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Ligue 1 – quota des joueurs étrangers en championnat national : Un faux problème !

Actuellement, quatre joueurs autorisés sur le terrain et six sur la feuille de match, certains clubs font du harcèlement au bureau fédéral pour augmenter ce quota. Toujours ce souci de la quantité au détriment de la qualité.

La PressePourquoi des clubs comme l’EST font-ils tout et manœuvrent-ils en coulisses pour augmenter le quota actuel des joueurs étrangers autorisés à jouer ? C’est que l’EST en premier lieu a intérêt à le faire pour pouvoir maximiser ses chances en Ligue des champions là où la CAF est en sommeil depuis des saisons et ne fixe pas un quota d’étrangers pour ses compétitions continentales.

L’EST, avec sa puissance financière, sait qu’en jouant avec plus d’un joueur étranger, elle met la barre haut sur ses adversaires d’abord en championnat (l’écart est si énorme), et elle défend mieux ses chances devant Al Ahly, Sundowns ou Pyramids, c’est-à-dire ses rivaux qui jouent avec une armada de joueurs étrangers de qualité. D’ailleurs,  pour l’anecdote, on se souvient de la fameuse décision en 2020 quand on a considéré les joueurs maghrébins comme locaux.

Ainsi, l’EST et l’ESS avaient pu aligner 5 joueurs du Maghreb (essentiellement Algériens) avec trois autres Africains. C’était un coup de pouce donné pour les aider en Ligue des champions. Et on a idée de tous des effets catastrophiques d’une telle décision sur notre football et sur nos joueurs qui n’avaient plus de place. 

Une énorme pression

L’EST, en premier lieu, est très active dans les coulisses du bureau fédéral pour porter à 6 sur le terrain et 8 sur la feuille de match,  le quota des joueurs étrangers. Elle est épaulée par l’ESS de Zoubeir Beya qui cumule les joueurs étrangers et il ne le fait pas par hasard, car il sait bien que cette énorme pression devrait aboutir.

Le CSS a mis, lui aussi, le paquet sur des joueurs étrangers dans ses derniers recrutements. Tout ce mercato agité et ces investissements opérés ne se font pas pour 4 joueurs étrangers sur le terrain. Houcine Jenayeh, l’homme fort de la FTF, bataille pour changer cette règle mise en œuvre pour redonner plus de sens à cette compétition et pour essayer de protéger nos joueurs.

Si ça passe, on aura cette saison des clubs qui joueraient avec 6 joueurs étrangers sur le terrain contre d’autres clubs qui n’en auraient qu’un ou deux. Et le temps de jeu de nos joueurs devra diminuer encore plus avec cette tendance fâcheuse à courir aveuglement derrière les joueurs africains et, à degré moindre, européens ( de troisième classe !), jeunes et moins jeunes. Et même si les litiges et les dettes ont démoli des clubs et les ont asphyxiés, ils demeurent encore chauds pour ramener n’importe qui. Ceci au détriment de leurs jeunes et moins jeunes joueurs.

Et toujours cet argument de la qualité qu’on vous présente : les joueurs tunisiens sont moins productifs et plus coûteux que les étrangers. Ce qui n’est pas vrai dans plusieurs cas. Certes, le niveau de nos joueurs n’est pas fameux, mais ils doivent jouer, ils doivent se corriger, ils doivent avoir une chance d’être commercialisés demain. On est d’accord que la concurrence est le meilleur moyen d’élever le niveau de nos joueurs, mais il faut le faire avec raison : un quota de 4  étrangers de qualité sur 6 enregistrés sur la feuille de match est largement suffisant. 

Ali Youssef : un défenseur moderne

Le mauvais jeu des agents de joueurs

Ces joueurs étrangers qui jouent en Tunisie, parlons-en. En deux mots, notre championnat n’est pas très attractif avec les difficultés financières des clubs. On ne peut pas rivaliser avec le Maroc, l’Egypte, l’Algérie, et même la Libye, ainsi que les pays du Golfe, niveau rémunérations. Ceux qui viennent chez-nous sont en général des joueurs de second choix ou des joueurs expérimentés qui veulent se relancer pour revenir au plus haut niveau.

