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Météo : Nuages passagers, vents marqués et mer agitée

Ciel partiellement nuageux sur le nord et le centre et nuages passagers sur le sud.

Vent de Secteur Sud sur le nord et de Secteur Est sur le centre et le sud, relativement fort prés des côtes et sur le sud et faible à modéré à l’intérieur du pays.
Mer très agitée à agitée dans la zone de Serrat et moutonneuse à peu agitée ailleurs.

Températures maximales comprises la nuit entre 10 et 15 degrés, aux alentours de 8 degrés sur les hauteurs ouest et atteignant 18 degrés dans les régions côtières du sud.

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Des débats budgétaires, une nouvelle approche

S’il y a un enseignement ou une conclusion à tirer des débats  budgétaires qui ont enregistré, pour l’exercice 2025, une nouvelle forme, celle de voir les députés de  l’Assemblée des  représentants du peuple (ARP) et les membres du Conseil national des régions et des districts (Cnrd) participer, pour la première fois, ensemble, à la discussion du budget de l’Etat et de la loi de finances en vue de l’exercice prochain, c’est  bien celui de découvrir que les interventions des élus de la nation représentant les deux chambres parlementaires collent aux réalités quotidiennes, traduisent les préoccupations et les attentes du citoyen et aussi vont de pair avec les objectifs définis dans le programme présidentiel.

De plus, les recommandations, les observations et les questions posées aux ministres ont été, de par leur contenu et aussi les solutions proposées, fidèles, dans une  large mesure, à la dynamique d’idées et de débats qui traverse la société tunisienne en conformité avec les idéaux et les objectifs du processus du 25 juillet 2021.

Et  les ministres, tout en éclaircissant les points soulevés par les députés et tout en fournissant des données qui sont pour la plupart méconnues ou même ignorées par les députés et les médias, de  révéler une volonté quasi unanime  d’imprimer à l’action gouvernementale un nouvel  élan marqué, notamment, par une synchronisation aussi parfaite que possible avec le rythme de la gouvernance suivie au niveau du Palais de Carthage.

Désormais, à l’échelle des régions et même des localités, il n’est plus admissibles que les députés de  l’ARP ou les membres du Cnrd découvrent  l’ampleur des entraves ou des obstacles freinant la concrétisation des projets de développement (concernant leurs régions), une fois que le Président de la République se rend sur le terrain et alerte sur les situations et l’état des lieux.

Aujourd’hui, l’idée ou l’impression que doivent donner les responsables régionaux et locaux et aussi les députés des deux chambres parlementaires à l’opinion publique ne peut se  contenter, dans  son contenu, de critiquer la situation en cours ou de pointer du doigt les insuffisances et les carences, mais devrait obligatoirement  comporter les solutions aux problèmes posés et se mobiliser en vue de  concrétiser les objectifs définis à l’avance.

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Arbitrage BFT: Le CIRDI décide en faveur de l’État tunisien et met fin à la procédure de recours

Le Centre international pour le règlement des différends relatifs aux investissements (CIRDI) a décidé le 21 novembre 2024, de clôturer la procédure de recours en annulation relative à l’arbitrage concernant la Banque Franco-tunisienne (BFT), en faveur de l’Etat tunisien, a fait savoir samedi, le ministère des domaines de l’Etat et des affaires foncières.

Cette décision fait suite à la demande de l’Etat tunisien, qui a exprimé sa volonté spontanée de se conformer à la décision arbitrale et de suspendre l’application des intérêts légaux imposés sur les montants alloués pendant toute la durée de l’examen du recours en annulation, a précisé le ministère.

Ce succès a été obtenu grâce au travail mené par la Direction générale du contentieux de l’Etat, qui a assuré le suivi de toutes les étapes de ce litige, considéré comme le plus ancien différend arbitral porté devant le CIRDI, d’après la même source.

Le centre avait rendu, le 22 décembre 2023, une décision arbitrale condamnant l’État tunisien à payer une indemnité de 1.106.573 dinars tunisiens, alors que les réclamations initiales de la partie adverse ont avoisiné les 37 milliards de dinars tunisiens.

