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Gestern — 17. September 2025Haupt-Feeds

Compétences tunisiennes en Corée du Sud : Un pilier de l’innovation sanitaire

Von: La Presse
17. September 2025 um 09:19

En marge de sa participation au World Bio Summit 2025 à Séoul, le ministre de la Santé, le Dr Mustapha Ferjani, a rencontré un groupe de chercheurs, médecins et experts tunisiens résidant en Corée du Sud. Ces professionnels sont actifs dans la recherche biomédicale, l’intelligence artificielle en santé et d’autres spécialités stratégiques telles que :

  • L’immunologie
  • La pharmacovigilance
  • L’imagerie médicale
  • La médecine familiale

Le ministre a salué leur parcours distingué, soulignant leur rôle central dans le soutien de la coopération tuniso-coréenne, en particulier dans l’innovation médicale et les technologies de santé avancées. Il a également insisté sur l’engagement de l’État à valoriser ses compétences à l’étranger comme une force motrice pour moderniser le système de santé et renforcer le rayonnement scientifique de la Tunisie.

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Tunisie : Vers une révolution numérique de la santé publique

16. September 2025 um 16:30

À la veille du World Bio Summit 2025 à Séoul, le ministre tunisien de la Santé, Mustapha Ferjani, et sa collègue sud-coréenne, Jeong Eun-Kyeong, ont scellé un partenariat stratégique. Télé‑médecine, intelligence artificielle et chirurgie robotique figurent au cœur d’un plan ambitieux pour moderniser la santé publique tunisienne.

En marge de la 4ᵉ édition du World Bio Summit, prévue le 17 septembre, la rencontre a été l’occasion de renforcer les liens bilatéraux et de poser les bases de projets communs : hôpital numérique, médecine de précision, échange de compétences médicales et ingénierie, ainsi que coopération dans les industries pharmaceutiques et biotechnologiques.

Révolution numérique de la santé publique tunisienne

Le ministre Ferjani a insisté sur la dimension stratégique de cette collaboration : la Tunisie souhaite placer la technologie au service des citoyens, tout en s’ouvrant aux innovations sud-coréennes dans le domaine de la santé.

Ce partenariat illustre la volonté tunisienne de moderniser son système de santé grâce à l’innovation et à la coopération internationale. Selon Ferjani, les premiers projets concrets, notamment en télémédecine et chirurgie robotique, pourraient voir le jour dans un avenir proche, ouvrant la voie à une révolution numérique de la santé publique tunisienne.

Lire aussi : Les hôpitaux passent au digital : La santé tunisienne entre dans l’ère 2.0 ?

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Trump n’ira pas au G20 en Afrique du Sud et enverra son vice-président JD Vance

Von: walid
06. September 2025 um 16:55

Le président américain Donald Trump a annoncé vendredi qu’il ne participerait pas au sommet du G20 en Afrique du Sud, qui se tiendrait en novembre prochain, mais qu’il prévoyait envoyer le vice-président JD Vance à sa place.

Il a également indiqué que les Etats-Unis accueilleraient le G20 de l’année prochaine dans son club de golf, le Trump National Doral, près de Miami.

“C’est juste à côté de l’aéroport. C’est le meilleur emplacement. C’est beau”, a dit M. Trump aux journalistes présents dans le bureau ovale, ajoutant que son entreprise familiale “ne fera pas d’argent dessus”.

Lors de son premier mandat en 2019, M. Trump avait abandonné un projet visant à utiliser Doral comme site hôte du sommet du G7 en 2020, à la suite de critiques bipartisanes selon lesquelles cela pourrait lui bénéficier financièrement et violer la Constitution.

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Les États-Unis vont-ils envahir le Venezuela ?

06. September 2025 um 08:23

Les États-Unis lanceraient-ils réellement des attaques de grande ampleur contre le Venezuela, voire l’envahiraient-ils, suite à la récente escalade militaire et diplomatique sans précédent entre les deux pays ? Donald Trump roule-t-il les mécaniques en intimidant le régime vénézuélien ? Ou bien le président américain va-t-il mettre sa menace à exécution ? 

