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BOURSE : Le Nikkei monte de 0,68% pour atteindre 38 283,85 points vendredi

L’indice Nikkei a gagné 0,68% vendredi à 38.283,85 points.

Le Topix, plus large, a pris 0,51% à 2.696,53 points. (Ces données sont susceptibles de varier encore légèrement)

Pour d’autres informations, veuillez cliquer sur les codes suivants : Ensembles des indices Nikkei Ensemble des valeurs du Nikkei-225 Indice Indice Indice TOPIX Top 30 par volume Volume total Top 20 hausses en % Top 20 baisses en % Futures Nikkei 225 0#JNI: Futures Topix Nouvelles des OPV japonaises Enquête allocations d’actifs au Japon Agenda Japon

Massacre à Palmyre: 68 morts dans une frappe israélienne

L’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH) a confirmé hier Jeudi un lourd bilan suite à une frappe israélienne sur la ville de Palmyre, dans le centre de la Syrie. Au total, 68 personnes ont perdu la vie dans ces raids aériens. Parmi les victimes, 42 sont des Syriens, tandis que 26 autres viennent de pays étrangers, notamment l’Irak et le Liban.

Bien que le nombre de victimes soit élevé, les autorités syriennes ont tenu à préciser que les célèbres temples gréco-romains de la ville, patrimoine mondial de l’UNESCO, n’ont pas été endommagés lors des frappes. Nadhir Awad, directeur général des Antiquités et des Musées en Syrie, a rassuré la communauté internationale sur l’intégrité de ces sites historiques.

Les raids israéliens ciblent régulièrement des positions militaires en Syrie, souvent en réponse à la présence d’armements ou de groupes armés soutenus par l’Iran. Cependant, cette attaque à Palmyre semble avoir frappé une zone qui abritait à la fois des combattants étrangers et des éléments de l’armée syrienne.

Le bilan humain de cet incident soulève de nouvelles inquiétudes concernant l’escalade des violences dans le pays, déjà ravagé par plus de 13 ans de conflit. Alors que les autorités israéliennes n’ont pas commenté cette frappe, l’attaque relance le débat sur la légalité et les objectifs des opérations militaires israéliennes en Syrie.

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Tyr sous les frappes israéliennes: le Hezbollah visé dans le sud du Liban

Ce Vendredi, la région de Tyr, dans le sud du Liban, a de nouveau été secouée par des frappes israéliennes, rapportent les médias libanais, dont l’Agence nationale d’information libanaise (NNA).

Selon cette dernière, les forces aériennes israéliennes ont lancé un raid sur la zone industrielle de Tyr, un secteur stratégique où le Hezbollah est fortement implanté. D’autres bombardements ont frappé Al-Hoch, à proximité de la ville côtière de Sour.

Les frappes ont aussi ciblé le cœur même de la ville de Tyr, notamment un bâtiment situé rue de Carthage. Ce dernier avait été préalablement désigné comme cible par un appel à évacuation émis par un porte-parole de l’armée israélienne, Avichay Adraee, via un message sur le réseau social X.

Cette escalade militaire survient dans un contexte de tensions croissantes entre Israël et le Hezbollah, qui ont intensifié leurs affrontements depuis plusieurs semaines.

Bien que la région de Tyr soit historiquement un bastion du Hezbollah, les frappes israéliennes semblent viser à déstabiliser ses positions dans le sud du Liban, où la situation reste fragile.

Les autorités libanaises n’ont pas encore communiqué de bilan des victimes, mais ces bombardements ajoutent une nouvelle page à un conflit déjà marqué par de lourdes pertes humaines et des destructions matérielles. Les appels à la désescalade se multiplient, alors que les civils continuent de vivre dans l’ombre d’une guerre ouverte.

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CPI Netanyahu et Gallant officiellement visés par des mandats d’arrêt

La Cour pénale internationale a émis, hier, deux mandats d’arrêt contre Benjamin Netanyahu et Yoav Gallant, pour crimes contre l’humanité et crimes de guerre depuis le 8 octobre 2023 au moins jusqu’au 20 mai 2024, date à laquelle le procureur général a déposé des demandes de mandats d’arrêt. Des pays et des organisations internationales soutiennent la décision et la Belgique appelle l’UE à se conformer à la résolution.

