Israël menace d’intensifier ses frappes au Sud du Liban

© Mosaique FM

© Mosaique FM
En recevant l’OB à Bizerte, le CAB n’a d’autre choix que de récolter les trois points.
La Presse — Enfin de retour au Stade 15- Octobre! Les Cabistes, qui ont joué 7 matches successifs en déplacement, retrouvent cet après-midi leur terrain et leur public face à l’OB.
Il s’agit là d’une belle opportunité de renouer avec le succès.
Certes, le voisin béjaois n’est pas dans sa meilleure période et espère quitter la zone dangereuse. Mais on imagine que la volonté des locaux est plus forte que tout, à cette occasion.
Non pas parce que le CAB a changé d’entraîneur, mais parce que les Cabistes ont besoin de se ressaisir devant un public «jaune et noir» acquis totalement à leur cause.
D’ailleurs, ont-ils d’autres choix après les deux dernières défaites contre le ST et l’EST. La moindre des choses est de se réconcilier avec leurs supporters très remontés contre le mauvais sort qui les poursuit depuis un bon bout de temps.
Déclic en vue
Ce faisant, le remplacement de Chokri Béjaoui par Chiheb Ellili aura- t-il un effet positif sur le groupe? Assistera-t-on ainsi à un déclic ? Les conditions dans lesquelles Ellili vient d’être engagé plaident largement pour un pronostic favorable.
Concernant la formation de départ qui donnera la réplique aux Cigognes, elle verra le retour à l’axe de Allalah et probablement Bougatfa sera décalé sur le flanc gauche de la défense.
Pour le reste de l’équipe, il n’y aura pas de changement notable selon un proche du staff technique mais on reviendra toutefois au classique 4- 4- 2 ou 4-4-3 selon la phase de jeu.
Formation probable: Maktouf( ou Hanzouli)- Guessmi- Bougatfa (ou Rhimi)- Allala- Jaballah- Dridi- Aymen Amri- Fonseca- Ahmed Amri- Cissoko( ou Felkahi)- M Bay.
Béchir Sifaoui
The post CAB : Seule la victoire… first appeared on La Presse de Tunisie.
Les passionnés de football tunisien auront les yeux rivés, ce dimanche 02 novembre 2025 après-midi, sur le stade Taïeb Mhiri de Sfax qui abrite le choc de la 12ᵉ journée de la Ligue 1 professionnelle.
Le Club Sportif Sfaxien reçoit l’Espérance Sportive de Tunis dans un classico très attendu entre deux géants du football national.
Le coup d’envoi sera donné à 14h30 et la rencontre sera diffusée en direct sur la chaîne nationale Wataniya 1.
The post Où voir le classico CSS – Espérance de Tunis aujourd’hui ? first appeared on La Presse de Tunisie.
Le conseiller fiscal Mohamed Salah Ayari a annoncé, dimanche, que la mise en place des caisses enregistreuses électroniques dans les cafés et restaurants permettra de réduire considérablement l’évasion fiscale et de renforcer l’équité fiscale en Tunisie.
Ce dispositif, qui vise à assurer une traçabilité transparente des opérations de vente et de consommation, sera déployé progressivement selon un calendrier en quatre phases :
• 1er novembre 2025 : entrée en vigueur pour les restaurants touristiques classés, les salons de thé et les cafés de deuxième et troisième catégorie.
• 1er juillet 2026 : extension aux autres personnes morales exerçant dans la restauration, la restauration rapide et les activités similaires, à l’exception des établissements touristiques classés.
• 1er juillet 2027 : application aux personnes physiques soumises au régime réel.
• 1er juillet 2028 : généralisation aux autres personnes physiques non tenues à une comptabilité et non soumises au régime réel.
Mohamed Salah Ayari a également appelé les citoyens à demander systématiquement leurs tickets lors de leurs achats dans les cafés et restaurants, rappelant que les agents des impôts pourront effectuer des contrôles en tant que simples clients afin de vérifier la conformité de l’enregistrement des ventes et sanctionner les contrevenants.
The post Des contrôles surprises dans les cafés et restaurants : les agents du fisc passent incognito first appeared on La Presse de Tunisie.
