Wimbledon : Le choc Sinner - Djokovic avant le duel Fritz - Alcaraz
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La Fédération internationale de football (FIFA) a publié, ce jeudi, son classement mondial des sélections nationales pour le mois de juin 2025. L’équipe nationale tunisienne conserve sa 49ᵉ position au niveau mondial, sans progression ni recul par rapport au classement précédent.
Sur le continent africain, la Tunisie se classe 7ᵉ, devancée par le Maroc, le Sénégal, l’Égypte, l’Algérie, le Nigeria et la Côte d’Ivoire. À l’échelle du monde arabe, les Aigles de Carthage occupent la 4ᵉ place, derrière le Maroc (premier africain et arabe), l’Égypte et l’Algérie.
Au sommet du classement mondial, l’Argentine conserve la tête grâce à la continuité de ses bons résultats. L’Espagne effectue une remontée significative en se hissant à la 2ᵉ place, reléguant la France au 3ᵉ rang. L’Angleterre se classe 4ᵉ, suivie du Brésil en 5ᵉ position.
Des changements sont attendus dans le prochain classement, à la faveur du lancement des éliminatoires continentales, qui devraient influencer directement le positionnement des sélections nationales dans les mois à venir.
L’Office national des fourrages (ONF), entité récemment créée pour réguler et gérer les ressources fourragères nationales, a annoncé, mercredi, l’achat de 50 000 tonnes de maïs fourrager dans le cadre d’un appel d’offres international lancé le 8 juillet 2025.
Selon un communiqué du ministère de l’Agriculture, des Ressources hydrauliques et de la Pêche, ces quantités, essentielles à la production d’aliments pour volailles et ruminants, permettront de renforcer les stocks de fourrages en Tunisie pour la période à venir.
Cette opération s’inscrit dans le cadre des efforts visant à ajuster le marché et à maîtriser les prix.
L’approvisionnement des éleveurs et des unités de production en maïs fourrager débutera le mardi 15 juillet 2025, conformément aux directives d’un communiqué publié le 17 janvier 2025, précisant les prix de vente ainsi que les modalités de commande et de paiement.
Pour rappel, l’Office national des fourrages a été créé à la suite des mesures décidées en faveur du secteur agricole lors du Conseil des ministres tenu le 4 janvier 2024.
Sa création répond à des défis majeurs liés à l’approvisionnement en fourrages, aux perturbations du système de distribution, ainsi qu’aux difficultés de la production locale.
Le Tunisien Rouay Jebabli a remporté l’épreuve du 800 m lors du meeting international Jean Le Claire de para-athlétisme, organisé à Rennes (France), en signant un chrono de 1:48.22. Il bat ainsi son propre record personnel.
L’athlète tunisien a devancé les Français Alexandre Le Paih (1:48.65) et Hugo James (1:48.70) dans une course très disputée.
Il s’agissait de sa première apparition internationale de la saison, dans le cadre de sa préparation pour les prochains championnats du monde de para-athlétisme, qui se tiendront à New Delhi (Inde) du 27 septembre au 5 octobre 2025.
Âgé de 27 ans, Rouay Jebabli s’était illustré aux Jeux Paralympiques de Tokyo 2020 en décrochant la médaille d’argent du 1500 m (T13) et celle de bronze du 400 m (T12), des performances qu’il a rééditées aux Jeux de Paris 2024.
Ooredoo Tunisie, leader des télécommunications et fervent défenseur de la culture tunisienne, a annoncé aujourd’hui le renouvellement de son partenariat en tant que sponsor officiel du prestigieux Festival International de Carthage.
Pour la quatrième année d’affilée, Ooredoo s’associe à l’événement culturel le plus attendu du pays, consolidant ainsi son rôle de promoteur clé des arts et du patrimoine.
Cette année, le partenariat s’inscrit parfaitement dans la dynamique de la campagne estivale de l’opérateur. L’invitation est ainsi lancée à tous les Tunisiens pour activi sifek en musique, s’imprégner de la magie des soirées de Carthage et partager les émotions inoubliables des concerts live. La 59ème édition du festival, qui se tiendra du 19 juillet au 21 août 2025, promet une programmation riche et diversifiée qui fait écho à l’engagement de Ooredoo de connecter les gens à leurs passions.
« Notre partenariat avec le Festival International de Carthage est plus qu’un simple sponsoring; il fait partie de notre identité et de notre engagement indéfectible envers la richesse de la culture tunisienne », a déclaré M. Mansoor Rashid Al-Khater, CEO de Ooredoo Tunisie. « Chez Ooredoo, nous aspirons à être au cœur des moments qui rassemblent les Tunisiens, et le festival de Carthage en est l’occasion par excellence. Nous invitons tout le monde à profiter de la programmation exceptionnelle de cette année.»
