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Gestern — 14. November 2025Haupt-Feeds

Condamné à mort au Qatar : L’affaire Fakhri Landolsi revient en urgence

14. November 2025 um 07:59

L’affaire de Fakhri Landolsi, Tunisien originaire de Kairouan et condamné à mort au Qatar, revient brusquement au premier plan après une nouvelle alerte lancée par l’observatoire tunisien des droits de l’Homme. L’organisation affirme suivre la situation « avec une profonde inquiétude » et estime que les autorités qataries seraient prêtes à exécuter la sentence. Elle appelle la Tunisie, et en premier lieu le président de la République, à intervenir de toute urgence pour empêcher cette issue.

Cette affaire remonte à plusieurs années. Fakhri avait été arrêté au Qatar pour son implication présumée dans le meurtre d’un militaire dans une base qatarie. Les autorités l’avaient également accusé d’appartenir à un groupe extrémiste. Son procès avait conduit à une condamnation à mort, verdict que sa famille et plusieurs ONG ont toujours dénoncé comme injuste et entaché de zones d’ombre.

En 2021, l’affaire avait déjà provoqué une vive émotion en Tunisie. Des médiations diplomatiques avaient alors abouti à une décision de l’émir du Qatar de suspendre l’exécution, laissant espérer une issue plus clémente. À l’époque, certains proches avaient même évoqué la possibilité d’une commutation de peine, mais aucune confirmation officielle n’avait jamais été rendue publique. Depuis, le dossier était resté silencieux, sans avancées visibles.

Mort imminente ?

La réapparition du cas aujourd’hui, accompagnée d’informations selon lesquelles le détenu aurait été informé de préparatifs d’exécution, ravive les craintes de sa famille. Sa mère a multiplié les appels aux autorités tunisiennes pour obtenir un rapatriement ou, à tout le moins, une intervention diplomatique directe. Elle affirme que son fils vit désormais dans l’angoisse d’une mise à mort imminente.

Cette affaire pose une fois de plus la question de la protection des ressortissants tunisiens condamnés à l’étranger, notamment dans les pays appliquant la peine de mort. Elle met également en lumière la complexité des dossiers mêlant justice, diplomatie et droits humains. Pour les défenseurs de Landolsi, le temps presse. Si la Tunisie ne se mobilise pas rapidement, le risque de voir l’exécution devenir réalité n’a jamais semblé aussi élevé.

Lire aussi : Tunisie : Fakhri Landolsi, de nouveau menacé d’exécution au Qatar

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Gabès-Matmata retrouve le ciel : Deux vols test programmés dès l’été 2026

14. November 2025 um 07:49

L’aéroport de Matmata pourrait bientôt retrouver du mouvement. Le ministre du Transport, Rachid Amri, a annoncé la programmation de deux vols aériens expérimentaux durant l’été 2026, une première depuis des années pour cette infrastructure marginalisée.

Cette initiative vise à tester la viabilité économique et la demande réelle sur cette destination du Sud-Est, longtemps délaissée faute de trafic suffisant. « Le nombre de vols sera augmenté en fonction des résultats de cette expérience et de sa rentabilité », a affirmé le ministre lors d’une séance parlementaire consacrée au budget 2026 du département.

La relance de Matmata s’inscrit dans une stratégie plus large de réduction des disparités régionales et de réintégration des aéroports intérieurs dans le réseau national. Le ministère rappelle qu’il applique depuis plusieurs mois des incitations financières importantes, allant jusqu’à 70 % de réduction, pour encourager les compagnies aériennes à exploiter les plateformes régionales, notamment Tabarka et Tozeur.

L’objectif est double : soutenir le tourisme dans les zones à fort potentiel et réactiver une infrastructure existante sans coûts d’investissement majeurs. La région de Matmata, connue pour ses paysages uniques et ses villages troglodytiques, pourrait bénéficier d’un afflux nouveau de visiteurs si les vols test s’avèrent concluants.

Au-delà de cette annonce, le ministère poursuit sa politique d’amélioration de l’accès au transport dans les régions intérieures, mais la relance de l’aéroport de Matmata demeure l’un des signaux forts du budget 2026.

Modernisation : transition énergétique et digitalisation

Le budget du ministère du Transport pour 2026 connaîtra une progression notable. Selon le ministre Rachid Amri, les crédits inscrits sur le budget de l’État s’élèvent à 1 281,08 millions de dinars en engagements et 1 267,3 millions en paiements, soit une hausse de 17,7 % des crédits de paiement par rapport à 2025.

