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Kébili : le projet “Lomjati” promeut une alimentation durable et l’autonomisation des femmes rurales

Le projet “Lomjati” destiné aux élèves de l’école primaire de Telmine dans la délégation de Kébili-nord a pris fin.

Ce projet est initié par le Commissariat régional de l’éducation, l’Office des œuvres scolaires, le Groupement de développement agricole Val d’Oasis et l’Association “Balades Solidaires”.

La cheffe du groupement Val d’Oasis, Imen Ismaili a indiqué à l’Agence TAP que cette initiative vise à assurer une alimentation écoresponsable et durable en milieu scolaire basée sur la valorisation des produits oasiens et à promouvoir l’autonomisation économique des femmes en milieu rural.

Elle a ajouté que les écoliers de Telmine ont bénéficié de repas sains et équilibrés et de produits du terroir préparés par les ouvrières agricoles du groupement, permettant de réduire les déchets des industries agroalimentaires.

La même source a formulé l’espoir de voir ce projet s’étendra, prochainement, à d’autres établissements scolaires de la région.

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Tunisie : le budget 2026 accusé de reposer à 90 % sur la fiscalité et de manquer de vision économique

Des députés de différents blocs parlementaires ont estimé, mercredi, que “le budget de l’État au titre de 2026 n’est qu’une reproduction des budgets précédents”, ajoutant qu’il “repose principalement sur la fiscalité“.

Lors d’une séance plénière conjointe organisée par l’Assemblée des Représentants du Peuple (ARP) et le Conseil National des Régions et des Districts (CNRD), consacrée à la discussion du budget de la mission du ministère des Finances pour l’exercice 2026, le député du bloc “Pour que le peuple triomphe”, Nouri Jreidi, a déclaré que “ce budget reprend une série de slogans creux, copiés sur ceux des budgets précédents, avec seulement des modifications chiffrées”.

Selon lui, le budget de 2026 repose à 90 % sur la fiscalité, avec un recours accru à l’endettement. De plus, a-t-il dit, il tend à réduire le rôle de la Banque Centrale de Tunisie, sans proposer de solutions pour lutter contre l’économie de rente.

“C’est un budget qui injecte chaque année des milliards dans des entreprises et institutions publiques en faillite, dépourvues de programmes de réforme, et qui prévoit un plan quinquennal pour le développement 2026-2030, incluant des projets locaux et régionaux que même les économies les plus solides ne pourraient financer”, a critiqué le député.

À ce titre, Jreidi a appelé à changer la monnaie pour contenir l’économie parallèle, à supprimer le système de licences, à lancer immédiatement la restructuration des ports, et à réexaminer les dettes “douteuses”.

Il a également insisté sur la nécessité d’accélérer, dans les plus brefs délais, l’adoption des projets relatifs aux codes de change, à l’investissement, aux hydrocarbures, à la douane et à l’eau, tout en soulignant l’importance de mettre en place la Banque postale tunisienne et d’encourager la diaspora tunisienne à investir.

Pour sa part, le député du bloc “Amana wa Aamal” (Honnêteté et Travail), Salah Sayadi, a également reconnu que le budget prévu pour 2026, à l’instar des budgets précédents, se limite à des chiffres principalement basés sur la fiscalité, à hauteur de 90 %.

“Il faut une volonté réelle pour mener les grandes réformes et le courage politique nécessaire”, a-t-il insisté, appelant à instaurer la justice fiscale, à améliorer la gestion de la dette publique, à contrôler les dépenses et les orienter vers l’investissement, à simplifier les procédures de révision fiscale, et à renforcer le rôle du règlement amiable des litiges fiscaux.

Dans le même contexte, il a jugé indispensable d’accélérer la digitalisation des systèmes fiscaux, douaniers et comptables, d’intégrer l’économie parallèle grâce à des mécanismes plus efficaces, tout en stimulant l’investissement, en améliorant le climat des affaires, en développant des politiques fiscales équitables et en renforçant les dispositifs de contrôle.

// Absence de mesures pour intégrer l’économie informelle //

Le député indépendant Abdelhalim Boussema a fait observer que les sources de financement du budget et les causes du déficit restent inchangées, critiquant le recours à une fiscalité supérieure à 90 %, qui exerce une pression sur les entreprises, en particulier les petites et moyennes entreprises (PME), pilier de l’économie nationale.

Il a souligné que l’économie parallèle, représentant plus de 50 %, reste hors du circuit économique officiel, sans mesures concrètes pour l’intégrer et tirer parti de sa contribution à la croissance et à la création de richesse.

Selon lui, la diversification des sources de financement ne doit pas passer par des impôts supplémentaires sur la richesse ou l’immobilier, mais par la stimulation des moteurs fondamentaux de la croissance et de l’investissement.

Le député a insisté sur le fait que le recours à l’emprunt intérieur et au financement par la Banque Centrale doit être accompagné de mesures de protection de l’économie nationale contre les risques de hausse de l’inflation et de contraction de l’investissement.

“Nous sommes entrés dans une situation d’urgence économique et il est nécessaire de passer à des réformes structurelles courageuses, retardées depuis des années”, a-t-il déclaré.

Par ailleurs, le député indépendant Badreddine Gammoudi a mis en garde contre la dépendance excessive à la fiscalité, soulignant que le modèle de politique fiscale est resté stagnant et inchangé depuis les années 1990.

Cela a conduit à une situation préoccupante pour l’économie nationale et pour la pérennité des recettes de l’État, a-t-il ajouté, rappelant que la part des recettes fiscales dans le total des revenus a dangereusement augmenté, atteignant 90,4 % en 2025 et se maintenant à 90,9 % dans le budget proposé.

Dans ce contexte, il a signalé l’absence de toute vision concernant la mobilisation des recettes non fiscales dues à l’État, malgré la politique “du compter sur soi”.

Il s’est interrogé sur le sort des recettes issues des biens confisqués, des terres domaniales, des revenus de la production d’hydrocarbures livrés à la Société tunisienne des activités pétrolières à des prix préférentiels, ainsi que des revenus issus des partenariats public-privé.

Selon lui, la poursuite de cette approche “rigide” accentuera l’absence de justice fiscale et entraînera une gestion inefficace des ressources non fiscales.