L’affiche de 2025 présente une pléiade de stars locales, régionales et internationales, promettant de satisfaire tous les goûts musicaux. Ooredoo est particulièrement enthousiaste à l’idée de contribuer à la tenue des spectacles les plus attendus sur la scène légendaire de l’amphithéâtre romain, qui accueillera notamment la star syrienne sensationnelle Nassif Zaitoun, l’icône de la chanson libanaise Najwa Karam, la star tant aimée Nancy Ajram, ainsi que l’artiste de renommée mondiale Saint Levant parmi bien d’autres grands noms qui enchanteront la scène de Carthage.
Le soutien de Ooredoo au Festival International de Carthage témoigne de sa conviction profonde dans le pouvoir de la culture pour inspirer et unir les communautés. Tout au long du festival, Ooredoo sera présent avec diverses animations et initiatives pour enrichir l’expérience des festivaliers, leur permettant ainsi d’activer pleinement leur été et de créer des souvenirs mémorables.
D’après Communiqué
L’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO) a annoncé, jeudi, le retrait de trois sites africains de la Liste du patrimoine mondial en péril.
Réuni cette semaine à Paris, le Comité du patrimoine mondial a décidé de retirer de cette liste trois biens situés à Madagascar, en Égypte et en Libye, selon un communiqué de l’organisation onusienne.
Ces retraits sont “le fruit de larges efforts des États parties, avec le soutien de l’UNESCO, pour réduire considérablement les menaces pesant sur ces sites”, précise le document.
Les trois sites concernés sont : les Forêts humides de l’Atsinanana à Madagascar, le site d’Abou Mena en Égypte et l’ancienne ville de Ghadamès en Libye.
Inscrites sur la Liste du patrimoine mondial en 2007, les forêts humides de l’Atsinanana sont reconnues pour leur exceptionnelle biodiversité. Victimes d’exploitation forestière illégale, de trafic de bois précieux et de déforestation, ces forêts avaient été placées sur la Liste en péril en 2010, notamment en raison de l’impact de ces menaces sur des espèces emblématiques comme les lémuriens
Le site d’Abou Mena, inscrit en 1979, est un exemple remarquable de lieu de pèlerinage chrétien et un berceau du monachisme. Il avait été ajouté à la Liste en péril en 2001 en raison de la montée alarmante de la nappe phréatique due aux méthodes d’irrigation voisines, provoquant l’effondrement de plusieurs structures.
Quant à Ghadamès, ville ancienne inscrite en 1986 pour son rôle de carrefour culturel entre l’Afrique et le bassin méditerranéen, elle figurait sur la Liste depuis 2016. Le conflit armé en Libye, les incendies de forêt et les pluies torrentielles représentaient autant de menaces sur son intégrité.
“Quand des sites quittent la Liste du patrimoine mondial en péril, c’est une grande victoire pour tous — les pays et communautés concernées, l’UNESCO, et le patrimoine commun de l’humanité”, a déclaré Audrey Azoulay, directrice générale de l’UNESCO.
Elle a également souligné l’engagement particulier de l’organisation en faveur du continent africain : formation d’experts, accompagnement des candidatures et élaboration de stratégies pour préserver les sites menacés. “Ces efforts paient aujourd’hui”, a-t-elle conclu.
La Liste du patrimoine mondial en péril vise à alerter sur les menaces qui compromettent la valeur universelle exceptionnelle des sites inscrits. Elle permet également de mobiliser l’aide internationale, tant technique que financière, pour leur sauvegarde.
Les travaux de la conférence internationale sur le rôle des forces armées dans la protection des civils lors des opérations de maintien de la paix ont débuté jeudi pour deux jours.
Organisée par le ministère de la Défense nationale, en partenariat avec les Nations unies, cette conférence a pour objectif de concevoir une plateforme numérique mondiale destinée à l’échange d’informations et de bonnes pratiques entre pays et organisations.
La cérémonie d’ouverture a été présidée par le ministre de la Défense, en présence du ministre des Affaires étrangères et du secrétaire général adjoint de l’ONU, Jean-Pierre Lacroix. L’un des axes majeurs de cette rencontre est l’élaboration d’un manuel opérationnel unifié, visant à harmoniser les procédures et les standards appliqués par les forces armées engagées dans la protection des civils.
Plus de 80 participants, civils et militaires, prennent part aux travaux, dont des responsables onusiens, des représentants de treize pays partenaires ainsi que des délégués d’organisations régionales et internationales.
Cette conférence s’inscrit dans une démarche de renforcement du rôle de la Tunisie en tant que membre actif des Nations unies, et contribue à consolider les relations bilatérales entre la Tunisie et l’ONU dans le domaine du maintien de la paix.
Les travaux se concluront par l’adoption de la « Déclaration de Tunis », qui visera à établir un cadre international de principes directeurs et de normes opérationnelles pour la protection des populations dans les zones de conflit.