Lors d’une séance conjointe entre la Commission de la planification stratégique et celle des grands projets, le ministre a détaillé la répartition des dépenses qui concerneront le transport terrestre, aérien, maritime ainsi que les programmes de soutien et de gouvernance du secteur. Près de 95 % des dépenses de développement seront destinées au transport terrestre.

La SNCFT absorbera 48,6 % des investissements, et la RFR 29,54 %. Les sociétés régionales de transport bénéficieront d’une enveloppe de 40 millions de dinars, permettant l’acquisition d’environ 250 bus. Par ailleurs, l’État participera au financement de 30 nouvelles rames de métro pour Transtu, à hauteur de 67,5 millions de dinars (15 % du coût global).

Lire aussi : Le projet d’extension de l’aéroport Tunis-Carthage approuvé en Conseil des ministres

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Tunisie – Santé : L’exercice partiel pour les médecins de l’étranger sur la table

14. November 2025 um 07:39

Le ministre de la Santé, Mustapha Ferjani, a rencontré jeudi soir un groupe de médecins, chercheurs et étudiants tunisiens installés dans le sud de la France, lors d’une réunion organisée à la résidence tunisienne à Marseille.

Selon un communiqué du ministère, plusieurs propositions ont été discutées, dont la plus importante concerne la facilitation de la reconnaissance des diplômes obtenus à l’étranger.

Le ministre a également évoqué la possibilité d’autoriser les compétences tunisiennes résidant à l’étranger à exercer partiellement en Tunisie, au sein des établissements publics de santé. Une mesure qui permettrait, selon ses interlocuteurs, de renforcer les équipes médicales, d’enrichir l’expertise locale et de mettre à profit le savoir-faire acquis à l’international.

Initiatives solidaires

Cette rencontre s’est tenue en marge de la participation du ministre au Forum de Marseille sur l’intelligence artificielle. Elle a aussi permis d’aborder les moyens de soutenir les initiatives solidaires dans les domaines de la formation et de la recherche, ainsi que le projet de création d’une plateforme électronique destinée à recenser les compétences médicales tunisiennes à l’étranger et à les connecter avec les institutions de santé en Tunisie.

Dr Ferjani a présenté, à cette occasion, un aperçu des grandes lignes de la réforme du système de santé tunisien, axée sur l’équité, le rapprochement des services médicaux du citoyen et l’amélioration de leur qualité. Il a insisté sur le rôle stratégique que peuvent jouer les compétences tunisiennes à l’étranger pour appuyer cette transformation et contribuer au renforcement du secteur.

Lire aussi : Tunisie : Vers une révolution numérique de la santé publique

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Ce qu’il faut savoir avant d’acheter une voiture en Tunisie, selon Mehdi Mahjoub

13. November 2025 um 07:51

Acheter une voiture en Tunisie ne devrait pas se limiter à comparer les prix d’achat, mais à évaluer l’investissement dans sa globalité. C’est ce qu’a rappelé Mehdi Mahjoub, spécialiste du secteur automobile, lors de son passage à l’émission Expresso sur Express FM, mercredi 12 novembre 2025.

Selon lui, tout acheteur doit raisonner en termes de coût total de possession (Total Cost of Ownership – TCO), un indicateur qui englobe bien plus que le simple tarif d’acquisition. Ce coût inclut notamment la consommation de carburant, les frais d’entretien, la durée et les conditions de garantie, ainsi que la qualité du service après-vente.

Mahjoub insiste aussi sur la nécessité de vérifier la fiabilité du véhicule, la disponibilité des pièces de rechange et le réseau de service de la marque dans le pays, autant d’éléments qui influent directement sur la durabilité et le confort d’utilisation.

Autre critère souvent négligé : la valeur de revente. Un véhicule qui conserve une bonne cote sur le marché de l’occasion permet de mieux amortir l’investissement initial.

Pour lui, acheter une voiture en Tunisie demande aujourd’hui une approche globale et rationnelle : au-delà du prix, il s’agit d’évaluer un ensemble de facteurs économiques et pratiques déterminants pour faire un choix durable et rentable.

Lire aussi: Une proposition de loi vise à étendre le régime FCR aux Tunisiens résidant en Tunisie

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Tunisie : 2026, le grand retour des recrutements dans la fonction publique

13. November 2025 um 07:43

La ministre des Finances, Méchkaat Selama Khaldi, a annoncé que l’année 2026 marquera le retour du recrutement dans la fonction publique, après plusieurs années de gel partiel. Cette décision, selon elle, traduit la volonté de l’État de renforcer la justice sociale et de stabiliser les situations professionnelles de plusieurs catégories de travailleurs.

