Lese-Ansicht

Es gibt neue verfügbare Artikel. Klicken Sie, um die Seite zu aktualisieren.

Comment le théâtre peut-il aider les enfants à s’épanouir ? Réponse au Festival Néapolis !

Neapolis EnfantsLa 37ème édition du Festival International Néapolis de Théâtre pour Enfants, est prévue du 22 au 29 décembre 2024.

Outre la Tunisie, le festival verra la participation de troupes théâtrales en provenance de 16 pays : Algérie, Arabie Saoudite, Bahreïn, Belgique, Chine, Égypte, Émirats Arabes Unis, Espagne, France, Hongrie, Indonésie, Irak, Iran, Maroc, Palestine et Russie.

Des spectacles de théâtre, de danse et des performances pluridisciplinaires sont au programme de cette édition 2024. Le festival qu’abrite chaque année la ville de Nabeul prévoit une sélection de 21 spectacles dont 12 tunisiens.

Nabeul vivra au rythme des spectacles de rue qui auront lieu quotidiennement tout au long de la durée du festival. La programmation couvrira également certaines villes relevant du gouvernorat de Nabeul, à savoir Kélibia, Grombalia, Maâmoura, Korba, Haouaria et Hammamet.

D’autres spectacles seront organisés dans différentes villes à travers la république dont Tunis, Bizerte, Kairouan, Agareb et Sfax.

Le festival est habituellement axé sur les sections suivantes : les Journées de Néapolis du théâtre pour enfant, les Journées de Néapolis du théâtre des contes et les Journées de Néapolis du théâtre scolaire qui est une section à vocation internationale pour les institutions scolaires publiques et privées.

Comme chaque année, la programmation parallèle sera composée de conférences, de tables rondes et d’ateliers de théâtre pour enfants et pour adultes.

Le Festival international Néapolis du théâtre pour enfants est organisé par l’association Néapolis en partenariat avec la délégation régionale des Affaires culturelles et la municipalité de Nabeul.

Depuis sa première édition en 1980, le Festival s’est donné pour objectif de faire du théâtre pour enfants un outil efficace pour s’exprimer, s’épanouir et former une personnalité équilibrée à travers la culture théâtrale.

La galerie Alexandre Roubtzoff célèbre une décennie d’art et de passion avec l’exposition “Les Pionniers”

A l’occasion de la célébration en ce mois de novembre 2024 de son 10ème anniversaire, la Galerie Alexandre Roubtzoff organise une exposition intitulée «Les Pionniers», du 30 novembre au 31 Décembre 2024.

Inaugurée le 26 novembre 2014, une date qui coïncidait avec le 65ème anniversaire du décès d’Alexandre Roubtzoff, l’un des plus grands peintres ayant marqué l’histoire artistique de la Tunisie, la galerie rend hommage, en célébrant une décennie d’art et de passion, à Alexandre Roubtzoff (1884-1949) et à dix figures majeures de l’art tunisien dont des membres emblématiques de l’Ecole de Tunis :

-Aly Ben Salem (1910-2001),
-Ammar Farhat (1911-1987),
-Noureddine Khayachi (1918-1987),
-Jellal Ben Abdallah (1921-2017),
-Hedi Turki (1922-2019)
-Zoubeir Turki (1924-2009)
-Ali Bellagha (1924-2006)
-Abdelaziz Gorgi (1928-2008)
-Brahim Dhahak (1931-2011)
-Mahmoud Sehili (1931-2015).

L’Union des écrivains tunisiens s’oppose à l’évacuation de son siège historique

L’Union des écrivains tunisiens dénonce l’évacuation de son siège historique par le ministère des Domaines de l’État

L’Union des écrivains tunisiens a fermement condamné la décision du ministère des Domaines de l’État et des Affaires foncières d’évacuer son siège historique, un lieu qui a accueilli les activités littéraires en Tunisie pendant plus de 50 ans. Ce geste, jugé « injustifié et surprenant », intervient alors que l’Union s’apprêtait à recevoir officiellement le bâtiment après avoir présenté un dossier complet et conforme aux exigences légales.

Dans une correspondance officielle publiée sur la page Facebook de l’Union, la ministre des Affaires culturelles a expliqué que cette décision s’inscrit dans le cadre de la « bonne gestion du réserve foncier du ministère ». Le département ministériel  a demandé l’évacuation du siège dans un délai d’un mois à partir de la date de la réception de la correspondance. Toutefois, l’Union des écrivains tunisiens estime que cette justification ne tient pas compte des conséquences culturelles et politiques de cette décision, qui pourrait nuire à la scène littéraire tunisienne et marginaliser le rôle historique qu’elle joue dans la préservation de la culture nationale. De plus, l’Union souligne que ce siège est un symbole de l’identité des écrivains tunisiens et un lieu essentiel pour la promotion de leur héritage culturel.

