
Même si les mots sont pâles, las et creux,
Je voudrais dire, ne serait-ce qu’un peu,
Dire mon amour et mon admiration
Pour les suprêmes Sages de Sion,
Ces gentlemen tout empathie et compassion.
Comment ne pas se prosterner
Devant ces êtres, à grandir, destinés?
Comment ne pas être reconnaissant
A ces artistes dans le sang, oui, dans le sang?
Nous leur devons tant et tant depuis longtemps.
Magiques, ces gens! Grâce à eux, l’Orient
Va enfin devenir grand et même grandiose
Avec des horizons bleus et roses. Qui ose
Douter de leur abnégation et de leur beauté?...
Avec humilité, ces sauveurs de l’humanité
Apportent la vérité et nous tirent ...