S’exprimant mercredi soir lors d’une séance plénière conjointe entre les deux chambres du Parlement, consacrée à l’examen du budget du ministère des Finances, la ministre a précisé que plus de 51 878 postes seront ouverts au recrutement en 2026.

Parallèlement, 12 942 ouvriers de chantiers, 1 350 titulaires de doctorat, ainsi que 13 837 enseignants suppléants du primaire et du secondaire verront leurs situations régularisées, en plus de 1 066 professeurs d’éducation physique.

Selon Méchkaat Selama Khaldi, cette politique d’embauche et d’ajustement salarial s’inscrit dans une logique de redéfinition du rôle de l’État comme garant d’équité et de cohésion sociale. Elle a toutefois reconnu que ces mesures auront un impact sur le déficit budgétaire, estimé à 6,4 % pour l’exercice 2026, selon les projections du projet de loi de finances. La ministre a ajouté que cet écart pourrait être compensé par la relance de l’investissement public et privé, jugée essentielle pour stimuler la croissance.

Sur le plan fiscal, la ministre a rappelé que la fiscalité demeure la principale source de financement de l’État. À fin octobre 2025, la Direction générale des impôts a collecté 5 498,4 millions de dinars, dont 1 274,3 millions provenant de paiements directs, confirmant une amélioration du rendement de l’administration fiscale.

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Tunisie : La taxe sur la richesse immobilière dévoile ses premiers fruits

13. November 2025 um 07:30

Les recettes fiscales de la Tunisie ont atteint 5 498,4 millions de dinars à fin octobre 2025, selon les chiffres présentés par la ministre des Finances, Méchkaat Selama Khaldi, lors de la séance plénière conjointe entre les deux chambres consacrée à l’examen du budget de son ministère pour l’année 2025.

La ministre a précisé que cette somme représente le total des recettes perçues par la Direction générale des impôts (DGI), en hausse par rapport aux prévisions de la même période en 2024. Cette progression serait le fruit d’un renforcement du recouvrement, d’un meilleur contrôle fiscal et de la lutte contre l’évasion.

Méchkaat Selama Khaldi a également souligné les efforts entrepris par son département pour élargir l’assiette fiscale, notamment à travers la mise en œuvre de la taxe sur la richesse immobilière, introduite récemment dans le cadre de la réforme du système fiscal. Les recettes issues de cette taxe ont atteint 555 millions de dinars, un chiffre jugé encourageant pour une mesure encore en phase de déploiement.

Selon plusieurs économistes, ces performances traduisent une certaine amélioration du rendement fiscal, mais ne suffisent pas encore à combler le besoin de financement du budget de l’État, estimé à plus de 20 milliards de dinars en 2025. Ils appellent à aller plus loin dans la digitalisation de l’administration fiscale, la réduction de l’économie informelle et la révision des exonérations fiscales, souvent jugées excessives.

La ministre a enfin insisté sur la poursuite des réformes engagées pour renforcer la transparence et l’efficacité du système fiscal, tout en assurant une meilleure équité entre les contribuables.

Lire aussi : Tunisie : Kais Saied insiste sur la justice sociale et la lutte contre la corruption

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Tebboune accorde la grâce à l’écrivain Boualem Sansal à la demande de l’Allemagne

12. November 2025 um 14:43

L’écrivain franco-algérien Boualem Sansal, incarcéré depuis novembre 2024, a obtenu la grâce présidentielle algérienne. La décision a été annoncée ce mercredi 12 novembre par la présidence algérienne, qui précise que cette mesure répond à une requête du président allemand Frank-Walter Steinmeier pour des raisons humanitaires.

« Le président Abdelmadjid Tebboune a répondu favorablement à la demande de son homologue allemand concernant l’octroi d’une grâce en faveur de Boualem Sansal », indique le communiqué officiel, ajoutant que le chef de l’État « a réagi à cette demande, qui a retenu son attention en raison de sa nature et de ses motifs humanitaires ».

L’auteur de Le Serment des barbares avait été arrêté le 16 novembre 2024, peu après une interview accordée au média d’extrême droite français Frontières, dans laquelle il avait critiqué le pouvoir algérien et remis en question les frontières actuelles du pays avec le Maroc.

Selon la présidence, cette grâce ouvre la voie à un transfert de Boualem Sansal vers l’Allemagne, où il sera pris en charge médicalement. Cette décision, rare dans le contexte politique algérien, pourrait contribuer à apaiser les tensions diplomatiques entre Alger et Berlin, tout en relançant le débat sur la liberté d’expression en Algérie.