Une menace pour la culture tunisienne et les écrivains

L’Union des écrivains tunisiens a appelé le ministère des Affaires culturelles à prendre ses responsabilités et à reconsidérer cette décision. L’Union a souligné que le déménagement de son siège historique risquait d’affecter ses activités locales et internationales, et de perturber le rôle important qu’elle joue dans le développement de la culture tunisienne. Ce siège, selon l’Union, est bien plus qu’un simple bâtiment : il représente « l’identité et l’histoire culturelle » des écrivains tunisiens, un espace digne de leur héritage.

L’appel à la coopération pour préserver le siège historique

L’Union des écrivains tunisiens a insisté sur la nécessité d’un dialogue constructif avec le ministère des Affaires culturelles. L’Union propose de travailler en coopération pour rénover et améliorer le siège afin qu’il corresponde aux standards culturels du pays. L’objectif est de créer un environnement de travail digne des écrivains et intellectuels tunisiens, dans le respect des normes légales et constitutionnelles.

L’importance du dialogue et du respect des lois

L’Union a réaffirmé son engagement à poursuivre les négociations dans un esprit de respect mutuel et de collaboration. Elle a également réitéré sa volonté de défendre ses droits légitimes, notamment le droit constitutionnel à la culture, et de garantir un avenir pour les écrivains tunisiens dans un espace respectueux de leur histoire et de leur rôle dans la société.

Une solution à l’amiable en vue ? 

L’Union des écrivains tunisiens continue de plaider pour une solution amiable et urgente qui permette de maintenir ses activités culturelles et créatives dans son siège historique. Elle reste ouverte à la négociation avec le ministère, espérant trouver une issue favorable qui préserve son rôle central dans la culture tunisienne.

L’article L’Union des écrivains tunisiens s’oppose à l’évacuation de son siège historique est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Festival de théâtre de Derna : La pièce “Portail 52” de Dalila Meftahi rafle trois prix

La pièce de théâtre tunisienne “Portail 52” de Dalila Meftahi a remporté trois prix lors de la 6ème édition du Festival de théâtre de Derna en Libye, Derna al-zahira Theatre Festival, qui s’est déroulée du 15 au 21 novembre 2024.


“Portail 52” a remporté le prix de la meilleure oeuvre, le prix de la meilleure interprétation féminine attribué à la comédienne Abir Smidi et le prix du meilleur texte dramatique, décerné à Donia Mnasria.

“Portail 52” rend hommage aux femmes tunisiennes résistantes face au colon, battantes pour acquérir leur liberté et leurs droits dans leur pays. L’oeuvre qui met en lumière une partie de l’histoire de la Tunisie relative à l’engagement des femmes dans les mouvements de libération de 1952, réunit dans le jeu d’acteurs Dalila Meftahi, Abir Smidi, Shaima Toujani, Sanaa Hafedh et Kamel Kaabi.

JTC 2024 : Plus de 100 œuvres théâtrales de 30 pays à découvrir

Demain, lever de rideau sur la 25ème édition des Journées Théâtrales de Carthage (JTC). Du 23 au 30 novembre 2024, Tunis va vivre au rythme de ce bouillonnement théâtral avec la présentation de plus de cent œuvres des quatre coins du monde.

Cet événement majeur du quatrième art qui se déploiera durant toute une semaine dans pas moins de dix espaces culturels et artistiques s’annonce ambitieux, avec une programmation riche et diversifiée célébrant le théâtre non seulement comme oeuvre de créativité et d’expression mais aussi de réflexion et de résistance.

Réunissant des compagnies et des artistes venant de plus d’une trentaine de pays, le festival donnera aux théâtrophiles l’embarras du choix : spectacles, ateliers, conférences, rencontres, débats….autour des différents enjeux contemporains du monde théâtral dans toute sa richesse et diversité.

Etant une invitation à la découverte d’œuvres nouvelles et innovantes, d’ici et d’ailleurs, le festival est en résumé, un condensé d’œuvres de Tunisie, du monde arabe, d’Afrique, d’Asie, d’Amérique latine et d’Europe. Autant de créations qui traversent les frontières pour explorer des thématiques universelles telles que la résistance, l’exil, la liberté, l’émigration, la mémoire, l’héritage culturel etc. En bref, de nouveaux horizons et d’autres cultures à explorer à travers des œuvres issues de pays comme la Chine, représentée par “Star Returning”, une pièce du chorégraphe et metteur en scène samoan Lémi Ponifasio qui, en première mondiale en Tunisie, fera l’ouverture du festival demain samedi 23 novembre 2024, au Théâtre de l’Opéra-Cité de la Culture Chedly Klibi.

Les JTC sont certes un marathon de représentations, une course pour le Tanit, un jury qui tranche et un palmarès des grands vainqueurs, mais c’est aussi des traditions depuis 41 ans et des valeurs sures qui font son ADN. Portée par son engagement à défendre au fil de ses éditions, les valeurs de justice, de paix, de liberté pour les causes humaines, l’édition est placée cette année sous le slogan “Le théâtre de toutes les résistances… l’art de la vie”.

