TUNIS – UNIVERSNEWS (SEF) – La société de gestion Tunisie Titrisation, en sa qualité de gestionnaire du Fonds Commun de Créances FCC BIAT- CREDIMMO 1 a annoncé que son conseil d’administration, réuni en date du 12 juin 2024 a décidé la liquidation par anticipation dudit FCC. La liquidation du fonds est motivée par l’extinction des dernières créances figurant à l’actif du fonds.
A cet effet et en application des dispositions de l’article 45 du Code des Organismes de Placement Collectif, La société de gestion Tunisie Titrisation a déposé auprès du Conseil du Marché Financier un dossier d’agrément pour la liquidation dudit Fonds.
Le Collège du Conseil du Marché Financier, réuni en date du 12 novembre 2024, a décidé d’agréer la liquidation anticipée de ce Fonds.
La date d’entrée en vigueur de la liquidation est fixée au 12 novembre 2024. Par conséquent, les demandes de rachat ne seront plus acceptées à partir de cette date. La société de gestion Tunisie Titrisation assume les fonctions de liquidateur du fonds.
TUNIS – UNIVERSNEWS (CHRONIQUE) – Les Etats-Unis sont prêts à pactiser avec le diable… lorsqu’il s’agit de ses intérêts !!! D’ailleurs, les dernières élections présidentielles, chez l’Oncle Sam, nous ont donné un échantillon de ce que les Américains sont capables de faire, en vue d’atteindre les objectifs tracés et escomptés, donnant au final la victoire à Donald Trump qui n’est pas né de la dernière pluie et qui, il y a peu de temps, poussait ses partisans à envahir la congrès… afin qu’il soit maintenu au pouvoir !!!
Pour la Syrie, c’est du pareil au même et puisque Mohamed Joulani lui a prêté allégeance, Washington « escamote » le passé de cet extrémiste religieux qui avait appartenu à divers mouvements terroristes, Jab’het Ennosra, Al Qaïda, l’Etat islamique… pour créer, enfin, un mouvement extrémiste dont il est le chef… alors que, pourtant, il fait parti de la liste des terroristes les plus recherchés du monde
Soudain, sans préalables, Mohamed Joulani, ou Al-Charaa, a commencé à envahir les chaînes de télévision, à prononcer des discours et à être interviewé par les médias américains et israéliens. L’administration américaine a oublié qu’elle avait alloué une importante récompense financière à quiconque l’arrêterait ou indiquerait où il se trouve, après l’avoir classé comme terroriste et avoir prévenu son organisation, qui est affiliée à l’Etat islamique, l’organisation terroriste la plus scabreuse et la plus sanglante !
Ce revirement ne risque pas de paraitre bizarre pour les USA, car ceux ont qui ont créé Ben Laden et les talibans, aidé les Frères musulmans à accéder au pouvoir et déclenché ce qu’on a appelé le « Printemps arabe », dont les Arabes n’ont récolté que davantage de destruction.
La « sagesse » américaine estime que les organisations des Frères musulmans, avec toutes leurs branches, sont les garantes de ses intérêts et de la sécurité d’Israël. Elles sont également les garantes de l’immersion de la région arabe dans la superstition, la pensée obscurantiste et l’hostilité aux Lumières et au progrès, en la privant de son droit à la liberté et au progrès.
Certes, Bachar Al Assad n’était pas un saint… il a tué et exercé une dictature qui à conduit plus de cinq millions de Syriens vers l’exil… mais, à voir de plus près, les Impérialistes et les Sionistes ont fait pire et le bilan de leur victime, uniquement à Gaza, s’élève à près de 45 mille morts et plus de 100 mille estropiés. Aujourd’hui, la Syrie paie le prix de son rejet de l’hégémonie turque, d’Erdogan, des griffes de l’Amérique et du sionisme, et de son alliance avec la Russie et l’Iran, en permettant l’ouverture de bases russes surplombant la Méditerranée.
Il est vrai que le peuple syrien souffre depuis longtemps de l’absence de liberté et de démocratie et du régime de la famille Assad et du parti Baas depuis plus d’un demi-siècle. Il est également vrai que le peuple syrien mérite un meilleur sort, une vie digne de leur appartenance ethnique, mais Al-Joulani, qui a commencé son époque en accomplissant des prières et en prêchant dans la mosquée, garantira-t-il la liberté et la démocratie ?
