Les représentants de la Société australienne PhosCo, qui exerce dans le secteur minier, ont fait savoir “qu’ils sont actuellement en train d’identifier un portefeuille de phosphate dans le bassin du nord de la Tunisie pour soutenir un potentiel centre d’engrais de classe mondiale et développer ainsi ce secteur en Tunisie”, selon la FIPA.
Lors d’une rencontre tenue, vendredi, avec le directeur général de l’Agence de Promotion de l’Investissement Extérieur (FIPA), Jalel Tebib, Tarecq Aldaoud, et Mehdi Ben Abdallah respectivement Directeur Général et Directeur exécutif de PhosCo, ont exprimé leur volonté de consolider les efforts de la Tunisie et d’ouvrir de nouveaux horizons de coopération économique entre la Tunisie et l’Australie.
La société PhosCo est “un leader mondial dans le secteur minier et exerce dans un cadre qui respecte les meilleurs standards environnementaux, mais surtout avec l’engagement de s’aligner sur l’agenda social du gouvernement avec la participation des communautés à travers les sociétés communautaires”.
Pour les responsables de cette société, la “Tunisie est un pays d’Afrique du Nord idéalement situé aux portes de l’Europe et à proximité des marchés d’exportation et dispose des atouts préférentiels “.
De sa part, Tebib a salué cette initiative et s’est engagé à fournir le soutien nécessaire pour concrétiser leur projet en Tunisie.
Recevant, ce vendredi, au palais de Carthage, le ministre de la Défense Nationale Khaled S’hili, le président de la République, Kaïs Saïed, s’est enquis de l’avancement de plusieurs projets, engagés par le génie militaire.
Cité dans un communiqué, le chef de l’État a salué le travail accompli par les forces armées tunisiennes en un temps record, et avec beaucoup de professionnalisme.
Au cours de cette entrevue, le président Saïeda pris connaissance des plans d’aménagement de la Maison de la Culture Ibn Khaldoun et des places Monji Bali et Barcelone dans la capitale Tunis.
Le chef de l’Etat s’est enquis également du plan d’aménagement et de restauration des Bassins des Aghlabides et de la muraille de la ville de Kairouan, outre l’installation de l’hôpital de campagne à Bir Ali Ben Khalifa, dans le gouvernorat de Sfax.
Le ministre des affaires sociales Issam Lahmar s’est rendu vendredi au gouvernorat de Tataouine pour s’informer de visu des trois projets de valorisation des produits locaux dans les localités de Tlalet (délégation Tataouine- nord) de Ksar Aoun (délégation de beni Mhira) et de Karchaou (délégation d’Essamar) qui ont bénéficié de l’encadrement technique de l’organisation internationale du travail (OIT).
A cette occasion, le ministre a visité l’unité de valorisation des produits du terroir oasien dans le groupement féminin de développement agricole “El Waha” à Tlalet, qui a été financée par l’union européenne et la coopération suisse, moyennant une enveloppe estimée à 400 mille dinars.
Il a remis des diplômes aux apprenantes brillantes de ce centre, notamment parmi celles qui se sont distinguées dans la fabrication des produits en nattes (Hssira) et des objets de décoration en bois de palmiers, soulignant l’importance de mettre en œuvre les orientations de l’état en matière d’inclusion socio-économique en coopération avec toutes les parties intervenantes.
Au cours de sa visite au village Kasr Aoun relevant de la délégation de Beni Mhira, le ministre des affaires sociales s’est rendu à l’unité de valorisation de la laine, qui a été réalisée dans le cadre de ce programme (financement européen et encadrement technique de l’OIT).
Il a pris connaissance des quatre étapes de réalisation de ce projet qui fournit, à chaque saison, une moyenne de 400 tonnes de laine.
A la fin de sa visite, lahmar s’est rendu à la localité de Karchaou relevant de la délégation d’Essamar au cours de laquelle il s’est informé du projet de fabrication du fromage, financé par l’Union européenne, la coopération suisse et l’aide technique de l’OIT moyennant une enveloppe estimée à 100 mille dinars.
Par ailleurs, il s’est informé de visu de la marche du travail au sein de l’unité de collecte du lait à Kerchaou, lancée en 2019 et auditionné les préoccupations des ouvriers et des éleveurs de bovins dans la région.
Le ministre des affaires sociales a souligné dans une déclaration au correspondant de la TAP dans la région, que l’état s’emploie à travers son rôle social et sur instructions du président de la république Kais Saied à garantir la couverture sociale et les sources de revenu permettant d’assurer des conditions de vie décentes à tous les citoyens à travers le système AMEN social qui fournit des aides financières et des allocations destinées aux familles et aux enfants, en vue de lutter contre la pauvreté.
Au cours de sa visite à Tataouine, le ministre s’est informé de la marche du travail au sein de la direction régionale des affaires sociales et de l’unité locale de promotion sociale.
