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Maroc : Stellantis produira 535 000 unités par an à Kenitra

17. Juli 2025 um 18:18

La capacité de production de l’usine Stellantis à Kenitra au Maroc se développe : elle atteint désormais 535 000 unités par an, incluant 135 000 unités de micromobilité … Plus de 3 000 postes de travail seront générés, accentuant la position du site comme un pôle automobile clé au Maroc.

 

L’usine Stellantis à Kenitra débute une nouvelle phase. L’extension du site a été inaugurée le mardi 16 juillet 2025, en présence du chef du gouvernement, Aziz Akhannouch, et du ministre de l’Industrie et du Commerce, Ryad Mezzour. Cet événement représente une étape significative dans la collaboration industrielle établie entre le groupe automobile et le Maroc depuis 2016.

 

Plaque tournante automobile de premier plan

 

Avec une production pouvant atteindre 535 000 véhicules par an, dont 135 000 destinés à la micromobilité, l’établissement de Kenitra se positionne comme un élément clé de la stratégie industrielle et technologique du Royaume.

Le Premier ministre a indiqué qu’il s’agit d’une « collaboration modèle” qui reflète l’engagement du Maroc à consolider sa position dans les chaînes de valeur internationales. D’ailleurs, Ryad Mezzour a mis l’accent sur le fait que cette nouvelle phase confirme la place prépondérante du Maroc en tant que plaque tournante automobile de premier plan, dépassant un million d’automobiles fabriquées chaque année.

Suite à l’application de l’Accord-cadre, le projet industriel de Kenitra a largement surpassé les buts fixés au départ. En effet, la Phase 1, qui concernait la construction et l’ouverture de l’usine, a été réalisée dans le respect des délais. L’inauguration avait été effectuée par le Roi Mohammed VI en juin 2019.

Quant à la Phase 2, elle a conduit à une multiplication par deux de la capacité de production de l’usine, atteignant 200 000 véhicules par an dès la fin de 2020, soit trois ans avant le planning initialement prévu.

 

Un écosystème industriel compétitif et résilient

 

D’ici à 2030, le montant des acquisitions effectuées auprès de fournisseurs marocains devrait excéder les 6 milliards d’euros, avec un objectif d’intégration locale fixé à 75 %.

L’effet sur l’emploi est notable : plus de 3 000 nouveaux postes viendront s’ajouter aux 3 500 emplois existants.

Et dès février 2026, l’usine mettra en production les nouveaux véhicules de la plateforme Smart Car, ce qui permettra d’augmenter la capacité de production initiale de 200 000 à 400 000 véhicules par an…

« Notre approche cherche à générer de la valeur pour le pays en mettant en place un écosystème industriel à la fois compétitif et résilient », a affirmé Samir Cherfan, directeur des opérations pour le Moyen-Orient et l’Afrique au sein du groupe. « L’ouverture de l’extension de l’usine de Kenitra témoigne de la solidité du partenariat entre le gouvernement marocain et le groupe Stellantis qui a débuté en 2016 pour faire progresser le secteur automobile. Depuis le commencement de cette coopération, Stellantis a fourni de manière anticipée et au-delà des stipulations du contrat ».

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Pour dominer le monde de l’IA, Zuckerberg investit massivement

16. Juli 2025 um 14:39

Meta Platforms Inc. mise sur l’avenir de l’intelligence artificielle en investissant massivement dans des supercalculateurs. Redéfinissant par conséquent ses objectifs technologiques face à ses concurrents. Dans ce cadre, Mark Zuckerberg, le patron de Meta, a révélé, lundi 14 juillet 2025, être en train de travailler à la mise en place de réseaux informatiques d’une capacité de plusieurs gigawatts dans l’optique de créer une « superintelligence« .

Meta Platforms Inc., l’entreprise technologique majeure qui se cache derrière Facebook, renforce ses initiatives dans le secteur de l’intelligence artificielle. Sous la direction de Mark Zuckerberg, la société a déclaré un investissement considérable dans le développement de superclusters spécialisés dans l’intelligence artificielle. Ces installations, dénommées “Prometheus“ et “Hyperion“, ont été élaborées pour gérer d’énormes volumes de travail lors de la formation des modèles d’intelligence artificielle.

L’intention est limpide : surpasser les concurrents tels qu’OpenAI et Google. Ces actions signalent un nouveau chapitre pour Meta, qui est résolue à se positionner en tête du secteur de l’intelligence artificielle.