Etant un écrin de créativité mais aussi de mémoire, le festival honorera des figures emblématiques du quatrième art tunisien et arabe tout en rendant un hommage posthume aux artistes disparus qui ont enrichi les annales du quatrième art.

Avec cette 25ème édition qui promet une large immersion dans l’univers du théâtre national et international, entre découvertes esthétiques et expériences artistiques, Tunis s’apprête à vivre une semaine d’effervescence théâtrale célébrant le quatrième art dans toute sa splendeur et sa profondeur.

« Star-Returning » de Lemi Ponifasio en première mondiale à Tunis: Un appel à redécouvrir les racines de l’humanité

« Star-Returning », la dernière création du metteur en scène et chorégraphe samoan, Lemi Ponifasio, inaugurera, le 23 novembre, au Théâtre de l’Opéra, à la Cité de la culture Chedly Klibi, les Journées théâtrales de Carthage, en première mondiale.

Célèbre pour ses productions avant-gardistes et ses profondes méditations sur l’humanité, la culture et l’environnement, le metteur en scène et chorégraphe samoan, Lemi Ponifasio, présentera son œuvre inédite lors de la cérémonie d’ouverture de la 25e édition des Journées Théâtrales de Carthage (JTC). L’avant-première a eu lieu le 8 novembre en Chine.

« Star-Returning » est une œuvre artistique qui promet de captiver et d’inciter le spectateur à l’introspection et à la réflexion sur l’identité, la communauté et l’essence de l’existence.

Dans une interview exclusive accordée à l’Agence TAP, Lemi Ponifasio s’est confié sur son parcours artistique et la philosophie qui façonne son œuvre.

L’art comme un voyage de connexion

Chaque tentative de création scénique repose sur une idée centrale, a expliqué l’artiste. « C’est celle de rechercher les liens qui unissent toutes les dimensions de la vie : Homme à Homme, Homme à la nature, Homme au cosmos. »

De l’œuvre « Birds with Skymirrors », une exploration poignante du changement climatique, à « The Crimson House », une critique troublante du pouvoir, le répertoire de Lemi Ponifasio tisse des thèmes récurrents d’interconnexion.

« Dans toutes ces œuvres, je ressens une continuité, un même élan : cela constitue le travail de toute une vie. »

Un retour aux sources avec « Star-Returning »

Interrogé sur la continuité de ces thèmes dans « Star-Returning », Lemi Ponifasio décrit la pièce comme une invitation à revisiter les valeurs fondamentales qui nous ancrent. « C’est un appel à un retour aux sources », précise-t-il. « Le rôle de l’artiste est de ramener les gens à leur maison intérieure, là où ils se ressourcent, là où ils retrouvent leur place dans le monde.»

La pièce mêle mémoire, identité et tradition, tout en examinant leur résonance dans la modernité. « Revenir en arrière ne signifie pas retourner à d’anciennes habitudes », explique-t-il. « C’est marcher sur une route en constante évolution. J’espère que nous pourrons voir cette route telle qu’elle est : à la fois un témoignage de notre passé et une promesse de notre avenir. »

L’essence de « Star-Returning » se révèle à travers les voix et les chants d’artistes chinois, une démarche qui reflète l’engagement de Lemi Ponifasio à bâtir des ponts entre les cultures. « Votre corps est un vaisseau vivant qui porte le monde de vos ancêtres. Chaque pensée, chaque action s’inscrit dans une continuité – ils sont là, vous guidant, vous encourageant et vous critiquant. »

Pourquoi la Tunisie ?

Pour l’artiste, la Tunisie constitue un point de départ symbolique pour Star-Returning. « Pour moi, c’est une continuité : rencontrer les peuples du monde, combler les différences, échanger des idées ».

Mon art, dit-il, vise à inciter les spectateurs à voir le monde à travers leur propre prisme, libéré des influences extérieures. « Une grande partie de nos cultures a été détournée par la colonisation, l’éducation, la religion. La question centrale dans mon travail reste : qu’est-ce que cela signifie d’exister ? »

Pour lui, cette démarche s’accorde parfaitement avec la riche histoire culturelle de la Tunisie, carrefour de tradition et de modernité, offrant ainsi une scène idéale pour explorer les thèmes de l’identité et de l’appartenance.

Adapter pour des publics divers

Après l’avant-première de « Star-Returning » en Chine, Ponifasio déclare résister à la tentation d’adapter son travail à des publics spécifiques. « Chaque public apporte sa propre cosmovision », estime-t-il. Pour le public tunisien, il mise sur les thèmes universels de la famille, de la communauté et de la quête de sens pour garantir une résonance profonde.

