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Tunisie : Pluie et baisse des températures
Aujourd’hui, jeudi 9 mai 2024, le temps sera nuageux. Les nuages seront passagers, parfois denses au nord, avec des pluies éparses, puis couvrant localement les côtes est dans l'après-midi, annonce l’Institut national de la météorologie.
Le vent sera fort près des côtes et la mer sera agitée. Les températures seront en baisse et seront comprises entre 14 et 19 degrés au nord et dans les hauts plateaux, et entre 20 et 25 degrés dans le reste des régions. Elles atteindront 29 degrés dans l'extrême sud.
Tunisie : Chaima Issa condamnée à un an de prison ferme
La Chambre pénale de la Cour d'appel militaire de Tunis a décidé de maintenir la condamnation de Chaima Issa à un an de prison avec modification de la peine corporelle à un an d’incarcération au lieu du sursis, rapporte Mosaique fm, ce jeudi 9 mai 2024.
Accusée "d'offense à la personne du président de la République", "d'incitation des militaires à la désobéissance" et "de propagation de rumeurs menaçant la sûreté publique" sur fond de déclarations accordées à une chaine radiophonique, Chaima Issa avait comparu, le 12 décembre 2023, devant la chambre criminelle près le Tribunal militaire permanent de première instance de Tunis qui l’avait condamnée à un an de prison avec sursis.
Mais le parquet militaire avait fait appel du jugement initial et le dossier avait été transmis à la Cour d'appel, qui a confirmé la condamnation de Chaima Issa à un an de prison ferme. Il s'agit d'un jugement par contumace susceptible d'appel.
Le 22 février 2023, Chaima Issa avait été arrêtée et accusée de "complot contre la sûreté de l'Etat". Elle avait été libérée le 13 juillet 2023 mais restait soumise à une interdiction de voyager et d’apparaître dans les espaces publics.
Stress hydrique en Tunisie : le CERTE propose des solutions innovantes
Le directeur général du Centre de Recherches et de Technologies des Eaux (CERTE) de Borj Cedria, Hakim Gabtni a souligné, mercredi, l’importance de construire des barrages souterrains afin de retenir les eaux pluviales qui devraient enregistrer une baisse variant entre 14% et 25% à l’horizon 2025, en raison de la hausse des températures.
Lors de l’ouverture du salon international des activités et des technologies de l’eau (Water Expo), Gabtni a fait savoir que la construction de ces barrages permettra de réduire l’évaporation des eaux de pluie stockées dans les barrages de surface et les lacs collinaires, due à l’augmentation des températures.
Cela permettrait de lutter contre le stress hydrique, a-t-il dit, mettant l’accent sur la nécessité de réfléchir à des solutions scientifiques qui puissent répondre aux spécificités de chaque région. Ainsi, il serait judicieux de construire des barrages souterrains dans le nord pour récupérer les eaux de pluie et de créer des stations de dessalement dans les régions côtières.
Le responsable a, par ailleurs, appelé à mettre fin à la surexploitation des eaux souterraines (exploitées à raison de 75%) et donner le temps nécessaire aux nappes phréatiques de se renouveler, suggérant, à cet égard, la possibilité d’utiliser les eaux de surface pour alimenter les nappes à forte salinité.
D’autre part, il a fait savoir que le centre œuvre, actuellement, à mettre en place des stations de traitement des eaux usées par les plantes, soulignant que cette technique est à faible consommation d’énergie.
Il a, par ailleurs, indiqué que le taux d’exploitation des eaux d’assainissement ne dépasse pas les 8% alors que les quantités traitées s’élèvent à 300 millions m3, soit 1/3 des apports des barrages.
Et d’ajouter que le centre a entamé la mise en œuvre de cette expérience dans le cadre de projets agricoles, estimant que les quantités d’eaux traitées devraient s’élever à 0,6 milliard de m3 en 2050.
Gabtni a mis l’accent sur l’importance de présenter ces différentes solutions à la prochaine Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques, afin de mobiliser les financements nécessaires pour les concrétiser et permettre, ainsi, à la Tunisie de s’adapter au changement climatique.
Tunisie-Finances : Notre endettement est vertueux ou vicieux ?
Dans des économies structurées planifiées et réfléchies, la hausse de l’endettement peut être favorable à de fortes croissances et à court terme, elle peut stimuler la demande domestique et la croissance entrainant des cycles d’endettement et de désendettement reliés au cycle économique. À plus long terme, un taux d’endettement élevé peut représenter un handicap pour le potentiel de croissance.
Une dette publique dépassant les 81% peut-elle être tolérable à moyen et long terme ?
Pouvons-nous, pallier les déficits de l’État en recourant systématiquement à l’endettement intérieur ou extérieur ?
L’équation tunisienne défie toute logique économique. Ainsi, nous nous trouvons dans un « no man’s land » s’agissant de stratégies économiques, un taux de croissance nul et une hausse de l’endettement intolérable.
Un endettement public puisé dans le national et l’international qui passe par un seul robinet lequel dans la plupart des cas coule dans le budget de l’État. Un budget où les dépenses d’investissement (connues sous l’ancienne appellation de titre II) n’occupent pas beaucoup d’espace. Donc pas d’investissements publics et des investissements privés trop modestes pour créer une croissance notable.
En revanche, les emprunts obligataires, titres de créance émis par l’État, continuent sur un rythme soutenu. Le mois de novembre 2023, par l’emprunt Obligataire National 2023 fixé à 700 MD, a sonné la fin des souscriptions de l’année. Lundi 6 mai, on a lancé la deuxième tranche de l’emprunt obligataire national 2024, pour mobiliser 700 MD à la suite d’une première tranche d’un montant de 1 033,7 MD qui a dépassé l’objectif initial fixé à 750 MD et dont les fonds proviennent principalement des intermédiaires en bourse (67%) et des banques (33%).