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Un pont neuf s’effondre en Chine : Quand la vitesse de construction vire au drame

12. November 2025 um 13:48

Un pont flambant neuf, inauguré il y a à peine quelques mois dans la province du Sichuan, au sud-ouest de la Chine, s’est partiellement effondré après un glissement de terrain. L’incident, survenu mardi, n’a heureusement fait aucune victime, mais il relance un débat sensible sur la fiabilité des infrastructures construites à grande vitesse dans des zones à risque.

Le pont Hongqi, long de près de 758 mètres, reliait une route stratégique entre le centre de la Chine et la région autonome du Tibet. Selon les médias locaux, des fissures avaient été observées sur les pentes voisines dès la veille du drame, conduisant les autorités à interdire la circulation. Quelques heures plus tard, une partie du tablier et de la rampe d’accès s’effondrait, emportée par un glissement de terrain spectaculaire.

Les images diffusées sur les réseaux sociaux montrent des pans entiers de l’ouvrage s’écroulant dans le vide en quelques secondes. Une scène d’autant plus choquante que le pont avait été présenté comme un symbole de la modernité chinoise et de l’efficacité de ses grands chantiers publics.

Si les autorités évoquent un contexte géologique difficile – terrain montagneux, pentes instables et fortes pluies – de nombreux experts soulignent que la rapidité de construction et la pression politique pour livrer vite peuvent parfois compromettre la durabilité des ouvrages. Le débat est d’autant plus vif que la Chine a multiplié ces dernières années les infrastructures colossales dans le cadre de son plan de développement régional.

Cet accident, survenu dans un pays qui a fait de la vitesse de ses projets un argument de puissance, interroge sur l’équilibre entre ambition et sécurité. Il rappelle aussi que les infrastructures, même les plus récentes, doivent être pensées à long terme, avec un suivi rigoureux des conditions géotechniques et climatiques.

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Finances 2026 : La Tunisie mise sur l’autonomie économique

12. November 2025 um 13:13

Le rapport conjoint des commissions des finances de l’Assemblée des représentants du peuple et du Conseil national des régions et des districts, présenté ce mercredi 12 novembre lors de la séance plénière consacrée à la mission du ministère des Finances, dresse un tableau contrasté mais globalement positif de la situation économique du pays à l’approche de 2026.

Malgré la persistance des tensions géopolitiques, notamment au Moyen-Orient, et les effets du changement climatique, la Tunisie est parvenue à maintenir une relative stabilité budgétaire. Selon le rapport, l’année 2024 a enregistré des indicateurs positifs, avec un respect intégral des engagements financiers internes et externes de l’État et un financement assuré principalement à travers les ressources propres du pays.

Ces ressources, estimées à 47 011,5 millions de dinars, ont connu une hausse de 8,7 % par rapport à 2023 (5,5 %). Cette progression repose essentiellement sur les recettes fiscales, qui représentent environ 89 % des revenus budgétaires, contribuant ainsi à limiter le déficit de l’État à 6,4 %, contre 7,6 % enregistrés l’année précédente.

En 2025, le gouvernement a poursuivi sa politique de consolidation des ressources propres, dans le cadre d’une stratégie de souveraineté économique. Les efforts du ministère des Finances ont permis, jusqu’au mois d’août 2025, une progression de 5,6 % des recettes globales du budget par rapport à la même période de 2024. Les recettes fiscales ont progressé de 6,4 %, tandis que les recettes non fiscales ont augmenté de 12,2 %.

Ces résultats traduisent une volonté politique claire : renforcer l’autonomie financière du pays et réduire la dépendance vis-à-vis de l’endettement extérieur, tout en s’inscrivant dans les orientations du plan de développement 2026-2030 actuellement en préparation. Ce plan vise à consolider la souveraineté nationale, à préserver l’indépendance des décisions économiques et à promouvoir une ouverture équilibrée sur le plan régional et international.

Lire aussi : Tunisie : Kais Saied insiste sur la justice sociale et la lutte contre la corruption

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Augmentations salariales : L’UGTT répond au ministre des Affaires sociales

12. November 2025 um 11:36

L’Union générale tunisienne du travail (UGTT) a réagi fermement aux récentes déclarations du ministre des Affaires sociales, qui affirmait que l’augmentation des salaires prévue dans le projet de loi de finances 2026 avait été effectuée conformément aux procédures légales.

Dans un communiqué publié aujourd’hui sur le site Chaâb News, affilié à l’organisation syndicale, l’UGTT a insisté sur le fait que toute modification des grilles salariales doit se faire exclusivement dans le cadre de la négociation collective et en accord avec les partenaires sociaux.

L’organisation a ajouté que l’émission de décrets gouvernementaux affectant les barèmes salariaux dans les secteurs régis par des conventions collectives constitue une démarche illégale, susceptible de recours devant le tribunal administratif.