Les Cap-bonais étaient tout proches de l’exploit face à un Club Africain assez loin de ses standards.
La Presse — Entre le CA et l’ASS hier, les ambitions diamétralements opposées ne devaient pas pour autant nous proposer un match déséquilibré, sachant que les Cap-bonais de Soliman étaient venus à Radès pour déjouer les pronostics, alors que le Club Africain n’avait d’autre visée que de défendre son leadership et donc s’imposer, même en l’absence de son buteur Firas Chawat.
Le match débute avec une intensité qui monte au fil des minutes. Le CA s’installe mais l’équipe de Sami Gafsi ne laisse rien filtrer et anticipe les décalages et autres services dans la profondeur des bases cap-bonaises.
Après dix bonnes minutes de jeu, la physionomie ne change pas avec un CA tout en possession, sans percussion toutefois, et une ASS qui verrouille tout en se montrant incisive sur contre, que ce soit par Ghassen Maatougui ou encore l’ex-Clubiste, Manoubi Hadded.
20’ de jeu, Mbarga perce sur le couloir droit, sert Yassine Kasseh dont le placé rebondit sur le bras de Saidou Khan. Après retour à la VAR, l’arbitre Mohamed Ali Karouia décrète un penalty en faveur de l’ASS. 30’ de jeu, précisément, Manoubi Haddad croise et marque, en dépit du fait que Chamekh a suivi la trajectoire du ballon.
Avantage mérité de l’AS Soliman qui avait déjà percé à trois reprises sur contre éclair jusque-là. 35’, le Gambien Kebba Sowe touche du bois suite à un service impeccable de Manoubi Hadded, impérial dans sa prise de balle et ses enchaînements vers l’avant.
37’, sur balle arrétée, Sadok Mahmoud trouve Ali Youssef qui touche du bois mais l’action est précédée d’une position de hors-jeu. 40’, l’ASS impose son bloc avec un pressing constant sur le porteur du ballon et une projection rapide vers l’avant.
Il n’empèche que le CA aurait pu égaliser à deux reprises, par Khadhraoui sur une tête croisée qui rase le poteau, puis Bilel Ait Malek qui bute sur Ben Chrifia.
Les transitions rapides, les projections vers les couloirs et un circuit préferentiel qui permet de piquer plein axe vers les bases défensives Clubistes, l’ASS a eu raison, 45’ durant, du CA.
Les Clubistes sur le fil…
De retour de pause, le CA se rue vers l’avant mais l’ASS ne cède pas. A un quart d’heure du terme, après l’expulsion de Babacar Diarra, le CA joue en supériorité numérique.
Mais encore faudra-t-il en profiter. 82’, la tête croisée de Khadhraoui frôle le poteau de Ben Chrifia. 97’, le CA revient de loin.
Kinzumbi trompe Moez Ben Chrifia suite à un éclair de Khadhraoui et un assist d’Ait Malek. On en restera là et c’est forcément frustrant des deux côtés.
K.KHOUINI
The post CA-ASS (1-1) : Les Clubistes calent first appeared on La Presse de Tunisie.
Alors que le match s’acheminait vers un partage des points, Chaabani a ouvert la marque à la première minute du temps additionnel avant que Ben Sghaier ne double la mise. Une victoire inespérée pour des Etoilés plus déterminés que jamais.
La Presse — Restant sur deux victoires, les Miniers de Métlaoui se sont déplacés hier à Sousse dans la perspective de préserver leur courbe ascendante.
Idem pour les Etoilés qui ont retrouvé le chemin de la victoire au milieu de la semaine.
Pour parvenir à leurs fins, les hommes de Mohamed Ali Nafkha sont entrés dans le vif du sujet dès les premières minutes de jeu en menant un pressing haut sur leur adversaire.
La première tentative des locaux a été enregistrée à la 13’ : talonnade de Salaheddine Ghedamsi sur la dernière ligne, déviée en corner par le gardien de but adverse, Hamza Ben Chérifia, qui lui a fermé l’angle de tir.
Et alors que les Miniers commençaient à porter leur jeu à l’attaque, Naby Silla a privé son équipe de ses services en se faisant expulser à la 25’ après avoir fauché Mohamed Dhaoui.