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La « ftira » tunisienne : vers une inscription au patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO

La ville de Sfax a accueilli ce samedi une manifestation culturelle et touristique intitulée “La Route des Beignets : un voyage d’une compétence traditionnelle à un pilier d’identité collective”. Cette initiative s’inscrit dans le cadre du projet “Route des Beignets”, porté depuis 2022 par l’Association pour la préservation du patrimoine de Ghomrassen, en partenariat avec la chambre régionale des fabricants de beignets affiliée à l’Union régionale de l’industrie, du commerce et de l’artisanat de Sfax.

Un projet pour sauvegarder un patrimoine vivant

Selon Samir Kherchani, président de l’Association pour la préservation du patrimoine de Ghomrassen et coordinateur général du projet, “La Route des Beignets” vise à inscrire cet artisanat ancestral sur les listes du patrimoine culturel immatériel aux niveaux national et international. Il souligne que cet artisanat, originaire de Ghomrassen, porte une richesse anthropologique et historique importante.
Depuis le XIXe siècle, l’artisanat des beignets (ou « ftira ») s’est étendu de Ghomrassen, dans le sud-est tunisien, aux régions intérieures, puis aux grandes villes du pays, dans le cadre des migrations de main-d’œuvre. Il s’est également exporté à l’étranger, notamment en Algérie et en Europe, où les artisans tunisiens ont contribué à faire rayonner ce savoir-faire unique.

Sfax, un carrefour historique de l’artisanat des beignets

La ville de Sfax, deuxième étape après Ghomrassen dans ce projet, a été choisie en raison de l’importance de ses structures artisanales et de l’ancrage de ce métier au sein de familles locales, comme les Siala, Zaghla et Maaloul, établies dans la médina depuis plusieurs générations. Kherchani souligne que “cet artisanat a joué un rôle crucial dans l’intégration sociale entre les artisans locaux et les migrants de Ghomrassen, qui ont créé une organisation syndicale unifiée sous l’égide de l’Union régionale de l’industrie, du commerce et de l’artisanat de Sfax.”
Malgré des différences dans les techniques de fabrication entre Ghomrassen et Sfax, les « ftayer » sont devenus un symbole de l’unité et de l’identité tunisienne, jusqu’à s’intégrer aux traditions des peuples maghrébins.

Un programme en deux volets pour valoriser l’artisanat

La manifestation s’est déroulée en deux parties. Le matin, une table ronde s’est tenue au siège de l’Union régionale de Sfax autour du thème : “Mesures de sauvegarde comme outil de préservation et de valorisation du patrimoine culturel immatériel”. Des témoignages vivants et des documents visuels ont illustré l’importance de cet artisanat dans l’histoire et la société tunisienne, mettant en avant la collaboration entre artisans locaux et migrants.
Par ailleurs, un ouvrage intitulé “Fils du fabricant de beignets”, écrit par Mohamed Boubakri, originaire de Ghomrassen, a été présenté. Ce récit autobiographique retrace l’histoire d’une génération attachée à cet artisanat, même sans l’avoir exercé. La table ronde s’est conclue par la remise de distinctions à des artisans ayant marqué l’évolution ou la transmission de ce savoir-faire.
L’après-midi, un espace d’exposition a été installé dans la place des 100 mètres, au cœur de Sfax, sous le thème “Le beignet d’autrefois, partout aujourd’hui”. Cet événement a mis en valeur les différentes facettes de cet héritage culinaire tunisien, dans le but de sensibiliser le public à son importance économique et culturelle.

Vers une reconnaissance mondiale

Pour Abdelmajid Tayes, coordinateur de l’événement, ce projet pourrait donner une impulsion significative au dossier d’inscription de l’artisanat des beignets sur la liste du patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO. “L’artisanat des beignets n’est pas seulement une tradition culinaire, mais un vecteur de cohésion sociale et un ambassadeur de l’identité tunisienne à travers le monde,” a-t-il conclu.
Il est à noter que parmi les autres spécialités culinaires tunisiennes, les “beignets tunisiens”, souvent appelés “frira”, occupent également une place importante dans le patrimoine gastronomique local. Ces beignets tunisiens, frits à la perfection, sont dégustés dans diverses régions du pays, offrant une expérience gustative emblématique des traditions culinaires tunisiennes.