Un programme d’accompagnement en éco-entrepreneuriat du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), “Green’it 2.0” a été lancé, vendredi, en marge d’une conférence nationale organisée, à Tunis, sur la thématique “L’entrepreneuriat féminin, comme moteur d’une économie verte et inclusive en Tunisie”, en partenariat avec le ministère de l’Economie et de la Planification, et avec l’appui du Canada.
Ce programme prévoit d’encadrer 350 femmes micro- entrepreneures dans les chaînes de valeurs vertes sur les volets de création, reconversion ou diversification d’entreprises, selon un communiqué rendu public, vendredi, par le PNUD.
“Le PNUD s’engage avec la Tunisie pour appuyer une transition écologique inclusive et durable, où l’autonomisation économique des femmes reste une priorité, notamment face à l’urgence climatique qui affecte de manière disproportionnée les populations les plus vulnérables. Nous sommes fiers d’appuyer l’entreprenariat féminin, à travers une approche d’économie verte, comme levier de résilience des communautés, et de réduction des inégalités”, a affirmé la représentante résidente du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), Céline Moyroud, lors de cette conférence, qui s’inscrit dans le cadre de l’initiative “Économie verte et autonomisation économique des femmes en Tunisie » (Green Economy: Women’s Economic Empowerment in Tunisia, GEWEET).
Le débat engagé à cet évènement a permis de mettre en lumière le rôle clé des femmes entrepreneures dans le développement économique local résilient aux changements climatiques.
Le PNUD œuvre dans le cadre de cette initiative GEWEET ciblant les gouvernorats de Gabès, Gafsa, Kairouan, Kébili, Médenine, Tataouine et Tozeur, le PNUD, à promouvoir une économie verte tout en renforçant l’autonomisation économique des femmes. Agissant à la fois au niveau institutionnel et auprès des populations cibles, à l’échelle centrale et locale, il s’engage dans une approche intégrée en faveur de modèles économiques et des stratégies alignés sur les Accords de Paris et les priorités du gouvernement Tunisie.
L’objectif recherché est de garantir une croissance durable et inclusive, permettant aux femmes des régions ciblées de réaliser leur plein potentiel économique tout en renforçant leur résilience face aux chocs climatiques.
Le Canada réaffirme également son engagement, à travers cette initiative, envers la promotion des droits des femmes et le financement d’initiatives en faveur d’un entrepreneuriat féminin durable en Tunisie, illustrant une coopération bilatérale fructueuse entre les deux pays.
L’Ambassadrice du Canada à Tunis, Lorraine Diguer, a déclaré à cet effet que “Pour le Canada, la croissance pour toutes et tous et l’égalité des genres sont au cœur de notre politique d’aide internationale féministe. À travers cette initiative, le Canada pourrait accompagner davantage de femmes éco-entrepreneures, en renforçant leur résilience face aux
défis climatiques et en soutenant le développement de leurs activités dans le cadre de l’économie verte”.
Le ministre de l’Économie et de la Planification, Samir Abdelhafidh a souligné à cette occasion que “Le développement de l’entrepreneuriat féminin dans le cadre de l’économie verte s’inscrit pleinement dans les priorités de nos politiques publiques. Il constitue un levier stratégique pour la Tunisie afin de réussir la transition vers un modèle économique inclusif et durable, en répondant aux défis environnementaux et sociaux”.
Alors que les femmes en Tunisie représentent la moitié de la population en âge de travailler, seules 27,9 % sont actives, et leur taux de chômage (21,3 %) reste nettement supérieur à celui des hommes (13,6 %). Occupant souvent des emplois précaires et informels, elles sont particulièrement vulnérables face aux crises économiques et climatiques”.
La Tunisie fait en effet face à des risques climatiques qui s’intensifient : des sécheresses de plus en plus longues, des températures élevées accompagnées d’une baisse importante des précipitations ou encore la désertification des terres. Les changements climatiques pèsent sur l’économie (2,1 % du PIB), et le secteur de l’agriculture, dans lequel les femmes représentent près de 70 % de la main d’œuvre, est particulièrement impacté.
Elles sont donc en première ligne face à l’impact du changement climatique, d’autant plus qu’elles sont souvent dans des
situations économiques et sociales précaires, ne leur permettant pas de se protéger ou d’accéder à d’autres opportunités économiques.
Le lien entre climat et genre a été reconnu ainsi par la Tunisie, comme souligné dans sa Contribution Déterminée au niveau National (CDN). Véritable feuille de route climatique pour la Tunisie, la CDN met au centre de ses mesures d’adaptation et d’atténuation la création d’emplois pour toutes et tous, veillant à ne laisser personne de côté. Il est en effet estimé que 12 000 emplois seraient créés d’ici 2030 à travers la transition énergétique.
