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La Jordanie ouvre son marché à l’huile d’olive tunisienne : un quota de 10 000 tonnes pour 2025/2026

Le Centre de Promotion des Exportations (CEPEX) informe les exportateurs tunisiens de l’huile d’olive que les autorités jordaniennes ont annoncé l’ouverture du marché pour l’importation d’huile d’olive extra vierge au titre de la campagne 2025/2026.

Et de préciser dans un communiqué publié, mardi, que le quota d’importation concerne des quantités prévisionnelles allant jusqu’à 10 000 tonnes, avec un conditionnement en emballages de 1 à 4 litres maximum.

« Le quota de chaque importateur jordanien sera défini après études et validation de sa demande d’importation », a précisé le CEPEX.

Les importations seront effectuées par étape sur la base de quotas qui seront attribués aux opérateurs jordaniens publics et privés et selon des exigences administratives et techniques respectant les normes jordaniennes.

Il est à noter que les pays concernés par l’importation d’huile d’olive sont les pays membres du Conseil Oléicole International.

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Tunisie – Trois matchs amicaux en vue : Trabelsi fait appel à un groupe élargi de 35 joueurs

Tunisie – Trois matchs amicaux en vue : Trabelsi fait appel à un groupe élargi de 35 joueurs

L’entraîneur Sami Trabelsi a dévoilé la liste des 35 joueurs convoqués pour les prochains matchs amicaux internationaux que la Tunisie disputera face à la Mauritanie, la Jordanie et le Brésil. Voici la liste complète des joueurs retenus : Gardiens de but : Aymen Dahmen – Nourredine Farhati – Sabri Ben Hassan Défenseurs : Yan Valery […]

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“Othello et après…”, la création tunisienne de Hamadi Louhaibi, s’illustre à Amman

La pièce tunisienne “Othello et après…“, mise en scène par Hamadi Louhaibi, participe à la 30ème édition du Festival du Théâtre de Jordanie, qui se tiendra du 6 au 14 novembre 2025.

La compétition du festival réunit onze productions théâtrales, dont quatre œuvres jordaniennes, ainsi que des pièces venues de Tunisie, du Maroc, d’Arabie Saoudite, d’Irak, du Koweit et du Sultanat d’Oman.

“Othello et après…” est une création mise en scène par Hamadi Louhaibi, d’après un texte de Boukthir Douma, inspiré de l’œuvre originale du dramaturge anglais William Shakespeare. Produite en 2024 par le Centre culturel international de Hammamet (CCI), la pièce sera présentée le 11 novembre prochain sur la scène principale du Centre culturel royal à Amman, la capitale jordanienne.

Figurent dans le jeu d’acteur Mhadheb Rmili, Noureddine Hammami, Mohamed Chawki Khouja, Bahram Aloui, Samia Bouguerra, Ibaa Hamli et Faten Chouabi.

Cette pièce a déjà été présentée dans plusieurs festivals arabes, dont la 5ème édition du Festival international de Bagdad, où elle a remporté le Prix du meilleur acteur (attribué à Mhadheb Rmili) ainsi que le Prix du meilleur texte, décerné à Boukhthir Douma.

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Israël peut-il vraiment annexer la Cisjordanie malgré le non américain ?

Israël veut aller plus loin que le droit. Le Parlement a voté deux projets de loi pour annexer la Cisjordanie, défiant les États-Unis, pourtant garants de son soutien militaire et diplomatique. Donald Trump a répliqué : « Israël ne fera rien avec la Cisjordanie ». Derrière ce veto, une vérité s’impose : Israël ne peut pas tout. Entre idéologie religieuse, calcul politique et dépendance stratégique, cette confrontation révèle une impasse vieille de cinquante ans — celle d’un État qui colonise sans jamais pouvoir annexer officiellement.