Une IA capable d’effectuer des percées scientifiques

« Les laboratoires de superintelligence de Meta seront équipés des capacités de calcul les plus avancées du secteur et, de loin, posséderont la plus grande puissance numérique par chercheur ». C’est ce qu’a déclaré le patron du groupe Meta (Facebook, Instagram, WhatsApp) dans une communication sur ses réseaux personnels. Il a ajouté, avec enthousiasme, « avoir hâte de collaborer avec les meilleurs chercheurs pour étendre les limites ».

Ainsi, Mark Zuckerberg fait un clin d’œil aux nombreux recrutements effectués courant les dernières semaines par le géant américain, parmi lesquels l’ancien d’Anthropic Joel Pobar, ainsi que trois ex-chercheurs du bureau zurichois d’OpenAI (Lucas Beyer, Alexander Kolesnikov et Xiaohua Zhai), dont les primes à la signature atteindraient les 100 millions de dollars.

Il faut souligner que depuis l’introduction de ChatGPT par OpenAI, Meta est en retard dans le domaine de l’IA générative. Tous les dirigeants de l’industrie visent une IA qualifiée de « générale » ou de « superintelligence », dotée de capacités cognitives qui surpasseraient celles de l’homme, capables d’effectuer des percées scientifiques et d’inventer elles-mêmes des technologies.

A cet effet, Mark Zuckerberg a déclaré : « Le premier réseau, que nous désignons sous le nom de Prometheus, devrait être opérationnel en 2026. Nous développons également Hyperion, qui sera capable de produire jusqu’à 5 gigawatts au fil du temps ». Les 5 gigawatts sont l’équivalent de la consommation annuelle d’électricité de 1 à 4 millions de ménages américains.

Un investissement dans les talents aussi

Meta ne se limite pas à investir dans l’infrastructure, mais investit aussi dans les compétences. Elle a récemment signé un contrat de 14 milliards d’euros avec Scale AI, mettant en évidence sa détermination à investir et à recruter dans le domaine de l’IA. Meta a inauguré les Meta Superintelligence Labs en juin, une entité inédite rassemblant des chercheurs et des ingénieurs en IA parmi les plus talentueux sous un même toit.

Alexandr Wang, ancien PDG de Scale AI, ainsi que Nat Friedman, ex-PDG de GitHub, supervisent ce projet. Confronté à une réception mitigée des modèles de langage Llama 4 de Meta, Zuckerberg tente de réviser la stratégie de l’entreprise en termes de développement d’IA, dans l’objectif d’atteindre ou dépasser ses rivaux.

Dans cette optique, Meta a recruté des dirigeants de premier plan d’Apple, Anthropic et OpenAI afin de renforcer sa division Superintelligence Labs nouvellement créée.

Développements à suivre.

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Algérie : 4,5 % de croissance au premier trimestre 2025

16. Juli 2025 um 10:25

En comparaison avec la même période de 2024, l’économie algérienne a connu une meilleure performance au premier trimestre de 2025. D’après le dernier rapport sur les comptes nationaux publié par l’Office national des statistiques (ONS), l’économie algérienne a enregistré une croissance de 4,5 % au cours du premier trimestre de 2025, contre 4,2 % pour la même période de 2024. « Cette augmentation reflète une nette amélioration de la performance de l’économie algérienne », explique l’ONS.

En termes de valeur nominale, le PIB de l’Algérie a atteint 10 047,4 milliards de dinars au premier trimestre 2025. Soit une augmentation de 8,0 % par rapport aux 9 303,8 milliards de dinars réalisés lors du même trimestre en 2024. Cette évolution indique une hausse du niveau global des prix de 3,3 %. Ce qui est inférieur aux 4,3 % notés lors du premier trimestre de l’année précédente.

Les hydrocarbures en déclin

L’expansion a été stimulée par les domaines non liés aux hydrocarbures, à 5,7 %, comparé à 4,3 % lors du premier trimestre 2024. Le rapport précise que cette progression est le résultat de la « diversification graduelle de l’économie algérienne, au-delà du domaine des hydrocarbures ». Elle met l’accent sur la transformation radicale de l’économie algérienne qui s’éloigne progressivement de sa forte dépendance vis-à-vis des hydrocarbures.

En revanche, l’industrie des hydrocarbures a connu une régression de 2,8 %, suite à une modeste augmentation de 0,2 % au début du premier trimestre 2024.

Selon l’ONS, la valeur ajoutée provenant de l’extraction des hydrocarbures a connu une baisse de 1,5 %, poursuivant ainsi la tendance décroissante de 2024 (-1,1 %). Dans certaines activités comme le raffinage et la cokéfaction, la diminution était d’autant plus marquée (-5,5 % par rapport à une augmentation de 4,4 % l’année précédente).