De ce fait, la transition vers une économie verte et inclusive, inscrite dans la Vision Tunisie 2035, reste une priorité, non seulement pour éviter de creuser davantage les inégalités, mais aussi pour contribuer à redresser l’économie Tunisienne.
Le chef du gouvernement, Kamel Maddouri, a présidé, vendredi, un conseil ministériel restreint (CMR) consacré au programme d’amélioration du rendement de la Société tunisienne de l’électricité et du gaz (STEG) pour la période 2025-2028.
Prenant la parole, le chef du gouvernement a souligné l’importance de concrétiser la vision du président de la République visant à garantir la sécurité et la souveraineté énergétiques du pays à travers une approche de développement qui assure l’efficacité énergétique et renforce la gouvernance des établissements publics.
Créée en 1962, a-t-il rappelé, la STEG est une entreprise publique qui s’est imposée en tant que pilier-clé de la sécurité énergétique du pays et continue à ce titre à jouer un rôle vital en assurant la continuité de l’approvisionnement du pays en électricité et en gaz naturel.
Dans ce contexte, il a souligné que le programme d’amélioration du rendement pour la période 2025-2028 sera articulé autour d’une nouvelle approche.
Cette approche, a-t-il poursuivi, s’est fixée pour objectif d’améliorer des services rendus aux citoyens, de promouvoir les performances techniques et commerciales de la société et de mettre en œuvre de nouveaux projets afin de répondre à la demande croissante en électricité et gaz.
Il a également souligné l’impératif de renforcer la gouvernance, d’optimiser les ressources humaines et la maintenance des équipements et d’œuvrer à relever les nombreux défis.
Pour sa part, la ministre de l’industrie, des mines et de l’énergie a présenté un exposé détaillé du programme d’amélioration des indicateurs de performance pour la période 2025-2028 qui vise à renforcer les équilibres financiers de l’entreprise, à continuer à répondre aux besoins énergétiques du pays et à contribuer à la transition énergétique basée sur le développement durable et l’économie verte.
L’exposé prévoit l’engagement de la STEG à promouvoir ses performances financières et commerciales à travers l’élaboration d’un programme d’action et la mise en place d’une série d’indicateurs de performance précis dans le cadre d’un contrat-objectifs pour la période 2025-2028.
Au terme de la réunion, le conseil a décrété une série de mesures importantes dont la teneur comme suit :
-La mise en œuvre du programme d’amélioration de la performance 2025-2028 de la STEG dans le cadre d’une stratégie globale et intégrée liée à la sécurité énergétique.
-L’accélération du suivi des projets en cours de la société et la mise en place des conditions nécessaires au lancement des projets programmés pour la période 2025-2028
-La révision du cadre juridique régissant l’activité de l’entreprise et la garantie des mécanismes au niveau de la politique de gestion et de recouvrement et de répression des abus.
Un groupe de travail sera bientôt créé pour élaborer un cadre tarifaire favorable au développement des activités de production de biométhane et d’électricité issus de la valorisation du biogaz dans les réseaux nationaux d’électricité et de gaz, a fait savoir, vendredi, le Secrétaire d’État auprès de la ministre de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie, chargé de la Transition énergétique, Wael Chouchane.
Présidant un atelier organisé à Tunis sur « Le développement d’un système de valorisation du biométhane et de l’électricité produite à partir du biogaz», Chouchane a souligné que ce groupe de travail se chargera de développer un système favorable à la valorisation énergétique des déchets et d’explorer les opportunités de financement nécessaires à son développement. Il aura, aussi, à définir les mesures d’accompagnement nécessaires en matière d’appui technique, de formation et de systèmes de management de la qualité.
L’atelier a permis de passer en revue certaines expériences internationales dans le domaine et de présenter le potentiel national des déchets organiques et les moyens de les valoriser, notamment dans les secteurs prioritaires ayant un impact direct sur l’environnement, en particulier les décharges contrôlées, les stations d’épuration et les grands projets de production agricole et d’industries alimentaires.
Le Secrétaire d’État a ainsi souligné la nécessité d’assurer le suivi des résultats de cet atelier et de travailler à leur mise en œuvre dans les meilleurs délais.
