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Salon international du chocolat et de la pâtisserie: La passion du goût !

La nouvelle édition du Salon international du chocolat et de la pâtisserie prend fin aujourd’hui, après avoir régalé les papilles des visiteurs, trois jours durant.

Ayant ouvert ses portes le 28 novembre 2024, à l’Utica, le salon a offert à plus de soixante-dix exposants la possibilité de mettre en lumière leurs produits gourmands et leurs créations, à la fois savoureuses et raffinées.

Il faut dire que le chocolat séduit de plus en plus les pâtissiers et les artisans de la confiserie. Il dépasse largement son statut de sucrerie typique pour être, désormais, l’indice de la modernité en matière de confiserie internationale. En Tunisie, il continue à motiver bon nombre d’artisans qui, férus de chocolat, décident d’en devenir les maîtres. Et comme d’accoutumée, le salon regroupe ces entreprises artisanales pas comme les autres sous la coupole de la fine bouche et de la promotion spécial fin d’année.

Il est 11h en ce vendredi 29 novembre 2024. L’espace d’exposition de l’Utica connaît une dynamique commerciale notable. Les visiteurs fidélisés au fil des éditions ont répondu présent à l’appel. «Je ne rate ce salon pour rien au monde !», indique Amani riante. Cette étudiante s’est déplacée ainsi que son amie pour déguster du chocolat raffiné. «Je dépenserai le dernier billet de vingt dinars qui me reste de mon argent de poche en achetant du bon chocolat», ajoute-t-elle. Et elle sera certainement face à l’embarras du choix…

Lire l’intégralité de l’article dans notre version papier du 30 novembre 2024

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Deux trésors culturels tunisiens en lice pour rejoindre la Liste du patrimoine immatériel de l’humanité en 2024

« Les arts du spectacle chez les Twāyef de Ghbonten » et « Le henné : rituels, esthétique et pratiques sociales », sont candidats pour inscription en 2024 sur la Liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité.
Le Comité de l’UNESCO pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel tiendra sa 19ème session ordinaire du 2 au 7 décembre 2024 à Asunción (Paraguay). Les 24 États membres du Comité – représentant les 183 États parties à cette Convention de l’UNESCO – examineront un total de 63 candidatures pour inscription sur les Listes de la Convention.
La Tunisie figure parmi 58 candidatures pour la Liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité- dont 5 demandes d’extension pour des éléments préalablement inscrits à la demande d’autres Etats. 2 candidatures pour inscription sur la Liste du patrimoine culturel immatériel nécessitant une sauvegarde urgente et 3 propositions de sélection au Registre de bonnes pratiques de sauvegarde seront également examinées. La Chine présente 3 demandes de transfert de la Liste du patrimoine culturel immatériel nécessitant une sauvegarde urgente vers la Liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité.
Les nouvelles inscriptions sur les Listes du patrimoine culturel immatériel auront lieu du 3 au 5 décembre.
Les dossiers de candidatures soumis par les États parties sont publiés par le Secrétariat de la Convention de 2003 sur son site Internet. Les dossiers des éléments représentant la Tunisie sont élaborés par les experts de l’Institut national du patrimoine.

Voici des extraits du contenu de chacun de deux éléments candidats pour inscription en 2024.