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Tunisie – Affaire Al-Mabrouka: Quatre gardes à vue pour corruption présumée au Kef

Le juge d’instruction auprès du tribunal de première instance du Kef a ordonné la mise en garde à vue de quatre individus et le placement sous contrôle judiciaire de trois autres, dans le cadre d’une enquête sur une suspicion de corruption au sein de la Société de Développement des Domaines d’Al-Mabrouka, située à Al-Arbas, dans la délégation de Seress.

Selon Yosri Al-Houami, porte-parole du tribunal, cette décision a été prise dans l’attente de la finalisation des investigations et d’un nouvel examen du dossier par le juge.

L’enquête a été initiée suite à une plainte déposée par la Trésorerie régionale du Kef, signalant l’exploitation illégale d’une parcelle appartenant à l’État par un individu. Le ministère public a immédiatement chargé la brigade de recherche et d’investigation de la Garde nationale du Kef de mener les investigations nécessaires.

Au terme des premières investigations, quatre personnes ont été placées en garde à vue et trois autres ont été présentées devant le parquet, accompagnées du rapport d’enquête.

Ces mesures ont conduit à l’ouverture d’une information judiciaire visant les sept suspects, ainsi que toute autre personne impliquée, pour des faits présumés d’abus de fonction par un agent public à des fins d’intérêt personnel ou au profit de tiers, de préjudice à l’administration, de violation des réglementations en vigueur, ainsi que pour trahison qualifiée et complicité, conformément aux dispositions du Code pénal tunisien.

Les investigations se poursuivent sous la supervision du juge d’instruction pour déterminer les responsabilités et établir les faits dans cette affaire.

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Cinq journalistes tunisiens primés au TANDEM DijiArt

Cinq journalistes tunisiens ont reçu vendredi à Bruxelles (Belgique) des prix dans le cadre du concours TANDEM DigiArt organisé par l’Union Européenne.

Le journaliste Said Akrout de la Radio Tataouine et Mokhtar Ben Jediane journaliste collaborateur à l’agence Tunis Afrique Presse, bureau Tataouine ont reçu un prix dans la catégorie reportage.

De même, le photojournaliste indépendant Nour Hamdi et la journaliste Amira Dridi de Dar Assabah ont reçu un prix dans la catégorie académique. Le journaliste Aymen Mehrezi de Radio Sabra Fm a été primé, avec une journaliste jordanienne, dans la catégorie journaliste.

Le concours TANDEM DigiArt offre des prix aux œuvres journalistiques portant sur les projets financés par l’UE dans neuf pays arabes.

Selon un communiqué de l’US sur son site officiel, le thème du prix TANDEM DigiArt est « l’autonomisation sous toutes ses formes », et ceci à travers des reportages  » relatifs aux diverses initiatives d’autonomisation financées par l’UE dans le voisinage sud, notamment les réussites des jeunes professionnels et l’impact du travail et de l’éducation sur les individus et les communautés ».

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3000 tonnes de pommes de terre injectées dans les marchés tunisiens

Une cargaison de 3 mille tonnes de pommes de terre importées, transportées par un navire, a été déchargée récemment au port de commerce de Sousse, a indiqué le directeur régional de commerce, Faouzi Taleb.
Les quantités importées seront injectées prochainement dans les marchés de gros de légumes et de fruits de la République, a-t-il souligné à l’Agence TAP.

Les autorités compétentes mènent actuellement les opérations nécessaires de contrôle et d’analyse de la marchandise avant sa distribution sur les marchés de gros et l’attribution des quotas aux différentes régions du pays, a-t-il précisé.

L’objectif, selon la même source, est de faire face aux fluctuations au niveau de l’approvisionnement du marché en pommes de terre et de rééquilibrer les prix.