Les stations sismologiques relevant de l’Institut national de la météorologie (INM) ont enregistré, samedi 23 novembre 2024, à 6h23 ( heure locale), une secousse tellurique, d’une magnitude de 3 degrés sur l’échelle de Richter, au Sud-est d’El Fahs, dans le gouvernorat de Zaghouan, selon un communiqué publié par l’INM. Les analyses préliminaires effectuées par les […]
Le président de la République, Kais Saïed a reçu, vendredi, après-midi, au Palais de Carthage, le ministre de l’Intérieur Khaled Nouri et le Secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Intérieur chargé de la sûreté nationale Sofiene Belsadok. Lors de cette réunion, le chef de l’Etat a eu l’occasion de s’informer du bilan des opérations en […]
La ministre des affaires culturelles, Amina Srarfi, a effectué, vendredi, une visite “non annoncée” au Musée National de Carthage afin de s’informer de l’avancement du projet de son réaménagement ainsi que de l’opération d’inventaire, de numérisation et de préservation de sa collection patrimoniale, informe le ministère sur sa page officielle. Elle a également visité les […]
Le temps sera passagèrement nuageux sur tout le territoire. Le vent soufflera de secteur Nord au Nord et au Centre et de secteur Est au Sud, relativement fort à localement fort près des côtes et du Sud où il suscitera des tourbillons de sables locaux, faible à modéré sur le reste des régions, selon les […]
Le président Kaïs Saïed semble avoir confié à l’armée nationale une mission qui ne lui était pas initialement destinée : accélérer la réalisation de certains projets publics qui, autrement, aurait coûté plus de temps et d’argent aux contribuables, étant donné la bureaucratie qui règne dans les services publics et grippe souvent la machine.
Recevant, vendredi 22 novembre 2024, au palais de Carthage, le ministre de la Défense nationale Khaled Sehili, le président de la République s’est enquis de l’avancement de plusieurs projets, engagés par le génie militaire, indique un communiqué de la présidence de la république, ajoutant que le chef de l’État «a salué le travail accompli par les forces armées tunisiennes en un temps record, et avec beaucoup de professionnalisme». Il faisait sans doute allusion à la restauration de la piscine municipale du Belvédère et de la Place Pasteur à Tunis, dont les travaux ont été réalisés en quelques mois par le génie militaire grâce à un financement de la Banque internationale arabe de Tunisie (Biat).
Au cours de l’entrevue avec le ministre de la Défense nationale, le président Saïed a pris connaissance des plans d’aménagement de la Maison de la Culture Ibn Khaldoun et des places Mongi Bali et Barcelone dans la capitale Tunis, qui devraient être réalisés selon le même schéma et par les mêmes acteurs.
Saïed s’est enquis également du plan d’aménagement et de restauration des Bassins des Aghlabides et de la muraille de la ville de Kairouan, ainsi que de l’installation de l’hôpital de campagne à Bir Ali Ben Khalifa, dans le gouvernorat de Sfax, ajoute le communiqué.
Il s’agit là, à l’évidence, d’une nouvelle orientation politique qui renforce l’armée dans son rôle de vecteur de développement et lui confie la mission de parer aux carences d’une administration publique qui s’empêtre souvent dans les complications juridiques et organisationnelles qu’elle s’inflige elle-même et qui ont pour conséquence de retarder la réalisation des projets dans beaucoup de domaines.
Le programme d’amélioration des indicateurs de performance de la Société tunisienne de l’électricité et du gaz (Steg) pour la période 2025-2028 vise à renforcer les équilibres financiers de l’entreprise, à répondre aux besoins énergétiques du pays et à contribuer à la transition énergétique à travers le développement durable et l’économie verte.
Le chef du gouvernement, Kamel Maddouri, a présidé, vendredi 22 novembre 2024, un conseil ministériel restreint (CMR) consacré au programme d’amélioration du rendement de la Société tunisienne de l’électricité et du gaz (Steg) pour la période 2025-2028.
Prenant la parole, le chef du gouvernement a souligné l’importance de concrétiser la vision du président de la république visant à garantir la sécurité et la souveraineté énergétiques du pays à travers une approche de développement qui assure l’efficacité énergétique et renforce la gouvernance des établissements publics.
Créée en 1962, a-t-il rappelé, la Steg est une entreprise publique qui s’est imposée en tant que pilier-clé de la sécurité énergétique du pays et continue à ce titre à jouer un rôle vital en assurant la continuité de l’approvisionnement du pays en électricité et en gaz naturel.
Dans ce contexte, il a souligné que le programme d’amélioration du rendement pour la période 2025-2028 sera articulé autour d’une nouvelle approche.
Cette approche, a-t-il poursuivi, s’est fixée pour objectif d’améliorer des services rendus aux citoyens, de promouvoir les performances techniques et commerciales de la société et de mettre en œuvre de nouveaux projets afin de répondre à la demande croissante en électricité et gaz.
Il a également souligné l’impératif de renforcer la gouvernance, d’optimiser les ressources humaines et la maintenance des équipements et d’œuvrer à relever les nombreux défis.
Pour sa part, la ministre de l’Industrie, des Mines et de l’Energie a présenté un exposé détaillé du programme d’amélioration des indicateurs de performance pour la période 2025-2028 qui vise à renforcer les équilibres financiers de l’entreprise, à continuer à répondre aux besoins énergétiques du pays et à contribuer à la transition énergétique basée sur le développement durable et l’économie verte.
