Normale Ansicht

Es gibt neue verfügbare Artikel. Klicken Sie, um die Seite zu aktualisieren.
Heute — 23. November 2024Französischsprachig

Tunisie – Zaghouan : EL Fahs se réveille sur une secousse tellurique

Von: La Presse
23. November 2024 um 10:28

Les stations sismologiques relevant de l’Institut National de la Météorologie (INM) ont enregistré, samedi 23 novembre 2024, à 6h23 ( heure locale), une secousse tellurique, d’une magnitude de 3 degrés sur l’échelle de Richter, au Sud-est d’El Fahs, dans le gouvernorat de Zaghouan, selon un communiqué publié par l’INM. Les analyses préliminaires effectuées par les stations sismologiques de l’INM situent l’épicentre de la secousse à 36,24 degrés de latitude et à 9,96 degrés de longitude, et ce au Sud-est d’El Fahs, dans le gouvernorat de Zaghouan (Nord-est de la Tunisie).

L’article Tunisie – Zaghouan : EL Fahs se réveille sur une secousse tellurique est apparu en premier sur La Presse de Tunisie.

Tunisie : un élève dans un état critique après avoir été éjecté d’un bus scolaire à Dar Belwaer

23. November 2024 um 09:22

Dar Belwaer, un village situé sur la route nationale n°2, à proximité des localités de Ghouilet et Ouled Ameur, dans la délégation d’Enfidha (gouvernorat de Sousse), a été le théâtre d’un dramatique accident hier vendredi 22 novembre 2024.

Un élève de 15 ans, transporté dans un bus scolaire, a été gravement blessé après qu’une grande fenêtre s’est détachée, provoquant sa chute hors du véhicule.

L’incident s’est produit à 17h après la fin des cours, alors que le bus, transportant des élèves du collège et du lycée, circulait sur cette route majeure reliant le nord et le sud du pays. L’élève, tombé sur des éclats de verre, est dans un état critique.

Selon l’activiste Selfeddine Ayari, ce drame illustre la vétusté alarmante du parc de transport de la Société de Transport du Sahel. En réaction, les habitants de Dar Belwaer ont exprimé leur colère et manifesté, dénonçant la récurrence des incidents liés aux bus scolaires dans la région.

Ils appellent à une intervention urgente pour moderniser les infrastructures de transport public et garantir la sécurité des élèves.

Le jeune blessé se trouve actuellement dans un état critique. Cet accident, malheureusement pas isolé, relance le débat sur la sécurité des transports scolaires en Tunisie et met en lumière l’urgence de rénover le parc de véhicules vieillissants.

L’article Tunisie : un élève dans un état critique après avoir été éjecté d’un bus scolaire à Dar Belwaer est apparu en premier sur La Presse de Tunisie.

G20 et l’ONU : taxer les plus riches et lutter contre l’évasion fiscale

23. November 2024 um 09:46

Ce mois-ci, le monde pourrait assister à un changement radical dans le paysage politique international, à la suite d’une déclaration sans précédent des dirigeants du G20 à Rio de Janeiro en faveur de l’imposition des super-riches. Une nouvelle convention des Nations unies pour la coopération fiscale permettrait de remédier à l’échec du système de gouvernance internationale fondé sur des règles.

Le communiqué final inédit des chefs d’Etat du G20 à Rio de Janeiro, au Brésil, marque une étape importante dans la quête mondiale d’une fiscalité équitable et progressive. Sous le leadership du Brésil, pour la première fois dans l’histoire de ce club d’économies riches, le G20 s’est engagé à promouvoir une coopération inclusive et efficace.

Pourquoi est-ce important pour l’Afrique ?

Chaque année, c’est à un véritable hold-up qu’on assiste. Car chaque année, l’Afrique est dépouillée de quelque 90 milliards de dollars par an en flux financiers illicites, auxquels s’ajoutent environ 220 milliards de dollars en raison d’allégements fiscaux qui profitent de manière disproportionnée aux super-riches. C’est le constat qu’a fait, en octobre dernier, Patrick Olomo, conseiller politique de l’Union Africaine lors des réunions du FMI et de la Banque mondiale qui se sont tenues à Washington en octobre.

Si le continent ne parvient pas à élargir son assiette fiscale et à augmenter ses ressources, il lui sera encore plus difficile de faire face aux crises simultanées provoquées par la guerre, le changement climatique et l’insécurité alimentaire.

