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Encore un nul pour le CSS : Aveu d’impuissance

12. November 2024 um 10:17

Après le quatrième nul consécutif et les mêmes lacunes offensives, Alexander Santos pourrait bientôt en payer les frais.

Avec l’entraîneur portugais, les fans sfaxiens se sont habitués et résignés à ne s’attendre qu’au strict minimum. Un point contre l’USM dimanche, c’est donc pour eux mieux que rien. Un moindre mal pour un coach qui n’a pas hésité à déclarer que «vaincre dans le championnat tunisien, c’est une tâche ardue». Un aveu d’impuissance qui en dit long sur l’état d’esprit avec lequel le technicien portugais aborde les matches à domicile comme à l’extérieur. Depuis le succès sur El Gawafel de Gafsa par 2 buts à 0, le CSS n’a pas goûté aux trois points de la victoire. Quatre nuls de suite, mi-figue mi-raisin, avec des premières mi-temps similaires, sans couleur et sans saveur. Deux nuls sur un score vierge (0-0 contre le CA et l’OB) et deux parties terminées sur le résultat de un but partout (1-1 devant ESZ et 1-1 face à l’USM). Quatre buts inscrits en quatre rencontres, ça montre la pauvreté de ce football proposé par Alexander Santos en 8 journées.

Grâce à Aymen Dahmen

Contre les Monastiriens, le coach des «Noir et Blanc» n’a pas dérogé d’un iota à ses principes de jeu de départ et à sa philosophie. Le même schéma de jeu attentiste, le même jeu à l’économie et une absence quasi totale de ses protégés en première période. Contre l’USM, ce jeu brouillon et décousu, avec une équipe recroquevillée devant les buts de Aymen Dahmen, a duré 70 minutes. C’est grâce au gardien expérimenté Dahmen, revenu à temps dans les buts, que les Sfaxiens sont sortis indemnes de la furia monastirienne. Ce n’est qu’après que le verrou sfaxien a sauté à la 52’ sur un but de Hamza Mastouri, après un premier tir à bout portant dégagé en catastrophe par le portier sfaxien et une seconde frappe bien ajustée du plat du pied du buteur usémiste, que le coach Alexander Santos a fait appel à son arsenal offensif laissé comme d’habitude sur le banc. Les changements ont commencé par l’entrée de Mohamed Dhaoui puis Fabien Winley et Amen Allah Habboubi. C’est Mohamed Dhaoui, longtemps ignoré par Santos pour son jeu jugé «trop individuel», qui va signer le but égalisateur sur un exploit technique «individuel» avec une reprise et une frappe pure qui n’a laissé au gardien des Bleus aucune chance. Sauvé d’une défaite qui aurait immédiatement mis fin à sa mission à la tête du CSS, Alexander Santos a été très content de ce partage des points qui lui accorde un autre répit. Mais il paraît que ce ne sera pas suffisant pour lui cette fois pour rester aux manettes. Dans les coulisses du CSS, son départ est déjà sur l’agenda du comité directeur même si ça va coûter un an de contrat payé pour dommages et intérêts.

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Equipe nationale – Propos de Kais Yaakoubi : Une communication pas très soignée…

11. November 2024 um 10:24

Le dévoilement par Kais YaâKoubi de sa liste des 26 pour les deux matches contre le Madagascar et la Gambie a vu quelques dérapages dans l’explication de ses choix. Un examen de communication pas très réussi.

Pour tout sélectionneur, l’annonce de la liste des joueurs retenus pour un court rassemblement de quelques jours est un exercice difficile. La conférence de presse pour expliquer les choix faits, et pas faits, doit obéir à une règle majeure : ne pas trop entrer dans les détails pour justifier le justifiable ou défendre l’indéfendable. Le sélectionneur ne doit pas parler pour ne rien dire et n’a pas l’obligation de tout dire. Il doit trouver le juste équilibre et être mesuré dans ses propos et réponses pour donner l’essentiel. Pour son premier examen d’annonce de la liste des 26 convoqués pour les deux matches clés des éliminatoires de la CAN Maroc 2025, contre le Madagascar le 14 novembre à Prétoria et la Gambie le 18 à Radès, il faut bien avouer que le sélectionneur national Kaîs Yâakoubi est allé trop loin dans ses explications et a, plus d’une fois, dérapé. Certaines réponses ont été faites sur un ton crispé, qui a paru un peu agressif alors qu’il aurait pu éviter les questions pièges avec quelques répliques brèves et un petit sourire. De la même manière intelligente qu’a utilisée le sélectionneur français Didier Deschamps pour justifier la non convocation de Kylian Mbappé.

Regrets immédiats 

C’est sûr aujourd’hui que Kaîs Yaâkoubi regrette énormément sa façon d’avoir défendu son choix des trois gardiens de but et pourquoi il a préféré Moez Ben Chérifia à Sami Hlel. On ne fait pas appel à un portier expérimenté en équipe nationale pour le seul objectif «de bien encadrer un jeune gardien devenu numéro un». Le fait d’avoir sacrifié Sami Hlel pour cette raison n’a pas été un choix judicieux. Kais Yaâkoubi peut-il encore défendre le rappel de Moez Ben Chérifia comme numéro trois pour «bien encadrer Amen Allah Memmich numéro un, après les deux buts encaissés du premier contre l’ESZ et la nouvelle gaffe du second contre l’ASG qui a coûté un but gag à l’Espérance samedi? Certainement pas. Le gardien des «Sang et Or» n’est même plus assuré de garder son statut de premier gardien en sélection.