En dépit de leur infériorité numérique, les Miniers n’ont pas baissé la garde, continuant à traiter d’égal à égal avec leur hôte.
Sauf que les attaquants métalouis se sont créé peu d’occasions, outre que le finish leur a terriblement fait défaut.
A la 30’, Ouled Bahia se faufile sur la gauche, dribble Ogbo avant de servir Haji dont la reprise de la tête passe à côté.
Le même Ouled Bahia, servi quelques minutes plus tard par Sylla, adresse un tir quelconque, intercepté sans difficulté par le portier adverse, Ben Hassen (40’).
Quatre minutes fatales
En deuxième mi-temps, le manque de percussion a été aussi au rendez-vous durant le temps réglementaire.
Servi en retrait par Sylla sur la dernière ligne, Ouled Bahia a tenté une reprise, mais Ben Hassen lui a fermé l’angle de tir avant de dévier la balle en corner (60’).
Du côté des locaux, le ratage était aussi au rendez-vous : centrage de la gauche de Raki Aouani pour Mohamed Kanté dont la reprise de la tête passe légèrement à côté (63’).
A noter qu’à la 84’, l’arbitre du match a informé les capitaines des deux équipes que la VAR est tombée en panne.
Et alors qu’on s’acheminait vers un résultat nul, deux changements opérés par Mohamed Ali Nafkha se sont avérés payants. D’abord Mohamed Yassine Chaabani qui ouvre la marque d’une reprise de la tête suite à un corner (90’+1).
Puis Maher Ben Sghaier qui double la mise à l’ultime minute suite à un centrage de la gauche de Dhaoui (90’+5).
Quatre minutes fatales pour les Miniers et une victoire à l’arraché, mais amplement méritée pour les hommes de Mohamed Ali Nafkha qui ont eu le mérite d’y croire jusqu’au coup de sifflet final.
Walid NALOUTI
The post ESS-ESM (2-0) : In extremis first appeared on La Presse de Tunisie.
Le ministre de l’Économie et de la Planification, Samir Abdelhafidh, a affirmé que le projet du budget économique pour 2026 ambitionne de renforcer la solidité de l’économie nationale tout en équilibrant croissance et besoins sociaux, conformément aux orientations présidentielles en matière de stabilité macroéconomique et de justice sociale.
S’exprimant lors d’une séance conjointe des commissions des finances du Parlement et du Conseil national des régions et des districts, le ministre a précisé que ce projet constitue le point de départ du plan de développement 2026-2030, axé sur la souveraineté nationale, la réduction des inégalités régionales et l’amélioration du niveau de vie des citoyens.
Selon lui, le projet table sur un taux de croissance de 3,3 % en 2026, contre 2,6 % attendus en 2025, soutenu par la reprise de la production agricole, la hausse de la production de phosphate et d’hydrocarbures, ainsi que par l’accueil de 11,5 millions de touristes.
Le plan prévoit également de stimuler l’investissement global pour atteindre près de 30 milliards de dinars, tout en maîtrisant l’inflation à 5,3 %. Il repose sur cinq axes stratégiques : emploi et inclusion sociale, développement du capital humain, soutien à l’investissement et à la compétitivité, développement régional et développement durable.
Des indicateurs économiques en amélioration en 2025
Revenant sur la conjoncture de 2025, le ministre a noté une amélioration des principaux indicateurs économiques, malgré les incertitudes mondiales.
La croissance a atteint 3,2 % au deuxième trimestre, le taux de chômage a reculé à 15,3 %, et l’inflation est tombée à 5 % en septembre.
Les secteurs productifs, notamment l’agriculture, le tourisme et les exportations mécaniques, électriques et textiles, ont contribué à renforcer les réserves en devises et à réduire le déficit commercial.
Toutefois, Abdelhafidh a souligné la persistance de défis structurels, dont la baisse de la production énergétique, le ralentissement de l’investissement, le déficit énergétique, le faible rythme de création d’emplois et les disparités régionales.
The post La Tunisie mise sur une croissance de 3,3 % en 2026 first appeared on La Presse de Tunisie.