En termes nominaux, la valeur du secteur des hydrocarbures en Algérie a atteint 1 429,7 milliards de DA durant cette période, marquant une baisse de 2,4 % par rapport au premier trimestre de l’année précédente où elle s’élevait à 1 465 milliards de DA.

Des résultats exceptionnels affichés par certains secteurs

Mis à part les hydrocarbures, le domaine agricole et certains secteurs de l’industrie ont affiché des résultats exceptionnels. En effet, la valeur ajoutée du secteur agricole a enregistré une augmentation de 6,1 % au premier trimestre 2025. Ce qui représente presque le double de sa progression durant la même période en 2024 (3,1 %). « Cette tendance favorable découle principalement d’une campagne céréalière réussie et du renforcement des secteurs agricoles à forte valeur ajoutée », indique le rapport.

Le secteur industriel algérien a également affiché une performance globale remarquable, avec une augmentation de 5,5 %, comparativement à un modeste 2,3 % au premier trimestre de l’année dernière.

Cette réalisation, qui reflète un « renforcement marqué du dynamisme industriel », a été stimulée par différentes catégories manufacturières, y compris l’industrie alimentaire et du tabac (+5,6 %), celle du cuir et des chaussures (+15,4 %), les produits minéraux non métalliques (+9,9 %), le textile et l’habillement (+5,9 %), ainsi que les autres industries manufacturières (+14,4 %).

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Maroc : une croissance économique de 4,6 % au deuxième trimestre 2025

11. Juli 2025 um 16:43

Selon le Haut-Commissariat au Plan (HCP), la croissance de l’économie a atteint 4,6 % au Maroc, pour le deuxième trimestre 2025, en comparaison annuelle.

D’après le HCP dans un bulletin d’information sur la situation économique du premier trimestre 2025 et les prévisions pour les deuxième et troisième trimestres de 2025, cette expansion est stimulée par l’excellente performance des activités non agricoles. Et en particulier les services qui connaissent une croissance bien supérieure à celle enregistrée entre 2010 et 2019, depuis 2022 au Maroc.

Persistance des tensions sur les prix mondiaux

Selon la même source, l’industrie extractive a profité d’une forte demande internationale en phosphate brut. Ce qui a conduit à une nette augmentation de ses exportations. Et ce, dans un climat marqué par la persistance des tensions sur les prix mondiaux des engrais.

De même, le secteur de la construction a enregistré une progression de 6,8 %, propulsée par l’accélération des grands projets d’infrastructures. Quant au secteur agricole, il a continué de croître à un rythme de 4,7 % au deuxième trimestre 2025, en comparaison annuelle. Apportant ainsi 0,5 point à l’expansion économique globale. Malgré une tendance générale à la hausse, les productions végétales ont cependant connu des fluctuations disparates. Lesquelles sont dues aux conditions météorologiques irrégulières qui ont dominé les saisons d’automne et de printemps 2024/2025.

A cet égard, les hautes températures, associées à un manque de pluie inégalement distribuée entre les régions, ont probablement eu un impact sur quelques cultures, en particulier les rosacées et les plantes oléagineuses. En revanche, il y a eu une amélioration des récoltes de céréales, de légumes de saison et de cultures sucrières, surtout dans les régions irriguées et celles moins sujettes au manque d’eau, en partie grâce à des mesures d’appui.

Reprise des activités agricoles

Quant à la production animale, qui connaît un recul temporaire depuis 2022, elle est demeurée sous son niveau de tendance au cours du deuxième trimestre 2025, en dépit d’une progression de l’activité avicole.

En somme, la croissance de la valeur ajoutée de tous les secteurs d’activité a été déterminée, au deuxième trimestre 2025, à un taux similaire à celui du premier trimestre (+4,5 %). En outre, le HCP souligne que l’économie nationale marocaine a connu une croissance de 4,6 % au premier trimestre 2025. Cette progression est attribuée à la reprise des activités agricoles et à l’élargissement de la valeur ajoutée des secteurs secondaires et tertiaires.

Lors du premier trimestre précédent, la demande interne au Maroc a contribué à hauteur de 8,5 points à l’augmentation du PIB, atteignant ainsi son sommet depuis la reprise post-Covid. Pendant ce temps, la demande externe a continué de s’affaiblir à une cadence plus soutenue, réduisant la progression économique du Royaume Chérifien de 3,8 points.

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