Déposé depuis 2021 pour inscription sur la liste du patrimoine immatériel de l’Unesco, l’élément « Les arts du spectacle chez les Twāyef de Ghbonten » (Twāyef Ghbonten, ṭwāleb, chwāchīn, jrāyed el-Arab) rassemble les traditions et expressions orales; les pratiques sociales, rituels et événements festifs et les savoir-faire liés à l’artisanat traditionnel.
L’élément marque un vaste territoire qui couvre la région du Sud-est tunisien, notamment le gouvernorat de Médenine où il se concentre au niveau du village d’El-Gosba qui abrite cinq troupes, et au village de Mouggar de la délégation de Béni Khedache où deux troupes sont rattachées à la même branche de la communauté tribale des Ghbonten.
Par ailleurs, les cérémonies animées par cette forme de spectacle s’étalent à travers toute la région. Elles incluent des villages, des centres et agglomérations rurales et urbaines et des villes, aussi bien sur le littoral qu’à l’intérieur : Médenine, Ben Guerdane, Béni Khedache, Koutine, Metameur, Sidi Maklouf, Ksar Jraa, ainsi que l’Ile de Djerba.
L’élément est la résultante d’un processus historique que vécurent les communautés noires en tant que composante ethnique fondamentale de la société tunisienne, dans le cadre de la mobilité territoriale et commerciale qui reliait les deux rives de la Méditerranée à l’Afrique subsaharienne.
Les arts du spectacle de ces troupes s’inscrivent dans la tradition séculaire des poètes voyageurs, sorte de bardes des tribus du Sud tunisien. Quand les Twāyef introduisirent à cette tradition orale le tambourin mobile (chenna), les chants et les danses, un spectacle plus varié a vu le jour. Ces troupes sont devenues de véritables animatrices des festivités matrimoniales de ces tribus qui commençaient progressivement à se sédentariser avec l’avènement du protectorat français et l’érection d’un grand nombre de villages dans toute la région.
L’élément « Le henné : rituels, esthétique et pratiques sociales » est présenté pour inscription en candidature arabe commune réunissant 16 pays (Émirats arabes unis, Algérie, Bahreïn, Égypte, Iraq, Jordanie, Koweït, Mauritanie, Maroc, Oman, État de Palestine, Qatar, Arabie saoudite, Soudan, Tunisie, Yémen).
Notons que chaque pays arabe présente sa propre candidature concernant l’usage du henné qui diffère d’un pays à l’autre.
Le henné entre l’esthétique du corps, les rituels et les pratiques sociales (Elhénna ; Elhenni chez les communautés berbèrophone au Sud tunisien) fait partie des traditions et expressions orales, y compris la langue comme vecteur du patrimoine culturel immatériel, les pratiques sociales, rituels et événements festifs ainsi que les connaissances et pratiques concernant la nature et l’univers.
La culture du henné se concentre dans la région de Gabès très réputée pour sa producation de bonne qualité de henné dont la plantation est associée à l’écosystème oasien. Cependant, son utilisation représente une tradition sociale généralisée dans toutes les régions du pays sans exception, car le henné est inclus dans de nombreux rituels, cérémonies et pratiques sociales, formant l’un de ses composantes, voire conditions.
Le henné est un colorant d’origine végétale obtenu à partir des feuilles séchées d’une plante odoriférante (Lawsonia inermis, appartenant à la famille des Lythraceae). La préparation de la pate de henné diffère selon les usages et les traditions locales appropriée à telle ou telle région, ainsi que les goûts personnels et les tendances de la mode et de l’innovation. Et s’il existe de nombreux supports de henné, le corps humain reste le plus important de tous, car il incarne clairement la tendance artistique de la teinture au henné.
Le henné est considéré comme l’une des traditions les plus partagées, car son territoire comprend des vastes régions du monde, de la Méditerranée et de l’Afrique subsaharienne, en passant par l’Orient arabe, jusqu’à l’Asie occidentale et orientale. Néanmoins, cette large extension géographique ne nie pas les formes particulières que prend le henné selon les contextes locaux dans lesquels il se trouve, traduisant ainsi une diversité culturelle remarquable.
Le patrimoine culturel immatériel comprend les traditions orales, les arts du spectacle, les pratiques sociales, les rituels et les événements festifs, les connaissances, les pratiques et compétences relatives à la nature, à l’univers et à l’artisanat.
La Liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité reconnaît et promeut la diversité des pratiques culturelles et savoir-faire portés par les communautés. Elle compte à ce jour 611 éléments pratiqués dans 140 Etats.
La Tunisie compte 7 éléments inscrits au patrimoine culturel immatériel sur la liste représentative : Les arts, savoir-faire et pratiques associés à la gravure sur métaux (or, argent et cuivre) (2023), La harissa, savoirs, savoir-faire et pratiques culinaires et sociales (2022), la calligraphie arabe : connaissances, compétences et pratiques (2021), La pêche à la charfiya aux îles Kerkennah (2020), Les savoirs, savoir-faire et pratiques liés à la production et à la consommation du couscous (2020), les connaissances associées au palmier dattier (2019) et les savoir-faire de la poterie de Sejnane (2018).

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JTC, compétition officielle: «Fin de partie» – Egypte : Aussi tordus que ce monde !

La nouvelle mise en scène de Saïd Kabil est restée fidèle à la vision de Samuel Beckett : de longues pauses, du silence et des répétitions, contribuant à l’absurdité de la situation et à rendre l’atmosphère lourde.


Première œuvre jouée, il y a 62 ans, par la troupe égyptienne Al Taliaa, mise en scène par Saad Ardach. «Fin de partie» de Samuel Beckett est remise au jour sur la scène du théâtre Le Rio devant un public d’amateurs et d’avertis venus en grand nombre découvrir cette interprétation égyptienne de l’œuvre becketienne.
Signée Saïd Kabil, la pièce traduite en arabe «Lobat al nihaya», et interprétée en dialecte égyptien, a été présentée à Tunis, dans le cadre de la 25e édition des Journées théâtrales de Carthage dans la section compétition officielle où elle a été retenue avec 11 autres œuvres.

Une pièce qui illustre donc la philosophie et l’identité du célèbre théâtre Al-Taliaa, fondé en 1963. A l’époque, ce théâtre de l’avant-garde était appelé le Théâtre de poche, et avait choisi «Fin de partie» comme spectacle d’ouverture. Depuis, son histoire suit les hauts et les bas du théâtre égyptien, notamment ses expériences novatrices.

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Tourisme Tunisien et Méditerranéen: Rehausser le secteur, une responsabilité partagée 

« Nous voulons donner un nouveau souffle à l’image de notre destination, de la même manière que nous voulons être en phase avec les nouvelles tendances et cerner au plus près les attentes des touristes de tous bords, qu’ils soient tunisiens ou internationaux », a affirmé Wahida Jaiet, chargée de mission auprès du ministre du Tourisme.


Le tourisme méditerranéen, qui a tant fait rêver les visiteurs étrangers — qu’ils viennent de la région-même ou d’autres continents —, fait aujourd’hui face à de multiples défis. Changement climatique, instabilité régionale… Le tourisme en Méditerranée est à la croisée des chemins. Pourtant, avec son histoire millénaire, ses traditions ancestrales et son patrimoine culturel diversifié, cette région continue d’occuper une place centrale sur la scène touristique mondiale. Aujourd’hui, professionnels, gouvernements des rives sud et nord de la Méditerranée, et diverses parties prenantes débattent des moyens de transformer ce secteur en un modèle de tourisme durable et équitable, capable de créer de la valeur pour l’ensemble de l’espace méditerranéen. C’est autour de cette thématique que s’est tenu récemment, à Hammamet, le 26e Forum international de « Réalités », en présence d’officiels, d’ambassadeurs et de professionnels du secteur.

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Tunisie : suspension des cours dans les collèges Roued 1 et Roued 2

Les cours ont été suspendus ce vendredi dans les collèges Roued 1 et Roued 2, après que des groupes d’élèves ont lancé des pierres sur l’entrée de l’établissement et sur le parking des enseignants.