L’exposé prévoit l’engagement de la Steg à promouvoir ses performances financières et commerciales à travers l’élaboration d’un programme d’action et la mise en place d’une série d’indicateurs de performance précis dans le cadre d’un contrat-objectifs pour la période 2025-2028.
Au terme de la réunion, le conseil a décrété une série de mesures importantes dont :
– la mise en œuvre du programme d’amélioration de la performance 2025-2028 de la Steg dans le cadre d’une stratégie globale et intégrée liée à la sécurité énergétique;
– l’accélération du suivi des projets en cours de la société et la mise en place des conditions nécessaires au lancement des projets programmés pour la période 2025-2028;
– la révision du cadre juridique régissant l’activité de l’entreprise et la garantie des mécanismes au niveau de la politique de gestion et de recouvrement et de répression des abus.
Des rencontres dédiées à la plasturgie se tiendront le 26 novembre courant, à la Fondation Tunisie pour le Développement, au Kram dans la banlieue nord de Tunis, a fait savoir, vendredi, l’Ambassade de France en Tunisie.
Organisées par Business France, en collaboration avec l’Association Tunisienne des Industriels de la Plasturgie (ATIP), ces rencontres ont pour objectif de renforcer les liens entre la France et la Tunisie dans les métiers de la plasturgie et de faire le point sur les besoins de la filière.
Destinées aux entreprises industrielles tunisiennes et étrangères de la filière, implantées en Tunisie, ces rencontres visent, aussi, à partager les nouvelles technologies dédiées et de mettre en lumière les solutions transverses (décarbonation, digitalisation des process, etc.) dans le cadre de l’industrie du futur.
Les rencontres comprennent, aussi, la présentation de la ligne de crédit française pour les PME Tunisiennes (SER – Ambassade de France) et un moment de networking avec les acteurs et l’écosystème industriel présent.
Les expertises participantes proviennent de la PLASTICS VALLEE, qui regroupe en France la plus forte concentration d’entreprises spécialisées dans le plastique en Europe. Ce cluster compte le pôle de compétitivité PLASTIPOLIS et regroupe 3200 entreprises, ainsi que l’incubateur PlastiCampus, labellisé Campus des métiers et des qualifications d’excellence.
Dans ‘‘Paris en lettres arabes’’, Coline Houssais explore l’ambivalence complexe des relations entre les écrivains arabes et Paris, une ville à la fois fascinante et frustrante. À travers des récits d’exil, de rencontre et de distanciation, elle dévoile un Paris à la fois refuge et miroir des luttes des auteurs arabes, tiraillés entre admiration et rejet. Cette ville devient un laboratoire créatif où les influences croisées façonnent la littérature arabe contemporaine. Aujourd’hui, nous avons la chance de discuter avec Coline Houssais pour mieux comprendre cette dynamique littéraire unique.
Propos recueillis par Djamal Guettala
Kapitalis: Qu’est-ce qui vous a poussé à explorer la relation entre les auteurs arabes et Paris dans cet ouvrage ?
Coline Houssais: Au-delà de la relation entre Paris et le monde arabe, c’est d’abord le rôle de Paris qui m’intéressait, à la fois comme capitale économique, culturelle et politique, mais aussi comme symbole. Il s’agit d’une relation marquée par des ambiguïtés, et les hommes et femmes de lettres offrent un point de vue particulier sur celle-ci. Visiteurs de plus ou moins longue durée depuis des siècles, ils produisent des textes qui influencent une partie de leurs concitoyens, parfois sur plusieurs décennies.
Vous parlez d’une relation ambivalente. Pourriez-vous expliquer comment cette ambivalence se manifeste dans les œuvres des écrivains arabes?
On observe une fascination pour la culture française — un intérêt qui commence avant même de poser le pied sur le bateau ou l’avion menant à Paris — mêlée parfois d’antagonisme envers une France perçue comme ayant des visées de domination dans le monde arabe. Ce sentiment est souvent accompagné d’un malaise : celui de ne pas toujours être considéré comme un égal par leurs interlocuteurs français.
Comment les auteurs arabes décrivent-ils Paris dans leurs écrits? Quels thèmes ou motifs ressortent le plus souvent?
Paris et les Parisiens sont avant tout perçus comme une curiosité, notamment dans les premiers écrits de voyage, qui regorgent de comparaisons avec le pays d’origine. Jusqu’à l’après-guerre, on n’arrive jamais directement à Paris, mais par l’un des ports français, principalement Marseille ou la côte atlantique (surtout pour les Marocains). Cependant, Paris reste toujours la destination ultime. Une fois sur place, un sentiment d’éloignement émerge, souvent renforcé par le maintien des auteurs aux marges des cercles intellectuels et artistiques parisiens. Le contraste entre le Paris idéalisé et la réalité peut parfois être source de frustration.
Quel rôle Paris joue-t-elle en tant que ville refuge pour les écrivains arabes, et comment cela influence-t-il leur créativité?
