. Tous les clubs de la Ligue 1 n’ont pas les moyens de s’offrir un contingent de plus de dix (10) nouveaux joueurs durant le mercato estival,  car l’opération est très coûteuse. L’article 91 leur a assuré en plus la possibilité de réviser l’effectif de départ et de pouvoir «procéder au remplacement de cinq (5) au maximum parmi les 10 recrutés après résiliation de leur contrat et présentation d’un quitus justifiant la régularisation de leur situation  financière». Sans oublier la porte laissée ouverte au recrutement illimité de joueurs de moins de 21 ans et même de ceux natifs en 2003 qui n’entrent pas dans le quota des 10. Demander plus, c’est une aberration et c’est ouvrir de nouveau la porte à la politique du «parking» qui fait que des joueurs sont recrutés dans le seul objectif d’empêcher les équipes adverses et concurrentes de les engager. Le cas du gardien Béchir Ben Saïd, qui aurait dû penser à préserver son statut de titulaire, forcé «au chômage technique» pour manque de compétition, en est la meilleure illustration. On pourrait citer également le cas du gardien Sabri Ben Hassen qui, depuis le retour de Aymen Dahmen, a perdu carrément sa place et son avenir en équipe nationale pour avoir été contraint à faire banquette dans son équipe. Avant de penser à prendre pareille mesure, le Comité de normalisation aurait dû bien peser le pour et le contre et mesurer les conséquences désastreuses sur le niveau de notre championnat, sur ces équipes qui sont dans l’incapacité de rivaliser sur le plan financier. Et aussi sur la formation reléguée au second plan avec le peu de jeunes joueurs issus des centres de formation dans les équipes A, sans oublier ces longues listes de clubs tunisiens interdits régulièrement de recrutement par la Fifa pour différents litiges et difficultés à honorer des engagements. La majorité des clubs ont eu raison de dire non à tout ce qui est apparu comme une tentative de passage en force.

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