Lese-Ansicht

Es gibt neue verfügbare Artikel. Klicken Sie, um die Seite zu aktualisieren.

Tunisie : Samir Abid à la tête de la 38e session du Conseil National du Commerce

Dans une démarche importante visant à renforcer la coopération entre les différents acteurs du secteur commercial, le ministre du Commerce et du Développement des Exportations, Samir Abid, a présidé les travaux de la 38e du Conseil National du Commerce. Cette édition, tenue au siège du Centre de Promotion des Exportations (CEPEX), a réuni plusieurs personnalités influentes du secteur, notamment le président de l’Union Tunisienne de l’Industrie, du Commerce et de l’Artisanat (UTICA), le président du Conseil de la Concurrence, ainsi que des représentants des structures ministérielles et administratives, des membres du secteur privé et des organisations de la société civile.

Dans son discours, le ministre a souligné l’importance de ces rencontres régulières, qui renforcent la culture du dialogue et de la coordination entre le ministère et les structures professionnelles, ainsi que les ministères concernés. Il a insisté sur la nécessité de discuter des enjeux cruciaux du secteur commercial, afin de favoriser un dialogue constructif d’idées et de propositions afin d’optimiser la performance commerciale, en réponse aux défis et aux exigences des marchés locaux et internationaux.

Abid a également souligné la nécessité d’identifier et d’analyser les faiblesses du secteur commercial, afin de mettre en place des mesures correctives visant à améliorer la compétitivité, tout en renforçant les mécanismes de contrôle pour lutter contre les pratiques anticoncurrentielles et de spéculation. Il a insisté sur l’importance de garantir la transparence dans les transactions commerciales, en particulier face aux conditions exceptionnelles que traverse le pays en matière d’approvisionnement du marché. L’objectif est d’assurer une stabilité des prix et de préserver le pouvoir d’achat des citoyens.

Au cours des discussions, le Conseil a examiné plusieurs axes stratégiques majeurs, notamment l’organisation des circuits de distribution, les programmes de qualification des produits agricoles et de la pêche, ainsi que le suivi des projets des infrastructures commerciales dans les gouvernorats de Bizerte, Sidi Bouzid et Médenine (Ben Guerdane). Une attention particulière a été portée sur le programme de numérisation des marchés de gros et l’instauration d’un système interne modèle pour les marchés de production, une avancée importante pour la modernisation du secteur.

Par ailleurs, le rôle du Conseil de la Concurrence dans la régulation du marché et la promotion d’une concurrence loyale a également été un sujet central des débats, tout comme la planification des programmes et événements commerciaux à venir. Tous les participants ont convenu de la nécessité de renforcer la synergie entre les différents acteurs pour atteindre les objectifs du Conseil, véritable plateforme d’échanges pour améliorer le secteur commercial.

A la fin de la rencontre, Abid a réaffirmé la nécessité d’un effort collectif pour construire un système commercial plus transparent et efficace, afin d’améliorer les services aux consommateurs et garantir la stabilité du marché tunisien face aux défis économiques.

L’article Tunisie : Samir Abid à la tête de la 38e session du Conseil National du Commerce est apparu en premier sur La Presse de Tunisie.

Tunisie – Lutte contre la spéculation : le ministère du Commerce renforce les mesures de contrôle

Le ministre du Commerce et du Développement des Exportations, Samir Obeid, a présidé une réunion stratégique avec les directeurs généraux du ministère, les directeurs régionaux et les autorités sécuritaires, dans le but de renforcer les efforts de contrôle des prix et de lutter contre la spéculation.

Cette rencontre s’inscrit dans le cadre de l’application des recommandations du Président de la République, appelant à une vigilance constante pour éradiquer les dérives économiques tout au long de l’année.

Lors de cette réunion, le ministre a salué les progrès réalisés grâce aux récentes interventions de contrôle menées dans tout le pays, soulignant les résultats positifs obtenus dans la lutte contre les monopoles et les hausses injustifiées des prix. Il a assuré que ces actions se poursuivront avec une intensité accrue et des mécanismes de travail renforcés, visant à maximiser leur visibilité sur le terrain et à améliorer la situation pour les citoyens.

Obeid a également évoqué la nécessité de renforcer les sanctions, en particulier contre les grands monopoleurs. Il a insisté sur l’importance d’un suivi rigoureux pour détecter les violations majeures qui perturbent l’équilibre du marché. Le ministre a précisé que l’objectif principal reste d’agir rapidement pour corriger les irrégularités tout en favorisant une approche de dialogue avec les parties prenantes, renforçant ainsi la confiance entre les citoyens et les commerçants.