Paris offre une relative stabilité politique pour les écrivains arabes (y compris, paradoxalement, pendant le XIXe siècle et ses successions de régimes). Elle propose également une multitude de lieux et d’opportunités pour s’enrichir intellectuellement et échanger avec des pairs : musées, bibliothèques, universités, cafés, librairies, etc. Enfin, Paris permet un anonymat et une distance avec leur milieu d’origine, ce qui peut être propice à la création. Venir à Paris, c’est s’affirmer, aux yeux des autres mais aussi à ses propres yeux, en tant qu’écrivain.
Comment l’interaction entre les cultures arabe et française a-t-elle façonné la littérature contemporaine ?
De nombreux écrivains, souvent traducteurs du français vers l’arabe, ont été influencés par la littérature française, dont ils ont abondamment dévoré les classiques, que ce soit lors de leurs études à Paris ou dans leur pays d’origine. Ce phénomène s’est particulièrement développé à partir de la fin du XIXe siècle avec des auteurs comme Muhammad Hussein Haykal (auteur du roman ‘‘Zaynab’’) ou Muhammad Teymour, précurseurs de Taha Hussein.
Pouvez-vous évoquer l’impact des premiers traducteurs levantins sur la perception de Paris dans la littérature arabe?
Ces traducteurs, employés par le roi de France à travers des institutions comme la Bibliothèque royale ou le Collège des lecteurs royaux, traduisaient des textes de l’arabe et du syriaque vers le français. Leurs publications comprenaient des commentaires de textes ou des réactualisations d’ouvrages anciens, comme les traités de géographie d’Al-Idrissi, ainsi que des études linguistiques.
Qui sont les auteurs arabes que vous considérez comme des figures clés dans cette dynamique littéraire avec Paris, et pourquoi ?
Jibril Al-Sahyouni, pour la durée de son séjour parisien au début du XXe siècle et pour l’invisibilisation qu’il a subie, invisibilisation qui a également touché d’autres compatriotes dans des conditions similaires. Joseph-Élie Ajoub, qui aborde la double identité dès le XIXe siècle; Rifaat Al-Tahtawi, pionnier de la traduction des récits de voyage à Paris; Ya‘qub Sanu‘, qui symbolise le développement de la presse arabe à Paris; Taha Hussein, pour ses collaborations fructueuses avec certains écrivains français; ou encore Kateb Yacine, pour son rapport singulier à la langue française. Sans oublier les nombreux écrivains contemporains.
Comment les expériences d’exil des écrivains influencent-elles leur écriture sur Paris ?
Paris représente un idéal, souvent formulé avant l’arrivée sur place. Lorsqu’il devient impossible de rentrer chez soi, Paris peut devenir un lieu d’accommodation avec l’exil. Cette ville offre également un aspect familier, lié à la pénétration de la culture française dans les classes sociales dont sont issus bon nombre d’écrivains, ainsi qu’à la présence de travailleurs, d’artistes et d’étudiants originaires d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient.
En quoi Paris est-il un laboratoire d’expérimentations littéraires pour les auteurs arabes modernes?
Paris est un laboratoire où convergent des écrivains arabes venus précisément pour renouveler la littérature arabe et l’enrichir de nouvelles influences. Cela est particulièrement évident dans la génération qui accompagne les indépendances, qui cherche à faire émerger des identités littéraires (et artistiques) nationales.
Dans les années 1970, un courant littéraire et intellectuel marqué à gauche se développe à Paris grâce aux rencontres, notamment informelles, entre hommes et femmes de lettres issus de la plupart des pays arabes.
Comment avez-vous observé l’évolution de cette relation littéraire au fil des décennies ?
Avant même la colonisation, le regard français sur les hommes et femmes de lettres arabes était empreint d’un sentiment de supériorité, phénomène qui a perduré jusqu’après les indépendances. Ce regard tendait à les enfermer dans des cases et à ne leur accorder visibilité et reconnaissance que s’ils s’y conformaient.
Côté arabe, cette relation est souvent marquée par un mélange d’attraction et de rejet, qui peut durer toute la carrière, voire la vie de l’écrivain. Aujourd’hui, grâce à internet et à la multipolarisation des référents culturels, il est possible d’exister sans passer par Paris, à condition de se détacher du regard hexagonal comme garant de reconnaissance.
Après toutes ces années d’études et de réflexion sur la relation entre Paris et les écrivains arabes, quel avenir voyez-vous pour cette dynamique littéraire ? Pensez-vous que Paris continuera à jouer ce rôle central pour les auteurs arabes ou est-ce que de nouveaux centres littéraires émergeront ailleurs ? »
Des facteurs matériels comme les difficultés d’obtenir un visa ou un permis de séjour, ainsi que de moindres investissements dans l’éducation et la culture et un rayonnement en berne vis-à-vis du monde arabe, causé notamment par une évolution des positions diplomatiques sur la région, contribuent à ternir l’attractivité de Paris.