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Sommet mondial de l’Internet en Chine : la Tunisie plaide pour une gouvernance éthique de l’IA

Le ministre des Technologies de la Communication, Sofiène Hemissi, a représenté la Tunisie au Sommet mondial de l’Internet, organisé du 6 au 10 novembre à Wuzhen (Chine), un événement de premier plan consacré à la régulation de l’intelligence artificielle et à la coopération internationale en matière de cybersécurité.

Lors de deux interventions, Hemissi a souligné l’urgence d’instaurer des mécanismes internationaux cohérents pour encadrer les usages de l’intelligence artificielle. Il a mis en avant l’expérience tunisienne en matière de régulation numérique et a proposé la création d’un cadre de collaboration entre la Chine et les pays arabes, afin de renforcer la gouvernance numérique régionale et de favoriser un partage équitable des bénéfices technologiques.

La délégation tunisienne, accompagnée et suivie de près par l’ambassade de Tunisie à Pékin, a participé à la cérémonie d’ouverture présidée par le vice-ministre de l’Administration chinoise du cyberespace (CAC), Wang Jintao, en présence de hauts responsables gouvernementaux, d’experts internationaux et de représentants d’organisations multilatérales.

D’après les informations publiées sur la page Facebook de l’ambassade de Tunisie à Pékin, les débats du Sommet ont été centrés sur la nécessité de développer des cadres régulatoires efficaces pour prévenir les risques liés aux usages irresponsables de l’IA et de renforcer une coopération multilatérale renforcée pour garantir la sécurité des données et l’intégrité des systèmes numériques. Les participants ont unanimement affirmé que le progrès technologique doit être orienté vers le bien-être humain et les objectifs de développement durable.

Par ailleurs, des ateliers ont été organisés avec la participation d’universités, de centres de recherche et d’experts du secteur, offrant un espace privilégié d’échange d’expériences et de bonnes pratiques pour une gouvernance inclusive et responsable de l’Internet.

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” Globale Prévoyance : la force d’une protection complète”

Pour Hayett Assurances, la protection ne s’improvise pas : elle se prépare. À travers le produit Globale Prévoyance, la compagnie renforce son engagement envers les familles et les entreprises tunisiennes. Rencontre avec un responsable de Hayett Assurances, qui nous éclaire sur la vision et les objectifs de cette offre.

« L’un des piliers de l’assurance vie, c’est la prévention. Chez Hayett Assurances, nous croyons que prévoir, c’est déjà protéger. La vie est faite d’imprévus : un accident, une maladie ou un départ prématuré peuvent tout remettre en question. Avec Globale Prévoyance, nous voulons offrir à nos clients une sécurité réelle, immédiate et adaptée à chaque situation », explique le responsable.

Conçue comme une solution complète, repose sur trois plans essentiels, répondant aux besoins des particuliers comme des entreprises.

« Nous avons voulu proposer une offre modulable qui s’adapte à chaque profil », poursuit le responsable de Hayett Assurances.

  • Plan Vie Entière : dédié aux familles, il protège les proches tout au long de la vie en leur garantissant le versement d’un capital en cas de décès, assurant ainsi leur stabilité financière et leur sérénité.
  • Plan Homme Clé : conçu pour les entreprises, il protège leur activité contre la perte d’un collaborateur indispensable, assurant la continuité de l’entreprise.
  • Plan Bedil : destiné au chef de famille, il permet de préserver l’équilibre du foyer et de maintenir les conditions de vie des proches en cas de disparition prématurée.

Mais l’offre ne s’arrête pas là ! Hayett Assurances y a intégré plusieurs garanties complémentaires pour renforcer la couverture.

« Nous avons voulu aller plus loin qu’une simple protection : nous avons ajouté la Garantie Accident, qui prévoit le doublement du capital en cas de décès ou d’invalidité absolue et définitive.

Nous proposons également la Garantie Hospitalisation Chirurgicale, qui offre une indemnité journalière pouvant aller jusqu’à trente jours en cas de perte de revenus suite à une hospitalisation chirurgicale. »

Innovation (exclusif)

« Parmi les garanties les plus innovantes, il y a la Garantie Cancer Protect. Elle ne se limite pas à un soutien financier, mais reflète notre engagement à être un partenaire humain à vos côtés. Nous savons tous que l’annonce d’un cancer bouleverse profondément la vie familiale et pèse lourdement sur le budget du foyer. La Garantie Cancer Protect prévoit le versement immédiat d’un capital pour accompagner la famille, ainsi qu’un accès gratuit à un deuxième avis médical auprès de spécialistes internationaux. »

Interrogé sur le bon moment pour souscrire, le responsable souligne :

« Le bon moment, c’est toujours maintenant. Chaque jour compte. Souscrire à Globale Prévoyance, c’est un acte de responsabilité envers sa famille ou son entreprise, pour avancer dans la vie en toute sérénité. »

Pour Hayett Assurances, cette approche s’inscrit dans une vision durable et humaine de la protection.

« Notre rôle est d’accompagner nos clients dans les moments difficiles, mais aussi de les aider à les anticiper. »

Pour en savoir plus ou souscrire, rendez-vous sur :
👉 https://www.hayett.tn/produit/globale-prevoyance

 

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Tunisie : le budget 2026 du ministère des Finances fixé à 1,523 milliard de dinars

L’Assemblée des Représentants du Peuple (ARP) et le Conseil National des Régions et des Districts (CNRD) ont entamé, lors d’une séance plénière commune, la discussion du budget de la mission du ministère des Finances pour l’exercice 2026, et ce, dans le cadre des débats budgétaires relatifs à la même année.

Le projet de budget du ministère des Finances pour l’exercice 2026 est estimé à 1,523 milliard de dinars, contre 1,429 milliard de dinars en 2025, selon le projet de loi de finances pour la même année.

Cette enveloppe s’inscrit dans un cadre de dépenses à moyen terme (2026-2028), visant principalement à consolider les équilibres macroéconomiques et à stimuler l’investissement public.

Ce budget comprend cinq programmes opérationnels portant sur la douane, la fiscalité, la comptabilité publique, les services du budget et la dette publique, en plus d’un programme de pilotage et d’appui.

La mission du ministère des Finances regroupe 86 sous-programmes, 25 activités, 19 objectifs et 58 indicateurs de performance.

Elle est mise en œuvre par cinq acteurs publics à savoir le Centre informatique du ministère des Finances, l’Office des logements du personnel du ministère des Finances, la Société Tunisienne du Réseau du Commerce (TTN), la Banque Tunisienne de Solidarité (BTS) et la Banque de Financement des Petites et Moyennes Entreprises (BFPME).