La première chambre préliminaire de la Cour pénale internationale a rendu hier, à l’unanimité, deux décisions rejetant les recours introduits par l’Etat d’occupation «israélien» en vertu des articles 18 et 19 du Statut de Rome, et a émis des mandats d’arrêt contre Benjamin Netanyahu et Yoav Gallant, pour crimes contre l’humanité et crimes de guerre depuis le 8 octobre 2023 au moins jusqu’au 20 mai 2024, date à laquelle le procureur général a déposé des demandes de mandats d’arrêt.

La secrétaire générale d’Amnesty International, Agnès Callamard, a déclaré, hier, que le Premier ministre «israélien» Benjamin Netanyahu, visé par un mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale, «est désormais officiellement poursuivi».

Callamard a ajouté dans un communiqué qu’après l’émission de mandats d’arrêt contre Netanyahu et son ancien ministre de la Défense Yoav Gallant, «les États membres de la Cour pénale internationale et l’ensemble de la communauté internationale doivent faire tout ce qui est en leur pouvoir pour garantir que ces personnes comparaissent devant les juges indépendants et impartiaux de la Cour pénale internationale».

L’Afrique du Sud appelle à défendre la primauté du droit international

L’Afrique du Sud a salué les mandats d’arrêt émis par la CPI contre le premier ministre, Benyamin Ntenyahu, et l’ancien ministre de la guerre, Yoav Gallant.

Le ministre sud-africain des Relations internationales et de la Coopération a déclaré hier que l’Afrique du Sud affirme son soutien au droit international, et appelé tous les Etats à respecter les principes de la loi internationale.

Selon le communiqué : «Nous appelons la communauté internationale à défendre la primauté du droit et la responsabilisation des violations des droits de l’Homme»,

La Belgique appelle l’UE à se conformer aux mandats d’arrêt

La vice-première ministre belge, Petra de Soter, a déclaré, hier, que l’Union européenne devait se conformer aux deux mandats d’arrêt contre le Premier ministre ‘’israélien’’ Benjamin Netanyahu et l’ancien ministre de l’Armée Yoav Gallant pour crimes contre l’humanité et crimes de guerre.

Dans une publication sur les réseaux sociaux, De Soter a ajouté: «L’Europe devrait se conformer à (la résolution), imposer des sanctions économiques, suspendre l’accord de partenariat avec’’ Israël’’ et soutenir les deux mandats d’arrêt».

Elle a souligné que les crimes de guerre et les crimes contre l’humanité ne pouvaient pas rester impunis.

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L'Italie dit qu'elle devra arrêter Netanyahu

Le ministre italien de la Défense Guido Crosetto a déclaré, ce jeudi, que l'Italie serait obligée d'arrêter le premier ministre israélien Benjamin Net

© Mosaique FM

L'Italie dit qu'elle devra arrêter Netanyahu

Espagne : le coût des inondations entraînera une baisse du PIB de 0,2 % au quatrième trimestre

Les inondations dévastatrices du mois dernier dans l’est de l’Espagne devraient avoir un impact négatif de 0,2 % sur le produit intérieur brut (PIB) du pays au quatrième trimestre. C’est ce qu’a annoncé le 20 novembre 2024 la Banque d’Espagne, qui s’attend également à une légère accélération de l’inflation.

Plus de 200 personnes sont mortes dans les inondations les plus meurtrières de l’histoire moderne de l’Espagne le 29 octobre. La plupart dans la région de Valence, où les zones touchées par les inondations représentent environ 2 % de l’activité économique du pays.

Des crues soudaines consécutives à des pluies torrentielles ont emporté des voitures, détruit des ponts et des maisons, paralysé des entreprises et causé des dégâts importants aux cultures et aux installations industrielles.