Cet incident s’est déroulé parallèlement à une heure de protestation organisée par les enseignants dans la cour de l’école, à l’appel de la Fédération générale de l’enseignement secondaire. Cette mobilisation fait suite au décès tragique d’un enseignant au collège Ibn Charaf de Chebba, dans le gouvernorat de Mahdia, selon Mohamed Amine Jallibi, secrétaire général du syndicat de l’enseignement secondaire à Roued.

Dans une déclaration à l’Agence TAP, Jallibi a indiqué que le personnel éducatif n’a pas pu reprendre les cours après ces agressions. « La direction des deux établissements a pris la décision de suspendre les cours pour le reste de la journée. Sans l’intervention rapide des forces de l’ordre, la situation aurait pu tourner au drame », a-t-il affirmé.

Le collège Roued 1, selon Jallibi, fait face depuis 2017 à une situation critique, avec une surcharge extrême d’élèves – environ 2.300 inscrits – et un déficit important de personnel, notamment parmi les agents, les administratifs et les surveillants. Bien que l’établissement ait été scindé en deux collèges distincts pour l’année scolaire 2024-2025, les problèmes persistent. La violence, à la fois à l’intérieur et autour des établissements, reste une menace constante.

« Nous avons alerté tous les ministres de l’Éducation qui se sont succédé depuis 2017 sur cette situation désastreuse, mais aucune solution concrète n’a encore été mise en œuvre », a déploré Jallibi.

Les syndicats et le corps éducatif appellent à des mesures immédiates pour remédier à ces problématiques. Parmi les solutions évoquées : un renforcement des effectifs pédagogiques et administratifs, des investissements dans l’infrastructure scolaire pour réduire la surpopulation, ainsi qu’un encadrement plus strict pour lutter contre les violences en milieu scolaire.

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Tunisie : Le ministère des Transports mise sur la modernisation du transport public en 2025

Lors de sa visite dans le gouvernorat du Kef ce vendredi, le ministre des Transports, Rached Amri, a annoncé que son département envisage de conclure un marché commun avec les fournisseurs tunisiens pour l’acquisition des bus destinés aux sociétés de transport public. Cette initiative, prévue pour le premier semestre de 2025, s’inscrit dans le cadre d’un effort global visant à améliorer la qualité des services de transport public en Tunisie.

Dans une déclaration à l’agence TAP, le ministre a précisé que cet investissement vise à permettre aux entreprises concernées de concrétiser leurs programmes d’investissement, tout en renforçant la confiance des citoyens dans le transport public grâce à des services modernisés. Il a également souligné l’importance d’une préparation anticipée pour la prochaine rentrée scolaire et universitaire.

Pour garantir le succès de cette initiative, le ministre a insisté sur la nécessité d’effectuer des prestations techniques préalables indispensables, afin d’assurer une répartition équitable des nouveaux équipements entre les sociétés de transport. Il a également averti que l’absence de nouveaux véhicules pourrait exacerber les problèmes de maintenance et entraîner une dégradation des services.

Lors de sa tournée, Rached Amri a inspecté la gare ferroviaire du Kef, mettant l’accent sur l’importance de réaménager son entrée pour harmoniser son esthétique avec l’environnement local.
Il s’est également rendu à l’atelier de maintenance de la société régionale de transport du Kef, où il a exhorté les responsables à accélérer et améliorer les réparations des bus en panne. Le ministre a également insisté sur la sensibilisation des chauffeurs à l’importance de préserver le parc automobile à travers une conduite responsable et respectueuse.

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Tunisie : Vers une consolidation des exportations d’huile d’olive conditionnée

Le Conseil national de l’huile d’olive conditionnée s’est réuni ce vendredi au siège du ministère de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie, sous la présidence de Fatma Thabet Cheboub. Étaient présents des représentants de l’administration, des structures d’appui au secteur, ainsi que des professionnels de la filière.
Lors de cette rencontre, les discussions ont porté sur les derniers préparatifs de la saison d’exportation 2024-2025. Le Conseil a validé plusieurs programmes promotionnels et publicitaires pour soutenir les entreprises exportatrices d’huile d’olive conditionnée vers des marchés diversifiés, tels que le Canada, les États-Unis, l’Europe, les pays du Golfe, ainsi que des marchés émergents comme la Chine et le Royaume-Uni.
Le Conseil a également approuvé un ambitieux programme marketing d’intérêt général pour l’année 2025. Ce plan vise à renforcer la position de l’huile d’olive conditionnée tunisienne sur des marchés internationaux stratégiques tout en valorisant son origine et sa qualité. Une attention particulière est portée à la diversification des destinations d’exportation, avec un accent sur les marchés prometteurs.

Une croissance remarquable

Les chiffres témoignent d’une dynamique positive pour l’huile d’olive conditionnée tunisienne. À fin octobre 2024, les exportations ont enregistré une hausse exceptionnelle de 118 %, atteignant un chiffre d’affaires de 735 millions de dinars. La part de l’huile conditionnée dans les exportations globales d’huile d’olive est également passée de 9,6 % à 14,8 %, reflétant l’importance croissante de ce segment dans l’économie nationale.
Par ailleurs, pour la première fois, quatre petites entreprises du secteur ont bénéficié des aides du fonds d’appui à l’exportation. Ce soutien marque une étape clé dans l’intégration des nouveaux acteurs dans les chaînes de valeur internationales et contribue à la valorisation des produits locaux.