Concernant la répartition des dépenses, les salaires représentent 79,9 % du budget, tandis que les investissements en absorbent 9,6 %, les frais de gestion 8,2 % et les interventions 2,3 %.

Ces dernières se répartissent entre interventions destinées au de développement (1,5 %) et interventions ordinaires (0,8 %).

Les dépenses salariales du ministère pour 2026 sont fixées à 1,180 milliard de dinars (engagement et paiement), contre 1,120 milliard en 2025, soit une hausse de 60 millions de dinars, enregistrant une augmentation de 5 %.

Les dépenses de gestion s’élèveront à 0,120 milliard de dinars (engagement et paiement) , contre 0,112 milliard en 2025, enregistrant ainsi une hausse de 7 %.

Quant aux dépenses d’intervention, elles sont estimées à 0,033 milliard de dinars (engagement et paiment), contre 0,038 milliard en 2025, ce qui correspond à une baisse de 12 %.

Ces dépenses comprennent 0,011 milliard de dinars pour les interventions ordinaires et 0,022 milliard pour les interventions à caractère de développement.

Les dépenses d’investissement prévues pour 2026 s’élèvent à 0,149937 milliard de dinars en engagements et 0,141747 milliard en paiements, contre respectivement 0,103 milliard et 0,118 milliard en 2025. Cela représente une hausse de 45 % en engagements et de 20 % en paiements.

Les investissements se répartissent principalement entre le programme de pilotage, qui attitre 65,51 % des crédits, le programme de comptabilité publique (24,42 %), le programme de fiscalité (4,96 %), le programme de pilotage et d’appui (5,02 %) et le programme de la dette publique, qui n’enregistre aucune dépense prévue pour cette année.

Principaux axes de la stratégie de la mission du ministère des Finances au titre de 2026/2030 

S’agissant de la stratégie de la mission du ministère des Finances, elle s’inscrit dans le plan de développement national (2026-2030) et vise à garantir l’équilibre macroéconomique tout en stimulant une croissance inclusive.

Cette stratégie se décline en quatre axes principaux, visant la souveraineté économique, la justice fiscale et la modernisation administrative :

Le premier axe concerne la consolidation des équilibres financiers et la maîtrise de la dette publique. Le ministère a accordé une importance particulière à la mise en place d’un cadre financier à moyen terme (2026-2028) afin de réduire progressivement le déficit budgétaire et de renforcer la soutenabilité de la dette publique.

Cette démarche repose sur la poursuite des efforts de contrôle et de rationalisation des dépenses courantes, dans le but de dégager des marges budgétaires pouvant être réaffectées aux dépenses sociales et à l’investissement public.

Pour ce qui est du deuxième axe, il est dédié à la réforme fiscale, à la lutte contre la fraude et à l’inclusion économique.

Le ministère s’est engagé, durant l’exercice 2026-2028, à élargir la base des contribuables et à renforcer le tissu fiscal, dans une optique d’équité et de justice fiscale.

La lutte contre l’évasion et la fraude fiscales constitue un pilier essentiel de cette stratégie.

Parallèlement, une attention particulière est accordée à l’intégration des acteurs du secteur informel dans l’économie structurée, afin d’élargir la base productive nationale.

Sur le plan social, la mission renforce également son rôle à travers le soutien au financement des projets de microcrédit destinés aux catégories les plus vulnérables.

Le troisième axe porte sur le soutien à l’investissement et l’amélioration de l’efficacité de la dépense publique.

L’État entend optimiser le rythme d’exécution des projets publics retardés, tout en veillant à une meilleure gestion des ressources publiques. Les investissements seront orientés vers le soutien des institutions économiques et le financement de projets structurants dans les domaines de l’économie verte, bleue et circulaire, contribuant ainsi à la transition écologique et à la diversification de l’économie nationale.

Le ministère des Finances oeuvrera à soutenir les entreprises publiques, notamment à travers des prêts du Trésor ou des garanties de l’État.

Enfin, le quatrième axe repose sur la digitalisation, la gouvernance et la transparence. La stratégie mise fortement sur la modernisation de l’administration et la numérisation des procédures.

Ces initiatives visent à renforcer la gouvernance, à améliorer la qualité des données, à maîtriser les risques et à promouvoir une gestion plus transparente des finances publiques. La mission s’engage également à publier régulièrement les données de suivi de l’exécution budgétaire, afin de consolider la confiance entre l’administration et les citoyens.

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Ifeda à Tunis : opportunités et défis de l’IA pour les associations et la cybersécurité

Le centre e Formation d’Etudes et de Documentation sur les Associations « Ifeda » a organisé mardi, à la Cité des sciences de Tunis, un colloque scientifique intitulé « L’intelligence artificielle au service des associations : opportunités et défis .

Le Colloque a connu la participation d’un groupe d’éminents conférenciers de différentes disciplines qui ont présenté une série d’expériences associatives dans le domaine de l’intelligence artificielle et abordés un certain nombre de thèmes tels que l’utilisation éthique et responsable de l’intelligence artificielle et l’humanité à l’ère de l’intelligence artificielle.

À cette occasion, l’accent a également été mis sur la manière d’intégrer le système d’intelligence artificielle AGEOS à tous les niveaux, ainsi que sur les défis de la cybersécurité pour les associations à l’ère de l’intelligence artificielle.

Dans une note d’information, le centre « Ifeda » a souligné que les services d’intelligence artificielle peuvent améliorer les performances des associations en facilitant les tâches administratives telles que la rédaction de rapports, les demandes de financement, la publicité et la gestion de registres, ainsi qu’en permettant une meilleure analyse des données, ce qui améliore l’efficacité de leurs interventions et la réalisation des résultats escomptés.

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Institut Pasteur de Tunis et hôpital de la Rabta organisent une journée sur le diabète et le bien-être

Une journée scientifique de sensibilisation sur le diabète, organisée par l’Institut Pasteur de Tunis (IPT) en partenariat avec l’hôpital de la Rabta, se tiendra vendredi 14 novembre au siège de l’institut.

Cette rencontre, qui s’inscrit dans le cadre de la Journée mondiale du diabète, vise à encourager l’adoption de modes de vie sains pour limiter la propagation de cette maladie chronique et améliorer la qualité de vie des patients.

Les débats s’articuleront autour de deux thèmes principaux : « Le diabète à toutes les étapes de la vie » et « Le Diabète et le bien-être : le diabète au travail », indique l’IPT sur sa page Facebook.