Toujours dans l’intérêt de l’équipe nationale, un sélectionneur intérimaire, sans doute pour deux matches, n’aurait pas dû s’immiscer dans des choix aussi stratégiques que celui d’injecter du sang neuf dans l’équipe, de tourner la page de toute une époque et de mettre à l’écart des cadres comme Youssef Msakni et Ferjani Sassi. En parlant de «choix techniques», Kais Yaâcoubi a été également trop maladroit en voulant signifier, qu’à ses yeux, la sélection, c’est fini pour ces deux joueurs. Ça aurait été plus intelligent de sa part s’il avait bien pesé ses mots et trouvé une explication plus pertinente et moins offensante pour deux joueurs qui ont beaucoup donné à la sélection. Cette opération sang neuf en équipe de Tunisie aurait dû attendre la phase finale de la CAN à laquelle nous devrons être qualifiés avec ou sans les Youssef Msakni et Ferjani Sassi. En mettant trop l’accent sur la convocation pour la première fois de Rabii Homri et de Hamza Testouri,  détaillant leur parcours de combattants dans les étages inférieurs avant de s’imposer avec l’OB et l’USM, Kais Yaâcoubi a sans doute voulu être l’artisan de nouveaux critères de choix en sélection qui donnent plus de chances aux joueurs locaux. Comme en témoigne son tout récent clin d’œil fait à l’attaquant de l’Espérance Sportive de Zarzis, Achref Jabri. Pourvu que ce ne soit pas de simples promesses en l’air pour se vanter dans son CV.

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CSS: Faire preuve d’audace

10. November 2024 um 10:41

La bravoure, seul moyen et finalité pour revenir de loin.


Une formation sfaxienne à vocation offensive est ainsi pressentie pour rentrer avec un exploit devant l’USM. Huitième au classement, avec 10 points en 7 matches ( 2 victoires, 4 nuls et 1 défaite), le CSS n’a plus le droit de continuer à gâcher des points à domicile comme à l’extérieur. Il lui faut en urgence un déclic pour couper avec ces résultats insuffisants par rapport à son ambition de postulant pour le titre de champion.

A ce rythme de sorties peu convaincantes et de gros problèmes dans le compartiment offensif, au niveau de la création et de la finition, même le carré d’as du championnat deviendrait au fil des journées un objectif hors de portée. Et un grand déclic, qui mettra fin à tout ce déficit d’efficacité devant le but adverse, ça ne peut provenir que d’un exploit loin de ses bases. Car, dans une course effrénée pour le sacre, ce sont les succès sur les concurrents directs dans leur fief qui ont leur importance et font la différence. L’USM, au Stade Mustapha Ben Jannet, est donc une belle opportunité pour Alexander Santos et ses hommes d’amorcer l’opération sursaut. Peut – être même une dernière chance pour continuer à viser haut et à avoir les dents acérées cette saison. Louper cette opportunité, c’est perdre beaucoup de terrain et laisser le fossé se creuser davantage avec le peloton de tête et s’enliser ainsi dans le ventre mou du classement avec peu d’illusions pour remonter plus tard la pente.

Conscients du danger

Alexander Santos semble convaincu de la complexité de la situation et persuadé, cette fois, de la nécessité d’utiliser tous ses atouts offensifs dès le coup d’envoi pour empocher les trois points et se réhabiliter par la même occasion. Un succès à Monastir aujourd’hui serait pour lui une bouffée d’oxygène après des mois de déception et de forte pression. Il a axé sa préparation de ce match clé sur le travail d’approche de la zone de vérité et l’efficacité devant les buts. On s’attend donc à ce que Youssef Becha et Mohamed Dhaoui, enfin rétabli, figurent dans le onze de départ. L’attention accordée au trio offensif, Rubin Hebaj, Amen Allah Habboubi et Amor Ben Ali, laisse penser également qu’il va compter sur deux pointes en attaque. Les toujours sceptiques disent qu’il ne l’a pas fait même à Sfax, en première mi-temps, face à des adversaires moins redoutables, et qu’il n’osera pas le faire dans un déplacement aussi périlleux. Mais quand une équipe et son entraîneur sont plus que jamais dos mur et ont un besoin urgent de résultats, la seule solution est l’audace.