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Tunisie : Le ministère du Commerce recourt à l’importation de pommes de terre pour stabiliser le marché

Le ministre du Commerce et du Développement des Exportations, Samir Abid, a annoncé samedi, lors d’une visite non déclarée au marché national d’intérêt commun de Bir El Kassâa (gouvernorat de Ben Arous), le recours à l’importation de pommes de terre pour réguler l’offre sur le marché. Les quantités importées seront distribuées directement aux marchés de gros dès que les procédures nécessaires seront finalisées.
Selon un communiqué du ministère, cette décision vise à combler le déficit lié à l’interruption saisonnière de la production locale.
Durant sa visite, le ministre a inspecté les niveaux d’approvisionnement en légumes, fruits et poissons, tout en visitant les différents pavillons du marché. Il a échangé avec des agriculteurs et des commerçants de détail sur leurs préoccupations et a souligné l’importance d’une meilleure organisation du marché.

Lutte contre le monopole et la spéculation

Samir Abid a mis l’accent sur la nécessité de renforcer les efforts pour combattre les pratiques de monopole et de spéculation, appelant à garantir une régularité dans l’approvisionnement des marchés en produits agricoles.
Lors d’une réunion élargie tenue jeudi dernier pour examiner la situation des approvisionnements, des prix et des mécanismes de contrôle, le ministre a appelé à appliquer des sanctions administratives sévères et à cibler les grands spéculateurs responsables des déséquilibres sur le marché.
Il a également précisé que les prochaines opérations de contrôle porteront principalement sur les infractions majeures affectant l’équilibre du marché, avec des corrections immédiates sur le terrain. Une approche flexible sera toutefois adoptée avec les petits commerçants, afin de renforcer la confiance des citoyens et des opérateurs organisés.

Des résultats positifs, mais des efforts à poursuivre

Le ministère a salué les résultats des récentes opérations de contrôle menées dans toutes les régions du pays pour lutter contre le monopole, la spéculation et les hausses de prix abusives. Ces opérations, menées avec une intensité constante, s’appuient désormais sur de nouveaux mécanismes pour accroître leur efficacité et garantir un impact tangible sur les prix pour les citoyens.

Le président exige une lutte permanente et ciblée contre les réseaux criminels

Lors d’une réunion tenue le 15 novembre 2024 avec le ministre de l’Intérieur, Khaled Nouri, le ministre du Commerce, Samir Abid, et le secrétaire d’État chargé de la Sécurité nationale, Sofiane Bessâdek, le président de la République, Kais Saied, a insisté sur la nécessité de poursuivre les efforts pour éradiquer les pratiques spéculatives et le monopole.
Le président a souligné que ces actions ne doivent pas se limiter à des campagnes ponctuelles mais devenir une politique continue tout au long de l’année, en ciblant particulièrement les réseaux criminels organisés opérant dans l’ombre. Ces réseaux, selon lui, contrôlent clandestinement les prix et provoquent des pénuries artificielles de certains produits essentiels.
Kais Saied a également appelé à développer des approches innovantes pour lutter contre ces phénomènes, estimant que les méthodes traditionnelles n’ont pas donné les résultats escomptés.

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Tunisie – Priorités budgétaires 2025 : le calendrier décisif de l’ARP

Les rapports des Commissions des Finances et du Budget de l’Assemblée des Représentants du Peuple (ARP) ont été publiés marquant une étape clé dans le processus législatif de la Loi de Finances 2025.

La version amendée du projet, qui intègre plusieurs ajustements importants, sera au cœur des discussions parlementaires prévues pour les 24 et 25 Novembre 2024.

Au cours de ces séances, les membres des commissions présenteront en détail les différents aspects du projet de loi, permettant aux députés de débattre des mesures proposées.

La ministre des Finances sera également présente pour répondre aux questions des parlementaires, clarifiant les choix budgétaires et les priorités du gouvernement pour l’année à venir.

L’agenda des débats continue avec des séances programmées pour les 25, 26 et 27 Novembre, durant lesquelles les députés examineront et voteront sur les budgets alloués aux différentes missions ainsi que sur les mesures spécifiques inscrites dans le projet de la Loi de Finances 2025.

Le vote final sur le texte dans sa globalité est prévu pour les 2, 3 et 4 Décembre 2024. Ces dates seront cruciales pour déterminer les priorités économiques du pays pour l’année 2025, un exercice législatif clé dans un contexte économique complexe. Les ajustements apportés à ce projet de loi seront surveillés de près, car ils détermineront en grande partie la direction des politiques fiscales et économiques de la Tunisie pour l’année à venir.