Il y a aussi les jeunes qui viennent de plusieurs pays africains et qui ne coûtent pas cher. Certains d’entre eux percent et se servent de nos clubs comme un tremplin pour un championnat européen ou même arabe. Seule l’EST, avec ses moyens financiers et sa présence régulière en Ligue des champions, demeure capable d’attirer les bons joueurs étrangers.

Mais si on voit la qualité générale observée et les statistiques, nous sommes loin du niveau requis. On a quelques éléments de haut niveau comme Blaili, Youssef, Sasse, Kanté, Seydi, Mughisha, Orkuma, Ogbelu, Ba et quelques autres qui ne font pas le poids devant le nombre effrayant de joueurs moyens, mais qui coûtent cher et qui se transforment  en créanciers lourds pour leurs clubs. 

La raison est simple : un réseau d’agents de joueurs complice avec les clubs pour ramener n’importe qui et ceci les arrange financièrement. Et tout le monde gagne derrière cela, et tout le monde le sait. Parce qu’aussi, il n’y a pas de critères appliqués pour ramener les joueurs étrangers. La DTN et la FTF ont beau nous raconter des « bobards » sur le CV et le statut international, mais au bout du compte, on ramène pêle-mêle des joueurs et on contourne les règlements.

Seydi : une remarquable polyvalence

Ça aurait été plus rentable de commercialiser ces joueurs étrangers  vers l’Europe ou les pays du Golfe, mais les chiffres sont très faibles là-dessus. Ils sont une dizaine au maximum ayant une valeur marchande élevée. Ceux qui réussissent dans notre championnat, poussés par leurs agents, attendent l’expiration de leurs contrats pour partir.

Et pendant ce temps, nos joueurs sont grillés et n’ont pas le temps de jeu suffisant pour s’exprimer. Et le plus grave, c’est que des clubs formateurs et du milieu du classement oublient leurs traditions et font le jeu de ces agents de joueurs sans scrupules. Des clubs comme la JSK, l’OB, l’ASM, le CSHL, l’USBG, l’ESM ne font qu’acquérir des étrangers de basse qualité. Pourquoi ils le font et mettent-ils leur survie en danger ? Allez savoir. 

Nos joueurs ne sont pas extraordinaires, oui. Mais il faut les corriger, les entretenir et leur donner cette chance de jouer. Quand on leur ramène quatre étrangers de qualité, soyez sûrs qu’ils vont s’améliorer. Il y a toujours cet équilibre magique en quantité et en qualité à respecter. Qu’on ne regarde pas seulement l’intérêt immédiat de quelques clubs. Notre football a besoin de ses joueurs quels que soient leurs défauts. La tendance d’augmenter le nombre des joueurs étrangers, qui devrait se faire, n’aura que de mauvais effets sur un championnat déjà fragile et déséquilibré.

CA-départ de Simakula : La voie se dégage pour Ambrose

Comme attendu, Simakula ne figure pas dans les plans de l’entraîneur Mohamed Sahli. L’Ougandais, moyen à tous les niveaux, et bien que marginalisé par l’ex-entraîneur Bettoni, n’est pas ce joueur qui fait la différence en tant que milieu récupérateur.

Il va au club Koweitien d’Al Arabi et dégage une place de plus dans le quota des joueurs étrangers. Kooh ( à qui on veut trouver preneur) et Chrifi (courtisé par Sétif) vont devoir aussi quitter. C’est assez de changements dans la liste des joueurs étrangers pour la prochaine saison. C’est que Kinzumbi n’est pas aussi intransférable si une bonne offre lui est faite. Côté arrivées, ce n’est pas encore très clair.

Seule la piste Ambrose, jeune pivot de l’ESZ, se précise de plus en plus. Avec ces nouveaux dossiers de litiges et de dettes envers d’ex-joueurs qui ressurgissent, le processus des recrutements est quelque peu bloqué. Mais on peut dire qu’Ambrose (20 ans) est en route pour le parc A.