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Tunisie – Sfax: Ouverture d’une information judiciaire contre Thameur Bdida

Le tribunal militaire de Sfax a ordonné, vendredi, l’ouverture d’une information judiciaire contre le dénommé Thameur Bdida et toute autre personne qui sera révélée par l’enquête.

Les chefs d’accusation incluent « tentative d’atteinte à l’intégrité du territoire tunisien par des écrits, offense contre le chef de l’État et atteinte à la dignité de l’Armée nationale ».

Dans un communiqué, la direction de la justice militaire précise que l’enquête a été ouverte pour des faits présumés où la personne concernée aurait « utilisé des réseaux et des systèmes d’information et de communication pour diffuser et publier de fausses informations attribuées à autrui, dans le but de porter atteinte à la sécurité publique et à la défense nationale et utilisé des systèmes d’information pour diffuser de fausses nouvelles attribuant des faits inexacts, dans l’intention de diffamer et de ternir la réputation d’un fonctionnaire public ».

Et d’ajouter que cette enquête judiciaire intervient suite à la visite de terrain effectuée par le Président de la République, chef suprême des forces armées, à l’hôpital militaire de campagne de Bir Ali Ben Khalifa, dans le gouvernorat de Sfax.

Rappelons que le Président de la République, Kaïs Saïed, s’est rendu mercredi, à Bir Ali Ben Khalifa, où il a visité l’hôpital militaire de campagne qu’il avait ordonné l’ouverture, en attendant la fin des travaux de rénovation de l’hôpital de la ville.

Il a également visité l’hôpital militaire de Sfax, où il a inspecté l’aile temporairement aménagée pour accueillir des patients de l’hôpital Hédi Chaker, dont une partie du bâtiment est devenue vétuste et risque de s’effondrer.

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Tunisie : Nouvelles mesures en faveur des secteurs céréalier et de l’huile d’olive

Un programme de stockage de l’huile d’olive auprès des privés (agriculteurs, propriétaires d’huileries, exportateurs) a été adopté par le ministère de l’Agriculture, des Ressources hydrauliques et de la Pêche, pour accélérer le rythme de cueillette et de transformation.

Parmi les mesures prises dans ce cadre, une prime de stockage de 100 dinars/tonne/mois, sur une période de 3 mois. Elle sera versée à la fin de la période de stockage.

Il s’agit également d’une prime supplémentaire de 10 dinars par mois, sur une période de 3 mois, au profit des agriculteurs. Elle sera versée à la fin de la période de stockage.

Ces mesures s’ajouteront à celles annoncées le 6 novembre 2024 concernant l’intervention de l’Office national de l’huile pour l’achat de quantités de l’huile d’olive et la prolongation des délais de remboursement des crédits saisonniers de 3 mois au profit des agriculteurs et des propriétaires d’huileries.

S’agissant du secteur céréalier, le département de l’Agriculture a souligné que l’approvisionnement des producteurs en semences sélectionnées des différentes variétés de céréales se poursuit. Un programme exceptionnel d’approvisionnement des agriculteurs en semences contrôlées de blé dur a été mis en place pour répondre à leurs besoins tout au long de la saison.

Une cellule de suivi a été créée en coordination avec le ministère de l’Intérieur pour orienter les semences vers les producteurs et lutter contre le monopole. Par ailleurs, les autorités compétentes coordonnent avec les autorités régionales et les centres de collecte pour acheminer des quantités de semences vers les zones qui accusent un manque en la matière.

A cet effet, le ministère a appelé les autorités régionales et les centres de collecte à informer les agriculteurs des quantités de semences céréalières disponibles, invitant les agriculteurs à en acheter dans les points de vente officiels situés dans tous les gouvernorats.

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JTC2024 – Full Moon de Josef Nadj : Un voyage transcendant

En effectuant une recherche aux origines de la danse et de la musique jazz, Nadj questionne les origines douloureuses de cette musique. Le public de la salle d’Opéra (Cité de la culture) s’est laissé emporter, mardi 26 novembre 2024, dans un voyage transcendant aux origines de la danse et des rythmes du jazz, signé le chorégraphe Josef Nadj. La nouvelle création «Full Moon» (Pleine Lune) présentée dans le cadre de la section Théâtre du monde des JTC 2024 embarque les spectateurs dans une épopée interprétée par sept danseurs issus du continent africain. Dans leur quête aux origines du mouvement avant l’apparition de la danse contemporaine et le jazz, pieds nus torses nus, les danseurs accompagnés d’un personnage solitaire blanc en costume au visage masqué mènent  leurs danses, puisant dans l’héritage chorégraphique de leurs pays. Entre rituel sacré, mouvements de pieds, grimaces, cris, les danseurs occupent l’espace et usent de leurs corps, tels des instruments pour se découvrir et remonter aux sources de la danse. Des rythmes hachés, des claves, puis soudain des cuivres et des cymbales. Des genoux qui tremblent, des bouches ouvertes, des yeux qui roulent, des râles et des énergies telluriques… durant une heure sans interruption accompagnés de percussions issues de la musique africaine ainsi que de la musique jazz; les spectateurs se sont laissés hypnotiser par l’énergie et le caractère cathartique du mouvement qu’il soit solitaire ou en groupe des danseurs. Par la danse et les rythmes afro-américains, une immersion dans l’essence du mouvement et le caractère sacré de l’art comme une force libératrice exutoire des maux de l’être humain et sa résistance contre l’injustice. En effectuant une recherche aux origines de la danse et de la musique jazz, Nadj questionne aussi les origines douloureuses de cette musique issue de la rencontre entre musique européenne et africaine à travers l’esclavage et les milliers des Africains emmenés pour travailler comme esclaves dans les champs de coton de l’Amérique. Débutant torses nus, les danseurs finissent par porter des costumes et des masques comme l’homme blanc, une manière de sonner la fin de l’esclavage et le début de l’assimilation. Restent les couleurs et les pieds nus du danseur, seul lien restant avec la terre, l’essence et l’origine de l’humanité. De la magie du corps, des rythmes, de l’interprétation authentique des danseurs, «Full Moon» de Josef Nadj rend hommage à la culture africaine, au métissage, à la différence et à l’art comme moyen de libération et d’affirmation de notre humanité.