La prévalence de la maladie en Tunisie confère à cet événement une importance particulière. Une étude du ministère de la Santé révèle en effet que 15,5 % de la population tunisienne est atteinte de diabète, un taux qui s’élève à 20 % dans les zones urbaines.

La Journée mondiale du diabète est marquée par l’organisation de multiples manifestations dans les hôpitaux, les centres de santé et les institutions publiques, comprenant des conférences, des dépistages gratuits et des ateliers de prévention.

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Rapport 2025 sur la menace écologique : la Tunisie face à un risque hydrique et climatique accru

Le niveau de la menace écologique pour la Tunisie, entre 2019 et 2024, est le plus élevé par rapport à 171 autres pays et et territoires, évalués par le nouveau Rapport sur la Menace Écologique 2025 (ETR), publié, par l’Institut pour l’Économie et la Paix (IEP).

Avec un score global ETR de 2,604, la Tunisie n’a pas “le pire résultat” en 2024, lequel est détenu par le Niger, avec un score de 4.420, mais elle a enregistré la détérioration la plus importante du score ETR global de tous les pays entre 2019 et 2024.

Dans le cadre d’un rapport rendu public, en octobre 2025, l’IEP, un think tank international, a procédé à une évaluation mondiale basée sur des données sur les risques écologiques, couvrant 3 125 zones infranationales dans 172 pays et territoires.

La forte détérioration du score ETR de la Tunisie, malgré des scores de piliers se situant principalement dans les niveaux moyen ou faible en 2024, s’explique par trois facteurs principaux mis en évidence dans les sources : l’ampleur de l’augmentation du risque hydrique, l’effet de la ligne de base (année 2019) et les problèmes d’infrastructure.

Parmi les facteurs de détérioration, le rapport cite une combinaison de conditions climatiques défavorables, notamment la sécheresse prolongée, les températures élevées et des précipitations de plus en plus irrégulières. “Ces conditions ont succédé à une année 2019 jugée “inhabituellement favorable” qui servait de base d’analyse”.

En 2024, toutes les zones infranationales de la Tunisie étaient classées au niveau de risque moyen concernant l’eau. Le score global de risque hydrique du pays pour cette année était de 2,754.

Cependant, les conséquences des chocs climatiques sont visibles dans neuf des vingt zones infranationales tunisiennes ayant le plus subi une augmentation de la menace écologique globale entre 2019 et 2024. En tête de ces zones se trouve la ville de Manouba, dans le grand Tunis, qui a enregistré la deuxième plus forte augmentation du risque écologique à l’échelle mondiale.

Contacté par l’agence TAP pour un éclairage sur ce classement, l’Institut pour l’économie et la paix à Sydney a confirmé, par le biais de son équipe de recherche, que “le gouvernorat de Manouba a en effet enregistré la plus forte détérioration du score ETR au cours de la période de cinq ans, même s’il n’a pas enregistré le pire score global du pays en 2024”.

Et d’expliquer “selon les mesures de l’ETR, le gouvernorat le plus menacé sur le plan écologique en 2024 était celui de Bizerte. Cependant, les différences au sein de la Tunisie sont relativement mineures. Tous les gouvernorats du pays sont classés à des niveaux proches, affichant des niveaux de risque global “moyens”, et tous ont enregistré des détériorations similaires entre 2019 et 2024. La Manouba a simplement enregistré une détérioration légèrement plus importante que les autres en raison des changements importants dans des paramètres relatifs aux “risque lié à l’eau” et “impact des événements naturels”.

“Il existe un point conceptuel et méthodologique important qui aide à expliquer les résultats relevés. La densité de population est un élément clé de plusieurs indicateurs de l’ETR… En effet, le rapport vise à évaluer les relations réciproques entre les pressions humaines sur l’environnement naturel et la capacité des écosystèmes à soutenir ces populations.

Par conséquent, la plupart des gouvernorats tunisiens les moins bien classés – et ceux qui ont connu la plus forte détérioration de leurs scores depuis 2019 – sont situés dans le nord et les régions côtières ou la densité de la population est élevée “, lit-on, dans la réponse de l’institut, sur les précisons demandées par le service économique et financier de l’Agence TAP.

Le rapport souligne que généralement, l’augmentation du risque hydrique en Tunisie est également exacerbée par les effets cumulés de la détérioration des infrastructures. Le pays souffre d’un sous-investissement chronique et d’un mauvais entretien des réseaux de canalisations, ce qui entraîne des fuites d’eau importantes. Les fuites constituent environ 30 % de l’approvisionnement en eau du pays.

L’intensification des pressions dues à la sécheresse et à la chaleur a conduit à l’imposition de restrictions sur l’approvisionnement en eau par le gouvernement l’année dernière, notamment des coupures d’eau pour les résidents qui dépassaient fréquemment les dix heures. L’Observatoire tunisien de l’eau (OTE) a enregistré plus de 2 100 interruptions non annoncées de l’approvisionnement en eau au cours de la dernière année.

Sur le plan régional, les fortes dégradations en Tunisie s’inscrivent dans une tendance régionale plus large. En effet, le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord ayant enregistré la plus forte augmentation globale du risque écologique entre 2019 et 2024.

L’Afrique du Nord-Ouest, qui comprend la Tunisie, l’Algérie et le Maroc, a connu la plus forte dégradation du score de menace écologique (ETR) au cours des cinq dernières années. Cette tendance régionale est fortement liée à la montée en flèche des problèmes d’eau.

Entre 2019 et 2024, la Tunisie, l’Algérie et le Maroc sont passés de conditions hydriques relativement favorables à un risque généralisé, moyen ou élevé. Cette situation résulte d’une combinaison de facteurs, notamment la sécheresse prolongée, les vagues de chaleur et les précipitations de plus en plus erratiques.

Le score global du Rapport sur les Menaces Écologiques (ETR) est calculé sur la base de quatre menaces écologiques interdépendantes: le risque hydrique (Water Risk), l’insécurité alimentaire (Food Insecurity), L’impact des événements naturels (Impact of Natural Events) et la pression démographique (Demographic Pressure).

L’Institut pour l’Économie et la Paix (IEP) est un groupe de réflexion (Think tank) indépendant, basé à Sydney en Australie et ayant des représentations à New York et dans plusieurs autres pays.