Le poste de milieu récupérateur reste encore vacant avec des renforts à faire pour améliorer la qualité d’un entrejeu qui ne compte pas des joueurs de bonne qualité. Les dirigeants clubistes s’activent sur le marché local  et maghrébin pour dénicher l’oiseau rare. 

Ligue 1 – Dettes des clubs – Réunion au ministère des sports avec la FTF et certains avocats : Beaucoup plus profond qu’une simple réunion…

La réunion du ministre des Sports avec le bureau fédéral et certains avocats des créanciers va-t-elle résoudre un problème beaucoup plus complexe qu’une simple réunion «protocolaire» ?

La Presse — L’Etat devait intervenir beaucoup plus tôt dans l’insoutenable dossier  des dettes locales des clubs tunisiens à trois semaines du coup d’envoi du championnat. La réunion qu’a tenue le ministre des Sports avec le bureau fédéral et certains avocats représentant les joueurs et entraîneurs créanciers est-elle une solution radicale ? C’est beaucoup plus complexe que cela. Les montants sont élevés, et le plus important, c’est qu’on a accusé beaucoup de retard avant d’intervenir.

Ces dettes existent depuis des années, les menaces de sanctions transmises par la CAF et la Fifa dataient de longtemps avec cette date-butoir du 31 juillet connue de tous depuis des mois. Tenir une réunion en ce moment n’est qu’un geste protocolaire probablement pour soutenir indirectement les clubs et pousser la FTF à trouver des arrangements pour éviter les sanctions( dernière mesure faute de paiement).

Certains avocats ont été présents, même si on a oublié plusieurs autres beaucoup plus imposants et compétents que ceux qui étaient là. Et c’est là une des pistes à creuser  encore plus pour la FTF. Ces avocats, et dans certains cas  agents de joueurs en même temps, sont ceux qui peuvent aider les clubs obligés de régler leurs dettes en acceptant des facilités de paiement (échelonnement étudié et engagements signés). Cela permettra à tous les clubs concernés de pouvoir entamer la compétition et d’honorer une partie de leurs dettes et pas l’intégralité.  

La responsabilité de la FTF

Elu par les clubs, ce nouveau bureau fédéral a été complètement dépassé dans ce dossier. Hésitant, indifférent et inerte, il a dû attendre que la tutelle convoque cette réunion tardive pour trouver une solution à deux semaines de la date limite du 31 juillet. Maintenant, Moez Nasri et ses collègues vont devoir se hâter pour clôturer les dossiers des dettes et agir en conséquence. Fini le recours au concours financier de la FTF des temps de Wadi El Jary, cette dernière n’a plus de liquidités.

Qu’est-ce qui reste ? Intervenir pour arrondir les angles entre les créanciers et leurs avocats, d’une part, et les clubs, d’autre part. Mais aussi, et comme le stipule le communiqué du ministère des Sports, sanctionner les clubs qui ne respectent pas les engagements de paiement échelonné. Autrement dit, appliquer la loi et passer au retrait des points. 

Les fautifs doivent payer 

Dans tous les championnats qui se respectent, la mauvaise gestion financière et les dettes sont sanctionnées sans états d’âme.

L’exemple de l’OL en France, qui a dû mobiliser plus de 200 millions d’euros pour pouvoir éviter une relégation prononcée dans un premier temps, est flagrant. Ici, on a toujours cette affection envers des clubs et des dirigeants qui ont noyé leurs clubs dans la spirale des dettes. C’est même un abus de confiance et des indices de corruption et de malversations dans des contrats suspects de centaines de milliers de dinars pour des pseudo-joueurs qui ne valent même pas le dixième de ce qu’ils touchent.

Où est le mal à appliquer la loi, quitte à déduire des points et reléguer les clubs fautifs? Où est le mal à mettre de l’ordre dans l’élaboration des contrats qui profitent à ces agents de joueurs et avocats influents et qui se sont fait des fortunes sur le dos des clubs ? Ce n’est pas innocent qu’un petit club qui a un budget qui ne dépasse pas les 3 ou 4 millions de dinars et qui signe des contrats aux avantages illimités qui dépassent ses ressources.

Même les clubs dits grands souffrent avec des dossiers interminables de dettes et de litiges, des milliards jetés au détriment de l’infrastructure, des sections des jeunes et d’autres disciplines délaissées.  