Le président de l’Association tunisienne des parents et des élèves, Ridha Zahrouni, a affirmé que le nouveau calendrier scolaire pour la première période de l’année 2025-2026 offrira une meilleure organisation et plus de confort aux élèves dans la préparation de leurs examens, écartant les rumeurs circulant sur les réseaux sociaux selon lesquelles il constituerait une charge supplémentaire.
Dans une déclaration à Express FM, Zahrouni a précisé que les épreuves orales et pratiques se tiendront du 3 au 29 novembre, tandis que les examens écrits du premier trimestre se dérouleront du 2 au 13 décembre.
Cette nouvelle répartition, a-t-il souligné, étend la période d’évaluation à quatre semaines pour les épreuves orales et à deux semaines pour les écrits, permettant aux élèves de mieux gérer leur préparation et de réduire la pression habituelle.
Zahrouni a expliqué que l’objectif de cette révision du calendrier est de rationaliser le déroulement des examens et d’offrir une expérience d’évaluation plus fluide et équilibrée, grâce notamment à une communication anticipée du calendrier d’évaluation, facilitant la planification des révisions.
Le président de l’Association a par ailleurs dénoncé les interprétations exagérées diffusées sur les réseaux sociaux, selon lesquelles les élèves seraient en période d’examens pendant un mois et demi.
« En réalité, il ne s’agit pas d’un allongement de la charge scolaire, mais d’une meilleure répartition des évaluations sur une période plus souple », a-t-il précisé.
The post Examens du premier trimestre : un calendrier plus souple pour réduire la pression sur les élèves first appeared on La Presse de Tunisie.
Depuis juillet 2021, le pays s’est replié sur ses ressources internes pour financer son budget. Mais cette stratégie, dictée par l’absence d’accord avec le FMI, montre aujourd’hui ses failles : croissance ralentie, inflation persistante et système bancaire fragilisé.
L’analyste de politique économique Khouloud Toumi tire la sonnette d’alarme. « Nous faisons face à un modèle économique fermé où le financement interne ne suffit plus à soutenir ni la croissance ni la stabilité monétaire », affirme-t-elle dans une déclaration à L’Économiste Maghrébin.
Depuis le 25 juillet 2021, la Tunisie traverse une période économique inédite, marquée par un recours quasi exclusif aux ressources domestiques : banques locales, Banque centrale et recettes fiscales. Cette orientation, imposée par les circonstances et notamment l’absence d’accord avec le Fonds monétaire international, a pu « temporairement soutenir l’État », reconnaît l’analyste, avant d’ajouter que « cette stratégie a atteint ses limites ».
Les banques locales, premières créancières de l’État
Les établissements bancaires tunisiens sont devenus les premiers créanciers de l’État, détenant une part importante des bons du Trésor. Cette situation crée « une forme de dépendance mutuelle entre la banque et l’État » et expose directement ces institutions au risque souverain.
Plus préoccupant encore, cette surexposition à la dette publique se fait au détriment du secteur privé. « Les banques prêtent à l’État plutôt qu’à l’économie réelle, ce qui freine la création de richesse et l’emploi », explique Khouloud Toumi. L’investissement privé et la consommation, pourtant moteurs principaux de la croissance, en pâtissent directement.
En parallèle, la Banque centrale a procédé au financement direct de l’État, notamment 7 milliards de dinars pour la loi de finances 2025 et 11 milliards prévus pour 2026. Cette pratique, qui revient à « monétiser le déficit budgétaire », accroît la masse monétaire sur le marché réel et alimente l’inflation, érodant ainsi le pouvoir d’achat des citoyens et déstabilisant la monnaie nationale.
Des ressources fiscales absorbées par les dépenses courantes
Le tableau budgétaire est tout aussi préoccupant. Près de 75% des recettes
fiscales sont absorbées par les dépenses courantes, principalement la masse salariale et les subventions. « Cela signifie que la quasi-totalité des ressources fiscales sert à maintenir l’appareil administratif », souligne l’analyste.
Dans une économie ralentie, cette situation limite toute flexibilité budgétaire. L’État « ne peut ni investir, ni réformer, ni absorber les chocs extérieurs », précise Khouloud Toumi, qui décrit une « spirale » dangereuse : « Plus on s’endette localement, plus on affaiblit le système financier, plus on ferme l’accès aux marchés extérieurs, plus on effraie les investisseurs ».