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Étudiants et municipalités tunisiennes unis pour des projets durables grâce à la FSEGT

Un accord de partenariat a été signé, lundi, entre la Fédération nationale des communes tunisiennes (FNCT) et la Faculté des sciences économiques et de gestion de Tunis (FSEGT). Cet accord vise principalement à soutenir l’action municipale par l’échange d’expertise et à offrir des opportunités de stages aux étudiants.

Signé par le président de la FNCT, Fathi Mejri, et le doyen de la faculté, Adel Boubaker, ce partenariat ouvre la voie à une collaboration structurée entre les municipalités et l’une des premières institutions universitaires du Maghreb. Il prévoit la mise en place de projets conjoints de recherche et de formation, l’organisation d’ateliers et de séances de travail communes, ainsi que la création de stages pour les étudiants au sein des communes tunisiennes.

Dans un communiqué, les étudiants seront directement impliqués dans la conception et la mise en place des solutions locales durables, en réponse aux besoins concrets des collectivités en matière de gestion financière, de développement économique et d’innovation publique. L’objectif est de favoriser l’employabilité, d’encourager l’esprit d’entrepreneuriat urbain et de doter les municipalités de compétences actualisées.

La FSEGT, relevant de l’Université de Tunis-El Manar, classée première au Maghreb en qualité d’enseignement selon le classement “Times Higher Education 2025”, apporte une expertise reconnue dans les domaines de l’économie, de la gestion, de l’informatique et des sciences de la vie, toutes compétences stratégiques pour moderniser la gouvernance locale.

Selon la FNCT, cet accord constitue un cadre important pour l’échange d’expertises entre les enseignants-chercheurs, les étudiants et les municipalités, et marque une étape décisive dans l’ouverture des communes vers les institutions scientifiques. Il s’inscrit dans la stratégie de la FNCT de s’appuyer sur la recherche pour améliorer la qualité des services publics locaux et renforcer la résilience des territoires face aux défis socio-économiques et environnementaux.

À noter que cette collaboration s’inscrit dans un contexte de réforme locale accélérée en Tunisie, où les collectivités territoriales sont appelées à jouer un rôle central dans le développement inclusif et durable.

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Tunisie-Allemagne : dialogue et culture au cœur de la Semaine culturelle d’Essen 2025

La Semaine culturelle allemande a démarré ce mercredi à Essen sur le thème « La culture, un pont pour renforcer le dialogue et le rapprochement ».  cette manifestation, qui se poursuivra jusqu’au 20 novembre 2025, propose un programme riche destiné à célébrer et à consolider les liens historiques entre la Tunisie et l’Allemagne.

Organisé par le consulat général de Tunisie à Düsseldorf, en partenariat avec la ville d’Essen, cet événement offre une série d’activités culturelles, économiques et sociales visant à promouvoir le patrimoine tunisien et à renforcer les liens avec la diaspora ainsi qu’avec les communautés locales.

Au programme figurent une exposition d’artisanat mettant à l’honneur le bois d’olivier, la mosaïque, l’huile d’olive et les dattes Deglet Nour, ainsi qu’une présentation des atouts touristiques et des opportunités d’investissement en Tunisie. Des rencontres entre familles tunisiennes et habitants d’Essen sont également prévues pour favoriser l’intégration et le dialogue intergénérationnel, notamment avec les jeunes de la diaspora, les étudiants et les professionnels qualifiés.

Le volet artistique sera marqué par une exposition de peinture d’artistes nationaux, des défilés de tenues traditionnelles, ainsi que des ateliers de dessin et de dictée pour les enfants.

Le consulat invite chaleureusement tous les Tunisiens résidant en Allemagne à participer activement à cette semaine, une opportunité unique de valoriser leur héritage culturel et de consolider les ponts de coopération entre les deux peuples.

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Tataouine-Chenini : Un centre interactif pour valoriser le patrimoine et les savoir-faire du sud tunisien

Un nouveau centre dédié à la valorisation du patrimoine du sud tunisien et aux savoir-faire ancestraux d’adaptation au climat a été inauguré à Chenini, dans le gouvernorat de Tataouine. L’événement s’est tenu en présence de l’ambassadeur britannique en Tunisie, Roderick Drummond, de la directrice du British Council, Jill Coates, et de représentants de l’Institut national du patrimoine (INP).

Aménagé sur le site d’anciens greniers restaurés, le Centre de promotion du patrimoine de Tataouine marque une transformation majeure pour la région. Ce lieu, autrefois à l’abandon, devient un espace culturel et économique où se croisent traditions locales et innovation.

Un partenariat tuniso-britannique au service du patrimoine

Le projet s’inscrit dans un partenariat élargi entre le Royaume-Uni et la Tunisie pour la préservation du patrimoine culturel. L’Université de Durham et l’INP ont travaillé en étroite collaboration avec la communauté locale pour réhabiliter le site. Ensemble, ils ont mis en valeur des techniques durables de construction et de gestion de l’eau, héritées de plusieurs siècles d’adaptation aux conditions climatiques du sud tunisien.

Financé par le Cultural Protection Fund, géré par le British Council en partenariat avec le Department for Culture, Media and Sport britannique, le projet fait partie du programme d’aide publique au développement du Royaume-Uni. Il illustre la volonté britannique de soutenir la résilience économique et sociale des régions confrontées aux effets du changement climatique et des conflits.

Un levier pour l’autonomisation et l’emploi local

Le centre accorde une place centrale à la participation communautaire. Il comprend des ateliers artisanaux dirigés par des femmes, un café communautaire et un espace de co-working avec accès à Internet pour les jeunes. Ces initiatives visent à favoriser l’emploi dans les secteurs de la culture, du tourisme et de la création, tout en soutenant la transmission des savoir-faire traditionnels.

Le projet a également permis de former des archéologues, architectes et conservateurs locaux aux techniques modernes de préservation du patrimoine, afin de garantir la durabilité du site à long terme.

Des témoignages d’engagement et de fierté

Lors de l’inauguration, l’ambassadeur Roderick Drummond a souligné « le pouvoir du patrimoine de relier les personnes et de créer des opportunités », estimant que le centre de Chenini est « un exemple vivant de résilience communautaire et de partenariat ».

Pour sa part, Jill Coates, directrice du British Council en Tunisie, a salué « l’ouverture du premier centre numérique interactif du pays », un lieu qui « célèbre le patrimoine tunisien tout en donnant aux communautés locales les moyens de façonner leur avenir ». Elle a ajouté que cette initiative représente « un exemple concret de la manière dont les savoirs traditionnels peuvent contribuer à l’adaptation climatique et au développement durable ».