Le rôle des forces armées en tant que garantes des droits fondamentaux et du respect du droit international humanitaire est ainsi réaffirmé.
Des tables rondes, conférences et débats portant sur les défis actuels liés à la protection des civils dans les missions onusiennes sont également au programme, animés par des experts militaires, civils et responsables des Nations unies.
Cette nomination consacre la stratégie du groupe, initiée et mise en place par son fondateur Abdelaziz Makhloufi, qui vise à positionner l’huile d’olive tunisienne comme une référence mondiale.
Il faut admettre que cela a bien réussi, quand on se réfère en tout cas aux nombreuses récompenses récoltées par l’huile d’olive tunisienne dans son ensemble, et CHO Group en particulier.
En effet, cette reconnaissance met en lumière l’essor d’une filière oléicole tunisienne structurée, fondée sur la qualité, la traçabilité et une chaîne de valeur entièrement locale. Et CHO Group incarne justement cette dynamique en exportant une production certifiée sous le label “Made in Tunisia“, tout en bénéficiant du soutien des institutions nationales pour la promotion des exportations.
Pour revenir à cette l’élection du Tunisien Wajih Rekik à ce poste clé au sein de la NAOOA, cela renforce sans doute la crédibilité de la Tunisie sur le marché international de l’huile d’olive. Cette distinction confirme par ailleurs la montée en puissance des produits agricoles tunisiens, de plus en plus perçus comme durables et haut de gamme.
In fine, il s’agit d’une victoire pour l’économie nationale, qui gagne en visibilité grâce à des acteurs comme CHO Group.
L’article Wajih Rekik, CEO de CHO America, élu premier vice-président de la NAOOA est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.
« Alors que certains participants ont noté que les tarifs douaniers entraîneraient une augmentation ponctuelle des prix et n’affecteraient pas les attentes d’inflation à long terme, d’autres ont noté le risque que les tarifs douaniers puissent avoir des effets plus persistants sur l’inflation », indique le compte rendu publié mercredi 9 juillet.
Dix des 19 responsables s’attendent à au moins deux baisses de taux d’ici la fin de l’année. Sept en revanche n’en prévoyaient aucune en 2025, tandis que deux en prévoyaient une seule.
En particulier, ledit compte rendu montre que les décideurs politiques ont largement adopté une attitude attentiste quant à l’évolution future des taux d’intérêt. Les membres du Comité fédéral de l’open market (Federal Open Market Committee – FOMC), ont voté à l’unanimité pour maintenir le taux directeur de la Fed dans une fourchette de 4,25 % à 4,5 %, où il se situe depuis décembre 2024.
Certains responsables ont déclaré que la prochaine baisse des taux pourrait intervenir dès ce mois-ci, tandis que d’autres pensaient qu’il ne serait pas approprié de ne pas procéder à des baisses cette année…
Cela survient alors que le président Trump accroît la pression sur le président de la Fed, Jerome Powell, pour qu’il réduise les taux d’intérêt. Ce dernier a déclaré à plusieurs reprises qu’il ne céderait pas à la pression lorsqu’il s’agit de définir la politique monétaire.
L’article Etats-Unis : les taux d’intérêt divisent les responsables de la Fed est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.
Selon nos confrères de Algérie360, dans une note officielle adressée aux directeurs généraux des banques, l’Association professionnelle des banques et des établissements financiers (Abef) a annoncé l’entrée en vigueur immédiate de cette disposition. « Aucune opération d’importation de services ne pourra être traitée sans l’accord préalable des services compétents du ministère », précise le document, relayé largement sur les réseaux sociaux.
Cette mesure s’inscrit dans une politique de renforcement du contrôle des sorties de devises et d’alignement des importations sur les priorités économiques nationales. Elle intervient dans un contexte où les autorités algériennes multiplient les initiatives pour limiter la dépendance aux importations, qu’il s’agisse de biens ou de services.
Les banques sont désormais tenues d’exiger cette autorisation avant toute domiciliation. Ce qui signifie qu’en son absence, aucun transfert de fonds ou traitement de dossier ne sera possible. Cette exigence pourrait rallonger les délais pour les entreprises recourant à des prestations étrangères : conseil, maintenance, formation, ingénierie ou services numériques.
Selon la même source, en 2023, l’Algérie a importé pour 8,53 milliards de dollars de services, un montant en baisse mais toujours conséquent dans la balance des paiements. Le gouvernement entend ainsi mieux maîtriser ces flux, tout en encourageant, à long terme, le développement de compétences locales. Reste à évaluer l’adaptation des entreprises, notamment des PME, à cette nouvelle contrainte administrative.
L’article Algérie : nouvelle restriction bancaire sur les importations de services est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.