« Les calculs sont soumis à une grande incertitude. Mais, sur la base des événements météorologiques passés, l’impact estimé sur le PIB est de -0,2 % pour le trimestre en cours, restant négatif un an plus tard ». Voilà donc ce que déclare la banque centrale du pays dans une présentation.

En outre, elle estime que les inondations entraîneraient une hausse des prix à la consommation de 0,15 point de pourcentage.

Avant les inondations, le gouvernement s’attendait à ce que l’économie espagnole croisse à un taux de 2,7 % cette année, dépassant de loin les performances économiques des autres États membres de l’Union européenne. Les prix à la consommation en Espagne ont augmenté de 1,8 % au cours des douze mois se terminant en octobre.

Par ailleurs, le gouvernement a annoncé un programme d’aide de 14,36 milliards d’euros en faveur des ménages et des entreprises; et ce, pour faire face à l’impact économique des inondations.

En outre, les dommages causés aux entreprises dans les villes touchées par les inondations pourraient dépasser les 10 milliards d’euros. L’exposition des banques aux prêts dans la zone touchée étant d’environ 20,6 milliards d’euros. C’est ce qu’il ressort des déclarations au début du mois des représentants des entreprises locales et d’un responsable de la Banque espagnole.

Au total, la Banque centrale a identifié près de 27 000 entreprises ayant des prêts en cours et un demi-million d’emprunteurs dans ces zones.

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L’Inde et la Chine discutent de la reprise des vols directs

Les ministres des Affaires étrangères de l’Inde et de la Chine, respectivement S. Jaishankar et Wang Yi, ont discuté mercredi 20 novembre 2024 de la reprise des vols directs entre les deux pays. Une mesure qui devrait renforcer le commerce, le tourisme et les échanges culturels.

Cette évolution intervient plusieurs semaines après que New Delhi et Pékin ont convenu de résoudre un conflit frontalier qui dure depuis quatre ans.

Lors de leur réunion en marge du sommet du G20 au Brésil, les ministres ont noté que le désengagement le long de la Ligne de contrôle effectif (LAC), la zone frontalière himalayenne où les troupes s’étaient affrontées en 2020, conduisant à une impasse diplomatique et militaire de longue date, « avait contribué au maintien de la paix et de la tranquillité ».

Les discussions ont porté sur les prochaines étapes des relations entre l’Inde et la Chine, a indiqué le ministère indien des Affaires étrangères dans un communiqué. Parmi les mesures évoquées figurent la reprise du pèlerinage au lac Mansarovar et au mont Kailash au Tibet, considérés comme des lieux sacrés dans les religions hindoue, jaïne et bouddhiste. Mais aussi le partage de données sur les rivières transfrontalières, les échanges de médias et la reprise des vols directs entre l’Inde et la Chine.

Les vols directs entre l’Inde et la Chine, ainsi que le pèlerinage, ont été suspendus en raison de la pandémie de Covid-19 en 2020 et n’ont pas repris depuis, malgré la levée des restrictions il y a plusieurs années.

M. Wang a noté que les pourparlers fructueux entre le président chinois Xi Jinping et le Premier ministre indien Narendra Modi lors du sommet des BRICS dans la ville russe de Kazan le mois dernier et le « redémarrage » des relations bilatérales sont conformes aux « intérêts fondamentaux des deux peuples, aux attentes des pays du Sud global et à la bonne direction de l’histoire », selon l’agence de presse Xinhua.

Il a affirmé que la Chine et l’Inde, en tant que voisins et principales économies en développement, ont plus d’intérêts communs que de différences. Et qu’elles devraient donc considérer le développement de l’autre comme une opportunité et travailler ensemble pour parvenir à un développement commun.

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New York reste la ville la plus prisée des milliardaires au monde

New York a conservé sa position de ville comptant le plus grand nombre de milliardaires,(144) surpassant Londres (78), qui arrive en deuxième position, tandis que Moscou (77) se classe au cinquième rang.