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La BTE franchit une étape stratégique : migration réussie vers le standard international SWIFT ISO 20022

La Banque de Tunisie et des Émirats (BTE) annonce fièrement la réussite de sa migration vers le standard mondial SWIFT ISO 20022, marquant une avancée majeure dans la modernisation de ses plateformes d’échanges financiers et de ses infrastructures de paiement.

Ce projet stratégique, mené en étroite collaboration avec la SIBTEL et la Banque Centrale de Tunisie (BCT), ainsi qu’avec l’appui de nos prestataires techniques, s’inscrit dans la volonté de la BTE d’offrir des systèmes plus performants, plus sûrs et totalement alignés avec les évolutions réglementaires internationales.

Grâce à cette transition, la BTE se positionne parmi les premières banques tunisiennes à adopter pleinement ce nouveau standard, reconnu pour sa richesse de données, la sécurité des échanges, la traçabilité accrue des transactions et la conformité renforcée aux exigences mondiales.

« La réussite de cette migration illustre notre engagement à anticiper les mutations du secteur bancaire et à offrir à nos clients et partenaires des services fluides, sécurisés et à la hauteur des standards internationaux », déclare Madame Feriel Chabrak, Directrice Générale de la BTE.

Ce chantier d’envergure a mobilisé les équipes IT, Opérations et Conformité de la BTE durant plusieurs mois, avec une phase approfondie de préparation technique, de tests, de coordination et de certification auprès de SWIFT et de l’ensemble des parties prenantes.

« Au-delà de la technologie, ce projet est le résultat d’une rigueur collective, d’un engagement continu et d’un véritable esprit d’équipe. C’est une réussite dont nous pouvons être fiers », souligne M. Mohamed Belhassine, Chef de Projet DSI.

Entièrement pilotée en interne, cette migration confirme le savoir-faire technologique de la BTE, capable de conduire avec succès un déploiement critique sans interruption de service.

Avec cette réussite, la BTE renforce davantage sa position de banque moderne, solide et tournée vers l’avenir, déjà pionnière dans la région après son interconnexion aux plateformes PAPSS (Afrique) et BUNA (Monde arabe).

La mise en conformité au standard ISO 20022 ouvre de nouvelles perspectives d’innovation, d’intégration internationale et d’amélioration continue de l’expérience client.

Site web : BTE

 

 

 

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Air France inaugure ses nouveaux locaux aux Berges du Lac à Tunis et annonce ses nouveautés pour la saison hiver 2025-2026

Air France annonce l’ouverture de sa nouvelle agence à Tunis. Ces nouveaux locaux sont situés à l’Immeuble Green Center – Bloc D, 2ème étage, Rue du Lac de Constance, 1053 Les Berges du Lac – Tunis.

L’inauguration s’est déroulée en présence de Son Excellence Madame l’Ambassadrice de France en Tunisie, Madame Anne Guéguen, de Monsieur Henri Hourcade, Directeur Général France, Afrique du Nord, Ouest et centrale, Caraïbes et Océan Indien, et Madame Nadia AZALE, Directrice Générale Régionale pour l’Afrique du Nord, le Sahel et la Côte Ouest.

L’ensemble des collaborateurs en Tunisie ainsi que de nombreux partenaires de renom ont également participé à la célébration de cet événement. Les convives ont ainsi eu l’opportunité de découvrir en avant-première un espace moderne, conçu pour refléter les valeurs d’innovation, de proximité et d’excellence portées par Air France.

À l’occasion de cette visite, Air France a annoncé son programme de vols entre Tunis et Paris pour la saison hivernale 2025-2026. La ligne sera désormais opérée en Airbus A220 poursuivant le renouvellement de sa flotte, pilier de sa stratégie de décarbonation. Plus léger, l’A220 consomme 20% de carburant en moins, réduisant ainsi les émissions de gaz à effet de serre de 20% et l’empreinte sonore de 50%. La compagnie proposera avec cet appareil trois vols directs par semaine entre Paris et Tunis, offrant à ses clients une expérience de voyage plus responsable et confortable.

Par ailleurs, Air France poursuit sa stratégie d’innovation avec le déploiement du Wi-Fi gratuit et haut débit à bord. Première grande compagnie européenne à proposer cette technologie depuis l’automne 2025, Air France équipe progressivement l’ensemble de sa flotte : 30 % des avions seront connectés d’ici fin 2025, avec un objectif de couverture totale en 2026.

« Cette visite en Tunisie s’inscrit dans une relation de confiance ancienne et dynamique entre Air France et ses partenaires locaux. L’arrivée de l’Airbus A220 et la généralisation du Wi-Fi gratuit traduisent notre ambition d’offrir à nos clients une expérience de voyage toujours plus moderne et tournée vers l’avenir », a déclaré Mme Nadia AZALE, Directrice Générale Afrique du Nord, Sahel et Côte Ouest d’Air France.

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Ooredoo Tunisie s’associe à Dora Chamli pour promouvoir le padel et le talent tunisien sur la scène mondiale

Ooredoo Tunisie annonce avec fierté un nouveau partenariat avec Dora Chamli, la numéro un du padel féminin en Tunisie, devenue la première Tunisienne à atteindre le tableau principal d’un tournoi Premier Padel.

Cette collaboration illustre l’engagement continu de Ooredoo à soutenir la jeunesse tunisienne, à encourager les sports émergents et à célébrer les athlètes qui font rayonner la Tunisie à l’international.

Née en 1996, Dora Chamli a découvert le padel lors de ses études à Barcelone, où elle est rapidement tombée amoureuse de ce sport. À son retour en Tunisie, elle est devenue l’une des pionnières du padel féminin, souvent contrainte de s’entraîner avec des hommes en raison du manque de joueuses à l’époque.

Sa détermination et sa passion l’ont menée des courts locaux aux tournois internationaux, où elle évolue désormais parmi les 140 meilleures joueuses mondiales, selon le classement de la Fédération Internationale de Padel (FIP).

En octobre 2025, lors du tournoi Premier Padel New Giza P2 organisé en Égypte, Dora Chamli a écrit une page historique du sport africain en devenant la première joueuse du continent à remporter un match dans le tableau principal d’un tournoi Premier Padel.

Elle et sa partenaire ont triomphé face au duo Marcella Koek / Victoria Kurz (6-7 (5), 6-3, 6-1) – un exploit symbolisant l’ouverture croissante du padel vers de nouveaux horizons.