Un accord avec le FMI, une « obligation » selon l’analyste
Face à cette impasse, Khouloud Toumi estime qu’un accord avec le Fonds monétaire international n’est plus une option mais « une obligation ». « Le FMI n’est pas seulement un bailleur de fonds, c’est un catalyseur de confiance », explique-t-elle. « Il joue un rôle important pour les marchés extérieurs » et permet de signaler que le pays « s’engage dans une trajectoire de réforme, de transparence et de stabilité ».
L’analyste reconnaît que le FMI imposera une politique budgétaire restrictive, incluant des réformes structurelles de la masse salariale, des subventions et de la restructuration des sociétés publiques. Mais elle estime que ces réformes, bien que difficiles, permettront « à terme une croissance économique » et « ouvriront les portes aux autres bailleurs de fonds, ainsi qu’aux crédits multilatéraux et bilatéraux ».
Pour Khouloud Toumi, « on est arrivé à une économie fermée » et « le risque est moindre avec les réformes qu’en maintenant le statu quo ». La question n’est donc plus de savoir s’il faut négocier, mais « sur quelle base il faut négocier » avec le FMI.
L’article Khouloud Toumi : « Un accord avec le FMI est devenu une obligation pour la Tunisie » est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.
Selon le dernier rapport Commodity Markets Outlook de la Banque mondiale, les prix mondiaux des produits de base devraient diminuer pour la quatrième année consécutive, atteignant en 2026 leur plus bas niveau depuis six ans.
Cette baisse, estimée à -7% en 2025 et 2026, résulte d’une croissance économique mondiale faible, d’un excédent pétrolier croissant et d’une incertitude politique persistante. La chute des prix de l’énergie aide à réduire l’inflation mondiale, tandis que la baisse des prix du riz et du blé améliore l’accès alimentaire dans plusieurs pays en développement.
Malgré ce recul, les prix restent toutefois supérieurs aux niveaux pré-pandémie (+23% en 2025 vs 2019). L’excès d’offre pétrolière, favorisé par une demande limitée liée à la montée des véhicules électriques, pousse le prix du baril de Brent à son plus bas niveau depuis cinq ans. Les prix des énergies devraient reculer de 12% en 2025 puis de 10% en 2026. Les matières premières agricoles voient aussi leur prix baisser, sauf les engrais qui augmentent fortement en raison des coûts et restrictions. Ce renchérissement pourrait peser sur la rentabilité agricole et la production.
Parallèlement, les métaux précieux comme l’or et l’argent atteignent des niveaux records, stimulés par l’incertitude économique et les achats des banques centrales. Des incertitudes géopolitiques, des conditions climatiques extrêmes, ainsi que la montée de l’IA et la demande accrue d’électricité pourraient toutefois renverser certaines tendances à la hausse des prix, notamment de l’énergie et des métaux de base.
Toujours selon le récent rapport, la Banque mondiale appelle les gouvernements, notamment dans les pays en développement, à profiter de la baisse des prix du pétrole pour mettre en œuvre des réformes budgétaires favorisant la croissance, l’investissement et la création d’emplois durables. Enfin, le rapport souligne que les accords internationaux sur les produits de base ont eu un effet limité et recommande de privilégier la diversification, l’innovation, la transparence et une fixation des prix par le marché pour mieux résister à la volatilité.

L’article Baisse prolongée des prix des matières premières : une opportunité pour des réformes durables dans un contexte d’incertitudes mondiales est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.
Ligue des champions et Coupe de la Confédération : le tirage au sort des phases de groupes prévu demain à Johannesburg
L’article Ligue des champions et Coupe de la Confédération : le tirage au sort des phases de groupes prévu demain à Johannesburg est apparu en premier sur Tunisie numerique.

Dans les prochains jours, à l’invitation de l’ambassade de l’Argentine, l’artiste Matias Factorovitch sera dans nos murs pour une exposition à Sidi Bou Said. Intitulée « Anima », cette exposition devrait ouvrir de nouveaux horizons et inviter le public à découvrir quelques aspects de la création en Argentine. Accueillie par Ridha Souabni et son équipe, cette exposition sera inaugurée le 8 novembre prochain à la galerie Saladin à Sidi Bou Said.