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Tunisie : Samir Abid à la tête de la 38e session du Conseil National du Commerce

Dans une démarche importante visant à renforcer la coopération entre les différents acteurs du secteur commercial, le ministre du Commerce et du Développement des Exportations, Samir Abid, a présidé les travaux de la 38e du Conseil National du Commerce. Cette édition, tenue au siège du Centre de Promotion des Exportations (CEPEX), a réuni plusieurs personnalités influentes du secteur, notamment le président de l’Union Tunisienne de l’Industrie, du Commerce et de l’Artisanat (UTICA), le président du Conseil de la Concurrence, ainsi que des représentants des structures ministérielles et administratives, des membres du secteur privé et des organisations de la société civile.

Dans son discours, le ministre a souligné l’importance de ces rencontres régulières, qui renforcent la culture du dialogue et de la coordination entre le ministère et les structures professionnelles, ainsi que les ministères concernés. Il a insisté sur la nécessité de discuter des enjeux cruciaux du secteur commercial, afin de favoriser un dialogue constructif d’idées et de propositions afin d’optimiser la performance commerciale, en réponse aux défis et aux exigences des marchés locaux et internationaux.

Abid a également souligné la nécessité d’identifier et d’analyser les faiblesses du secteur commercial, afin de mettre en place des mesures correctives visant à améliorer la compétitivité, tout en renforçant les mécanismes de contrôle pour lutter contre les pratiques anticoncurrentielles et de spéculation. Il a insisté sur l’importance de garantir la transparence dans les transactions commerciales, en particulier face aux conditions exceptionnelles que traverse le pays en matière d’approvisionnement du marché. L’objectif est d’assurer une stabilité des prix et de préserver le pouvoir d’achat des citoyens.

Au cours des discussions, le Conseil a examiné plusieurs axes stratégiques majeurs, notamment l’organisation des circuits de distribution, les programmes de qualification des produits agricoles et de la pêche, ainsi que le suivi des projets des infrastructures commerciales dans les gouvernorats de Bizerte, Sidi Bouzid et Médenine (Ben Guerdane). Une attention particulière a été portée sur le programme de numérisation des marchés de gros et l’instauration d’un système interne modèle pour les marchés de production, une avancée importante pour la modernisation du secteur.

Par ailleurs, le rôle du Conseil de la Concurrence dans la régulation du marché et la promotion d’une concurrence loyale a également été un sujet central des débats, tout comme la planification des programmes et événements commerciaux à venir. Tous les participants ont convenu de la nécessité de renforcer la synergie entre les différents acteurs pour atteindre les objectifs du Conseil, véritable plateforme d’échanges pour améliorer le secteur commercial.

A la fin de la rencontre, Abid a réaffirmé la nécessité d’un effort collectif pour construire un système commercial plus transparent et efficace, afin d’améliorer les services aux consommateurs et garantir la stabilité du marché tunisien face aux défis économiques.

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Tunisie – Emploi : ouverture d’un concours externe pour le recrutement de 197 personnes à besoins spécifiques

Un concours externe pour le recrutement de 197 personnes à besoins spécifiques dans le secteur public sera ouvert le 30 janvier 2025. L’arrêté du ministère des Affaires Sociale relatif à ce concours vient d’être publié dans le JORT. La date limite des dépôts de candidatures a été fixée au 30 décembre 2024. Il ya lieu de rappeler que selon la loi en vigueur, 2% des recrutements dans le secteur public sont consacrés aux personnes à besoins spécifiques, sachant que ce taux pourrait être revu à la hausse.

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Tunisie : la moyenne d’âge de mariage recule de plus en plus pour les femmes

Les femmes se marient de plus en plus tard, a souligné Pr.Mohamed DOUAGI Président Directeur Général de l’Office National de la Famille et de la Population au  micro d’une chaîne de radio privée.

Alors que la moyenne d’âge il y a plus de cinquante ans se situait entre 18 et 20 ans, aujourd’hui elle avoisine les 29, 30 ans. Le changement des mentalités et le fait qu’un nombre de plus en plus important de jeunes filles achèvent avec succès leur cursus scolaire et s’oriente vers des spécialités scientifiques, en menant des études de plus en plus longues a entrainé un recul de l’âge du mariage. Celles-ci privilégient leurs études et leur carrière professionnelle qui leur confère une indépendance et une autonomie économique essentielle, reléguant le mariage au rang des objectifs secondaires.