Ces fonds pourraient pourtant servir à financer la transition climatique, les infrastructures, l’éducation et les besoins urgents en matière de santé. Si le continent ne parvient pas à élargir son assiette fiscale et à augmenter ses ressources, il lui sera encore plus difficile de faire face aux crises simultanées provoquées par la guerre, le changement climatique et l’insécurité alimentaire. D’autant que si l’Afrique est remarquablement diversifiée, y compris en termes de revenus, elle concentre 33 des 45 pays les moins avancés selon la liste des Nations unies. Et 20 de ces pays africains à faible revenusont aux prises avec des niveaux d’endettement élevés, voire au bord de la faillite.

Voyez l’Angola, dont la ministre des Finances, Vera Daves de Sousa, a déclaré que l’ensemble des recettes fiscales du pays ne suffisaient qu’à payer les salaires des fonctionnaires et à assurer le service de la dette.

Même sentiment d’impuissance au Nigéria, où le ministre de la justice, Lateef Fagbemi estime que le pays perdait en moyenne 18 milliards de dollars par an à cause des flux financiers illicites.

Quant à l’Afrique du Sud, elle aura perdu 20 milliards de dollars par an en raison de l’évasion fiscale des super-riches entre 2009 et 2018.

Ce n’est pourtant pas une fatalité. Pour augmenter la collecte de recettes, les pays africains devraient améliorer l’« espace fiscal » en taxant équitablement les multinationales opérant sur le continent, les services transfrontaliers, ainsi que les plus riches, un segment restreint mais croissant de la population qui est largement sous-imposé.

Ce n’est pourtant pas une fatalité. Pour augmenter la collecte de recettes, les pays africains devraient améliorer l’« espace fiscal » en taxant équitablement les multinationales opérant sur le continent, les services transfrontaliers, ainsi que les plus riches

L’accumulation de la richesse dans les mains des oligarques est remarquable : selon le rapport Henly & Partners sur la richesse en Afrique en 2024, « le continent compte 135 200 millionnaires, 342 détenteurs de fortunes dépassant la centaine de millions, et 21 milliardaires, avec une richesse combinée de 2,5 trillions de dollars ». Cinq pays représentent 90 % des milliardaires du continent : l’Afrique du Sud, l’Égypte, le Kenya, le Nigeria et le Maroc.

Ces personnes délocalisent facilement leur richesse, la répartissant sur différents actifs dans différentes juridictions, la dissimulant derrière une multitude de sociétés, de trusts et d’autres arrangements juridiques. Une grande partie de cette richesse se retrouve sur le marché de l’immobilier de luxe des grandes villes du Nord. Ils exploitent les failles du système pour alimenter la machine vorace de l’accumulation de richesses à l’étranger.

Le continent compte 135 200 millionnaires, 342 détenteurs de fortunes dépassant la centaine de millions, et 21 milliardaires, avec une richesse combinée de 2,5 trillions de dollars ». Cinq pays représentent 90 % des milliardaires du continent : l’Afrique du Sud, l’Égypte, le Kenya, le Nigeria et le Maroc.

L’extrême concentration des richesses et l’impunité ont été révélées dans de nombreux scandales financiers, obligeant l’OCDE à examiner comment corriger les distorsions mondiales après la crise mondiale de 2008. Néanmoins, après dix années de négociations, l’accord qui en a découlé sous la tutelle du G20 (les 20 pays les plus riches du monde) et de l’OCDE, est une déception pour les pays émergents qui étaient à l’origine même du processus. Il est aujourd’hui à craindre que l’extrémisme populiste ne capitalise sur les promesses non tenues, exploitant le mécontentement issu de cette désillusion.

C’est pourquoi l’Union africaine et d’autres pays en développement, insatisfaits des résultats de la « solution des deux piliers » proposée par l’OCDE en 2021, ont uni leurs forces pour exiger le déplacement des négociations fiscales internationales vers les Nations unies.

La convention-cadre des Nations unies sur la coopération fiscale internationale, qui est sur le point d’être approuvée, est en effet l’instrument approprié pour s’attaquer à l’évasion et à l’optimisation fiscales ainsi qu’à la fuite des capitaux, et pour parvenir à une imposition effective des sociétés et des particuliers fortunés. Plusieurs pays du G20, qui accueillent les sièges sociaux de la plupart des multinationales, ont tenté de bloquer l’initiative. Par deux fois, ils n’ont pas réussi à faire basculer le vote de l’Assemblée générale des Nations unies.