De leur côté, les autorités sécuritaires ont réaffirmé leur engagement à soutenir les opérations de contrôle économique. Le Ministère de l’Intérieur a promis de mobiliser toutes les ressources nécessaires, tant humaines que logistiques, pour aider à démanteler les réseaux parallèles et garantir la fluidité des circuits de distribution.

La réunion a également permis de faire le point sur les mesures prises pour sécuriser l’approvisionnement en produits essentiels comme la viande blanche, le lait et les pommes de terre. En outre, des ajustements seront effectués pour mieux réguler le marché de gros de Bir El Kassaâ, avec un approvisionnement suffisant garanti par l’Office du Commerce de la Tunisie.

L’article Tunisie – Lutte contre la spéculation : le ministère du Commerce renforce les mesures de contrôle est apparu en premier sur La Presse de Tunisie.

Crise des voitures populaires en Tunisie : trois concessionnaires se retirent face à un plafond de prix

Alors que la classe moyenne aspirait, il y a plus de vingt ans, à posséder des voitures populaires, ce secteur se trouve aujourd’hui dans une situation délicate. En effet, le marché tunisien est depuis plusieurs années envahi par les véhicules d’entrée de gamme.

Ibrahim Debbache, président de la chambre syndicale des concessionnaires et constructeurs automobiles, a déclaré que trois concessionnaires ont choisi de ne pas importer ni vendre de voitures populaires, en raison d’un plafond de prix fixé à 35.000 dinars.

Lors d’une intervention le 21 novembre 2024 sur Diwan FM, il a précisé qu’habituellement, plus d’une dizaine de concessionnaires importaient environ 10 000 voitures populaires par an.

Cependant, pour 2024, seuls six à sept concessionnaires ont effectué cette importation, introduisant près de 7 000 voitures sur le marché tunisien. 

Il précise dans ce contexte : « Nous commençons par aborder l’année 2024, avec un quota fixé à 10 000 voitures populaires, indiquant une demande stagnante parmi six ou sept marques. À ce jour, environ 7 000 voitures ont été importées et distribuées en Tunisie pour 2024. Nous avons observé qu’à la fin juin, des retards d’importation se sont produits en raison d’une décision du ministère du Commerce qui a imposé un prix maximum de 35 000 dinars pour les modèles. Ce qui a empêché certaines marques d’atteindre leurs objectifs d’importation. »

 

 

 

L’article Crise des voitures populaires en Tunisie : trois concessionnaires se retirent face à un plafond de prix est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Tunisie – Hausse des prix des voitures populaires : le ministère du Commerce s’exprime sur les demandes d’augmentation

Le directeur du commerce extérieur au ministère du Commerce et du Développement des exportations, Fathi Bedour, a annoncé que le taux d’avancement des importations de voitures populaires pour l’année 2024 a atteint 65 %, avec l’importation de 6.500 voitures depuis le début de l’année jusqu’au 18 novembre courant.

Dans une déclaration accordée au journal Assabah dans son édition de ce mardi, le responsable a précisé que pour l’année 2025, qui s’étendra du 1er janvier au 31 décembre, il est prévu d’importer 10.000 voitures populaires.

Prix plafonnés pour préserver le pouvoir d’achat des citoyens

Fathi Bedour a également rappelé que pour l’année 2024, les prix des voitures populaires oscillent entre 28.000 et 35.000 dinars. Actuellement, sept concessionnaires participent à ce programme, contre dix lors des années précédentes.

Il a indiqué que certains concessionnaires avaient proposé une augmentation des prix pour l’année 2024, arguant que certaines catégories de voitures européennes dépassaient le plafond de 35.000 dinars. Cependant, le ministère a rejeté cette demande, préférant préserver le pouvoir d’achat des citoyens. Ainsi, un plafond de 35.000 dinars a été maintenu.

Pour l’année 2025, le directeur du commerce extérieur a assuré que le ministère continuera de prendre en compte les capacités financières des citoyens tout en maximisant l’offre de ce type de véhicules.

Cette initiative sera menée en coordination avec les concessionnaires inscrits dans ce programme.

L’article Tunisie – Hausse des prix des voitures populaires : le ministère du Commerce s’exprime sur les demandes d’augmentation est apparu en premier sur La Presse de Tunisie.

❌