A titre d’exemple, 66% des étudiants qui poursuivent des études de médecine sont des filles, a relevé le directeur de l’Office National de la Population et de la Famille. Le recul progressif de l’âge du mariage entrainera inéluctablement une baisse de la natalité et un vieillissement de la population.

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Beyrouth sous les bombes israéliennes: 11 morts dans un raid dévastateur

L’armée israélienne a intensifié ce Samedi ses frappes sur Beyrouth, frappant un immeuble résidentiel en plein cœur de la capitale libanaise. Selon les autorités locales, au moins 11 personnes ont perdu la vie dans ce raid, marquant une nouvelle escalade dans le conflit qui ravage la région. Alors que des appels internationaux pour un cessez-le-feu se multiplient, la guerre au Liban semble loin d’être terminée, plongée dans un cycle de violences incessantes.

Les frappes israéliennes ont visé plusieurs secteurs stratégiques de la ville, provoquant d’énormes dégâts matériels et semant la panique parmi les habitants. Ce raid survient dans un contexte de guerre continue, Israël étant également engagé dans un conflit brutal avec Gaza, son voisin au sud. Là aussi, les bombardements israéliens ne cessent pas, et tôt dans la matinée, trois secteurs de la bande de Gaza ont été touchés par des frappes aériennes et des tirs d’artillerie. Les autorités palestiniennes font état d’au moins 19 morts supplémentaires.

Ces nouvelles attaques renforcent l’impression d’une région totalement en proie à la guerre, avec des souffrances humaines considérables et des destructions massives. Tandis que les dirigeants mondiaux appellent à la paix, la situation semble se détériorer davantage, laissant peu d’espoir de réconciliation dans un avenir proche. Le Liban, déjà fragilisé par des années de tensions politiques et économiques internes, se retrouve au cœur d’un tourbillon de violences géopolitiques, sans solution immédiate en vue.

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Tunisie – Corruption dans les marchés publics : un mandat de dépôt pour un gérant d’entreprise de forage

Le juge d’instruction du tribunal de première instance de Tunis a ordonné un mandat de dépôt contre le représentant légal d’une société spécialisée dans le forage de puits. Cette décision fait suite à l’ouverture d’une enquête suite à des soupçons de corruption financière et administrative dans le cadre d’un marché public attribué par le Commissariat régional au développement agricole (CRDA) de Kasserine.

L’affaire, qui a attiré l’attention des autorités tunisiennes, porte sur des irrégularités présumées dans l’attribution de contrats liés à la réalisation de puits profonds, jugés essentiels pour le développement agricole dans la région. Le ministère public du tribunal de première instance de Tunis, a confié à l’unité nationale d’investigation des crimes financiers complexes, sous l’égide de la police judiciaire d’El Gorjani, la mission d’enquêter sur ces marchés publics.

Au terme de plusieurs semaines d’investigations, le dossier a été remis au juge d’instruction, qui a mené un interrogatoire approfondi du gérant de l’entreprise concernée. Après examen, il a décidé de placer ce dernier en détention préventive, témoignant de la gravité des accusations portées à son encontre. Les enquêteurs continuent de scruter les tenants et aboutissants de cette affaire, élargissant leur investigation à d’autres acteurs potentiellement impliqués dans ce scandale de corruption, qui pourrait avoir des répercussions sur l’intégrité des marchés publics dans toute la région.

Cette affaire s’inscrit dans un contexte où la lutte contre la corruption est devenue une priorité pour les autorités tunisiennes, déterminées à assainir les pratiques administratives et à restaurer la confiance des citoyens dans les institutions publiques. Les autorités judiciaires continuent de mener des enquêtes pour identifier tous les responsables et la situation reste à suivre de près dans les prochains mois.