L’Amérique trace la ligne rouge

Le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche a inversé les rôles : après avoir reconnu Jérusalem comme capitale d’Israël en 2018, il devient aujourd’hui le gardien du statu quo.
Son vice-président, JD Vance, présent à Jérusalem pour surveiller le fragile cessez-le-feu à Gaza, a qualifié le vote de la Knesset de « très mauvaise idée ».
Désormais, l’armée israélienne doit obtenir l’aval américain avant toute frappe dans l’enclave.

Cette situation inédite illustre la dépendance stratégique d’Israël : sans le feu vert de Washington, ni l’aide militaire ni la légitimité diplomatique ne peuvent être assurées.
Un paradoxe cruel pour un État qui revendique sa souveraineté, mais dont les frontières réelles se dessinent à Washington plus qu’à Jérusalem.

Entre promesse biblique et calcul politique

Pour les députés religieux, l’annexion est un devoir spirituel.
Le député Avi Maoz, auteur de la proposition, a invoqué « la terre que Dieu a donnée à Israël ».
Mais pour Netanyahu et son parti, ce zèle idéologique est un danger. En boycottant le vote, le Likoud a choisi la prudence : l’isolement diplomatique serait un prix trop lourd à payer alors que les États-Unis demeurent l’allié vital du pays.

Dans ce duel interne, Israël se regarde dans le miroir de sa propre contradiction : l’État biblique et l’État pragmatique se font face.

L’annexion rampante, elle, continue

Depuis 1967, la Cisjordanie vit sous une occupation progressive.
Près de 700 000 colons se sont installés dans plus de 250 implantations illégales, modifiant la carte du territoire palestinien.
Routes séparées, murs, checkpoints : chaque pierre posée renforce une annexion silencieuse.
Même sans loi, le fait accompli prévaut.

Ces nouvelles propositions de loi ne font qu’entériner une réalité déjà sur le terrain : la colonisation est devenue un mode de gouvernement.
Et chaque avancée parlementaire, même symbolique, prépare une prochaine normalisation de l’occupation.

Derrière les calculs diplomatiques, le peuple palestinien paie le prix du silence.
À Gaza, les trêves s’enchaînent sans reconstruire la paix.
En Cisjordanie, des familles entières sont expulsées, des terres confisquées, des maisons rasées au bulldozer.
Chaque checkpoint rappelle que la liberté de mouvement est un privilège, pas un droit.

Pour les Palestiniens, le veto américain n’est pas une victoire : c’est une pause dans la dépossession, un sursis avant la prochaine expansion.

Lire aussi:

Erdogan dénonce les violations israéliennes du cessez-le-feu à Gaza

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Les activistes tunisiens de la Flottille Soumoud arrivent en Jordanie

Les quatorze participants tunisiens de la Flottille Soumoud, interceptée par la marine israélienne alors qu’elle tentait de briser le blocus de Gaza, sont arrivés ce mardi matin en Jordanie, après plusieurs jours de détention.

Selon le comité juridique de soutien à la Flottille mondiale pour Gaza (Global Sumud Flotilla), les autorités jordaniennes ont reçu, via le poste frontalier du pont du roi Hussein, le dernier groupe de participants tunisiens, en présence de représentants diplomatiques tunisiens.

La délégation, composée de 14 citoyens tunisiens, comprend : Syrine Ghrairi, Fidaa Othmani, Mouheb Snoussi, Mazen Abdellaoui, Louay Cherni, Khalil Habibi, Achref Khaouja, Jihad Ferjani, Nabil Chennoufi, Mohamed Amine Hamzaoui, Yassine Gaidi, Wael Naouar, Ghassan Henchiri et Mohamed Ali.

Le même convoi a également permis la libération et le transfert de participants venus d’Algérie, du Maroc, du Koweït, de Libye, de Jordanie, du Pakistan, de Bahreïn, de Turquie et du Sultanat d’Oman.