L’UGTT a souligné que le dialogue social constitue le véritable garant de la paix sociale et de l’équité salariale. Elle a appelé le gouvernement à respecter le principe de la négociation sociale et à réviser l’article 15 du projet de loi de finances 2026 afin de le conformer aux dispositions de la Constitution et du Code du travail, tout en protégeant l’autorité de l’État contre les violations de ses propres lois.

Le ministre des Affaires sociales, Issam Lahmar, avait affirmé ce mardi que l’augmentation des salaires prévue dans le projet de loi de finances 2026 a été réalisée dans le respect des procédures légales.

Le ministre a expliqué que le projet de loi de finances aborde les augmentations salariales et des pensions pour les années 2026, 2027 et 2028, sans passer par de nouvelles négociations sociales avec les partenaires syndicaux.

Lire aussi : Marche syndicale à Tunis : L’UGTT dénonce « une situation au bord de l’explosion »

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Les États‑Unis classent le phosphate comme minéral critique : Quel impact pour la Tunisie ?

12. November 2025 um 10:39

Le U.S. Geological Survey vient de publier la version finale de sa liste des minéraux critiques pour l’économie et la sécurité nationale américaine. Le phosphate, jusqu’alors absent de cette catégorie, y figure désormais aux côtés d’autres ressources stratégiques. Cette décision reflète la reconnaissance de l’importance du phosphate, non seulement comme matière première agricole mais aussi comme élément clé pour la sécurité alimentaire et industrielle.

Pour les États‑Unis, ce statut permet de soutenir des projets d’exploitation ou de traitement, d’accélérer les autorisations et d’ouvrir la voie à des partenariats internationaux. Sur le plan mondial, il envoie un signal fort aux marchés : les fournisseurs répondant aux standards américains deviennent plus attractifs et la gestion des flux de phosphate pourrait être réévaluée.

La Tunisie, en tant que producteur et exportateur majeur de phosphate, se trouve directement concernée. Ce changement crée à la fois des opportunités et des défis. L’inscription du phosphate sur la liste américaine signifie que les États‑Unis considèrent que toute rupture d’approvisionnement pourrait avoir des conséquences importantes. Le pays entend ainsi sécuriser sa production domestique et ses importations en favorisant des partenaires fiables.

En effet, pour la Tunisie, cette évolution présente des opportunités. La demande américaine ou liée à ses filières pourrait s’accroître, ce qui favoriserait les exportations et pourrait renforcer la valeur ajoutée locale. L’anticipation des normes de qualité, de traçabilité et environnementales offrirait un avantage compétitif et permettrait d’attirer des investissements ou des partenariats technologiques.

Cependant, des risques existent. Les États‑Unis pourraient privilégier des fournisseurs internes ou exclusifs, augmentant la concurrence. Les exigences croissantes en matière de traçabilité et de qualité pourraient générer des coûts supplémentaires. Les fluctuations de prix mondiaux liées à cette requalification pourraient également affecter la compétitivité tunisienne.

L’intégration du phosphate à la liste des minéraux critiques américaine marque un tournant stratégique. Pour les États‑Unis, c’est une mesure de souveraineté matérielle. Pour la Tunisie, c’est une opportunité à double tranchant : elle offre des perspectives de croissance mais impose une adaptation rapide et une stratégie proactive pour rester un acteur clé de la filière mondiale.

Lire aussi : Tunisie : Vers une relance du transport minier

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Tunisie : Le directeur général ainsi que trois agents d’une société pétrolière publique arrêtés

12. November 2025 um 09:50

La justice tunisienne a décidé de placer en garde à vue le directeur général d’une société pétrolière relevant du ministère de l’Industrie, de l’Énergie et des Mines.

Cette décision a été prise par le Parquet du pôle judiciaire économique et financier, suite à des investigations pour des dérives financières et administratives présumées au sein de l’entreprise, rapporte Mosaique FM.

Selon des sources judiciaires, trois autres cadres de la société, dont un représentant syndical, ont également été placés sous le coup de la garde à vue. Les enquêtes sont menées par la Brigade centrale des recherches économiques et financières du Garde national à l’Aouina, dans le cadre d’un dossier portant sur des soupçons de corruption et de malversations administratives.

Ce dossier intervient dans un contexte où les autorités tunisiennes multiplient les contrôles dans le secteur public, en particulier dans les entreprises stratégiques, afin de lutter contre la corruption et renforcer la transparence financière.

Les investigations en cours permettront de déterminer l’ampleur des irrégularités et d’identifier les responsabilités de chacun.