Grâce à cette performance et à ses résultats constants sur le circuit FIP, Dora Chamli a progressé au classement mondial, passant de la 149ᵉ à la 139ᵉ place.

À travers ce partenariat, Ooredoo Tunisie souhaite accompagner Dora dans son ascension et inspirer les jeunes athlètes, en particulier les femmes, à poursuivre leurs rêves et à repousser les limites du possible.

Mansoor Rashid Al-Khater, CEO de Ooredoo Tunisie, a déclaré : « Chez Ooredoo, nous croyons au pouvoir de la jeunesse, de la passion et de la persévérance pour transformer la société. Dora Chamli incarne l’esprit de la Tunisie : ambitieuse, déterminée et prête à briller sur la scène mondiale. En soutenant son parcours, nous réaffirmons notre mission : connecter les gens non seulement par la technologie, mais aussi par les rêves et les réussites partagés. »

Dora Chamli a ajouté : « C’est un immense honneur de représenter Ooredoo et mon pays à ce moment clé de ma carrière. Gagner un match dans le tableau principal d’un tournoi Premier Padel est un rêve devenu réalité. Le soutien de Ooredoo me donne la force d’aller encore plus loin. Je veux montrer que les femmes tunisiennes peuvent réussir à l’échelle mondiale et inspirer d’autres à découvrir ce sport extraordinaire. »

Le padel, sport de raquette en pleine expansion combinant des éléments du tennis et du squash, connaît un essor spectaculaire en Tunisie.

Le partenariat entre Ooredoo Tunisie et Dora Chamli s’inscrit dans une vision stratégique visant à encourager les talents tunisiens, à renforcer la présence du pays sur la scène internationale, et à promouvoir une culture d’inclusion et d’excellence.

Site web : Ooredoo

 

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Hikma renforce sa présence en Tunisie avec l’inauguration d’une troisième unité de production à Tunis

La société Hikma Pharmaceuticals a annoncé aujourd’hui l’inauguration de sa troisième unité de production à Tunis, lors d’un événement auquel ont pris part le Ministre de la Santé, le Dr Mustapha Ferjani, ainsi qu’un certain nombre d’ambassadeurs et de représentants de missions diplomatiques, en plus de plusieurs personnalités officielles et acteurs des secteurs de la santé et de l’industrie.

Cet investissement, estimé à plus de 50 millions de dinars tunisiens, s’inscrit dans la stratégie d’expansion de Hikma visant à renforcer sa présence en Tunisie, à développer ses capacités industrielles et de recherche, et à proposer des solutions pharmaceutiques innovantes et de haute qualité.

Équipée des technologies les plus avancées, cette nouvelle unité est dédiée à la production de médicaments répondant aux standards internationaux les plus exigeants. Elle contribuera à renforcer l’autosuffisance pharmaceutique de la Tunisie, à réduire la dépendance vis-à-vis des importations, et à accroître les exportations de produits « Fabriqués en Tunisie » vers les marchés régionaux et internationaux.

Présente en Afrique du Nord et Moyen Orient, en Amérique du Nord et en Europe, Hikma dispose de plusieurs sites de production à travers le monde, certifiés par la FDA (Food and Drug Administration) et l’EMA (Agence européenne des médicaments), témoignant de la conformité de ses installations aux normes internationales de qualité, de sécurité et de bonnes pratiques de fabrication

Le projet illustre également l’engagement de Hikma en faveur du développement des compétences locales et de la création d’emplois qualifiés. À ce jour, Hikma Tunisie compte plus de 320 employés, dont des techniciens, ingénieurs et pharmaciens. L’entreprise s’attache à promouvoir la diversité et l’égalité professionnelles, avec 40 % de femmes dans ses effectifs, et ambitionne d’atteindre à terme la parité 50 % femmes et 50 % hommes.

À cette occasion, M. Mouin Zaafrane, Directeur Général de Hikma Tunisie, a déclaré :

« Nous sommes fiers d’étendre notre présence en Tunisie, que nous considérons comme un centre stratégique. Cette nouvelle unité de production incarne notre vision de fournir des médicaments de haute qualité et témoigne de notre engagement à soutenir le patient tunisien et à renforcer l’industrie pharmaceutique locale. Nous adressons nos sincères remerciements au gouvernement tunisien et le ministère de la Santé pour leur soutien continu, qui a permis de concrétiser ce projet. »

En conclusion de cet événement, Hikma a réaffirmé son engagement à poursuivre sa collaboration avec ses partenaires en Tunisie afin d’atteindre leur objectif commun : « Une meilleure santé à portée de main, chaque jour. »

A propos de Hikma :

Hikma contribue chaque jour à rendre une meilleure santé accessible à des millions de personnes à travers le monde. Depuis plus de 45 ans, nous créons des médicaments de haute qualité et les rendons accessibles à ceux qui en ont besoin.

Basée au Royaume-Uni, notre entreprise est présente à l’échelle mondiale, avec une implantation locale au Moyen-Orient et en Afrique du Nord (MENA), en Amérique du Nord, ainsi qu’en Europe. Nous mettons à profit notre savoir-faire et notre expertise uniques pour transformer les avancées scientifiques de pointe en solutions innovantes qui améliorent la vie des gens.

Nous sommes engagés envers nos clients et les personnes dont ils prennent soin. En alliant créativité et pragmatisme, nous leur fournissons une large gamme de médicaments génériques et de marques déposées.

Ensemble, nos 9 500 Collaborateurs contribuent à bâtir un monde plus sain et à enrichir l’ensemble de nos communautés. Nous sommes un partenaire de de premier plan et, grâce à notre branche de capital-risque, nous contribuons à mettre des technologies de santé innovantes à la portée des populations du monde entier.

Pour plus d’informations, veuillez consulter : www.hikma.com

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Bourse Tunis : BT domine les transactions de bloc et le volume atteint 23,8 MD

Le marché boursier poursuit sur sa lancée, affichant un gain de 0,5 % à 12821 points, et ce, dans un volume bien garni de 23,8 MD.

Les échanges ont profité de la réalisation de 5 transactions de bloc cumulant 16,9 MD, selon l’analyse de l’intermédiaire en bourse, Tunisie Valeurs. Elles ont porté sur les titres BT (une transaction pour 9,1 MD), AIR LIQUIDE (une transaction pour 3 MD), POULINA GROUP HOLDING (deux transactions pour 2,8 MD) et UIB (une transaction pour 2 MD).