Nous en sommes arrivés là parce que les dirigeants des clubs n’avaient aucune limite, et parce que la FTF n’est pas intervenue pour appliquer fermement les règles de la bonne gouvernance, notamment le plafond des salaires et des dettes. Chaque saison, c’est le même bal : des agents de joueurs voraces se mettent d’accord avec des dirigeants et entraîneurs complices pour une campagne de recrutements sans fin et avec des contrats blindés qui condamnent le club pour des années.

Et quand les litiges sont assortis de sentences et de sanctions, on passe aux collectes de fonds, aux demandes d’aide et aux menaces de quitter le club. Ces clubs, qui n’ont pas de ressources stables comme la billetterie et les droits TV, pouvaient gérer autrement leurs budgets. Et pouvaient surtout recruter à bon marché et en respectant leur l’équilibre financier.  

Point de vue : Le paradoxe du Mondial des clubs !

La Presse — Nous en avons terminé avec ce Mondial des clubs version Infantino. Un mois chargé de matches dans l’ambiance spéciale américaine et ses stades chauds. Un événement footballistique aux USA, ce n’est pas quelque chose qui va bouleverser les Américains pour lesquels le foot ne sera jamais un sport-star.

Il faisait chaud, les organisateurs ont dû jouer à midi et trois heures, décalage horaire oblige, ce qui a usé davantage des joueurs qui n’ont pas eu le temps de reprendre leur souffle après la saison 24-25. Le PSG en a été la parfaite illustration : les joueurs de Luis Enrique ont fini par craquer en finale après une folle débauche d’énergie.

Et c’est Chelsea, vrai outsider, qui vient surprendre tout le monde et remporte le titre. Un mondial unique, original qu’on a organisé avec l’esprit américain et ces pauses mi-temps interminables avec une animation musicale. Infantino, qui a tout fait pour imposer cette compétition, a gagné des points auprès des Américains auxquels il a offert l’opportunité de tester leurs moyens à un an de la Coupe du monde.

Et pour faire taire des clubs et des joueurs lassés et fatigués, il y avait un seul moyen : la cagnotte. Cette caravane du mondial des clubs, qui s’est installée aux Etats-Unis pendant un mois, a rapporté un peu plus de 2 milliards de dollars, soit près de 6 milliards de dinars, soit 33 millions de dollars de revenus par match.

Chelsea devrait empocher plus de 125 millions de dollars entre primes et bonus. Tout le monde a gagné avec cette Coupe du monde avec  4 millions de dollars comme la dotation la moins élevée( tous ces montants sont hors taxes). Une compétition usante, parachutée qui n’a pas respecté en quelque sorte le droit des joueurs à se reposer, des matches joués dans une canicule avec une météo hostile et imprévisible, plusieurs matches se sont déroulés dans des stades vides, mais en même temps, beaucoup d’argent généré et distribué aux participants, des matches ouverts et beaucoup de buts ( au fait, à force de se fatiguer, les espaces se créent pour toutes les équipes) et un avant-goût de la Coupe du monde, c’est le paradoxe de ce mondial.

Infantino, seul, peut s’estimer le plus heureux. Il a réussi à mater les clubs et à créer une énorme valeur économique. Ce football-business  va encore plus vite au détriment de tout ce qui est humain. C’est le seul langage parlé et respecté. Les critiques ne sont que de la poudre aux yeux. 

EST-son contrat expire en 2026 : Le cas Youssef Blaili

Son père affirme qu’il ne devrait pas renouveler à l’EST. Une main tendue au MCA ou pression sur les dirigeants «sang et or»?

La Presse — C’est le dossier qui a le plus retenu l’attention hier du mercato. Youssef Blaili reste toujours un joueur spécial qui crée l’événement là où il est dans le bon comme le mauvais sens. Hier donc, cette déclaration imputée au père de Youssef Blaili, qui est son agent en même temps, a fait le buzz. Pour lui, son fils ne devrait pas renouveler son contrat à l’EST qui expire en 2026.