Intriguant, le titre de l’exposition se réfère à l’anima, autrement dit l’âme ainsi que ce qui relève de la métaphysique. Pour le moment, seules de rares informations sont disponibles concernant l’artiste et ses œuvres. Toutefois, l’attente de découvrir les principes et l’esthétique des créations de Matias Factorovitch est grande. La perspective de croiser son expérience picturale avec celle des artistes tunisiens l’est tout autant. De fait, pour cet artiste fasciné par l’Afrique, le fait de se retrouver dans le pays qui a donné son nom au continent, ne peut qu’être excitante et il nous semble évident que l’artiste argentin, invité de l’ambassadeur José María Arbilla, sera porté par des inspirations tunisiennes.
En effet, Matías Factorovich est un artiste argentin passionné depuis des décennies par l’art africain. Après un premier voyage sur ce continent en 1992, il y a multiplié les séjours. En 1998, il a vécu plusieurs mois au sein d’une tribu du Swaziland, devenant le premier non-subsaharien à partager la vie de cette communauté.
Factorovitch a résidé à Madrid, à Buenos Aires et vit aujourd’hui dans sa ville natale d’Alta Gracia. Ses œuvres ont été exposées à Córdoba, Buenos Aires et Barcelone, notamment au Centre Culturel Recoleta, à la Galerie Renoir, à la Foire Arteclásica, ainsi qu’aux galeries Crimson et Dante Alighieri. Invité en 2018 à une résidence artistique de six mois à Barcelone, il y a exposé à la Galerie Kaoni, à la Galerie Bencini et à l’espace Fort Pienc de la mairie. Lauréat d’une bourse de la Fondation Valparaíso (Almería), il a ensuite été sélectionné par le Musée National Estancia Jesuítica Virrey Liniers pour une œuvre célébrant l’inscription du site au Patrimoine mondial de l’UNESCO, explorant le dialogue entre les cultures espagnole et américaine.
Selon un communiqué, l’œuvre de Matias Factorovitch est « une célébration de la couleur, où des personnages oniriques et un bestiaire plein de grâce évoluent dans des paysages de rêve. Émaillées de compositions florales luxuriantes, ses œuvres constituent une exploration poétique des thèmes de la vie intérieure. Chaque pièce d’Anima est une énigme, capturant l’essence des émotions avec une beauté éblouissante ». Une exposition à découvrir prochainement et un artiste dont l’œuvre devrait interpeller le public des arts.
Lire aussi:
Exposition Terre spirituelle de Sami Ben Ameur : Révéler l’âme du monde
L’article Un artiste argentin parmi nous : Matias Factorovitch expose à Saladin est apparu en premier sur webdo.
Alors que les célébrations de la Toussaint se poursuivent aujourd’hui, le cimetière des pères blancs à Carthage mérite une mention.
Ce lieu de sépulture qui accueille encore des funérailles se trouve à proximité de la basilique Domus Caritatis, près de la grande mosquée de Carthage.
Plusieurs membres de la congrégation des pères blancs y sont inhumés d’où le nom du cimetière. À titre d’exemple, le père Jean Fontaine est l’un des derniers prêtres à y reposer.
Lieu de paix et de sérénité, ce cimetière entouré d’un mur de clôture blanc, reste peu visité et n’ouvre que rarement ses portes.
Lire aussi:
Snapshot : Un cimetière dans la médina de Tunis
Chrétiens à Carthage : La mystérieuse rotonde souterraine de Domus Caritatis
L’article Snapshot – Carthage : Le cimetière oublié des pères blancs est apparu en premier sur webdo.
La Tunisie brille à nouveau dans un sport discret mais exigeant. La nageuse Sarra Ben Ahmed a remporté, samedi à Abou Dhabi, la médaille d’or du 400 mètres bi-palmes, avec un chrono remarquable de 3:59.21, lors de l’étape de la Coupe du monde de nage avec palmes.
Elle devance l’Égyptienne Rokia Issam Mohamed (4:08.28) et la Kazakhe Alissa Assilgarayeva (4:14.00).