Le scandale soulève des questions cruciales sur la transparence des marchés publics, notamment dans les régions défavorisées, où des projets essentiels comme le forage de puits peuvent être la cible de pratiques douteuses. Les révélations à venir sur cette affaire devraient offrir un éclairag

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Partenariat Tunisie-Italie : Des zones biologiques pour soutenir 2.200 personnes

Des responsables tunisiens et italiens ont conclu, vendredi, la première phase d’un projet visant à élaborer une étude pour la création de zones biologiques pilotes dans les régions de El Haouaria, Hazoua, Majel Belabbès, Sejnane et Kesra. Ce projet bénéficiera directement à environ 2.200 personnes.

La cérémonie de clôture de cette première phase a réuni Hamadi Habib, secrétaire d’État chargé des ressources en eau, Alessandro Brunas, ambassadeur d’Italie en Tunisie, le directeur du Centre international d’études agronomiques méditerranéennes (CIHEAM) de Bari, ainsi que le directeur de la Fédération internationale des mouvements d’agriculture biologique en Europe (IFOAM).

Durant cette phase initiale, une étude approfondie et un diagnostic des zones ciblées ont été réalisés pour poser les bases de la deuxième phase, prévue au début de l’année 2025. Cette étape apportera un soutien matériel et technique à quelque 2.200 bénéficiaires directs, dans le but de développer l’agriculture biologique et de valoriser les filières complémentaires. L’objectif final est de faire reconnaître officiellement ces zones comme des pôles de production biologique.

Hamadi Habib a souligné l’importance stratégique de l’agriculture biologique, qui joue un rôle clé dans l’économie nationale et le développement des exportations.

La Tunisie se distingue comme un leader mondial dans ce domaine et reste le seul pays africain et arabe reconnu comme exportateur de produits biologiques vers l’Union européenne (depuis 2009), le marché suisse (depuis 2011) et le Royaume-Uni (depuis 2020). Cette reconnaissance repose sur la fiabilité du label biologique tunisien et l’efficacité de son système de contrôle et de traçabilité.

Le secrétaire d’État a également insisté sur l’importance de la coopération tuniso-italienne pour soutenir l’agriculture en général, et l’agriculture biologique en particulier. Ce partenariat se matérialise par la mise en place d’un programme de zones biologiques pilotes, destiné à promouvoir ce secteur crucial. Il vise également à encourager le développement économique et social local, à renforcer l’économie circulaire, et à stimuler les investissements dans des domaines tels que l’agriculture biologique, le tourisme écologique et les industries artisanales.

Il a conclu en affirmant que ce type d’initiative contribuera à approfondir les relations entre la Tunisie et l’Italie, tout en favorisant l’échange de savoir-faire et en jetant les bases d’un partenariat ambitieux pour les années à venir.

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Foot-Ligue Europa (Phase de ligue): le programme

Programme des matches de la phase de ligue de la Ligue Europa qui seront disputés le jeudi 28 novembre:

Jeudi 28 novembre:

(18h45) Qarabag (AZE) – Lyon (FRA)

FK RFS (LAT) – PAOK Salonique (GRE)

Lazio Rome (ITA) – Ludogorets (BUL)

Anderlecht (BEL) – FC Porto (POR)

Athletic Bilbao (ESP) – IF Elfsborg (SWE)

AZ Alkmaar (NED) – Galatasaray (TUR)

Dynamo Kiev (UKR) – Viktoria Plzen (CZE)

(21h00) Steaua Bucarest (ROM) – Olympiakos Le Pirée (GRE)

FC Twente (NED) – Union St-Gilloise (BEL)

Real Sociedad (ESP) – Ajax Amsterdam (NED)

Nice (FRA) – Glasgow Rangers (SCO)

Ferencvaros (HUN) – Malmö (SWE)

Slavia Prague (CZE) – Fenerbahçe (TUR)

Midtjylland (DEN) – Eintracht Francfort (GER)

Tottenham (ENG) – AS Rome (ITA)

Manchester United (ENG) – Bodoe/Glimt (NOR)

Sporting Braga (POR) – Hoffenheim (GER)

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Foot-CAN féminine : Les Tunisiennes dans le groupe B aux côtés du Nigéria, de l’Algérie et du Botswana

La Tunisie évoluera dans le groupe B de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) féminine de football (Maroc 2024), aux côtés du Nigéria, de l’Algérie et du Botswana, selon le tirage au sort qui a eu lieu vendredi au Complexe Mohammed VI de football à Salé.