Lundi 6 mai, on a lancé la deuxième tranche de l’emprunt obligataire national 2024, pour mobiliser 700 MD à la suite d’une première tranche d’un montant de 1 033,7 MD qui a dépassé l’objectif initial fixé à 750 MD
Un marché financier qui n’arrive plus à financer l’économie avec le principal de ses ressources qui va vers le budget de l’État, des PME et TPE qui n’arrivent pas à arracher des prêts des banques frileuses, récalcitrantes ou en mal de liquidités mais des analystes financiers et des commentateurs économistes qui crient victoire car ces emprunts interviennent à un moment favorable de la conjoncture économique ?
La vie en rose!
Conjoncture économique favorable ? Avec une inflation de 7,2% qui a relativement reculé mais qui reste élevée pour le Tunisien moyen ? Un taux de chômage à 16,4% à fin décembre 2023 et une croissance atone ?
Des échanges commerciaux, qui au mois de mars 2023, selon l’INS, ont ralenti avec des exportations qui ont diminué de 1,3%, et hors produits énergétiques une baisse de 7,3% ? Une contraction des exportations dans plusieurs secteurs et en prime dans les industries mécaniques et électriques qui ont reculé de 6,4% ?
La baisse des exportations est la troisième baisse consécutive et les économistes qui voient la vie en rose devraient peut-être être moins euphoriques pour éviter d’être mis KO par une réalité que leur opportunisme médiatique ou leur courtisanerie gratuite a empêché de voir !
Dans l’attente, la Tunisie résiste et rembourse. Des 11,6 milliards de dinars que le pays devait rembourser à l’international, 5,5 milliards de dinars ont été honorés entre janvier et avril 2024 dont les 850 millions d’euros remboursés au mois de février. A partir du mois de mai et jusqu’au mois de juillet, 720 millions de dinars seront remis au FMI et au mois d’octobre prochain, le Japon récupérera ses 50 Mrd de Yen soit 1000 MD.
En Tunisie, les intérêts de la dette extérieure, à eux seuls ont représenté 1,5 % du PIB en 2023. Si l’on considère la dette intérieure, ils passent du simple au double, soit près de 5 % de la dépense publique. Le taux d’endettement est devenu un handicap et un frein à l’intervention publique et non un instrument à son service.
A partir du mois de mai et jusqu’au mois de juillet, 720 millions de dinars seront remis au FMI et au mois d’octobre prochain, le Japon récupérera ses 50 Mrd de Yen soit 1000 MD.
Un État qui vit au rythme des prêts contractés par ci, par-là, dont le dernier auprès du fonds islamique ITFC, (Arabie Saoudite) de 1,2 milliard de $ pour financer les importations de matières premières et en prime les produits pétroliers, peut-il réellement être souverain ? Ne dit-on pas que la main qui donne est la main qui dirige ? Et si la Tunisie est récalcitrante quant au fait de contracter un prêt du FMI par peur du dictat, ne doit-elle pas être vigilante par rapport aux pays qui aujourd’hui sont prompts à lui accorder des prêts mais qui peuvent un beau jour vouloir la mettre sous leur coupe ou la soumettre au chantage politique ou économique ?
Comment peut-on admettre l’obtention d’un crédit à moyen terme (3 ans) pour financer des opérations courantes d’achat par les entreprises publiques de produits divers, de surcroit du carburant et des céréales ? Il faut comprendre que financer des opérations courantes à court terme par des emprunts à long terme, ne relève nullement de l’orthodoxie économique et des règles d’une saine gestion financière
Les dettes, qui ne servent pas à booster la croissance économique et financer les investissements publics, ne peuvent ni permettre au pays contractant de dépasser ses difficultés, préserver sa souveraineté et encore moins assurer au peuple la prospérité ambitionnée.
Qu’attend-t-on pour transformer l’endettement vicieux en un endettement vertueux ?
Najib Hachana révèle un accord européen dangereux concernant les migrants irréguliers
L’ancien diplomate Najib Hachana a mis en garde contre les implications d’un nouvel accord européen approuvé le 10 avril 2024 concernant les migrants irréguliers. Dans une déclaration à la radio Jawhara FM, Najib Hachana a déclaré que jeudi, en vertu de ce nouveau document européen résultant de neuf années de négociations, les Européens ont convenu […]
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Nacir Triki nommé DG d’Amen Invest
Le Conseil du Marché Financier (CMF) a annoncé le 8 mai 2024, la nomination de Nacir Triki en tant que directeur général de la société Amen Invest. Cette décision intervient après que Triki ait assumé ce rôle par intérim depuis le mois de janvier dernier.
Avant de prendre les rênes d’Amen Invest, Triki a occupé un poste de responsabilité au sein du Département de l’Investissement de la Direction Centrale Banque de Marché d’Amen Bank pendant 5 mois. Son parcours académique est solide, étant diplômé de l’ESCAE en science de gestion et détenteur d’un master en finance de l’Institut des Hautes Études Commerciales (IHEC) de Carthage, avec un Mastère en Finance d’entreprise et des marchés.
En outre, Triki a acquis un certificat international en Investment Management délivré par le Chartered Institute for Securities & Investment. Il jouit également d’autorisations professionnelles pour la gestion de portefeuille et la négociation en bourse.
Cette nomination vient renforcer le leadership d’Amen Invest, avec Triki apportant son expertise financière pointue et son expérience éprouvée dans le secteur, ce qui devrait positionner la société pour de nouveaux succès sur les marchés financiers.
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