Qui protégera la Syrie d’une guerre acharnée entre l’Armée syrienne libre, les Forces démocratiques syriennes et les forces de Joulani, avec la prolifération des armes ?
Pour tout cela, nous pensons que la Syrie sera une nouvelle Libye ou un nouvel Irak. L’absence d’une autorité centrale, aussi antidémocratique soit-elle, ne conduit qu’à des guerres civiles dévastatrices, notamment liées à la diversité religieuse et sectaire.
L’espoir est que la sécurité du peuple syrien soit préservée… mais, on a le droit d’être pessimiste, surtout que l’expérience des Frères musulmans et des groupes religieux au pouvoir n’a abouti qu’à la destruction, au retard et au sang, du Soudan à l’Afghanistan et aujourd’hui à la Syrie.
TUNIS – UNIVERSNEWS (SPORTS) – Le temps presse… les fans s’impatientent… les échéances importantes approchent à pas de géants !!! Pourtant l’Espérance ST qui a, déjà perdu ses repères, en tant qu’équipe qui sait défendre, est tombé à un palier inférieur, avec une stérilité inquiétante… au vu des nombreuses occasions que l’équipe s’est créée, face à une équipe angolaise qui n’a rien montré de vraiment solide. Et, au final, c’est une pâle copie qui nous avait été présentée, vendredi après-midi, face à une équipe qui avait encaissé pas moins de cinq buts, auparavant par Pyramids FC (Egypte)
L’Espérance a dominé les débats tout au long des 45 premières minutes, mais sa domination restait stérile. Les coéquipiers de Houssem Tka avaient imposé un faux rythme, amorçant maintes attaques placées, mais pêchaient par un flagrant manque de lucidité dans les derniers mètres.
La vivacité et la rapidité de Ilyas Mokwana avaient offert une précieuse carte à jouer sur le flanc droit pour le technicien Roumain de l’Espérance, Laurentiu Reghecampf, mais la précipitation et le déplacement parfois hasardeux des attaquants gâchaient grossièrement les efforts du sud-africain.
Entretemps, une seule et unique occasion angolaise à retenir, intervenue de la tête à la 44e, mais le jeune portier Amenallah Memmiche était vigilent.
Après la pause, les locaux allaient chercher plus haut la balle dans la moitié de terrain espérantiste, mais l’expérience des Jlassi, Tougaï et autre Ben Hmida relançaient aisément vers l’avant. La domination du club tunisois se poursuivait mais sans la concrétisation des occasions qu’il s’était procurées.
TUNIS – UNIVERSNEWS (MONDE) –C’est la fin d’une ère et d’une dynastie, en Syrie, avec le dénouement malheureux de la « guerre civile », attisée par les Américains et les Sionistes, dans le cadre de la reconfiguration du nouveau Moyen Orient.
Tout s’est achevé hier soir, par la fuite de Bachar Al Assad, laissant la Syrie tomber entre les mains des Jihadistes qui ont fêté leur victoire et annoncé « la libération de Damas du joug de la dictature ». Même la population de la capitale syrienne a participé à l’euphorie, après l’entrée de ce qui est appelé « les forces de l’opposition », alors que les combattants ne sont que l’arme secrète de Washington… en l’occurrence, l’extrémisme religieux dont les USA font usage pour atteindre leur objectif… Et, maintenant, à qui le tour dans cette guerre à armes inégales entre les force du mal… et les Etats arabes qui attendent leur sort comme des moutons de Panurge qu’on mène au purgatoire?
Les rebelles ont annoncé ce dimanche matin, à la télévision publique, la chute du « tyran » Bachar Al Assad. Ils ont également confirmé que le président avait pris la fuite.
La confusion règne en Syrie où le pouvoir semble être tombé. Le président Bachar al-Assad aurait fui le pays ce dimanche, selon une ONG, face à la pression des rebelles qui mènent une offensive fulgurante et ont annoncé être entrés dans la capitale Damas.
Depuis le début de leur offensive le 27 novembre dans le nord-ouest de la Syrie, les rebelles ont conquis rapidement plusieurs grandes villes clés et avaient annoncé viser Damas menaçant de faire chuter le président syrien.