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USBG : Mohamed Ali Maalej, c’est officiel 

07. November 2024 um 10:14

 

Retour du technicien qui connaît bien la maison

Après le non catégorique de Nidhal Khiari, contacté le premier pour remplacer Fakhreddine Galbi, limogé dans la précipitation, la seule piste restante pour un entraîneur qui connaît bien la maison était celle de Mohamed Ali Mâalej. Ce coach a fait le tour de plus d’un club qui joue pour le maintien. Il a laissé son empreinte de sauveur à l’USBG, à l’UST, à l’ESM et l’ASS. Ses passages étaient très courts, souvent pour quelques mois et pour une mission bien claire. Quand les choses n’allaient pas comme tracé et convenu, il n’avait pas hésité à rompre engagement moral et contrat écrit. C’est un entraîneur qui « fait peur « car il peut claquer la porte et dire au revoir à tout moment. Mais des clubs comme l’UST, qui a tâté le terrain pour le faire revenir afin de remplacer Mounir Rached, et comme l’USBG, qui n’est pas dans de beaux draps, n’ont pas le choix. C’est à prendre ou à laisser. Mohamed Ali Mâalej a dit oui alors qu’il est en Arabie Saoudite pour venir prendre les rênes de l’équipe de Ben Guerdane plutôt que les «Bleu et Rouge» de Tataouine pour deux raisons. L’effectif de l’USBG est plus riche et plus rassurant en quantité comme en qualité et le club n’a pas de problèmes sur le plan financier qui pourraient entraver son travail .

Début aujourd’hui

C’est Nizar Sansa, l’entraîneur adjoint de Fakhreddine Galbi,  qui assure en ce moment l’intérim avec le préparateur physique Jamel Neffati et l’entraîneur des gardiens de but Ali Gamoudi.  « Il n’y pas eu de vide après le départ de Fakhreddine Galbi, avoue Nizar Sansa qui a réussi à s’imposer comme l’homme clé du groupe et à la table du staff technique. Aujourd’hui, Mohaned Ali Mâalej reprendra les manettes de premier entraîneur. Nous ferons ensemble les derniers préparatifs et les réajustements techniques et tactiques pour le déplacement à Métlaoui dimanche». Un premier adversaire de la saison et concurrent direct pour le maintien que Mohamed Ali Mâalej a la chance de connaître comme sa poche. 

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L’UST en pleine crise : Le naufrage

07. November 2024 um 10:12

 

Une entame de saison des plus médiocres avec des problèmes à la pelle menace l’équipe des Tataouinis d’un avenir des plus sombres.

Avec un seul succès et 6 défaites en 7 journées, une différence de buts qui en dit long (15 buts encaissés contre 5 marqués) et une dernière place alarmante au classement, on se pose la question devenue classique pour des clubs qui s’enlisent dans les crises financières et n’arrivent pas à trouver des solutions globales pour s’en sortir une fois pour toutes : où va l’UST ? Quand le président du Comité de direction provisoire, Akrema Wadhen, pourtant un grand habitué des responsabilités à la tête du club et un chevronné, souhaite sauter au plus vite du navire tataouini, on comprend l’immensité du naufrage qui menace une équipe qui prend l’eau de toutes parts et qui essuie revers après revers. La dernière défaite devant EGSG par 2 buts à 0 a tiré la sonnette d’alarme. «On ne peut pas continuer à assumer une lourde tâche dans des conditions aussi difficiles, pour ne pas dire impossibles, révèle le président intérimaire. Pas de ressources financières, pas d’effectif à la hauteur de nos ambitions et des entraîneurs qui plient bagages les uns après les autres. Et un public qui met la forte pression, qui ne tolère pas une telle chute vertigineuse, qui ne comprend pas les aléas d’une période transitoire, c’est vraiment décourageant pour nous avec un  comité d’urgence très restreint dans les tâches et démuni de moyens. Trop, c’est trop! Alors vivement un bureau directeur élu, plus élargi et prêt à retrousser les manches. «La mission de l’équipe de responsables de Akrema Wadhen se terminera le 21 décembre, jour programmé pour la tenue d’une assemblée générale extraordinaire élective. Il faut être vraiment très optimiste pour penser que la relève sera bien assurée ce jour-là».     

Mounir Rached, un mauvais choix 

Mais, malgré cette situation dramatique, les dégâts auraient pu quand même être moins lourds si un entraîneur de métier, au grand vécu, avait été engagé au bon moment pour stopper l’hémorragie. Un entraîneur tel que Mounir Rached, au bagage et à l’expérience très limités, ne pouvait pas relever un challenge aussi dur. La lourde défaite au Stade Néjib Khattab à Tataouine par 4 buts à 2 face au nouveau promu, la JSO, a montré qu’il n’était pas l’homme requis pour redresser la barre à temps. On a assisté à un grand naufrage sur le plan tactique et à une prestation individuelle et collective des plus médiocres. Les fans n’ont pas hésité à venir perturber les entraînements de début de semaine et exiger le départ immédiat de l’entraîneur Mounir Rached. Une décision qu’aurait dû prendre Akrema Wadhen et l’entraîneur lui-même après le revers cinglant contre l’équipe d’El Omrane pour ne pas faire monter toute cette grogne compréhensible et logique. On se demande, après des jours aussi mouvementés et un effectif dont le moral est pratiquement à plat, si l’UST va pouvoir panser ses plaies et trouver un minimum de ressources physiques et mentales pour le difficile match qui l’attend samedi face au CA.

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