Un rééquilibrage des puissances conduisant à une multipolarisation de l’édition s’opère aussi, à la faveur de maisons d’éditions basée au sud de la Méditerranée, comme Elyzad à Tunis, qui possèdent une force de frappe internationale. Néanmoins, Paris continue d’exister en l’absence d’une ou de plusieurs autre(s) ville(s), qui puissent prendre relais et offrir ce lieu à la fois physique et symbolique propice à l’inspiration. Internet enfin, offre un espace qui, bien que dématérialisé, permet aux auteurs d’échanger entre eux et avec leurs auditeurs.
L’écrivain algérien Boualem Sansal, un symbole de la liberté d’expression,connu pour ses critiques acerbes du régime en place et ses prises de position courageuses contre l’extrémisme religieux, a été arrêté par la police à Alger peu après son arrivée le 16 novembre dernier, selon des informations exclusives obtenues par ‘‘Marianne’’. Cette arrestation suscite une vive inquiétude parmi ses proches et dans les cercles intellectuels.
Âgé de 75 ans, Boualem Sansal, auteur du célèbre ‘‘2084 : la fin du monde’’, a passé sa carrière à dénoncer les dérives autoritaires et idéologiques en Algérie. Malgré les censures imposées sur ses œuvres dans son pays natal, il continuait de s’y rendre régulièrement, refusant de se laisser intimider par le régime ou les menaces de groupes islamistes.
Récemment naturalisé français, Sansal n’avait plus donné signe de vie depuis son arrivée à Alger, avant que des sources proches ne confirment son arrestation par les autorités locales.
Un contexte de répression accrue
L’arrestation de Sansal s’inscrit dans une dynamique de répression systématique des voix dissidentes en Algérie. Depuis plusieurs années, le gouvernement s’en prend aux intellectuels et artistes jugés trop critiques. Ce «tour de vis» vise, selon des analystes, à museler toute forme de contestation, notamment de la part de figures bénéficiant d’une audience internationale.
«En Algérie, tout a été verrouillé», déclarait Sansal dans une récente interview à ‘‘Marianne’’, décrivant un système où la liberté d’expression est soumise à une surveillance rigoureuse.
L’arrestation de Boualem Sansal a provoqué une onde de choc dans les milieux littéraires et parmi les défenseurs des droits humains. Plusieurs associations, dont Amnesty International et Pen International, ont déjà exprimé leur préoccupation et appellent à une mobilisation pour obtenir sa libération.
Pour beaucoup, cette affaire dépasse le cas individuel de Sansal. Elle illustre un enjeu plus large : la lutte pour préserver un espace de liberté d’expression dans des contextes autoritaires.
Un silence lourd de conséquences
Le gouvernement algérien n’a, pour l’heure, émis aucun commentaire officiel concernant cette arrestation. Cette absence de communication renforce les inquiétudes sur les conditions de détention de l’écrivain.
Boualem Sansal, par sa détermination à dénoncer l’injustice, est devenu un symbole de la résistance intellectuelle face à l’oppression. Son emprisonnement appelle à une solidarité sans faille, tant en Algérie qu’à l’international.
Face à ce durcissement, que peut faire la communauté internationale?
La question reste posée : les pressions extérieures suffiront-elles à infléchir la position d’un régime habitué à ignorer les critiques internationales? Ce cas pourrait bien devenir un test crucial pour évaluer l’efficacité des mobilisations globales en faveur de la liberté d’expression.
Le 1er Prix Ali Bousnina de recherche en cardiologie et chirurgie cardiovasculaire 2024, décerné par les Laboratoires Saiph a été attribué aux équipes des services de Cardiologie de l’Hôpital Hédi Chaker et du Service de Neurologie de l’Hôpital Habib Bourguiba de Sfax. Le 2e Prix est revenu à l’équipe du Service de Cardiologie de l’Hôpital Habib Bourguiba de Médenine.
Le prix porte le nom de l’un des pionniers de la cardiologie en Tunisie, Dr Ali Bousnina, ancien professeur en cardiologie à la Faculté de Médecine de Tunis et ancien chef du service de cardiologie à l’hôpital Charles Nicolle, à Tunis.
La cérémonie s’est déroulée le vendredi 22 novembre 2024 à Tunis, en présence du Professeur Mustapha Ferjani, ministre de la Santé, lors de l’ouverture du Congrès national de cardiologie et de chirurgie cardio-vasculaire 2024.
Les équipes des services de Cardiologie de l’Hôpital Hédi Chaker et du Service de Neurologie de l’Hôpital Habib Bourguiba de Sfax ont été primées pour leur travail intitulé : «A new score (ES²CRYP) and a new IA model (ML Stroke Classifier) for prediction of Atrial Fibrillation in Cryptogenic Stroke»(Un nouveau score (ES²CRYP) et un nouveau modèle IA (ML Stroke Classifier) pour la prédiction de la fibrillation auriculaire dans l’AVC cryptogénique).