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Tunisie : Le ministère de la Défense s’attaque à la menace croissante des drones

12. November 2025 um 09:23

Lors d’une séance plénière conjointe au Parlement, tenue ce mardi à Carthage, le ministre de la Défense nationale, Khaled Shili, a alerté sur la montée en puissance des drones et leur utilisation croissante dans les domaines militaire et civil, constituant selon lui un défi national et international majeur.

Le ministre a précisé que le ministère de la Défense a initié des réunions de coordination avec plusieurs ministères, qui ont abouti à la décision de confier à la Direction générale de l’aviation civile la création d’une commission chargée de préparer un projet législatif et réglementaire relatif à la gestion et au contrôle des drones. Ce projet a déjà été complété et des observations ont été soumises pour son amélioration.

Khaled Shili a également souligné que le ministère met en œuvre des exercices conjoints avec le ministère de l’Intérieur, afin d’assurer une réponse efficace et coordonnée face aux urgences, dans un contexte où l’utilisation non réglementée des drones menace directement la sécurité du trafic aérien, des infrastructures, des citoyens et du système de sécurité national.

Le ministre a rappelé l’importance du partage d’informations et de la coordination avec les ministères de l’Intérieur et du Transport pour suivre les évolutions mondiales et renforcer les capacités de défense contre cette technologie. Il a insisté sur la nécessité de développer des systèmes de brouillage pour neutraliser les drones menaçants et sur le soutien à la préparation militaire afin de répondre aux défis émergents.

Enfin, il a indiqué que le ministère de la Défense contribue activement à l’élaboration et à la mise à jour des stratégies nationales dans le domaine des technologies de l’information et de la communication, à l’instar de la stratégie nationale de cybersécurité et de la stratégie nationale pour l’intelligence artificielle.

Lire aussi : Le ministre de la Défense s’exprime sur l’accord militaire avec l’Algérie

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Le projet à trois milliards pour Tunis-Carthage déclenche la polémique : Utile ou démesuré ?

12. November 2025 um 08:24

Le ministre des Transports, Rachid Amri, a annoncé le mardi 11 novembre 2025 un projet d’extension de l’aéroport international de Tunis-Carthage estimé à 3 000 millions de dinars. Selon lui, ce plan ambitieux comprend la construction d’un nouveau terminal, la rénovation des pistes et la mise en place d’un métro aérien reliant l’aéroport au centre de la capitale. L’objectif affiché est de doubler, voire tripler la capacité d’accueil des passagers, afin de répondre à la croissance du trafic aérien et de renforcer le rôle de Tunis comme hub régional.

Mais cette annonce a aussitôt provoqué une vive polémique. Si certains y voient un investissement stratégique pour moderniser une infrastructure saturée, d’autres dénoncent une dépense jugée excessive et mal priorisée, dans un contexte de crise économique et de tensions budgétaires.

Les partisans du projet rappellent que l’aéroport de Tunis-Carthage fonctionne depuis des années au-delà de ses capacités. Ses équipements sont vieillissants, ses terminaux encombrés, et la qualité de service souvent critiquée par les voyageurs. Selon eux, investir dans sa modernisation permettrait d’améliorer l’image du pays, de dynamiser le tourisme et d’attirer de nouvelles compagnies aériennes. L’ajout d’un métro aérien, évoqué dans le plan, renforcerait la connectivité entre la capitale et l’aéroport, réduisant les temps d’accès et stimulant l’économie locale.

Les critiques, eux, soulignent que trois milliards de dinars représentent une somme colossale dans le contexte tunisien. Ils estiment que ces fonds pourraient être mobilisés pour des besoins plus urgents : hôpitaux, infrastructures régionales, transition énergétique ou soutien aux entreprises publiques en difficulté. Beaucoup pointent également la situation critique de Tunisair, engluée dans les dettes et les retards, et jugent prioritaire de réformer la compagnie nationale avant d’investir massivement dans un aéroport qu’elle ne serait pas en mesure d’exploiter pleinement.

Un projet mal préparé ?

Au-delà du montant, c’est la méthode qui suscite la méfiance : l’absence de détails précis sur le financement, le calendrier et les partenaires potentiels nourrit un sentiment d’opacité. Certains redoutent un projet mal préparé, voire instrumentalisé politiquement.

Pour éviter de transformer cette ambition en gouffre financier, plusieurs experts plaident pour une approche graduelle. Plutôt que de lancer d’emblée un chantier géant, il serait plus judicieux de phaser le projet : rénover d’abord les pistes, moderniser les équipements essentiels, puis envisager un nouveau terminal lorsque la croissance du trafic le justifiera. D’autres préconisent de recourir à des partenariats public-privé pour partager les risques et garantir une gestion plus rigoureuse, ainsi que pour rénover d’autres aéroports.