Crédit : © Bayrem Ben Mrad

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75 % des médecins tunisiens à l’étranger souhaitent revenir : le ministère promet des mesures incitatives

Le ministre de la Santé, Mostafa Farjani, a annoncé ce vendredi que 75 % des médecins tunisiens travaillant à l’étranger souhaitent revenir en Tunisie, selon une étude réalisée par l’Institut tunisien des études stratégiques (ITES).

Ce constat souligne la nécessité d’accélérer les efforts pour créer un cadre attractif favorisant leur retour, grâce à des mécanismes d’incitation, des conditions de travail optimales et des moyens adaptés.

Dans une déclaration accordée à la TAP en marge du 28ᵉ Congrès national de médecine de réanimation à Hammamet, le ministre a précisé que l’étude, réalisée sous l’égide de la Présidence de la République, met en évidence deux axes majeurs : la motivation et la valorisation des professionnels de santé, ainsi que la création d’un environnement de travail moderne et efficace.

Des réformes attendues dès 2025

Selon le ministre, le gouvernement s’est engagé à agir sur ces deux priorités et prévoit de voir les premiers résultats dès 2025. Il s’agit, entre autres, de renforcer l’équipement médical, d’introduire des technologies modernes, et de mettre en place des conditions favorables au retour des compétences médicales expatriées.

Concernant la couverture sanitaire, Farjani a rappelé que 3.000 recrutements ont été réalisés en 2023 et que 3.500 nouveaux postes seront ouverts d’ici 2025.

Un effort particulier sera consacré à pallier le manque de ressources humaines dans les spécialités critiques, comme la médecine d’urgence, le transport médical, la chirurgie, les soins intensifs et la réanimation.

Le ministre a également souligné l’importance de la télémédecine pour améliorer les soins dans les régions. Cette technologie, déjà en usage dans certains hôpitaux tunisiens, permet aux médecins des grandes villes de gérer à distance des cas critiques et d’aider leurs confrères dans les hôpitaux régionaux à diagnostiquer et soigner des patients en situation d’urgence.

Par ailleurs, l’année 2025 marquera un tournant avec l’ouverture du premier hôpital virtuel en Tunisie, grâce à une couverture informatique déjà réalisée à 95 %. L’objectif est de connecter les systèmes de santé entre eux, notamment avec le ministère des Affaires sociales, afin de construire une plateforme numérique plus intégrée et efficace.

Sur un autre plan, le ministre a insisté sur l’importance de développer les unités de réanimation dans tous les hôpitaux régionaux pour rapprocher les soins critiques des citoyens. Il a également appelé à tirer les leçons de la pandémie de Covid-19, qui a révélé un besoin urgent de lits de réanimation, d’équipements modernes et de formations continues pour les professionnels de santé.

Enfin, Farjani a salué les efforts et le dévouement des “soldats en blouse blanche” – médecins, infirmiers et personnels de santé – qui ont fait preuve de résilience face à la pandémie. Il a souligné que le ministère s’engage à renforcer leurs capacités et à améliorer leurs conditions de travail pour répondre efficacement aux crises futures.

Il est à rappeler que le 28ᵉ Congrès national de médecine de réanimation et les 18ᵉ Journées scientifiques des cadres paramédicaux, organisés par l’Association tunisienne de médecine de réanimation à Hammamet, rassemblent plus de 500 participants, dont des spécialistes venus de France, d’Algérie, de Libye, du Maroc, de Mauritanie et d’Égypte. Cet événement est l’occasion de débattre des enjeux majeurs de la réanimation, de partager les dernières avancées scientifiques et d’organiser des ateliers sur des thèmes clés comme la ventilation artificielle, l’insuffisance respiratoire aiguë et les infections sévères.

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Tunisie – IPDAYS 2024 : Accélérer la transition écologique, technologique et entrepreneuriale

Après le succès engrangé par les deux éditions précédentes, les IPDAYS, le rendez-vous incontournable des entrepreneurs en quête de transformation et d’innovation, reviennent encore cette année avec un thème d’une extrême importance: la transition.
Ce thème inclut à la fois la transition écologique, nécessaire pour préserver nos ressources et lutter contre les changements climatiques, la transition technologique, qui accélère l’innovation et la transformation des entreprises et la transition entrepreneuriale qui met en lumière les compétences et les mentalités nécessaires pour que les entrepreneurs deviennent des agents de changement.
C’est conscient de l’importance de ce thème à l’heure où les défis environnementaux, technologiques et économiques s’entremêlent, que les INNO’PRENEURS DAYS 2024 ont organisé les 28 et 29 novembre 2024 à Hammamet, cette manifestation avec pour ambition d’attirer l’attention des entrepreneurs, des institutions et des individus sur l’urgence de s’adapter aux mutations rapides dans des secteurs-clés. A savoir la durabilité environnementale, la lutte contre les changements climatiques, l’intelligence artificielle, l’innovation, les technologies de pointe…

Une approche inclusive et responsable

En croisant les enjeux de transition écologique, technologique et entrepreneuriale avec une analyse de genre, les IPDAYS 2024 visent à promouvoir une inclusion véritablement globale.
La transition, au-delà d’un simple changement, symbolise une mutation profonde vers des pratiques répondant aux impératifs de durabilité, d’inclusion et d’innovation, tout en permettantune collaboration fructueuse entre les acteurs publics, privés et la société civile.
Des secteurs clés comme l’économie verte et bleue, l’économie circulaire, la DeepTech et l’IA se trouvent au cœur de cette transformation et redéfinissent nos façons de produire, de consommer et d’interagir, tout en relevant les grands défis de notre époque.