Mauvais traitements, violences physiques et psychologiques

Le comité juridique a salué la résistance et la fermeté des participants de différentes nationalités face à ce qu’il a qualifié de « crime d’enlèvement en eaux internationales », imputé aux autorités israéliennes.

Les passagers de la flottille ont, selon le communiqué, subi de mauvais traitements et des violences physiques et psychologiques durant leur détention dans la prison de Ketziot, l’un des centres pénitentiaires les plus durs du pays.

Le comité a également rendu hommage aux avocats de l’association Adalah, qui ont assuré le suivi juridique de l’affaire malgré le manque de moyens et les restrictions imposées par les autorités israéliennes. Leur travail, souligne le communiqué, a permis d’obtenir des informations précises sur la situation des détenus et de garantir leur transfert en toute sécurité vers la Jordanie.

Le rapatriement en Tunisie des activistes tunisiens, est prévu pour aujourd’hui, mardi 7 octobre. Depuis, les arrestations, détentions et rapatriements s’effectuent par vagues successives : dix Tunisiens ont déjà été rapatriés dimanche à Tunis-Carthage.

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Les 25 Tunisiens de la flottille pour Gaza devraient être expulsés vers la Jordanie

Vingt-cinq ressortissants tunisiens figurent parmi les quelque 500 activistes de la Global Sumud Flotilla actuellement détenus en Israël après l’interception de leur convoi au large de Gaza. Ils comparaissent devant un tribunal spécial installé dans la prison de Saharonim, dans le désert du Néguev, où une décision d’expulsion collective est attendue.

Selon Me Nariman Shehade Zoabi, avocate du centre juridique Adalah, les activistes dont les pays entretiennent des relations diplomatiques avec Israël seront expulsés par voie aérienne. Les autres, dont les Tunisiens, devraient être transférés via la Jordanie. L’équipe juridique suit les audiences pour déterminer les conclusions exactes.

Les militants avaient été arrêtés mercredi dans les eaux internationales alors qu’ils tentaient de briser le blocus de Gaza. Les avocats de la défense qualifient cette opération de « crime de guerre manifeste ».

Mobilisation en Tunisie

La présence de 25 Tunisiens parmi les détenus a suscité une vive émotion. Jeudi soir, un sit-in s’est tenu devant l’ambassade des États-Unis à Tunis, tandis que des marches nocturnes de solidarité ont eu lieu dans plusieurs régions du pays. Des partis politiques, associations et organisations nationales ont exhorté les autorités à agir rapidement pour obtenir leur libération.

La Commission nationale de soutien à la résistance en Palestine a appelé, vendredi, les Tunisiens à participer à une marche nationale samedi 4 octobre à Tunis. Le départ est prévu à 15h à la Place du Passage, avant de rejoindre l’avenue Habib Bourguiba.

Position officielle tunisienne

Le président de la République, Kaïs Saïed, a reçu jeudi le ministre des Affaires étrangères, Mohamed Ali Nafti, pour examiner la situation. Il a insisté sur la nécessité de redoubler d’efforts diplomatiques afin d’assurer le retour rapide des Tunisiens détenus.

L’équipe juridique d’« Adalah », en coordination avec des organisations internationales, affirme maintenir un contact permanent avec les familles des activistes arrêtés. Elle assure avoir activé tous les mécanismes possibles pour obtenir leur libération immédiate.

La flottille pour Gaza, composée de plus de 40 navires et d’environ 500 activistes, a été interceptée, mercredi soir par la marine israélienne dans les eaux internationales au large de Gaza. Au total, 473 membres de la Flottille mondiale Sumud ont été interpellés par les autorités israéliennes, dont 25 citoyens tunisiens.

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Les analystes doutent de l’impact de la déclaration de Trump sur la Cisjordanie

L’annonce inattendue du président des États-Unis, Donald Trump, selon laquelle il « n’autorisera pas Israël à annexer la Cisjordanie occupée », a provoqué une onde de choc sur la scène diplomatique, suscitant des réactions allant de la prudence des analystes à la confrontation ouverte avec l’aile ultra-nationaliste du gouvernement israélien.