Une offrande universelle

Ponifasio considère que l’adaptation de ses œuvres aux cultures de chaque public n’est pas une bonne idée. « Je ne connais ni la culture de la Tunisie ni celle de la Chine », souligne-t-il. « Mon rôle, c’est de rechercher les choses les plus belles et de les offrir au public, sans compromis. »

Cette philosophie reflète sa conviction en l’universalité de l’expérience humaine. Interrogé sur les parallèles entre le festival des Torches des Yi en Chine et les célébrations tunisiennes pendant le mois de Ramadan ou les mariages traditionnels, il affirme : « La culture est une chose complexe. Ce que les gens partagent dans leur existence est plus important que leurs différences culturelles. »

Une invitation poétique

En préparant « Star-Returning » pour la scène, Ponifasio insiste : « Je ne suis pas un conteur d’histoires. Mon travail vise à créer un moment de poésie, un moment d’éternité. »

Cette approche illustre sa volonté de défier la domination des récits eurocentriques dans l’art. Il critique notamment les interprétations réductrices des pratiques indigènes par des termes occidentaux, comme « danse ». « Dans ma culture, il n’y a pas de mot pour ‘danse’. Remplacer notre culture par ce mot, c’est détruire sa valeur, son sens et sa raison d’être. »

En quête d’avenir

Pour Ponifasio, Star-Returning en Tunisie est bien plus qu’une performance : c’est un geste de connexion. « Être ici, découvrir la culture, rencontrer les gens – c’est ma manière de les saluer. »

Alors que les Journées théâtrales de Carthage approchent, Ponifasio nous rappelle avec force : l’art n’est pas un outil pour imposer, mais un pont pour relier. Pas une histoire à dicter, mais un espace pour réfléchir.

Festival International Néapolis de Théâtre pour Enfants du 22 au 29 décembre 2024

La 37ème édition du Festival International Néapolis de Théâtre pour Enfants, est prévue du 22 au 29 décembre 2024. Outre la Tunisie, le festival verra la participation de troupes théâtrales en provenance de 16 pays : Algérie, Arabie Saoudite, Bahreïn, Belgique, Chine, Égypte, Émirats Arabes Unis, Espagne, France, Hongrie, Indonésie, Irak, Iran, Maroc, Palestine et Russie.

Des spectacles de théâtre, de danse et des performances pluridisciplinaires sont au programme de cette édition 2024. Le festival qu’abrite chaque année la ville de Nabeul prévoit une sélection de 21 spectacles dont 12 tunisiens.

Nabeul vivra au rythme des spectacles de rue qui auront lieu quotidiennement tout au long de la durée du festival. La programmation couvrira également certaines villes relevant du gouvernorat de Nabeul, à savoir Kélibia, Grombalia, Maâmoura, Korba, Haouaria et Hammamet.

D’autres spectacles seront organisés dans différentes villes à travers la république dont Tunis, Bizerte, Kairouan, Agareb et Sfax.

Le festival est habituellement axé sur les sections suivantes : les Journées de Néapolis du théâtre pour enfant, les Journées de Néapolis du théâtre des contes et les Journées de Néapolis du théâtre scolaire qui est une section à vocation internationale pour les institutions scolaires publiques et privées.

Comme chaque année, la programmation parallèle sera composée de conférences, de tables rondes et d’ateliers de théâtre pour enfants et pour adultes.

Le Festival international Néapolis du théâtre pour enfants est organisé par l’association Néapolis en partenariat avec la délégation régionale des Affaires culturelles et la municipalité de Nabeul.

Depuis sa première édition en 1980, le Festival s’est donné pour objectif de faire du théâtre pour enfants un outil efficace pour s’exprimer, s’épanouir et former une personnalité équilibrée à travers la culture théâtrale.

Avec TAP

L’article Festival International Néapolis de Théâtre pour Enfants du 22 au 29 décembre 2024 est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Festival international du film du Caire – Prix parallèles : deux distinctions pour le cinéma tunisien

Le cinéma tunisien vient de remporter deux distinctions. Et ce, dans le cadre des Prix parallèles de la 45ème édition du Festival international du film du Caire. Celle-ci se tient du 13 au 22 novembre en Egypte.

Le cinéma tunisien est à l’honneur. Le film « Mal Wa Banoun » de Houssem Sanassa obtient pour sa part une bourse de participation au Mosaik Post-Production Lab. Elle lui est décernée par The Royal Film Commission (RFC) de Jordanie.

De son côté, le film « Barsha » de la réalisatrice Nada Mezni Hfaiedh reçoit le prix « Rough Cut Lab Africa ». Ainsi, ces distinctions font partie des Prix parallèles du festival. En attendant l’annonce des lauréats des différentes catégories de la compétition officielle. En effet, elle aura lieu lors de la cérémonie de clôture.

Par ailleurs, en avant-première mondiale, le long-métrage « Nawar achiya » de la cinéaste et productrice tunisienne Khadija Lemkacher est en compétition officielle parmi une sélection de 17 films. En outre, le film « Qantra » de Walid Mattar est en lice dans la section « Horizons du cinéma arabe ».

Enfin, l’actrice tunisienne Dorra Zarrouk présentait, lors de ce rendez-vous cinématographique en avant-première, son film documentaire « Win Sirna » (The Life That Remains). A cet égard, notons qu c’est sa première expérience en tant que réalisatrice et productrice d’un film sur les conditions des réfugiés palestiniens.