Formations, panels et ateliers

Ces journées ont réuni un grand nombre d’experts autour des trois transitions majeures : écologique, technologique et entrepreneuriale.
-La transition écologique: Face à la gravité des impacts climatiques sur nos ressources, nos modes de vie et nos entreprises, la transition écologique est essentielle.Aujourd’hui plus que jamais, il est crucial de trouver des solutions innovantes. Cette transition repose sur l’économie verte, circulaire et durable, favorisant des pratiques respectueuses de l’environnement tout en soutenant la croissance économique.
-La transition technologique: en tant que catalyseurs de changement, l’IA et les DeepTech offrent des solutions puissantes pour résoudre des défis complexes de durabilité, d’efficacité et d’inclusion. Ces innovations peuvent permettre de réinventer les processus économiques tout en renforçant l’impact social et environnemental des entreprises, qu’elles soient grandes ou petites.
-La transition entrepreneuriale: celle-ci met en lumière les compétences et les mentalités nécessaires pour que les entrepreneurs deviennent des agents de changement dans ce nouveau paradigme. Ces acteurs majeurs de la transition devraient, à travers des initiatives innovantes, être capables de passer des concepts théoriques aux actions concrètes.
Des programmes de formations, panels et ateliers ont été animés par de nombreux experts. Retenons des formations sur le pilotage des finances de l’entreprise vers le succès, la transition durable pour les Petites Entreprises, comment comprendre et réduire son empreinte carbone. Des ateliers sur la transition écologique et RSE, le management, l’impact des technologies immersives sur les comportements des consommateurs…Sans compter les masterclass sur l’intelligence artificielle, les enjeux de la décarbonation…
En s’inscrivent dans une dynamique de transformation profonde et en intégrant l’innovation, l’inclusion et la durabilité, ces journées ont permis aux participants d’acquérir des compétences et outils pratiques pour naviguer dans ces mutations, de créer des réseaux solides avec des experts, entrepreneurs et investisseurs, de clarifier leur vision de la transition et identifier des stratégies concrètes pour contribuer à un avenir inclusif et plus durable.
En définitive, les IPDAYS 2024 ont pu offrir aux participants des perspectives concrètes sur la manière de s’engager activement dans cette transition, en combinant écologie, technologie et entrepreneuriat, avec pour objectif ultime de contribuer à construire ensemble un avenir prospère etrésilient.

D’après communiqué

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Tunisie : 95% de la première phase du raccordement au gaz naturel à Bizerte achevés

L’avancement des travaux de raccordement du gouvernorat de Bizerte au réseau de gaz naturel a fait l’objet d’une séance de travail tenue, cette semaine, au siège du gouvernorat.

A cette occasion, le gouverneur de Bizerte, Salem Ben Yaacoub, a insisté sur la nécessité d’accélérer l’exécution de tous les volets techniques, administratifs et fonciers du projet afin d’assurer l’approvisionnement de 14 zones municipales en gaz naturel dans les plus brefs délais.

De son côté, le chef du chantier a indiqué que la première phase du projet réalisé à Bizerte-est sur une distance de 140 km a atteint un taux de 95% et devrait être achevée dans deux mois.

La deuxième tranche du projet qui comprend les délégations de Mateur, Menzel Bourguiba, Tinja, Bizerte-nord et Bizerte-sud a atteint un taux d’avancement de 55%.

Le projet de raccordement du gouvernorat de Bizerte au réseau de gaz naturel, dont le coût s’élève à 135 millions, consiste notamment en l’installation de gazoduc sur une distance de 290 km.

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La Tunisie réaffirme son appui à la demande d’admission de l’État de Palestine à l’ONU

La Tunisie a réaffirmé son soutien inconditionnel au droit des Palestiniens à l’autodétermination et à l’établissement d’un État indépendant et souverain sur tout le territoire de la Palestine, avec Al-Qods Al-Charif pour capitale.

Dans une déclaration publiée, vendredi, à l’occasion de la journée internationale de solidarité avec le peuple palestinien, la Tunisie a réitéré son appui à la demande d’admission de Palestine à l’Onu en tant que membre de plein droit, se félicitant de la vague de reconnaissance internationale de l’État de Palestine.

Dans le même contexte, elle appelle la communauté internationale à agir immédiatement et de manière responsable pour mettre fin à la guerre systématique menée contre le peuple palestinien à Gaza et dans le reste des territoires palestiniens occupés.

Le Conseil de sécurité se doit d’assumer son rôle naturel et sa responsabilité historique dans le maintien de la paix et de la sécurité internationales en imposant un cessez-le-feu immédiat, en mettant fin à l’agression odieuse contre le peuple palestinien démuni de tout outil de défense, en empêchant tous les plans de déplacement forcé et en imposant l’entrée de l’aide humanitaire sans délai et sans condition, lit-on dans la déclaration.

La Tunisie a, en outre, appelé tous les États « à aller au-delà des discours sans impact réel et des déclarations de position, pour prendre des mesures concrètes afin de consolider la justice internationale et de s’acquitter de leurs obligations envers l’humanité tout entière ».