L’équipe du Service de Cardiologie de l’Hôpital Habib Bourguiba de Medenine a été primée pour son travail intitulé : «New Insights into Contrast-Induced Nephropathy : The Central Role of Endothelial Dysfunction» (Nouvelles perspectives sur la néphropathie induite par le produit de contraste : le rôle central de la dysfonction endothéliale).
Le Prix Ali Bousnina a été créé en 2006 par la Société tunisienne de cardiologie et de chirurgie cardio-vasculaire (STCCCV) et les laboratoires pharmaceutiques Saiph, pour encourager la recherche nationale en matière de prévention et de prise en charge des pathologies cardiaques.
En 18 ans ce prix a permis d’enrichir la recherche médicale tunisienne de centaines d’études qui ont contribué à une meilleure prise en charge des pathologies cardiovasculaires, premières causes de mortalité en Tunisie.
Le Laboratoire interdisciplinaire de gestion université-entreprise (Ligue – Iscae, Université de la Manouba) fête son 25e anniversaire, organise la 8e édition de sa conférence internationale portant sur les «écologies plurielles pour une transition des organisations», les 28, 29 et 30 novembre 2024 à Tunis.
La conférence internationale (LIC’24), comme les précédentes, se penchera sur les transformations profondes et l’intégration des transitions inclusives, circulaires et technologiques.
Les experts et universitaires réfléchiront sur les possibilités de perspectives alternatives et en rupture avec le paradigme néolibéral dominant qui fait l’objet de nombreuses critiques. L’objectif étant de réfléchir à des modèles alternatifs dans le cadre d’une approche transdisciplinaire et remettre en cause les discours moralisateurs et stériles sur le développement durable, afin d’initier des pistes de réflexions porteuses et pragmatiques.
Du récit comptable au récit de développement durable
La conférence LIC’24 espère donner la voie aux recherches, dans un contexte tunisien, africain et international, qui s’inscrivent dans la poursuite des réflexions sur plusieurs thématiques telles que : la transition organisationnelle dans un pluralisme des écologies; la transition efficiente et rapide grâce à l’intelligence artificielle (IA); la transition du marché et le marketing centré sur la valeur vie; la transition de l’entreprise; la transition du récit comptable au récit de développement durable; la transition dans les financements et les valeurs de l’information sur la durabilité.
Plus de 250 chercheurs (dont 8 éminents conférenciers internationaux invités), professionnels et représentants de la société civile sont attendus, ainsi que des éditeurs de revues et d’ouvrages collectifs scientifiques qui ont fait confiance à l’équipe du Ligue et à ses partenaires en acceptant de dédier des numéros spéciaux de revues figurant dans des classements reconnus à l’échelle internationale et des ouvrages collectifs d’éditeurs de renommée internationale.
Il est à rappeler que le laboratoire Ligue a été fondé en 1999 et qu’il est le premier et le plus ancien laboratoire en sciences de gestion en Tunisie. Il dispose d’une longue tradition de recherche intégrant toutes les dimensions de la gestion et ancrée dans la réalité du contexte socio-économique tunisien. Composé de plus de 150 membres répartis en 5 équipes de recherche, le Ligue est fédérateur de compétences venant des différentes disciplines comme la finance, la comptabilité, le marketing, le management, la gestion des ressources humaines et de plusieurs institutions universitaires dont l’Iscae Manouba, l’ESCT Manouba ou encore l’Ihec Carthage, l’Essec de Tunis et TBS Tunis.
Ponts entre l’université et le monde socio-économique
Cette 8e édition de la conférence est une autre occasion pour le Ligue d’ériger des ponts entre l’université et le monde socio-économique pour une réflexion commune autour d’une problématique pertinente susceptible de donner lieu à une action collective tangible co-construite entre le monde de la recherche et les entreprises.
Cette 8e édition de la conférence LIGUE est organisée en collaboration avec le Centre de recherche Business to Business Marketing de l’Académie de Marketing, l’Université de Bournemouth (Royaume Uni), TBS Education (Barcelona), Accounting Audit and Control lab (Spain) et l’Association pour la Promotion de l’Innovation et de la Qualité (Apiq). D’autres associations et organisations soutiennent aussi le laboratoire Ligue, comme l’Association tunisienne de comptabilité, l’Association Alumni Iscae, WicMic, Impressive, l’Association Zone Verte, etc.
Le ministre de la Santé, Mustafa Ferjani, a pris la décision de mettre fin aux fonctions de la directrice régionale de la Santé de Nabeul, Souheila Alouini, et de la transférer à la direction régionale de la Santé de Ben Arous. Cette mesure fait suite à des réajustements dans l’organisation des services de santé dans […]