Scepticisme et prudence chez les analystes

L’une des réactions les plus immédiates est un profond scepticisme quant à la mise en œuvre de cette menace, compte tenu de l’historique du président américain et de la relation passée entre les États-Unis et Israël.

  • Doute sur la concrétisation: Des analystes comme Mouin Rabbani ont qualifié la déclaration de « positive », mais ont immédiatement émis des doutes sur le fait que M. Trump « tiendrait ses promesses », notant qu’il est risqué d’accorder de la valeur aux paroles du leader américain. La question centrale est : quelles mesures concrètes les États-Unis prendraient-ils pour bloquer une annexion ?
  • Historique de l’impunité: L’analyste Elmasry a rappelé que Washington a souvent réprimandé Israël par le passé pour ses actions, avant de « laisser Israël faire ce qu’il veut », citant l’exemple de l’offensive de Rafah que l’administration précédente avait dit vouloir empêcher.
  • Une question « académique »: Pour certains experts, la question de l’annexion formelle est devenue en partie « académique », car « Israël exerce déjà un contrôle de facto sur la Cisjordanie » par le biais de son occupation militaire et de l’expansion continue des colonies.

Conflit ouvert avec l’extrême droite israélienne

La déclaration de M. Trump place son administration en « situation de collision » directe avec le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou et les membres d’extrême droite de son gouvernement.

Pression arabe et soutien international

La position de Donald Trump semble être le résultat direct d’une pression diplomatique intense, notamment de la part des dirigeants du monde arabe.

  • Exigences des dirigeants musulmans: Peu avant son annonce, M. Trump avait rencontré en marge de l’Assemblée générale de l’ONU les dirigeants de plusieurs États arabes et musulmans (Arabie saoudite, Qatar, Émirats arabes unis, Égypte, Jordanie, Turkiye, Indonésie et Pakistan). Ces derniers auraient « réclamé au président américain des garanties contre l’annexion » de la Cisjordanie.
  • Ligne rouge européenne: La position de M. Trump se rapproche de celle de la communauté internationale. L’entourage du président français Emmanuel Macron a d’ailleurs qualifié l’annexion de la Cisjordanie de « ligne rouge claire », soulignant qu’elle « compromettrait le plus gravement » la perspective d’une solution à deux États.
  • Contexte du Droit International: Cette prise de position intervient également après l’arrêt de la Cour Internationale de Justice (CIJ) de juillet 2024, qui a jugé les colonies israéliennes illégales et a exigé leur démantèlement.

La déclaration de Donald Trump marque un changement notable dans la rhétorique américaine, s’écartant du soutien inconditionnel que l’extrême droite israélienne espérait. Elle ouvre une période d’incertitude où la crédibilité du président sera jugée non pas sur ses mots, mais sur les actions qu’il entreprendra pour freiner les ambitions territoriales d’Israël.

Lire aussi: Washington Post : Un plan secret de Trump pour Gaza suscite l’indignation

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La Tunisie et la Jordanie renforcent leur coopération sanitaire

Le ministre de la Santé, Dr Mustafa Farjani, a accueilli ce mercredi 20 août 2025 Abdullah Abu Roman, ambassadeur de Jordanie en Tunisie, accompagné d’une délégation.

Lors de leur rencontre, ils ont discuté de plusieurs domaines de coopération. Leurs échanges porteront sur les médicaments, les vaccins et les sérums. La collaboration inclura aussi les études cliniques et les essais de bioéquivalence. Les deux parties ont abordé le développement du tourisme de santé et la digitalisation du secteur sanitaire.

Un accord a été trouvé pour organiser prochainement la visite du ministre jordanien de la Santé, Ibrahim Baddour, à Tunis. Cette visite permettra de lancer concrètement les projets communs.

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