Le groupe A est composé du Maroc (pays hôte), de la République Démocratique du Congo, du Sénégal et de la Zambie. Dans le groupe C figurent l’Afrique du Sud, le Ghana, le Mali et la Tanzanie.

La 13è édition de la Coupe d’Afrique des Nations féminine de football se tiendra du 5 au 26 juillet 2025 au Maroc.

La dernière édition, organisée également au Maroc en 2022, a été remportée par l’Afrique du Sud.

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Tunisie – JCC 2024 : « La Palestine au cœur de l’avenue »

Une sélection de 18 films, entre longs et courts métrages, réalisés par des cinéastes palestiniens, mais également italiens, français, britanniques et égyptiens, figure au programme de la section « La Palestine au cœur de l’avenue », avec des projections prévues sur l’avenue Habib Bourguiba à Tunis dans le cadre de la 35ème édition des Journées Cinématographiques de Carthage (JCC, 14-21 décembre 2024).

A travers des œuvres exprimant les souffrances et les espoirs du peuple palestinien et la participation active de cinéastes palestiniens dans les différentes sections et activités du festival, les JCC « qui ont toujours placé la Palestine au cœur de leur engagement » et dans le contexte marqué par « les agressions persistantes et continues subies par le peuple palestinien », lit-on sur la page officielle du festival, mettent la Palestine à l’honneur à travers un programme varié, dans son contenu et ses thèmes.

Le programme de l’édition 2024 propose une sélection d’œuvres, principalement des documentaires, signées par des cinéastes ayant déjà participé au festival, ainsi que des premières œuvres de jeunes réalisateurs.

Par ailleurs, ont été sélectionnés des films sur la Palestine réalisés par des cinéastes non palestiniens avec leurs visions particulières et uniques qui ont contribué à faire connaître la cause palestinienne au monde.

Parmi les films à découvrir figurent le long métrage « Aida Returns » (Le Retour d’Aida) de la palestinienne Carol Mansour, sélectionné pour la compétition officielle des longs métrages documentaires de la 34ème édition (annulée) des JCC, ainsi que « La Porte du soleil » de l’égyptien Yousry Nasrallah, « Voyage à Gaza », un récit de l’italo-français Piero Usberti, et « Samouni Road » de l’italien Stefano Savona, qui a remporté le Prix Oeil d’Or pour le meilleur documentaire au Festival de Cannes en 2018.

D’autres œuvres poignantes et percutantes enrichissent le programme, notamment « Yallah Gaza » du cinéaste et scénariste français Roland Nurier, « Janin, Jenin », l’œuvre emblématique de Mohammad Bakri et « Laila’s Birthday » de Rashid Masharawi.

Les cinéphiles pourront également découvrir des œuvres acclamées pour leur originalité narrative sur la résistance palestinienne, telles que « The Wanted 18 » d’Amer Shomali, « Fix Me » de Raed Andoni, « Little Palestine, Diary of a Siege » d’Abdallah Al-Khatib, « Wajib » d’Annemarie Jacir, « 200 Meters » d’Ameen Nayfeh, et « The Present », un court métrage de la réalisatrice britannique Farah Nabulsi, nommé aux Oscars 2021.

D’autres découvertes sont au menu « The Crossing » d’Ameen Nayfeh, « Maradona’s Legs » de Firas Khoury, « Khaled and Nema » de Sohail Dahdal, « Roshmia » de Salim Abu Jabal, et « Nadia’s Visa » de la cinéaste palestino-jordanienne Hanadi Elyan. Un recueil de 22 courts métrages réalisés à Gaza, intitulé « From Ground Zero, Untold Stories from Gaza », complète cette riche programmation.

En parallèle, une exposition sera organisée autour de l’histoire du cinéma palestinien, avec des archives de films et des documents audiovisuels rendant hommage aux « martyrs de l’image », ceux qui ont sacrifié leur vie pour transmettre la vérité. Cette exposition présente également des extraits de films palestiniens ayant remporté des Tanits ou marqué les précédentes éditions des JCC.

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