Avec TAP

L’article Festival international du film du Caire – Prix parallèles : deux distinctions pour le cinéma tunisien est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Quand un média algérien découvre les maisons troglodytes tunisiennes

« Douz, Toudjane, Matmata… Ces noms évoquent des paysages lunaires, des étendues de sable à perte de vue et, nichées au cœur de ces décors grandioses, des habitations aussi étonnantes qu’authentiques : les maisons troglodytes en Tunisie ».

Voilà l’entame d’un article du site algérien algerie360.com titré « A la découverte des maisons troglodytes en Tunisie : un voyage au cœur des forteresses du désert ».

Le média revient sur l’histoire des maisons troglodytes pour souligner que celles-ci ont été creusées dans la roche depuis des millénaires par les Berbères et sont des demeures souterraines qui « sont bien plus qu’un simple héritage architectural  […] Elles sont un témoignage vivant d’une ingéniosité ancestrale et d’une adaptation remarquable à un environnement hostile ».

Pour les touristes férus d’histoire et de découvertes archéologiques, ces villages et régions de la Tunisie valent bien un détour. Il s’agit entre autres de Matmata, Chenini, Douiret, Guermessa, Tamezret…

Algerie360.com se demande « pourquoi avoir choisi de vivre sous terre? »Et il répond en deux mots : « la survie ». Tout en expliquant : « Dans un environnement aussi extrême que le désert tunisien, où les températures oscillent entre des chaleurs torrides et des nuits glaciales, ces habitations offraient une protection naturelle idéale. Les murs de roche, épais et isolants, tempéraient les variations thermiques, créant un microclimat intérieur stable et agréable. De plus, ces demeures étaient discrètes, un atout précieux en des temps où les raids et les invasions étaient fréquents ».

 

Ces maisons troglodytes ont été creusées dans la roche depuis des millénaires par les Berbères et sont des demeures souterraines qui « sont bien plus qu’un simple héritage architectural […] Elles sont un témoignage vivant d’une ingéniosité ancestrale et d’une adaptation remarquable à un environnement hostile ».

 

La même source rappelle que c’est le 7ème art qui a permis aux maisons troglodytes tunisiennes d’acquérir une renommée mondiale. « Qui ne se souvient de la célèbre maison de Luke Skywalker sur Tatooine, dans la saga Star Wars ? ». Et de souligner que « c’est dans l’une de ces habitations, nichée au cœur du désert tunisien, que Georges Lucas a choisi de situer le berceau du célèbre Jedi.

A partir de là, les maisons troglodytes tunisiennes sont passées de l’ombre à la lumière, comme on dit, qui attirent de nos jours des milliers de visiteurs; mais pas suffisamment à notre sens compte tenu de leur potentiel.

En effet, il est souhaitable que les ministères de la Culture et du Tourisme conjuguent leurs efforts pour mettre en place une stratégie nationale internationale de promotion des maisons troglodytes en Tunisie. Car, certes beaucoup de Tunisiens ont entendu parlé de ces maisons authentiques, mais rares d’entre eux ont pu les visiter. Tout simplement parce qu’on n’a pas créé chez eux la curiosité, l’envie, voire la volonté, de le faire.

L’article Quand un média algérien découvre les maisons troglodytes tunisiennes est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

La BT célèbre le 40ème anniversaire du Prix Abou El Kacem Chebbi

Retour aux sources sur les lieux où tout a commencé, où est né et grandit notre légendaire poète Abou El Kacem Chebbi.

La Banque de Tunisie, fidèle à sa tradition, a choisi cette année la terre natale du poète, mort dans la fleur de l’âge, pour organiser et célébrer le 40ème anniversaire de la cérémonie de remise de prix Abou El Kacem Chebbi. L’événement aura lieu le samedi 23 novembre 2024 au mausolée Abou El Kacem Chebbi à Tozeur. Et ce, en présence d’un aréopage d’hommes et de femmes de lettres, de mécènes, responsables et de journalistes invités pour la circonstance.

Belle initiative qui se perpétue et se réinvente depuis 40 ans. Qui dit que les banques n’ont pas d’âme et de cœur et une sacrée mémoire?

L’article La BT célèbre le 40ème anniversaire du Prix Abou El Kacem Chebbi est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Le renforcement du partenariat culturel tuniso-espagnol à l’examen

La ministre des Affaires Culturelles, Amina Srarfi, a eu une rencontre, mercredi 20 novembre, au siège de son département, avec l’ambassadeur d’Espagne en Tunisie, Francisco Javier Puig SAURA, qui était accompagné d’une délégation.

La rencontre a porté sur « les perspectives de développer la coopération existante entre les deux pays dans le domaine culturel à travers l’échange d’expériences et d’expertises ainsi que la formation dans le domaine artistique », indique un communiqué du ministère publié dans l’après-midi.