Ce nouveau sacre vient confirmer la trajectoire ascendante de la nageuse tunisienne, déjà médaillée d’or du 1 000 mètres en eau libre (catégorie juniors) le 11 octobre 2025 à El-Alamein (Égypte), lors des Championnats du monde de nage avec palmes.
À seulement 17 ans, Sarra Ben Ahmed s’impose comme l’une des révélations de la discipline au niveau international.
La nage avec palmes, souvent méconnue du grand public, a vu le jour en 1935 grâce au Commandant Louis de Corlieu, inventeur des premières palmes en caoutchouc, inspirées des pêcheurs polynésiens. Depuis, la discipline a évolué avec la création de la monopalme dans les années 1970, révolutionnant les techniques de nage.
Reconnue sport olympique depuis 1986 par le Comité international olympique, la nage avec palmes s’est structurée à l’échelle mondiale et trouve en Tunisie un terrain fertile.
Lire aussi:
Taekwondo – Mondiaux en Chine : L’or historique de la Tunisienne Wafa Masghouni
L’article Sarra Ben Ahmed offre à la Tunisie l’or du 400 m bi-palmes à Abou Dhabi est apparu en premier sur webdo.
Le plan de développement 2026-2023, qui démarrera avec le projet de loi de finance 2026 (PLF2026), se fonde sur la consolidation de la souveraineté nationale, la réalisation de la justice sociale et la croissance équilibrée entre les régions.
C’est ce qu’a indiqué le ministre de l’Economie et de la planification Samir Abdelhafidh, lors d’une séance conjointe des deux commissions des finances et du budget à l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) et au Conseil national des régions et districts (CNRD), hier, samedi 1er novembre 2025, au Palais du Bardo.
Le ministre a affirmé que le projet de budget économique pour l’année prochaine table sur un taux de croissance de 3,3% aux prix constants, contre 2,6% prévu pour 2025, et ce grâce à la poursuite du redressement économique et de la stabilisation globale des équilibres macro-financiers.
Les prévisions du gouvernement tablent sur une amélioration de la production agricole et une hausse de la production du phosphate et des hydrocarbures, en plus de l’attraction de 11,5 millions de visiteurs étrangers.
Le PLF2026 vise aussi à impulser l’investissement global afin qu’il atteigne 29,978 milliards de dinars et à maintenir le taux d’inflation au niveau de 5,3% (contre une prévision du FMI de 5,9 % pour l’ensemble de l’année 2025).
S’agissant de la conjoncture économique globale dans le pays, M. Abdelhafidh a estimé que, malgré l’incertitude ambiante, la croissance a atteint 3,2% au cours du second trimestre 2025, alors que le chômage a baissé à 15,3% et l’inflation à 5% en septembre.
Malgré ce léger mieux, l’économie nationale continue de faire face à de grands défis, notamment la baisse de production des hydrocarbures, le creusement du déficit énergétique, les inégalités régionales et la lenteur du rythme d’investissement et de création d’emplois.
L. B.
L’article Economie tunisienne | Poursuite du redressement, malgré le climat d’incertitude est apparu en premier sur Kapitalis.
S’il y a à choisir un fruit à consommer en cette période de l’année, que les Tunisiens appellent métaphoriquement «qouayel erromane» (littéralement: chaleurs qui font mûrir la grenade), Dr Faouzi Addad, professeur en cardiologie, conseille, dans son post Facebook que nous reproduisons ci-dessous, justement, la grenade, également appelée «pomme de Carthage», comme il le rappelle.
«C’est le fruit antioxydant par excellence, et l’un de ceux qui ont le plus de vertus démontrées pour notre cœur et nos vaisseaux.
«Les grenades sont particulièrement riches en polyphénols qui réduisent l’oxydation du LDL-cholestérol, première étape de la formation de la plaque d’athérome.
«Elles diminuent la production des cytokines pro-inflammatoires, améliorent la fonction endothéliale et assouplissent nos artères.
«Les études scientifiques sont nombreuses : un verre quotidien de 150 à 200 ml de jus de grenade abaisse la pression artérielle de 5 à 10 mmHg, stimule la production de monoxyde d’azote (NO), et réduit la rigidité artérielle chez les hypertendus ou les sujets âgés.