Le MCA, l’ancien club de l’Algérien, reste à l’affût et ne cache pas son intérêt pour le rapatrier. Là, le père de Blaili donne une astuce aux dirigeants algérois : attendre décembre pour l’engager et obtenir son retour gratuitement la saison prochaine. D’après les sources proches de l’EST, ce n’est pas alarmant, le club œuvre doucement pour obtenir le renouvellement d’une année au moins du contrat de l’Algérien.

Mais en même temps, ce que dit le père de Blaili n’est pas déplacé, pour plusieurs observateurs. Il joue la carte du MCA pour mettre la pression sur le président de l’EST qui veut garder Blaili à tout prix et obtenir ainsi un contrat avantageux à 33 ans. C’est un joueur clé dans le dispositif de l’EST, il a une énorme popularité aussi. Blaili et son père sont en position de force en réalité.

N’oublions pas aussi qu’il y aura la CAN puis le mondial. Blaili, s’il ne renouvelle pas son contrat, partira gratuitement et peut accaparer tous les avantages en cas de départ pour un club arabe ou même pour le MCA. 

Dans tous les cas, trois scénarios se précisent déjà : une reconduction du contrat qui va coûter cher à l’EST, une dernière saison passée à l’EST avant de passer en tant que joueur libre, ou une cession qui permettrait à l’EST d’éviter qu’il parte gratuitement. Le premier scénario  reste le plus plausible pour deux raisons : l’EST n’est pas à son premier dossier de renouvellement.

Elle était souvent capable d’offrir les avantages et convaincre même des joueurs dont le contrat a expiré. Youssef Blaili n’a pas 20 ans et sait que son statut à l’EST est très confortable. Seule la tentation de revenir en Algérie au MCA peut lui changer d’avis et celui de son père. A suivre dans les prochains jours. 

Ligue 1 – le tirage au sort pas encore décidé : C’est déjà tard !

Dans une déclaration à l’agence TAP,  le porte-parole  de la Fédération tunisienne de football, Moez Mestiri, a indiqué que  la Ligue annoncera très prochainement la date et l’heure du tirage au sort du championnat.

La Presse — Ce serait alors le 21 ou le 22 juillet. On reprend l’information de l’agence TAP.  Comment un championnat professionnel qui se respecte n’ait pas de calendrier jusqu’à maintenant? L’annoncer à un peu plus de deux semaines du coup d’envoi du championnat n’est qu’une preuve de plus que la FTF et la Lnfp (l’organe qui ne fait qu’exécuter les ordres du bureau fédéral) prennent les choses à la légère.

Le tirage au sort devait être fait et dévoilé au moins un mois avant le coup d’envoi de la compétition. Ceci pour que chaque entraîneur dose la préparation en fonction des premiers matches, et surtout pour gérer les matches amicaux. On ne peut pas jouer en amical face à un adversaire qu’on va croiser à la 1ère ou la 2e journée.

C’est tard et cela reflète bien entendu le peu de sérieux de l’organe fédéral et de la Ligue. Et pourtant, c’est une saison des plus chargées, des plus intenses avec la coupe arabe, la CAN et le Mondial. Ce serait plus responsable de faire le tirage au sort cette semaine et d’en finir avec ce retard.

La Supercoupe 2022 annulée ?

Concernant la Supercoupe de Tunisie 21-22 reportée  et qui opposera l’Espérance de Tunis et le CS Sfaxien, la même source affirme qu’il serait difficile de programmer de nouveau cette rencontre. Ce serait donc l’idée de l’annuler tout court, faute de temps. Rappelons que le bureau fédéral avait fixé le calendrier de la saison prochaine comme suit : 

— Supercoupe de Tunisie 2024-2025) : 

— Match barrage entre l’US Monastir-Stade Tunisien: le 27 juillet 2025 à Sfax

— Finale de la Supercoupe entre l’Espérance de Tunis et le vainqueur du match barrage : le 3 août 2025 à Radès

— Coup d’envoi de la Ligue 1 : les 9 et 10 août 2025

— Coup d’envoi de la Ligue  2 : les 20 et 21 septembre 2025

— Coup d’envoi du championnat des jeunes : le 31 août 2025

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