Une autre première étape vient d’être franchie : pour la première fois dans l’histoire du G20, les chefs d’Etat et de gouvernement des pays du G20 ont endossé l’idée de mieux coopérer afin que les personnes les plus fortunées dans le monde payent leur juste part d’impôt durant le sommet du 18 et 19 octobre à Rio de Janeiro.

La convention-cadre des Nations unies sur la coopération fiscale internationale, qui est sur le point d’être approuvée, est en effet l’instrument approprié pour s’attaquer à l’évasion et à l’optimisation fiscales ainsi qu’à la fuite des capitaux, et pour parvenir à une imposition effective des sociétés et des particuliers fortunés

La coopération fiscale internationale est essentielle pour que les pays africains puissent imposer les multinationales et les personnes les plus riches sans craindre qu’elles ne s’installent dans d’autres pays pour échapper à l’impôt. Les mesures de lutte contre la fraude et l’évasion fiscales adoptées à l’échelle mondiale sont l’un des moyens de lutter contre les flux financiers illicites, car les mêmes mécanismes sont utilisés pour le blanchiment d’argent.

Les efforts de l’OCDE pour lutter contre l’évasion fiscale des riches et des multinationales ont été progressifs mais limités. La convention des Nations unies offre une occasion unique de tirer parti de ces progrès et de mettre en place un cadre fiscal mondial plus complet et plus équitable, qui favorise une mobilisation efficace du financement du développement.

 

———————-

(*) Léonce Ndikumana est Professeur d’économie et directeur du programme de politique de développement africain à l’Institut de recherche en économie politique (PERI) de l’Université du Massachusetts Amherst. Il est membre de la Commission indépendante pour la réforme de la fiscalité internationale des entreprises (ICRICT) et a été membre du personnel de la Commission économique des Nations unies pour l’Afrique (UNECA) et de la Banque africaine de développement. Il est co-éditeur avec JK Boyce de “On the Trail of Capital Flight from Africa. The Takers and the Enablers” (Oxford University Press).

 

L’article G20 et l’ONU : taxer les plus riches et lutter contre l’évasion fiscale est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

La Cour des comptes a ses contrôleurs de comptes, selon sa vice-présidente

23. November 2024 um 09:31

La vice-présidente de la Cour des comptes, Fadhila Gargouri, affirme que la juridiction est soumise à plusieurs types de contrôle. Elle s’emploie, à ce titre, à se conformer de sa propre initiative à la réglementation en vigueur.

Intervenant vendredi lors de la plénière commune de l’ARP et du CNRD, consacrée à l’examen de la mission de la Cour des comptes pour 2025, la vice-présidente a ajouté que cette juridiction obéit elle aussi à une série de mécanismes de contrôle.

L’équipe formée par le Conseil provisoire de la justice financière est habilitée à contrôler les activités de la Cour, comme c’était le cas au cours de la période 2017/2020, a-t-elle expliqué. Il s’agit entre autres du mécanisme de « contrôle préalable » des dépenses de la Cour dans sa version avancée et celui de l’audit interne.

La vice-présidente a également rappelé que la loi organique sur la Cour des comptes est venue conforter ses fonctions juridictionnelles telles que prévues dans les Constitutions antérieures dont celle de 1959.

Quant aux nouvelles fonctions dévolues à la Cour des comptes en vertu de la loi électorale et du Code des collectivités locales, elles concernent notamment la vérification des comptes des comptables publics et de la répression des fautes professionnelles.

La Cour des comptes est par ailleurs chargée de l’élaboration et de l’exécution du budget au niveau local et l’évaluation des politiques publiques.

Avec TAP

L’article La Cour des comptes a ses contrôleurs de comptes, selon sa vice-présidente est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Budget de l’Etat 2025 : les réponses de Sadok Mourali aux députés

23. November 2024 um 09:25

Sadok Mourali, le ministre de la Jeunesse et des Sports, a affirmé, vendredi 22 novembre 2024, que son département a contribué, au cours de l’année 2024, à la diffusion de la « culture de l’initiative » à travers l’organisation du « Programme national sur l’initiative et la création de projets » en faveur de 600 jeunes, ainsi que la formation de 1 200 jeunes dans des spécialités correspondant aux besoins du marché du travail et la création de 120 projets de développement pour les jeunes des zones intérieures et frontalières.