La ministre des Affaires culturelles a souligné la nécessité de renforcer le partenariat bilatéral en matière de formation dans divers domaines tels que la restauration et la préservation du patrimoine ainsi le que les instruments de musique . A cet égard, la ministre a rappelé « l’histoire commune entre la Tunisie et l’Espagne », lit-on encore.

Elle a également indiqué l’importance de développer les échanges culturels bilatéraux dans divers domaines dont les arts plastiques, la musique et la traduction aussi bien que les résidences artistiques organisées dans les deux pays.

L’ambassadeur espagnol a, de son côté, salué le partenariat culturel tuniso-espagnol, exprimant son « souhait de voir ce partenariat se développer et se diversifier davantage dans tous les domaines artistiques », ajoute le communiqué.

Les deux parties ont également abordé le partenariat entre le Centre international de Tunis pour l’économie numérique (TICDCE) et l’Agence espagnole de coopération internationale pour le développement (AECID) visant à mettre en place des projets culturels créatifs destinés aux jeunes dans le cadre d’un « Hub créatif » via le projet « Maghrom’in » piloté par le TICDCE.

Notons que « Maghroum’in » est la composante 2 du programme EU4Youth de l’Union Européenne en Tunisie.

Le projet MaghroumIN a démarré en janvier 2022 et durera environ 5 ans. Il est doté d’une enveloppe budgétaire de 15,46 millions d’euros.

Ce projet est mis en œuvre par l’Agence Espagnole pour la Coopération Internationale au Développement et le British Council, avec la Fondation Internationale et Ibéroaméricaine pour l’Administration et les Politiques Publiques (FIIAPP) en tant que troisième partenaire co-délégué.

MaghroumIN vise le renforcement de l’inclusion et la participation des jeunes tunisiens en situation de vulnérabilité dans la vie publique à travers la création, la culture et le sport, tout en prenant en considération les différentes formes d’exclusion.

Avec TAP

L’article Le renforcement du partenariat culturel tuniso-espagnol à l’examen est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Novembre Numérique 2024: Calling Marian dans un DJ-set immersif alliant musique et vidéo le 22 novembre à l’IFT

Considérée comme étant une productrice unique en son genre, Calling Marian, formée en musicologie, s’inspire d’horizons artistiques multiples pour créer une musique forte, sincère et émotionnelle, à la rencontre de la techno, de l’acid house et de la trance. Son objectif est de créer une synergie forte entre rythmes techno et club, harmonies nostalgiques et mélodies entraînantes.

Accompagnée en live de machines et synthétiseurs, l’artiste donnera le vendredi 22 novembre, à l’Institut français de Tunisie (IFT) un DJ-set immersif alliant musique et vidéo, et ce, dans le cadre de la célébration de l’événement international « Novembre numérique » 2024, qui célèbre depuis 2017, les cultures numériques à travers des activités innovantes, en mettant en avant la créativité française dans le domaine du numérique.

Caractérisée par son autonomie, Calling Marian compose, enregistre, produit et mixe tous ses morceaux. La force de cette productrice est sa présence scénique ; que ce soit en DJ-set sur les scènes alternatives ou en live sur la scène de festivals majeurs comme Marsatac, Rock en Seine, Les Vieilles Charrues, Panoramas, Scopitone, Hop Pop Hop, les Nuits Sonores, le Sakifo, Le Fusion Festival… Au cours de sa carrière, de quelques années seulement, elle a aussi eu l’occasion d’assurer les premières parties d’artistes de renom, comme Weval, Laurent Garnier, Jeanne Added, Arnaud Rebotini, Chloé ou encore Emika.

Avec TAP

 

L’article Novembre Numérique 2024: Calling Marian dans un DJ-set immersif alliant musique et vidéo le 22 novembre à l’IFT est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

JTC 2024 : Les détenus de 11 prisons tunisiennes présentent des pièces théâtrales uniques

Plus de cent détenus prennent part à la 25ème édition des Journées Théâtrales de Carthage (JTC, 23-30 novembre 2024) dans le cadre de la programmation de 11 pièces de théâtre dans la section “Théâtre de la Liberté”.

Ces œuvres sont produites par les clubs de théâtre de 11 institutions pénitentiaires : les prisons civiles de Gafsa, Mahdia, Essers, Mornaguia, Sfax et Kébili, les centres de rééducation des mineurs délinquants à Oudhna, El Meghira, Mourouj et Sidi Hani, ainsi que la prison pour femmes de Manouba.

Cette tradition, instaurée en 2017 dans le cadre de la section “Théâtre de la Liberté” en partenariat avec le Comité Général des Prisons et de la Rééducation (CGPR), offre une opportunité unique aux détenus de se produire sur scène et souligne le rôle du quatrième art comme outil de réhabilitation et de réinsertion psychologique et sociale.