Selon le cabinet d’études Altrata, le nombre de milliardaires et leur richesse ont encore augmenté en 2023, après une baisse en 2022. L’entreprise estime que le nombre de milliardaires a augmenté de 4 %, tandis que leur richesse collective a augmenté de 9 %. Il convient de noter que le nombre de milliardaires russes a augmenté de 5,4 % au cours de l’année, atteignant 118 individus, et Moscou est entrée dans le top cinq des villes mondiales pour les milliardaires.

En revanche, trois villes chinoises, dont Hong Kong(107), ont vu leur nombre de milliardaires diminuer en raison de difficultés économiques et d’un marché immobilier en difficulté. Parallèlement, l’Inde (40) a connu la plus forte croissance de sa population de milliardaires, avec une augmentation impressionnante de 15,9 % sur un an.

 

Abdessalem El Oued réélu à la tête du Conseil oléicole international pour 2025-2026

Abdessalem El Oued, membre du bureau exécutif de l’Union Tunisienne de l’Industrie, du Commerce et de l’Artisanat (UTICA), a été réélu, hier mardi, au poste de président du comité consultatif du Conseil oléicole international (COI), lors de sa 63e session, tenue à Madrid en Espagne, en présence de représentants de 23 pays producteurs de l’huile d’olive.

L’un des principaux sujets à l’ordre du jour de cette réunion consacrée à la discussion du présent et de l’avenir de l’oléiculture, était le développement durable et la résilience climatique.

A cette occasion, El Oued, réélu pour le mandat 2025-2026, a souligné l’importance de préserver un niveau de prix qui garantit des revenus respectables aux agriculteurs et leur permet de développer leurs productions et investissements.

Il a aussi mis l’accent sur l’importance d’encourager la consommation de l’huile d’olive à l’échelle mondiale étant donné qu’elle ne représente aujourd’hui que 2% des huiles alimentaires consommées de par le monde. Il a suggéré à cet égard, de créer un comité de suivi au sein du COI pour suivre la réalisation de ces objectifs.

El Oued a, par ailleurs, plaidé pour la mise en place de mécanismes efficaces pour protéger les producteurs, préserver leurs droits fondamentaux et garantir la durabilité de la filière oléicole, ajoutant que garantir des revenus dignes aux agriculteurs est une condition essentielle pour une oléiculture durable.

Il a appelé à supprimer les taxes douanières sur l’huile d’olive entre tous les pays du monde, quel que soit le pays d’origine, en admettant la qualité comme étant la seule condition d’accès aux marchés mondiaux, et a suggéré d’organiser une grande campagne de promotion pour encourager la consommation d’huile d’olive, ce qui contribuerait à équilibrer l’offre et la demande, en particulier avec l’augmentation attendue du volume de production.

De son côté, le directeur exécutif du COI, Jaime Lillo, a mis l’accent sur l’importance de la sensibilisation à la valeur sanitaire de l’huile d’olive, en particulier de l’huile d’olive extra vierge.

Pour sa part, Joseph Profaci, représentant de l’Association de l’Amérique du Nord de l’Huile d’Olive (NAOOA), s’est dit préoccupé par le fait que l’administration américaine nouvellement élue pourrait imposer des droits de douane sur les importations d’huile d’olive, ce qui pourrait limiter les quantités exportées vers le marché américain.

Le secteur oléicole étant confronté aux pressions croissantes du changement climatique, les participants ont discuté, généralement, des stratégies possibles d’adaptation pour assurer le développement de l’oléiculture, améliorer la production et les techniques de gestion de l’eau et des sols, et renforcer la biodiversité.

La production mondiale de l’huile d’olive est estimée à 3,3 millions de tonnes, avec des hausses de production prévues en Tunisie, en Espagne et en Turquie.

Ecomondo 2024 : un tremplin pour les entreprises tunisiennes vers l’économie verte ?

Le nombre de visiteurs internationaux représente un indicateur important de fréquentation dans les salons professionnels. Pour le groupe MIDA mandaté par “Italian Exhibition Group” la tâche consiste à fournir l’assistance aux entreprises et aux institutions africaines intéressées par la participation aux grands Salons professionnels organisés en Italie.