Dans sa réponse aux interventions des députés, lors de la séance plénière conjointe (ARP et CNRD) consacrée à l’examen de la mission de la Jeunesse et des Sports du projet du budget de l’Etat pour l’année 2025, Mourali a souligné que l’année prochaine, 100 clubs d’initiative et de création de projets seront créés dans les institutions de jeunesse, en plus du renforcement des services de soutien destinés aux jeunes.

Le ministère travaille sur la mise en place de mécanismes participatifs entre les différents ministères pour améliorer ces services, en particulier avec la création d’une application électronique pour les jeunes âgés de 15 à 35 ans et la mise en place d’une plateforme nationale pour les services dédiés aux jeunes, qui sera prête au cours du premier trimestre 2025, a-t-il ajouté.

Activités préventives contre les comportements à risque

Concernant les interrogations des députés à propos du rôle de son département dans la protection des jeunes contre les comportements à risques, le ministre a précisé que des activités préventives sont intensifiées à travers l’ouverture d’espaces de dialogue et de sensibilisation dans les institutions de jeunesse, en partenariat avec divers acteurs dans les domaines de la prévention et du traitement. Des interventions, a-t-il ajouté, sont organisées pour encadrer les catégories les plus vulnérables aux phénomènes à risques, notamment la dépendance, la migration irrégulière et toutes les formes de violence.

Rénovation de 55 établissements de jeunesse

Quant à la réhabilitation des institutions de la jeunesse, il a expliqué que 55 établissements de jeunesse ont été rénovés dans le cadre du programme de réhabilitation des maisons de jeunes de deuxième génération. Des espaces et clubs dans ces institutions ont été réaménagés et équipés pour un montant de 3,8 millions de dinars, et 100 cadres jeunesse ont été recrutés dans les régions selon les priorités et les besoins des institutions.

Le programme du ministère pour 2025, a-t-il précisé, inclut la conversion de 30 clubs de jeunes en maisons de jeunes permanentes dans les zones rurales et frontalières, avec un budget global de 19,4 millions de dinars pour la réhabilitation et la création de différentes institutions de jeunesse (maisons de jeunes, centres de campement, et complexes de jeunesse). De plus, un montant de 5 millions de dinars sera alloué pour équiper ces institutions tout en poursuivant la mise en œuvre du plan national de création des institutions de deuxième génération.

Révision du cadre législatif et juridique…

Quant à la révision du cadre législatif et juridique, le ministre a indiqué que des mesures sont en cours pour réviser les horaires de travail dans les institutions de jeunesse et rationaliser l’exploitation des espaces dans ces institutions.

Création d’une commission conjointe pour lutter contre la violence dans les stades

S’agissant du secteur sportif qui a fait l’objet de nombreuses interventions des députés, Mourali a souligné que la saison sportive 2023-2024 a vu l’organisation de 22 049 événements de sports collectifs, y compris des matchs, et 1 326 événements de sports individuels.

Pour lutter contre la violence dans les stades, une commission conjointe entre le ministère de la Jeunesse et des Sports et le ministère de l’Intérieur a été créée pour limiter la violence et le chauvinisme sportif, promouvoir la culture du comportement civilisé et de l’esprit sportif, et éviter tout ce qui pourrait perturber le déroulement des compétitions et événements sportifs.

Le ministre a insisté sur la nécessité de renforcer la législation en matière de lutte contre la violence, l’intolérance et la fraude dans le sport, et de créer un service de stadiers pour encadrer les supporters et adopter un système de billetterie électronique. Il a mentionné, à ce propos, le lancement des procédures de la mise en place d’un système de billetterie électronique afin de mieux organiser l’accès aux matchs et manifestations sportifs.

Financement public des structures sportives

Pour ce qui est du financement public des structures sportives, il a précisé que le budget des interventions pour les fédérations et les associations sportives a atteint 69,77 millions de dinars en 2024, dont 17,6 millions de dinars sous forme de subventions pour les associations sportives à travers le Fonds national pour la promotion du sport et de la jeunesse. Cependant, ces fonds ne suffisent pas vu l’augmentation des besoins des structures sportives et le nombre croissant d’associations, ce qui nécessite le développement des ressources propres des structures sportives pour garantir leur durabilité, en particulier par une meilleure gouvernance.