Le concept de “Théâtre de la Liberté” a vu le jour en 2017, avec la première représentation théâtrale organisée hors des murs des prisons. En terme de chiffres, cette initiative a évolué au fil des éditions passant de 5 représentations lors de l’édition 2018 à 11 en 2019. En 2022, le nombre de spectacles a atteint 12, avant de baisser à 8 en 2023 pour atteindre à nouveau 11 en 2024.

Trois œuvres seront récompensées par les prix de la meilleure pièce de Théâtre. Le premier prix, doté de 3000 dinars, sera décerné par la direction des Journées Théâtrales de Carthage. Les deuxième et troisième prix, respectivement de 1500 dinars et 1000 dinars, seront attribués par le CGPR, sachant que des certificats de participation seront attribués à tous les participants en guise d’encouragement.

Asma Jerbi décroche le prix du meilleur film touristique de Solin en Croatie

Asma Jerbi Abouda, journaliste de Jawhara FM, a été récompensée par le 27ème Festival du film touristique de Solin, dans la région de Split-Dalmatie en Croatie.

En effet, le prix du Meilleur film touristique lui a été décerné, rapporte le média.

A noter par ailleurs que Jerbi Abouda est membre de la Fédération internationale des journalistes et écrivains du tourisme (FIJET).

L’article Asma Jerbi décroche le prix du meilleur film touristique de Solin en Croatie est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Bolice Le Film : Une aventure tunisienne aux standards hollywoodiens

L’avant-première tant attendue de « Bolice Le Film » s’est tenue le dimanche 17 novembre 2024, à la Cité de la Culture de Tunis, dans la prestigieuse salle de l’Opéra.

A la suite du succès des quatre saisons de la série Bolice: حالة عادیة, le talentueux réalisateur tunisien Majdi Smiri fait son immersion dans le quatrième art avec Bolice Le Film. Il invite le public à plonger dans un univers captivant et intense avec plein de suspense et d’émotion.

Le film se distingue par la présence de grands acteurs, et promet de nombreuses surprises grâce à la participation d’exceptionnels artistes et talents.

Ce passage du petit écran au grand écran se traduit par une œuvre ambitieuse qui transcende les frontières du divertissement.

Un engagement citoyen et culturel porté par le Groupe 3SG

Porté par Hosni Ghariani, producteur du film et président du 3SG Group, Bolice Le Film reflète un engagement fort pour promouvoir le patrimoine culturel tunisien tout en adoptant une vision internationale.

Le groupe 3SG, connu pour ses contributions dans le secteur publicitaire, se positionne comme un catalyseur de projets innovants. Avec la production de ce film, il relève un défi stratégique en prônant une convergence entre le cinéma et la publicité. « L’art cinématographique est en soi une source d’inspiration pour des campagnes publicitaires percutantes », affirme Hosni Ghariani. Cette initiative marque la volonté du groupe d’ouvrir de nouvelles perspectives culturelles et économiques pour la Tunisie.

Une production d’exception avec des talents tunisiens d’élite

Sous la talentueuse direction de Majdi Smiri, le film fait montre d’une mise en scène soignée et d’une vision artistique audacieuse. La collaboration avec l’agence de production Frameworks, dirigée par Farouk Cherif, apporte une expertise technique et créative qui élève la production à un niveau international.

Cette synergie met en lumière l’excellence des talents tunisiens dans l’univers cinématographique, consolidant la réputation de la Tunisie comme terre de créativité et d’innovation.

Brillant d’un éclat hollywoodien, le film rassemble de grands noms de la scène tunisienne, tels que Kamel Touati, Mouna Noureddine et Nidhal Saadi. À cela s’ajoutent des participations d’artistes libanais comme Karol Aboud et Lisa Debes, confortant ainsi un riche échange culturel entre la Tunisie et le Liban.

En complément, des talents russes et japonais apportent une dimension internationale, le tout sublimé par une sauce tunisienne pleine d’épices culturelles et artistiques.

Cet événement a été sans doute une célébration de l’excellence cinématographique tunisienne, réunissant des invités prestigieux, des fans de la série et des passionnés de cinéma.

Source communiqué

L’article Bolice Le Film : Une aventure tunisienne aux standards hollywoodiens est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Djerba : annonce des lauréats du festival documentaire le 19 novembre

Le 10ème Festival international du film documentaire et du court-métrage de Djerba se déroule du 16 au 19 novembre 2024. Mohamed Thabet, le directeur du festival, annonce que 24 films documentaires et de fiction provenant de 15 pays, dont l’Irak, l’Égypte, le Soudan, l’Arabie Saoudite, le Pakistan, la France et le Canada, sont en compétition.

Plusieurs salles de l’île de Djerba accueillent les projections depuis le 17 novembre. Et les lauréats seront annoncés dans la soirée du 19 courant.

L’article Djerba : annonce des lauréats du festival documentaire le 19 novembre est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Préparatifs des JCC au ministère des Affaires culturelles

Les préparatifs pour l’organisation de la 35ème édition des Journées Cinématographiques de Carthage (JCC) ont été à l’ordre du jour d’une séance de travail tenue hier mercredi, sous la présidence de la ministre des Affaires culturelles Amina Srarfi, en présence du comité directeur du festival et de plusieurs cadres du ministère.