Le point sur la présence tunisienne à Ecomondo, le plus grand Salon européen dédié à l’économie verte avec Amira Moussa, Chef de projet au groupe MIDA :

En tant qu’organisateur de la participation d’acteurs économiques africains à Ecomondo, comment évaluez vous vos réalisations ?

Pour l’édition Ecomondo 2024, nous avons organisé la participation d’une délégation qui se compose de Tunisiens principalement, Marocains, Sénégalais, Ivoiriens et Congolais. Un Camerounais de haut niveau y participe aussi. Soit plus d’une centaine de participants.

Combien y a-t-il de Tunisiens représentant le secteur privé ?

17 entreprises dont Warda, Sicam, le “Passage” qui fait partie du groupe Poulina, la Connect est aussi bien représentée à Ecomondo.

Que proposez vous aux entreprises intéressées par le Salon ?

Nous leur offrons, comme il est de tradition dans nombre de salons internationaux, une prise en charge de trois nuitées avec des transferts assurés et bien sûr l’accès à une plateforme sur laquelle nous les inscrivons et à travers laquelle, ils peuvent entrer en contact avec leurs vis-à-vis étrangers pour des B to B. Nous mettons également à disposition un interprète.

Que peut offrir un Salon tel qu’Ecomondo à ces industriels ?

Ils peuvent bien évidemment réaliser des projets de partenariat en Tunisie.  Le Salon leur offre comme attendu, l’opportunité de découvrir les dernières technologies environnementales.

Vous savez que le traitement des déchets et l’économie verte sont devenues des priorités dans notre pays et beaucoup d’opérateurs privés veulent se positionner dans ces secteurs, principalement ceux évoluant dans les secteurs des textiles et de l’agroalimentaire.

Le recyclage des eaux usées est indispensable à l’industrie des textiles dans les conditions climatiques présentes. Ecomondo offre aux textiliens mais aussi aux autres industriels l’occasion de s’informer sur les dernières innovations et d’en équiper leurs usines.  Il offre au même titre à nos industriels, un espace de rencontre et d’échange.

C’est un événement international majeur en Europe et dans le bassin méditerranéen où on fait montre de toutes les technologies, services et solutions industrielles liés à l’économie verte et circulaire. Ils peuvent y trouver des solutions et des technologies environnementales, couvrant des domaines tels que la gestion de l’eau, l’élimination des déchets, les textiles, la bioénergie, la gestion et la protection des sols, les transports, l’agriculture etc.

Pour les délégations africaines, outre la gratuité de la prise en charge, nous offrons également des stands gratuits, cela entre dans le cadre du renforcement de la présence africaine à Ecomondo. Des représentants du CITET du CETTEX, d’ECOPARC, ont cette année participé à Ecomondo, ils ont été accompagnés par des chercheurs.

Qui finance les opérations de promotion d’Ecomondo ?

MIDA est un groupe qui existe en Tunisie depuis 1996, nous sommes le “Regional advisor d’Italian Exhibition Group” (IEG) qui organise Ecomondo depuis 26 ans. A ce titre, sommes mandatés pour organiser les participations de délégations africaines représentant les secteurs public et privé.

Combien de Salons organise IEG par an ?

Il y a Ecomondo organisé au mois de novembre et Key Energie au mois de mars. Pour précision, jusqu’en 2022, ils étaient organisés ensemble mais Ecomondo, qui comme vous le savez est dédié aux technologies environnementales et à l’économie verte sous toutes ses coutures, est d’une telle importance que l’on ne pouvait plus l’associer à un autre et IEG a décidé de les organiser séparément.

Il y a aussi le Salon SIGEP sur lequel nous travaillons aussi. C’est un salon dédié aux pâtisseries, boulangeries et principalement les glaces. Pour cette édition, il y aura une délégation de 15 entreprises tunisiennes, dont Omar Hchicha et SEH (Société d’Équipement hôtelier).

Nous avons également signé une convention avec la Fédération de l’Agroalimentaire à l’UTICA qui sera présente lors de la prochaine édition du SIGEP.

Entretien conduit par A.B.A

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