Imed Bahri

Ce sont les interrogations auxquelles le magazine américain Newsweek a tenté de répondre dans une analyse de ses journalistes spécialistes de la défense Ellie Cook et John Feng. 

Les experts consultés doutent que le renforcement militaire américain actuel dans le sud des Caraïbes et les eaux avoisinantes constitue les premiers pas vers une invasion. Cependant, le magazine américain estime que le déploiement d’au moins trois destroyers, d’un sous-marin et d’un groupe de débarquement amphibie (ARG) composé de Marines représente une nouvelle escalade dans les relations déjà dégradées entre Washington et Caracas, suscitant l’inquiétude du président vénézuélien Nicolás Maduro.

Campagne de lutte contre les cartels de la drogue

Trump a annoncé mardi dernier que les États-Unis avaient ciblé un navire près du Venezuela. Maduro avait déclaré la veille que son pays était en «alerte maximale» et prêt à répondre à toute éventuelle action militaire américaine.

Des responsables américains ont rapporté le mois dernier que Washington avait déployé trois destroyers équipés de missiles sophistiqués et des milliers de soldats au large du Venezuela dans le cadre d’une campagne de lutte contre les cartels de la drogue et les groupes criminels en Amérique latine.

Le magazine américain a également cité Maduro déclarant qu’il déclarerait une «république armée» si l’armée américaine attaquait son pays, s’engageant à mobiliser 4,5 millions de miliciens pour défendre le Venezuela.

En revanche, le président américain a justifié ce renforcement militaire par sa guerre contre les cartels de la drogue, accusant son homologue vénézuélien de diriger un réseau transnational de «narco-terroristes».

La probabilité d’une invasion reste faible

Newsweek estime que l’absence de relations diplomatiques officielles entre Washington et Caracas et rappelé que les relations entre les deux pays sont extrêmement tendues et dépourvues de toute affinité personnelle apparente entre Trump et Maduro.

Le magazine américain estime que la probabilité d’une invasion est faible, Washington n’ayant pas manifesté clairement son intention d’envahir le pays.

Bien que Maduro ait qualifié le déploiement militaire de «menace historique», les experts militaires y voient davantage une démonstration de force qu’un prélude à une véritable invasion.

Ces experts estiment que Washington ne se risquerait pas à s’engager dans une opération militaire de grande envergure dans un pays aussi complexe que le Venezuela, caractérisé par des montagnes, des jungles et des centres urbains difficiles à contrôler. Cela est d’autant plus vrai que le nombre de militaires déployés ne dépasse pas quelques milliers de soldats ce qui est insuffisant pour une invasion à grande échelle.

Newsweek cite Christopher Sabatini, chercheur sur l’Amérique du Sud à Chatham House à Londres, qui a déclaré au journal britannique The Guardian : «Personne de sensé ne croirait que 4 500 soldats seraient capables d’envahir un pays avec des montagnes, des jungles et plusieurs centres urbains. Ce n’est que du  spectacle des deux côtés»

William Freer, chercheur en sécurité nationale au British Geostrategy Council, a déclaré pour sa part à Newsweek: «Il est toujours difficile de lire les intentions mais l’administration Trump, bien que préoccupée par le rôle du Venezuela dans le trafic de drogue n’a jusqu’à présent montré aucune intention claire d’intervention militaire directe».

Le magazine indique que les scénarios envisagent généralement un débarquement de Marines américains au Venezuela mais Carlos Solar, chercheur au Royal United Services Institute de Londres, s’est montré sceptique quant à cette option: «Si une telle opération devait avoir lieu, elle serait très tardive»

Solar s’attend à ce que l’intervention commence probablement par des attaques de missiles Tomahawk à longue portée visant à détruire les défenses et les capacités militaires du Venezuela ciblant les sites d’approvisionnement, les dépôts de munitions, les radars, les centres de communication et les plateformes de drones.

Il ajoute que les États-Unis ont mené des opérations similaires au Moyen-Orient cette année avec une précision et une efficacité remarquables contre des adversaires mieux équipés que les forces armées vénézuéliennes. Il estime que cette approche minimise les pertes matérielles et humaines américaines et affaiblit considérablement les capacités de l’adversaire.