Pour la Tunisie, le peuple palestinien n’a plus seulement besoin de solidarité et de sympathie, mais plutôt d’actions pour recouvrer son droit à l’autodétermination, un droit évident reconnu à la fois par la Cour Internationale de Justice et par l’Assemblée Générale des Nations Unies.

La décision de la Cour met la communauté internationale devant une épreuve décisive pour son engagement à consacrer le principe de la primauté du droit international et à faire respecter ces règles par tous, sans exception , sans sélectivité et loin des doubles standards, lit-on de même source.

A cet égard, la Tunisie dit regretter le mutisme de la communauté internationale et considère que l’échec à faire respecter le droit international humanitaire, malgré les mesures conservatoires décrétées par la CIJ pour protéger les Palestiniens contre le danger de génocide, ne fait que saper la confiance des peuples dans la capacité du système des Nations Unies à maintenir la paix et la sécurité internationales.

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Mondial 2026 : tout savoir sur les chapeaux européens avant le tirage

La FIFA a annoncé aujourd’hui la répartition des équipes européennes dans les chapeaux en vue du tirage au sort des qualifications pour la Coupe du Monde 2026, qui se déroulera aux États-Unis, au Canada et au Mexique.

Le tirage au sort aura lieu au siège de la FIFA, à Zurich, le vendredi 13 décembre 2024. Cinquante-quatre nations européennes s’engageront dans ces qualifications, qui se dérouleront entre mars 2025 et mars 2026.

Seize équipes européennes décrocheront leur billet pour le Mondial 2026. Douze d’entre elles obtiendront leur place en remportant leur groupe de qualification. Les quatre autres équipes seront qualifiées via un système de barrages.

Répartition des chapeaux pour pour le tirage au sort des qualifications européennes :

• Chapeau 1 : France, Espagne, Angleterre, Portugal, Pays-Bas, Belgique, Italie, Allemagne, Croatie, Suisse, Danemark, Autriche.

• Chapeau 2 : Ukraine, Suède, Turquie, Pays de Galles, Hongrie, Serbie, Pologne, Roumanie, Grèce, Slovaquie, Tchéquie, Norvège.

• Chapeau 3 : Écosse, Slovénie, Irlande, Albanie, Macédoine du Nord, Géorgie, Finlande, Islande, Irlande du Nord, Monténégro, Bosnie-Herzégovine.

• Chapeau 4 : Bulgarie, Luxembourg, Biélorussie, Kosovo, Arménie, Kazakhstan, Azerbaïdjan, Estonie, Chypre, Îles Féroé, Lettonie, Lituanie.

* Chapeau 5 : Moldavie, Malte, Andorre, Gibraltar, Liechtenstein, Saint-Marin.

La compétition promet d’être intense, alors que les meilleures équipes européennes s’affrontent pour une place sur la plus grande scène mondiale du football.

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Tunisie : promouvoir les opportunités d’emploi à l’étranger à travers la coopération internationale

Une séance de travail qui a réuni, le jeudi, le ministre de l’Emploi et de la Formation Professionnelle, Riad Shawd, et une délégation du Centre International pour le Développement des Politiques Migratoires (CIDPM) a abouti à la conclusion d’un accord sur la mise en œuvre d’un programme conjoint de coopération selon un communiqué officiel du ministère.

Cette réunion qui s’inscrit dans le cadre de la promotion des relations avec les organisations internationales dans le domaine de l’emploi et de la formation professionnelle, s’est articulée autour des possibilités et des opportunités de coopération relatives à l’emploi à l’étranger et à la formation professionnelle.

Le ministre a souligné, à cette occasion, que le système international d’emploi est considéré comme un axe majeur des politiques nationales d’emploi, qui sont activées à travers des programmes de coopération internationale dans le but d’offrir des opportunités de recrutement équitables et une protection à tous ceux qui recherchent des opportunités d’emploi à l’étranger, d’autant plus que l’immigration et la notion de mobilité représentent une source de croissance économique, sociale et culturelle pour les différents acteurs.

De son côté, la délégation du Centre International pour le Développement des Politiques Migratoires, composée du responsable chargé du dossier migration, dialogue et développement du Centre, Sadaf Darnaq, du directeur régional pour la région méditerranéenne, Julian Simon, et du chef du bureau du centre, Lamin Abbad, a exprimé sa volonté de coopérer avec le ministère dans les domaines de l’emploi à l’étranger, de la migration circulaire et de la mobilité du travail.

La réunion s’est également déroulée en présence du directeur général de la Coopération internationale et des Relations extérieures du ministère, Mounir Al-Dakhli, du directeur général de l’Emploi à l’étranger et du travail étranger, Ahmed Al-Massoudi, et d’un certain nombre de cadres.

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Programme AGC : une réussite pour 101 entreprises tunisiennes

Les résultats du programme AGC, « Appui à la Gestion des Crises pour les PME en Tunisie », ont été célébrés lors d’une cérémonie de clôture organisée en présence du ministère de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie, ainsi que de nombreux partenaires clés. Parmi eux, des représentants de l’écosystème industriel et des chefs d’entreprise se sont réunis pour saluer les accomplissements de cette initiative.

Lancé pour accompagner les petites et moyennes entreprises tunisiennes dans la gestion des crises et des défis économiques, le programme AGC a apporté un soutien concret à 101 entreprises issues de divers secteurs industriels.