Enfin, avant tout grand investissement, la Tunisie gagnerait à lancer une étude d’opportunité indépendante, comparant l’extension de Tunis-Carthage à d’autres options : la construction d’un nouvel aéroport plus moderne à Bizerte ou Enfidha, ou encore des investissements ciblés dans la valorisation du patrimoine et du tourisme intérieur, qui pourraient générer des retombées économiques plus équilibrées.

Moderniser Tunis-Carthage est une nécessité, mais la manière de le faire doit être repensée. Un projet par étapes, adossé à une gouvernance transparente et à une vision cohérente du secteur aérien, servirait mieux les intérêts du pays qu’une dépense monumentale sans garantie de rentabilité.

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En vidéo : Un robot réalise la première intervention chirurgicale en Tunisie

12. November 2025 um 07:56


L’hôpital Charles Nicolle de Tunis a marqué, ce mardi 11 novembre 2025, une étape historique pour la médecine tunisienne en réussissant la première opération chirurgicale robotique sur le système digestif, une grande première dans le pays.

Cette intervention, d’une durée de 45 minutes, s’est déroulée avec succès et sans aucune complication. Elle a été menée par le docteur Ramzi Nouira et son équipe, en collaboration avec le service d’anesthésie et de réanimation dirigé par la docteure Alia Jabri. Cet exploit consacre officiellement l’entrée de la Tunisie dans l’ère de la chirurgie intelligente.

La chirurgie robotique repose sur un système sophistiqué où le chirurgien contrôle à distance un robot équipé de bras articulés. Ce dernier reproduit les gestes du praticien avec une précision millimétrique, tout en offrant une vision tridimensionnelle et amplifiée de la zone opérée. Les avantages sont multiples : moins d’incisions, moins de douleurs post-opératoires, une durée d’hospitalisation plus courte et une récupération plus rapide pour les patients.

Le ministre de la Santé, Moustapha Ferjani, s’est rendu sur place en compagnie de l’ambassadeur de Corée du Sud, LEE Tae-won, pour saluer cette avancée médicale. Le ministre a souligné que cette première représente le point de départ d’une stratégie nationale visant à généraliser la chirurgie robotique dans d’autres spécialités et hôpitaux du pays. L’objectif à moyen terme est de faire de la Tunisie un pôle régional du “smart health”, combinant technologie et excellence médicale.

De son côté, le diplomate coréen a réaffirmé l’engagement de la Corée du Sud à accompagner la Tunisie dans le développement des technologies médicales de pointe, notamment par la formation, le transfert de savoir-faire et la coopération hospitalière.

Avec cette première opération réussie, la Tunisie confirme son ambition d’embrasser la médecine du futur, où l’intelligence artificielle, la robotique et la précision numérique révolutionneront la pratique chirurgicale.

Lire aussi : Les hôpitaux passent au digital : La santé tunisienne entre dans l’ère 2.0 ?

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Un conducteur de train meurt dans le déraillement d’un convoi de phosphate à Gafsa

12. November 2025 um 07:41

Un tragique accident ferroviaire s’est produit hier mercredi soir dans la région d’El Thalja, relevant du gouvernorat de Gafsa. Un train transportant environ 1 600 tonnes de phosphate, réparties sur 16 wagons, a déraillé et s’est renversé, provoquant la mort de l’un de ses conducteurs.

Selon les premières informations relayées par Jawhara FM, la victime, coincée dans l’une des voitures du convoi, n’a pas survécu malgré les tentatives de sauvetage déployées par les équipes de la protection civile. Son collègue, également à bord, a été évacué vers l’hôpital El Hédi Boussaïd de Gafsa pour recevoir les soins nécessaires.

Les causes exactes de l’accident n’ont pas encore été précisées, mais une enquête a été ouverte pour déterminer les circonstances du déraillement de ce train de transport de phosphate, appartenant à la Compagnie des Phosphates de Gafsa (CPG).

Cet incident remet en lumière l’état des infrastructures ferroviaires utilisées pour le transport du phosphate dans la région, un secteur vital pour l’économie tunisienne, mais marqué depuis plusieurs années par des problèmes techniques et logistiques récurrents.

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La Direction des prisons dément la dégradation de l’état de santé de prisonniers grévistes

11. November 2025 um 19:51

La Direction générale des prisons et de la rééducation (DGPR) a démenti une nouvelle fois, ce mardi, les informations relayées sur les réseaux sociaux et dans certains médias au sujet de la détérioration de l’état de santé de plusieurs détenus prétendument en grève de la faim. Dans un communiqué, la DGPR a qualifié ces informations de « fausses nouvelles » et de « manipulations délibérées » diffusées par certaines parties.