Les capacités militaires du Venezuela sont très limitées

Selon Solar, le Venezuela, en revanche, aura du mal à riposter, étant donné que les capacités de son armée de l’air sont limitées et inefficaces, ses frégates ne sont pas entretenues et ses sous-marins sont obsolètes. Il affirme que les forces américaines prendront le dessus lors de la deuxième phase grâce à des torpilles, des munitions guidées et des missiles antiaériens.

Selon la presse, cette controverse rappelle l’invasion américaine du Panama en 1989, autorisée par le président George Bush père sous prétexte de traduire en justice son dirigeant Manuel Noriega. Washington y a déployé plus de 20 000 soldats, un nombre bien supérieur aux forces américaines actuellement déployés au large du Venezuela.

Au niveau régional, les renforts américains ont été vivement critiqués par plusieurs pays d’Amérique du Sud notamment Cuba qui les a décrits comme «une démonstration de force agressive contre la souveraineté des peuples du continent»

La Havane a affirmé que les allégations des États-Unis liant le gouvernement légitime du Venezuela et son président Nicolás Maduro à des organisations criminelles impliquées dans le trafic de drogue sont tout simplement absurdes et sans fondement.

Newsweek rappelle cependant que les États-Unis, tout comme les pays européens et sud-américains, ne reconnaissent pas la victoire de Maduro aux élections de juillet 2024.

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Reprise imminente des travaux à la station de gaz du Sud à Tataouine

23. Juli 2025 um 20:10

Un accord a été conclu pour la reprise des travaux du projet stratégique de la station de gaz du Sud située à Ghordhab, dans le gouvernorat de Tataouine, à partir de la semaine prochaine. L’annonce a été faite ce mercredi 23 juillet 2025 par le gouverneur de la région, Amir Gabsi, à l’issue d’une réunion de travail tenue au siège du gouvernorat.

Cette rencontre a réuni les représentants de la Compagnie tunisienne des activités pétrolières (ETAP), de l’entreprise chargée de la réalisation du projet, de la société de sous-traitance ainsi qu’un groupe d’ouvriers concernés. L’objectif principal était de rapprocher les points de vue et de résoudre les problèmes en suspens qui bloquaient l’avancement du chantier.

Le gouverneur a assuré que les autorités régionales poursuivront leurs efforts pour lever les obstacles restants, en vue de garantir les conditions nécessaires à la poursuite des travaux de ce projet national majeur, qui consiste en une station de traitement du gaz naturel et de remplissage des bonbonnes de gaz liquéfié.

La station Gordhab fait référence à un projet gazier situé dans ladite région dans le gouvernorat de Tataouine, en Tunisie. Il s’agit d’une station de production de gaz développée par l’Entreprise Tunisienne d’Activités Pétrolières (ETAP) pour traiter le gaz provenant du sud du pays, notamment du champ gazier de Nawara

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Tunisie : De nouveaux tronçons de l’entrée sud de Tunis ouverts à la circulation

25. Juni 2025 um 17:43


Le ministère de l’Équipement et de l’Habitat, à travers sa Direction générale des ponts et chaussées, a annoncé l’ouverture partielle de nouvelles sections du projet d’élargissement de l’entrée sud de la capitale. Cette ouverture est prévue pour ce mercredi 25 juin 2025 à partir de 17 heures.

Les nouvelles portions concernées par cette mise en service comprennent :

Une bretelle déviée à partir de l’entrée sud, destinée aux automobilistes en provenance de Tunis et se dirigeant vers Ben Arous et Radès.

Une autre bretelle issue de la route reliant les zones de M’hamdia, Mourouj et Radès, réservée aux conducteurs venant des Mourouj et se rendant vers le centre de la capitale.

Cette opération s’inscrit dans le cadre de l’avancement des travaux d’aménagement de cette zone stratégique, qui vise à fluidifier le trafic et à améliorer la sécurité routière à l’entrée de Tunis.

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