« Assad a quitté la Syrie via l’aéroport international de Damas avant que les membres des forces armées et de sécurité ne quittent » le site, a indiqué le directeur de l’OSDH, Rami Abdel Rahmane.
Selon des sources de l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH), l’ordre a été donné aux officiers et aux soldats des forces gouvernementales de se retirer de l’aéroport international de Damas. Avant ce retrait, le président Bachar Al Assad a pu quitter la Syrie via l’aéroport de Damas, selon l’ONG basée à Londres et qui dispose d’un vaste réseau de sources en Syrie.
TUNIS – UNIVERSNEWS (MONDE) – Il semble que c’est la fin pour le régime de Bachar Al-Assad et, même, ses plus acharnés soutiens sont en train de le lâcher… pour le donner en pâture aux Djihadistes qui, comme par hasard, ont repris du poil de la bête, pour accomplir une partie du plan ourdi par l’entité sioniste et les Etats-Unis qui ont mis le paquet pour en finir, une fois pour toutes avec ce régime qui fait obstacle à toutes leurs visées et qui a résisté, durant des années.
Les Arabes qui avaient programmé une réunion « urgente » (qui n’en est pas une) sur la situation au Proche Orient et sur la Syrie, l’ont reportée sine die… sur injonction des Américains. Et, aujourd’hui, c’est aussi l’Iran qui fuit le bateau qui coule… après les fanfaronnades auxquelles on a assisté, depuis le début des massacres de Gaza.
Le journal américain, New York Times, citant des responsables non identifiés, a confirmé que l’Iran avait commencé vendredi à retirer ses membres et ses chefs militaires de Syrie, à la lumière des développements survenus dans les principales villes syriennes et l’avancée des factions armées djihadistes.
La même source a indiqué que cette mesure révèle l’incapacité de Téhéran à aider le président syrien Bachar al-Assad, alors qu’il fait face à une attaque des factions armées de l’opposition.
Des responsables iraniens et régionaux ont déclaré que parmi les dirigeants transférés en Irak et au Liban figuraient de hauts dirigeants de la Force Al Qods des Gardiens de la révolution iranienne, en plus du transfert de certains membres du personnel diplomatique iranien et de leurs familles, et même des employés des bases des Gardiens de la révolution en Syrie.
Les opérations d’évacuation se font par avion à destination de Téhéran, et d’autres partent par voie terrestre vers le Liban, l’Irak et le port syrien de Lattaquié.
Vendredi, les forces gouvernementales syriennes ont perdu le contrôle de la ville de Deraa, berceau du mouvement de protestation populaire syrien qui a éclaté en 2011 contre le régime du président Bachar al-Assad, un nouveau coup dur pour elles au milieu d’une vague de violences rapides et violentes.
Le Wall Street Journal américain, citant des responsables de la sécurité syrienne, a également révélé que les autorités jordaniennes et égyptiennes avaient exhorté le chef du régime syrien, Bachar al-Assad, à quitter le pays et à former un gouvernement en exil.
TUNIS – UNIVERSNEWS (Justice) – Un décret paru sur le Journal officiel de la République tunisienne (JORT), ce vendredi, vient de mettre fin aux fonctions d’Amal Atrous à la tête de l’Inspection générale au ministère de la Justice.
Selon les données obtenues par Universnews, la décision de mettre fin aux fonctions d’Amal Atrous a été prise hier à l’occasion de la rencontre du président de la République, Kaïs Saïed, avec la ministre de la Justice, Leila Jaffel.
TUNIS – UNIVERSNEWS (Justice) – Le premier juge d’instruction du tribunal de première instance de Sousse a délivré 2 contraventions à onze personnes, dans l’attente d’enquêtes liées à des affaires de corruption financière et administrative à Henchir Enfidha (Gouvernorat de Sousse).
Le Parquet près le Tribunal de Première Instance de Sousse 2 a autorisé les agents de la Brigade Centrale de la Garde Nationale à El Aouina à procéder aux enquêtes nécessaires sur des soupçons de corruption financière et administrative à Henchir Enfidha, où il a été décidé d’arrêter plus d’une quinzaine de personnes, en attendant l’achèvement de l’enquête.
Traduits devant du ministère public, il a décidé d’ouvrir une instruction judiciaire à l’encontre des suspects. Après leur interrogatoire par le juge d’instruction en charge du dossier, tout au long de la journée d’hier et aujourd’hui, jeudi à midi, il a été décidé de délivrer des mandats de dépôt à l’encontre de onze individus, tout en émettant une interdiction de voyager, pour les autres accusés.