La séance, informe le ministère sur sa page officielle, a permis de passer en revue les préparatifs financiers, organisationnels, logistiques et artistiques concernant les différentes sections du festival, ainsi que la stratégie de communication et de marketing pour cet événement culturel majeur, prévu du 14 au 21 décembre 2024.

L’accent a été également mis sur l’importance d’une coordination efficace avec les parties concernées afin d’assurer le succès de cette édition. Sachant que cette année, les JCC accueilleront des participants de 21 pays et mettront à l’honneur la Jordanie et le Sénégal.

A cette occasion, la ministre a souligné l’importance de consolider le niveau atteint par les JCC depuis leur création dans les années 1960.  Tout en mettant en avant leur spécificité et leur place singulière notamment sur la carte des festivals internationaux. Elle a également insisté sur la nécessité d’accorder une attention particulière aux créateurs tunisiens et d’inviter les artistes et cinéastes de différentes générations à prendre part aux cérémonies d’ouverture et de clôture, ainsi qu’aux diverses activités de ce rendez-vous cinématographique.

Avec TAP

 

L’article Préparatifs des JCC au ministère des Affaires culturelles est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

JTC 2024: une liste préliminaire de 12 spectacles en compétition

Le festival des Journées théâtrales de Carthage (JTC) a donné un avant-goût de la programmation de sa 25ème édition qui se déroulera du 23 au 30 novembre 2024.

La page Facebook des JTC a dévoilé une liste préliminaire de douze spectacles, arabes et africains, dans la course aux Tanits.

Les douze spectacles sont issus de 11 pays : Burkina Faso, Congo, Soudan, Oman, Jordanie, Libye, Irak, Algérie, Emirats Arabes Unis et Liban et Syrie (2). Ces œuvres figurent dans la compétition officielle, exclusivement destinée aux structures théâtrales professionnelles, arabes et africaines dont la Tunisie.

Le festival a également annoncé deux spectacles dans la section « Expressions théâtrales de l’immigration » : Les deux réfugiés de Mohamad et Ahmad Malas, coproduction syro-française, et HOMINI LUPUS de Grégoire Gabriel Vanrobays, coproduction franco-tuniso-belge. Notons que cette section est dédiée aux dramaturges tunisiens, arabes et africains de la diaspora.

Les ateliers et masterclasses au menu sont autour des thématiques suivantes : L’acteur et son double (Fadhel Jaïbi), Musique et Corps (Karim Thlibi), L’écriture théâtrale « COMMENT ÉCRIRE LA GUERRE » (Kacimi Mohamed), Direction du comédien (Tim Supple), Mime et Pantomime : De la personne à la représentation (Khaled Bouzid), Clown (Christophe Enany), L’action : plastique, psychique et verbale (Igor Yatsko), Le jeu interactif (Peter Barlow), Mouvement et corps en formation théâtrale (Fadil Jaf).

Cette programmation parallèle constitue une plateforme unique pour les artistes et metteurs en scène de Tunisie, du Monde arabe et d’ailleurs.

Organisé sous l’égide du ministère des affaires culturelles, le festival des Journées Théâtrales de Carthage est un rendez-vous annuel d’envergure arabe et africaine, ouvert sur le théâtre dans le reste du monde. Une section non compétitive qui s’intitule « Le théâtre du monde » est dédiée aux spectacles de théâtre et aux performances artistiques professionnelles non arabes et africaines.

Le line-up complet de cette 25ème édition sera dévoilé, ce vendredi 15 novembre, lors d’une conférence de presse qui aura lieu à la Cité de la culture.

Liste des spectacles annoncés :

Spectacles Arabes et Africains :

– « Et Que Mon Règne Arrive » d’Odile Sankara (Burkina Faso)

– « Je suis à prendre ou à laisser » d’Abdon Fortuné Koumbha (Congo)

– « Ice Dream » de Walid Omer Elalfi (Soudan)

– « La Tempête » d’Oday Chanfari (Oman)

– « Hangar » de Souleymane Katt (Syrie)

– « Caméra » de Majd Qassass (Jordanie)

– « Monologue » de Nawress Barrou (Syrie)

– « Le village des monstres » de Tawfik Kadirbouh (Libye)

– « Où allons-nous ? » de Haydar Monaathar (Irak)

– « Avant théâtre » de Saïd Zakaria (Algérie)

– Chasse de Mouhannad Karim (Emirats Arabes Unis)

– «Transit Tripoli» de Caroline Hatem (Liban)

Section « Expressions théâtrales de l’immigration » :

– « Les deux réfugiés » de Mohamad et Ahmad Malas (Syrie – France)

– « HOMINI LUPUS » de Grégoire Gabriel Vanrobays (France – Tunisie -Belgique)

Avec TAP

L’article JTC 2024: une liste préliminaire de 12 spectacles en compétition est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

❌