Le titre SIAME s’est placé au top line. L’action du spécialiste des appareillages électriques a inscrit une envolée de 5,7 % à 2,770 D, dans un flux anémique de 4 mille dinars.

Le titre TUNINVEST poursuit son trend haussier. L’action de la société d’investissement s’est adjugée une progression de 4,5 % à 28,930 D. La valeur a drainé des échanges de 362 mille dinars sur la séance.

Le titre UBCI a accusé la plus forte baisse de la séance. L’action a enregistré une correction de –1,8 % à 28 D. La valeur a été transigée à hauteur de 17 mille dinars seulement sur la séance.

Le titre SFBT a clôturé la séance sur une note morose. L’action s’est pliée de 0,8 % à 11,950 D. La valeur a amassé un volume global de 318 mille dinars sur la séance.

Le titre BT a chapeauté le palmarès de la séance. L’action de la banque a signé une avancée de 0,7 % à 5,840 D, en alimentant le marché avec des capitaux de 9,1 MD.

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Autisme en Tunisie : vers une stratégie nationale d’intégration et d’éducation inclusive

La ministre de la famille, de la femme, de l’enfance et des personnes âgées, Asma Jebri, a annoncé mardi, l’élaboration d’un plan national pour l’intégration des enfants et des adolescents atteints de troubles du spectre autistique.

Ce plan national a pour objectif de développer les politiques publiques et les services, de renforcer le dépistage précoce, l’éducation inclusive, la réhabilitation et l’intégration sociale et économique des enfants et des adolescents atteints de troubles du spectre autistique avec la participation de tous les intervenants, les ministères, les organisations internationales et les associations actives dans ce domaine, selon un communiqué du ministère.

La ministre de la famille a appelé, dans son allocution à l’ouverture de l’atelier de préparation du plan, à la nécessité d’élaborer une stratégique opérationnelle qui reflète l’engagement collectif en faveur de la construction d’une société inclusive, en s’appuyant sur une approche participative qui ne se limite pas aux services de santé ou d’éducation, mais englobe tous les aspects de l’éducation préscolaire et le soutien psychologique et social.

Elle a également appelé à adopter une vision unifiée axée sur les besoins des personnes atteintes  de troubles du spectre autistique et de leurs familles à chaque étape de leur vie, depuis le dépistage précoce jusqu’à l’intégration sociale et professionnelle.

Jebri a souligné l’importance de s’appuyer sur les meilleures pratiques dans l’élaboration des programmes pour garantir leur efficacité, tout en associant les familles des enfants et des adolescents atteints d’autisme, saluant les efforts fournis par les ministères partenaires et leur engagement à réaliser une inclusion effective et globale des enfants en situation de handicap dans le cadre d’une approche participative et multipartite.

Par ailleurs, la direction générale de l’enfance a présenté le programme d’intégration des enfants atteints de troubles du spectre autistique dans les jardins d’enfants (environ 500 jardins d’enfants publics et privés) avant d’auditionner les différentes interventions des représentants des ministères de la santé, des affaires sociales et de l’éducation, ainsi que de l’association tunisienne de psychologie de l’enfant et de l’adolescent.

A noter que cet atelier de préparation du plan national se tient durant deux jours, à l’initiative du ministère de la famille, de la femme, de l’enfance et des personnes âgées, en collaboration avec le bureau de l’UNICEF en Tunisie et avec la participation de représentants des ministères partenaires et des représentants de la chambre syndicale des jardins d’enfants et des associations actives dans ce domaine.

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Tunisie – Budget 2026 : 4,08 milliards de dinars alloués au ministère des Affaires sociales

“Le budget du ministère des affaires sociales pour l’exercice 2026 s’élève à 4,08 milliards de dinars, contre 3,46 milliards de dinars en 2025, soit une hausse de 17,66 %”, a annoncé, mardi, le ministre des affaires sociales, Issam Lahmar.

S’exprimant lors d’une séance conjointe tenue au Parlement entre la Commission de la santé, de la femme, des affaires sociales et des personnes handicapées et la Commission des services et du développement social du Conseil national des régions et des districts, consacrée à l’examen du projet de budget du ministère, Lahmar a indiqué que les dépenses de rémunération sont estimées à 277,1 millions de dinars en 2026 enregistrant une hausse de 5,76 % par rapport à 2025.

En revanche, les dépenses de gestion atteindront 23,55 millions de dinars, enregistrant un léger recul de 1,88 %.

Les dépenses d’interventions totaliseront, quant à elles, 3,75 milliards de dinars, en hausse de 18,56 % et les dépenses d’investissement s’élèveront à 25 millions de dinars, soit une croissance de 66,67 %, selon les données présentées par le ministre.

Le projet de budget est structuré autour de plusieurs programmes, notamment l’emploi et les relations professionnelles, doté d’environ 32 millions de dinars, la sécurité sociale, avec une enveloppe de 1,88 milliard de dinars, et la promotion sociale, qui mobilisera 2,05 milliards de dinars. Le programme consacré à la migration et aux Tunisiens à l’étranger bénéficiera de 27,8 millions de dinars, tandis que celui dédié au pilotage et à l’appui recevra 81,1 millions de dinars.

Issam Lahmar a, par ailleurs, indiqué qu’au 4 novembre en cours, le taux d’exécution du budget 2025 du ministère a atteint 76 %, soit 2,79 milliards de dinars dépensés. Il a souligné que le projet de budget 2026 s’inscrit dans une vision sociale intégrée visant à renforcer la justice sociale et l’égalité des chances.

Il a affirmé que le ministère œuvre, dans le cadre du programme de promotion sociale, à passer d’une approche fondée sur des aides occasionnelles à une logique d’inclusion durable.

Le ministre a précisé que les interventions prévues pour 2026 continueront de cibler les familles à revenu limité, les personnes en situation de handicap ainsi que les actions de protection sociale, notamment à travers le soutien aux centres d’hébergement et d’accompagnement destinés aux personnes dépourvues de soutien familial. Il a également souligné que la réforme globale du système de protection sociale se poursuivra, en particulier celle des caisses de sécurité sociale et de retraite, afin d’en garantir la pérennité et d’améliorer leurs équilibres financiers.

S’agissant des Tunisiens résidant à l’étranger, Issam Lahmar a affirmé que le ministère œuvre à renforcer les services sociaux qui leur sont destinés.

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