TUNIS – UNIVERSNEWS (MONDE) – Ils sont, vraiment, bizarre et, en plus inconscients, ces dirigeants arabes qui, après avoir participé à la destruction de ce pays… osent, maintenant, pleurer son sort et déclarer leur soutien à Bachar El Assad dans sa lutte contre les combattants de l’opposition qui ont pris Alep et penser continuer sur la même voie… on ne sait par quels moyens pour marcher sur Damas !!!
Selon l’agence Reuters, des milices pro-iraniennes sont envoyées d’Irak en soutien au régime de Bachar el-Assad. Elles se dirigent vers le nord du pays pour soutenir l’armée assiégée par des rebelles islamistes, ont déclaré deux sources de l’armée syrienne. Des dizaines de combattants irakiens des Hachd al-Chaabi, soutenus par l’Iran, sont également entrés en Syrie près du point de passage d’Al Boukamal, a déclaré à Reuters un officier supérieur de l’armée syrienne. « Il s’agit de nouveaux renforts envoyés pour aider nos camarades sur les lignes de front dans le nord », a déclaré l’officier, ajoutant que les miliciens appartenaient notamment aux groupes des Kataïb Hezbollah et des Fatimides.
Les pays arabes et ceux du Golfe, en particulier, tous réunis, savent que si Bachar El Assad tombe… ce sera leur tour, prochainement… et ils commencent à avoir la peur au ventre, surtout avec les intentions avouées des Etats Unis de veiller à redessiner la carte du Moyen Orient. Ils croyaient qu’on « payant » les raquetteurs, ils pourraient échapper au destin qui leur est promis, par leur fidèle protecteur… alors qu’ils savent qu’ils ne peuvent pas avoir confiance aux dirigeants du pays des cowboys et des bagnards de l’Europe !!!
Leurs manigances n’ont pas pu permettre de faire tomber Bachar El Assad, comme le voulait la coalition entre les pays occidentaux et l’entité sioniste… et c’est ce qui va signer leur arrêt de mort… parce qu’ils ont tout fait pour diviser la Nation arabo-islamique qui aurait pu constituer une force de dissuasion, avec ses richesses et la volonté de ses peuples, contre toute velléité de les asservir, alors qu’ils ont choisi la mauvaise voie !!!
Les pays du Golfe n’ont plus qu’à se mordre les doigts pour ne pas avoir élaboré une stratégie pour éviter au Monde arabe tous les malheurs qu’il a enduré… mais, il semble que l’Histoire de l’Andalousie se répète, encore une fois. Pourtant, la stratégie élaborée par les impérialistes et les sionistes ne date pas d’aujourd’hui et qu’elle n’est plus un secret pour personne… mais, que peut-on attendre d’une Oumma arabe qui n’a jamais été une et dont ceux qui détiennent les rênes sont des défaitistes !!! (F.S.)
TUNIS – UNIVERSNEWS (MONDE) – Avec la fin de son mandat, à la présidence de la plus grande puissance mondiale… Joe Biden a fait « une bonne action », mais, par pour n’importe qui… parce que « Charité bien ordonnée commence par soi-même !!!
Peu avant de quitter la Maison-Blanche, Joe Biden a annoncé dimanche 1er décembre avoir accordé une grâce présidentielle à son fils Hunter, reconnu coupable de fraude fiscale et d’acquisition illégale d’une arme à feu.
Le président grabataire a trouvé une excuse et cherché à expliquer que « lorsqu’on examine objectivement les faits concernant Hunter, il est impossible d’arriver à une autre conclusion : il a été ciblé uniquement parce qu’il est mon fils. Et cela est injuste ».
Malgré ses multiples déclarations publiques affirmant qu’il n’accorderait pas de grâce à son fils, notamment en septembre par l’intermédiaire de sa porte-parole Karine Jean-Pierre, le président a finalement choisi d’octroyer un pardon total et inconditionnel. Ce geste couvre toutes les infractions commises ou présumées, ainsi que toute participation à des délits, sur une période allant du 1er janvier 2014 au 1er décembre 2024.