«Chez les patients hémodialysés chroniques, 100 ml de jus de grenade par jour ont permis un meilleur contrôle tensionnel, souvent avec moins de médicaments, ainsi qu’une amélioration du profil lipidique, réduisant le risque d’événements cardiovasculaires.
«Chez les patients coronariens, on a observé moins d’angor et d’infarctus.
«Malgré son goût sucré, la grenade a un profil métabolique très particulier qui en fait un fruit sûr et bénéfique pour la majorité des diabétiques ou prédiabètiques. La grenade renferme 13 g/100 ml de sucres naturels (fructose et glucose), cela en fait donc avec la richesse de ces polyphénols un fruit de cardio-protection du patient diabétique.
«Au-delà du cœur, plusieurs études et méta-analyses suggèrent un ralentissement du déclin cognitif chez les consommateurs réguliers de grenade.
«Alors, profitez des vertus de ce fruit emblématique de notre Méditerranée — naturel, sans sucre ajouté, et ami du cœur et du cerveau.»
L’article Santé | La grenade protège le cœur est apparu en premier sur Kapitalis.
Le club italien du Genoa a annoncé samedi la fin de sa collaboration avec Patrick Vieira, son entraîneur principal. Le communiqué officiel précise que le technicien français « n’est plus en charge de l’équipe première ».
Cette décision intervient alors que le club, dernier du championnat d’Italie (Serie A), n’a toujours pas remporté la moindre rencontre depuis le début de saison.
Un départ attendu après un début de saison catastrophique
Avec seulement trois points en neuf matches (trois nuls, six défaites), le doyen des clubs italiens connaît le pire départ de son histoire.
Vendredi, la direction avait déjà mis fin aux fonctions de Marco Ottolini, directeur sportif du club.
Selon la presse locale, la défaite à domicile contre Cremonese (2-0) mercredi dernier a été le déclencheur de cette décision.
Le contrat de Vieira, initialement valable jusqu’en juin 2027, est donc interrompu prématurément.
Une solution intérimaire en attendant un successeur
Dans l’attente de la nomination d’un nouvel entraîneur, l’équipe sera dirigée lundi contre Sassuolo par Roberto Murgita et Mimmo Criscito, ancien défenseur emblématique du club et actuel entraîneur des moins de 17 ans.
Le club n’a pas encore précisé le calendrier de recrutement de son futur coach.
L’article Serie A : Gênes se sépare de son entraîneur Patrick Vieira est apparu en premier sur WMC.
L’Italien Jannik Sinner, actuel numéro 2 mondial, a validé samedi son billet pour la finale du Masters 1000 de Paris après une victoire éclatante sur l’Allemand Alexander Zverev (N.3). Le match n’a duré qu’une heure : Sinner s’est imposé en deux sets secs (6-0, 6-1), dominant un adversaire visiblement diminué après son long quart de finale contre Daniil Medvedev.
Zverev, tenant du titre, a dû faire appel au kinésithérapeute et au médecin dès le début du deuxième set, sans parvenir à freiner la puissance du joueur italien.
Une série impressionnante pour l’Italien
Ce succès marque la 25ᵉ victoire consécutive de Sinner en indoor, confirmant son excellent état de forme. Finaliste à Rome et Cincinnati cette saison, il disputera à Paris sa neuvième finale de l’année, la première dans la capitale française.
Auger-Aliassime renverse Bublik
Dans l’autre demi-finale, le Canadien Félix Auger-Aliassime (tête de série N.9) s’est défait du Kazakh Alexander Bublik (N.13) en deux manches (7-6 [3], 6-4) après 1h36 de jeu.
Le premier set s’est joué au tie-break, remporté par le Canadien, avant qu’il ne renverse le second acte : mené 1-4, il a enchaîné cinq jeux consécutifs pour conclure.
Une finale inédite à Paris
Auger-Aliassime, qui a remporté sept de ses huit titres en salle, atteint sa première finale de Masters 1000 depuis 2022. Il retrouvera un adversaire qu’il connaît bien : Sinner l’a déjà battu deux fois en 2025.
La finale de ce dimanche s’annonce prometteuse entre deux joueurs en grande forme et particulièrement à l’aise sur surface rapide.
L’article Masters 1000 de Paris : Sinner et Auger-Aliassime en finale est apparu en premier sur WMC.