Ce programme s’inscrit dans le cadre d’une collaboration entre SCORE, un projet mis en œuvre par l’Organisation Internationale du Travail (OIT), et le projet « Croissance Qualitative pour l’Emploi », financé par le ministère fédéral allemand de la Coopération économique et du Développement (BMZ) et l’Union européenne (UE). Sa mise en œuvre a été assurée par la GIZ Tunisie en partenariat avec le ministère de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie.

L’approche participative du programme a été au cœur de son succès. Elle a impliqué étroitement les employeurs, les salariés et des experts nationaux, pour la plupart issus des structures d’appui publiques. Cette collaboration a permis de concevoir des solutions adaptées aux besoins spécifiques des entreprises. Les formations pratiques et les outils développés dans ce cadre ont contribué à améliorer l’organisation interne des entreprises, à réduire les risques liés au travail et à adopter des pratiques plus efficaces et durables.

Le programme a donné lieu à des résultats significatifs. Ainsi, 95 % des PME accompagnées ont mis en place des mécanismes de dialogue social et de coopération interne, renforçant leur organisation et leur capacité à résoudre les problèmes. Par ailleurs, 59 % des entreprises ont réussi à réaliser des économies grâce à l’adoption de pratiques plus efficaces et durables. Ces avancées ont été largement saluées par les participants : 94 % d’entre eux ont exprimé leur satisfaction quant à la qualité des formations, tandis que les formateurs ont également été reconnus pour leur professionnalisme.

Lors de la cérémonie de clôture, un représentant du ministère de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie a souligné que le programme AGC avait permis de soutenir une centaine d’entreprises, les aidant à renforcer leur résilience face aux crises. « En renforçant leurs capacités à surmonter les crises, les PME se positionnent comme des acteurs essentiels du développement économique de la Tunisie. Le succès d’AGC repose sur une vision commune : des entreprises résilientes, capables de s’adapter et de prospérer. Ces réalisations témoignent du potentiel immense des PME tunisiennes lorsqu’un accompagnement ciblé et concret est mis en place. »

L’impact du programme dépasse le cadre des résultats immédiats. Grâce à AGC, de nombreuses entreprises disposent désormais des outils nécessaires pour pérenniser les changements amorcés. Le renforcement des capacités de gestion, associé à une meilleure organisation interne, a contribué non seulement à améliorer les performances économiques, mais également à optimiser les conditions de travail.

Les témoignages des entreprises bénéficiaires illustrent bien ces avancées. Loubna Jabeur, de l’entreprise TUNITEX, a expliqué que le module SCORE Plan de continuité des activités (PCA) avait permis d’identifier et de gérer les risques critiques, stabilisant ainsi les opérations dans une période difficile. Walid Ben Amor, président de Pratique Électronique, a pour sa part mis en avant l’optimisation des processus internes et le renforcement de la communication au sein des équipes, facteurs clés pour une meilleure réactivité face aux défis quotidiens. De son côté, Ghribi, représentant de COFICAB, a souligné que le programme avait permis d’identifier des opportunités d’amélioration auparavant insoupçonnées. Ces efforts se traduisent aujourd’hui par des pratiques plus durables et des résultats visibles tant sur le plan de la productivité que sur celui de la satisfaction des employés.

La cérémonie de clôture a également permis de célébrer l’engagement collectif des partenaires impliqués, déterminés à poursuivre leur soutien en faveur de l’innovation et de la résilience des entreprises tunisiennes.

La Presse avec cp

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Tunisie – Vers une société vieillissante : 17 % de la population sera âgée d’ici 2029

Hier jeudi, le Ministère de la Famille, de la Femme, de l’Enfant et des Personnes âgées a organisé une série d’ateliers consacrés à la finalisation du processus d’élaboration du plan exécutif de la stratégie nationale multisectorielle pour les personnes âgées à l’horizon 2030, lancée en octobre, d’après le communiqué publié sur la page officielle du ministère sur le site de réseau social Facebook.

Au cours du sixième et dernier atelier organisé au Centre National de l’Informatique pour l’Enfant, le cinquième axe de la stratégie liée à l’élaboration de politiques en faveur des seniors a été débattu, en examinant les moyens d’élaborer et de réviser le cadre législatif pour les personnes âgées afin de parvenir à une meilleure gestion des établissements, des programmes et des services qui leur sont destinés.

Selon le texte du communiqué, les participants, parmi lesquels figurent des représentants des ministères concernés, des représentants d’associations et d’organisations nationales et un certain nombre de cadres ministériels, ont abordé les outils et les mécanismes permettant de développer et promouvoir les différentes institutions impliquées dans ce domaine, sachant que cette stratégie prévoit de cibler le plus grand nombre de catégories de personnes âgées. Ces derniers ont également discuté des moyens de développer les différentes ressources humaines exerçant dans le domaine lié des personnes âgées, afin de mettre à profit leur savoir-faire et leurs compétences au service du bien-être de cette catégorie d’âge et d’établir un système d’information et de suivi sur les besoins des personnes âgées, afin d’avoir une meilleure connaissance de leur situation et des prestations et des services dont ils ont besoin.

Il est à noter qu’à l’occasion de la célébration en Tunisie de la Journée internationale des personnes âgées, la ministre de la Famille, de la Femme, de l’Enfant et des Personnes âgées, Asma Jabri, a annoncé, le 1er octobre dernier, le lancement du plan exécutif pour la mise en place une stratégie nationale sectorielle pour les personnes âgées à l’horizon 2030, sous le slogan « Vieillissement actif et vie décente ».

Il est à noter que la catégorie des personnes âgées connaît une augmentation rapide, atteignant 14,2% de la population générale en 2021, et on s’attend, selon les projections démographiques, à ce que leur pourcentage dépasse 17% d’ici 2029, et que la durée de vie l’espérance

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