C’est un beau cadeau de Noël que Joe Biden a offert à son fils Hunter il lui évite, ainsi, un possible séjour en prison, et mettant un terme à une saga judiciaire et politique qui durait depuis plus de cinq ans. En juin, Hunter Biden avait été jugé coupable d’avoir menti au sujet de sa consommation de stupéfiants en remplissant le formulaire d’acquisition d’une arme à feu en 2018, et d’avoir possédé illégalement un pistolet pendant onze jours. Séparément en septembre, il a plaidé coupable devant un tribunal de Los Angeles pour falsification de documents et non-paiement de 1,4 million de dollars d’impôts. Il était passible de 25 ans de prison, bien qu’il aurait certainement écopé d’une peine plus légère. Cette grâce présidentielle intervient alors que les juges devaient statuer sur la peine de Hunter Biden dans les jours à venir.
Comme quoi, on dirait qu’il faut être le fils d’un président de la République, pour être gracié de tous les péchés commis… et le fils de Joe Biden en a profité de long en large… puisque son père l’a gracié, même s’il avait commis toutes les infractions imaginables et, même, inimaginables pour lesquelles le commun des mortels aurait pu risquer la peine capitale dans le pays de l’Oncle Sam !!!
TUNIS – UNIVERSNEWS (Education) – Le ministère de l’éducation a publié dimanche, dans un communiqué, le calendrier des épreuves d’évaluation du premier trimestre qui se dérouleront dans les collèges et les lycées secondaires au cours de l’année scolaire 2024-2025.
Les devoirs de synthèse, qui seront effectués pendant les cours, démarrent à partir d’aujourd’hui, lundi 2 décembre, et se poursuivront jusqu’à samedi 7 décembre 2024, alors les devoirs de synthèse avec interruption des cours (semaine bloquée) se dérouleront à partir de lundi 9 décembre jusqu’au 14 décembre 2024, précise le communiqué.
Les devoirs de synthèse seront corrigés et remis aux élèves, avec le déroulement ordinaire des cours à partir de lundi 16 décembre jusqu’à samedi 21 décembre 2024.
Selon ce communiqué, les notes seront remises à l’administration le 21 décembre 2024, alors que le conseil des classes se déroulera du 6 janvier eu 11 janvier 2025.
TUNIS – UNVERSNEWS (Santé) – La Tunisie célèbre la Journée mondiale contre le SIDA organisée chaque 1er décembre dans le monde entier. Elle est le cadre de manifestations de soutien aux personnes vivant avec le VIH et elle commémore les victimes de maladies liées au sida. Chaque Journée mondiale de lutte contre le sida est dédiée à un thème en particulier. Le slogan de cette édition 2024 : Suivons le chemin des droits. Ce slogan vient s’ajouter à une liste toujours plus longue de défis mis en avant par cette manifestation dans le monde entier.
Lancée en 1988, la Journée mondiale de lutte contre le SIDA a été la première journée internationale dédiée à la santé au niveau mondial. Chaque année, des agences des Nations unies, des gouvernements et la société civile s’unissent pour mettre en avant des aspects spécifiques au VIH. A cette occasion, l’Association de lutte contre le SIDA a organisé du 18 au 24 novembre 2024, la 5ème édition de la Semaine internationale du dépistage (SID 2024) dans les espaces à bas seuil et les centres communautaires dans différentes régions (Tunis, Nabeul, Sousse, Gafsa et Tozeur). Selon le rapport de l’Onu-Sida, on estime que chaque jour, 4.000 personnes, dont 1.100 jeunes âgés entre 15 à 24 ans, sont infectées par le VIH on estime par contre qu’en Tunisie, 5.400 adultes et enfants (âgés de 15 ans et plus) vivent avec le virus VIH, répartis comme suit : 2.400 femmes, 2.800 hommes et 200 enfants.
Le taux de prévalence est estimé à 0,1%.La Stratégie nationale intégrée de lutte contre le SIDA les hépatites virales et les infections sexuellement transmissibles vise l’élimination de l’épidémie de VIH en Tunisie, en tant que problème de santé publique à l’horizon 2030, conformément aux objectifs du développement durable, et selon une approche participative visant à éliminer tous les déterminants de ces maladies, qu’ils soient sanitaires, sociaux ou économiques, en collaboration avec les organisations de la société civile et les institutions gouvernementales, ainsi qu’avec les partenaires locaux et internationaux. (M.S)