L’Administration a annoncé avoir entamé des poursuites judiciaires contre toute personne ayant sciemment diffusé de fausses données à ce sujet, précisant qu’elle transmettra toutes les preuves documentées dont elle dispose aux autorités judiciaires compétentes.

La DGPR a également affirmé que la situation sanitaire de tous les détenus, y compris ceux déclarant observer une grève de la faim, fait l’objet d’un suivi médical régulier, conformément aux protocoles sanitaires en vigueur.

Elle a par ailleurs souligné que plusieurs détenus ayant affirmé être en grève n’ont en réalité pas cessé de s’alimenter, selon les constatations et témoignages du personnel pénitentiaire et des médecins des hôpitaux publics.

Certains auraient même refusé de se soumettre aux examens médicaux de routine, ce qui a permis de confirmer la fausseté de leurs déclarations.

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Le ministre de la Défense s’exprime sur l’accord militaire avec l’Algérie

11. November 2025 um 19:19

Le ministre de la Défense nationale, Khaled Souihi, a affirmé, à l’issue du débat général tenu dans le cadre de la séance plénière conjointe consacrée à la présentation du budget du ministère de la Défense pour 2026, que l’accord militaire entre la Tunisie et l’Algérie n’est pas nouveau.

Signé initialement en 2001, il a simplement été actualisé pour tenir compte des évolutions récentes et élargir les domaines de coopération, notamment dans la lutte contre le terrorisme, la criminalité transfrontalière et la sécurisation des frontières communes.

Souihi a souligné que les relations tuniso-algériennes reposent sur une histoire partagée et un partenariat stratégique solide, dépourvu de toute orientation politique ou alignement régional. Il a ajouté que le renforcement de la coopération militaire entre les deux pays constitue un choix stratégique, essentiel pour la sécurité et la stabilité de l’ensemble de la région.

Abordant la question du développement scientifique et technologique dans le domaine militaire, le ministre a affirmé que les guerres modernes ne se gagnent plus uniquement par les armes et le matériel, mais aussi par l’intelligence, la recherche scientifique et l’innovation technologique. Dans ce cadre, il a précisé que le soutien à la production et à l’industrie militaires nationales s’inscrit dans une stratégie visant à renforcer les capacités autonomes de l’armée tunisienne.

Souihi a également indiqué que le ministère a créé un centre de recherche militaire chargé de promouvoir la recherche appliquée dans des domaines en lien avec les besoins spécifiques de la défense nationale, suivant une logique de passage du savoir à la production.

Lire aussi : Tunisie–Algérie : Un accord d’envergure pour renforcer la coopération en matière de défense

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Tunisie – Hausse des salaires : Le ministre des Affaires sociales donne plus de détails

11. November 2025 um 18:22

Le ministre des Affaires sociales, Issam Lahmar, a affirmé ce mardi que l’augmentation des salaires prévue dans le projet de loi de finances 2026 a été réalisée dans le respect des procédures légales. Il s’exprimait lors d’une séance conjointe entre les commissions parlementaires et le Conseil national des régions et des districts, consacrée à l’examen du budget de son ministère.

Le ministre a expliqué que le projet de loi de finances aborde les augmentations salariales et des pensions pour les années 2026, 2027 et 2028, sans passer par de nouvelles négociations sociales avec les partenaires syndicaux.

Il a rappelé que le Code du travail encadre les hausses de salaires selon trois mécanismes : un accord individuel, une décision légale ou réglementaire, ou encore un accord collectif dans le cadre des négociations sociales.

L’article 15 du projet de loi de finances 2026 stipule en effet que les salaires du secteur public et privé seront revalorisés sur trois ans — 2026, 2027 et 2028 —, et que cette revalorisation s’étendra aux pensions de retraite. Les modalités précises de cette hausse seront fixées par décret.

Concernant la mise en œuvre de la loi sur la régulation des contrats de travail et l’interdiction du recours à la sous-traitance, Issam Lahmar a indiqué que 92 000 travailleurs ont été titularisés depuis l’entrée en vigueur du texte jusqu’à ce mardi 11 novembre 2025. La majorité de ces régularisations concernent le secteur privé, grâce à l’action des inspecteurs du travail, sans compter les titularisations opérées directement par les entreprises elles-mêmes.

Lire aussi : Marche syndicale à Tunis : L’UGTT dénonce « une situation au bord de l’explosion »

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