Le ministère travaille aussi sur la numérisation et la gouvernance du secteur, avec la mise en place d’un système électronique pour l’échange de données entre le ministère et les fédérations sportives et sur la mise en place de critères bien déterminés pour l’octroi des subventions publiques destinées aux structures sportives, dont en particulier les contrats-objectifs, a souligné le ministre.

Six disciplines handisports et promotion du sport citoyen

Concernant le sport pour handicapés, le ministre a indiqué que son département, en coordination avec les structures sportives concernées, a intégré six disciplines handisports au sein des fédérations sportives pour personnes valides.

Pour le programme de promotion du sport citoyen, Mourali a fait remarquer que le ministère œuvre à la mise en place d’un plan d’action visant à augmenter le nombre de pratiquants de sports et d’activités physiques, en collaboration avec toutes les parties prenantes. Ce programme, élaboré conjointement avec la Fédération tunisienne Sport pour Tous, inclut le recrutement de cadres spécialisés parmi les diplômés du supérieur pour animer les parcours de santé, l’aménagement des parcours ne nécessitant pas de gros investissements, l’achat de matériel et d’équipements sportifs et l’établissement d’une carte des terrains de quartiers, en vue de les réhabiliter et les aménager outre la révision du cadre législatif des maisons de jeunes pour améliorer l’exploitation des leurs espaces sportifs.

Promouvoir davantage le sport d’élite

En ce qui concerne le sport d’élite, le ministre a précisé que le programme du ministère vise à le promouvoir davantage et à préparer les prochaines échéances sportives, notamment les Jeux Olympiques de la jeunesse de 2026 au Sénégal et les Jeux Olympiques et Paralympiques de Los Angeles 2028.

Ce programme prévoit la sélection de jeunes talents dans les différentes disciplines, selon des méthodes scientifiques et techniques, et leur regroupement dans les centres de formation et de préparation des sportifs d’élite qui sont au nombre de 13 et qui peuvent accueillir 554 athlètes.

Afin de créer des conditions optimales pour ces centres, un budget de 9,128 millions de dinars a été alloué pour leur réhabilitation en 2025, tout en portant le nombre des athlètes ciblés à 615. Par ailleurs, une enveloppe de 10 millions de dinars sera consacrée à la construction d’un pôle national moderne destiné à l’hébergement de l’élite dans la Cité Nationale Sportive d’El Menzah.

Quid de la loi sur les structures sportives?

En ce qui concerne le projet de loi sur les structures sportives, le ministre a précisé qu’il a été soumis au Conseil ministériel en octobre dernier, et sera bientôt présenté, après sa finalisation, au Conseil des ministres pour approbation avant d’être soumis à l’Assemblée des Représentants du Peuple.

Il a également annoncé qu’un cadre législatif sera mise en place pour organiser les jeux de hasard et les paris sportifs, tout en mettant l’accent sur les mesures préventives contre les risques liés au blanchiment d’argent.

Avec TAP

L’article Budget de l’Etat 2025 : les réponses de Sadok Mourali aux députés est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

COP29 : toujours pas de compromis sur l’accord de financement climatique

23. November 2024 um 09:22

Douzième et dernier jour officiel des négociations, et toujours pas de compromis. La Conférence sur le changement climatique de l’ONU à Bakou, en Azerbaïdjan, est officiellement entrée dans les prolongations, vendredi 22 novembre à 18 heures (15 heures à Tunis) faute de compromis.

Les négociateurs de près de 200 pays ne sont pas d’accord sur le nouvel objectif de financement pour le climat que les pays développés sont invités à fournir dans la prochaine décennie aux pays en développement.

La présidence de la COP29 a publié, vendredi 22 novembre 2024, un nouveau projet d’accord de financement climatique, en vertu duquel les pays développés joueront un rôle de premier plan en fournissant 250 milliards de dollars par an jusqu’en 2035.

Un négociateur européen a déclaré à Reuters que le nouveau projet d’accord était trop coûteux et qu’aucun effort n’était fait pour augmenter le nombre de pays contractants. « Personne n’est satisfait de ce chiffre car il est élevé et il n’y a presque rien pour augmenter la base contractuelle », a-t-il déclaré.

A rappeler que les gouvernements représentés au sommet climatique COP29 à Bakou ont pour tâche de convenir d’un vaste plan de financement pour aider les pays les plus pauvres à gérer l’impact croissant du réchauffement climatique et à réduire leurs émissions.

Les consultations devraient s’achever plus tard dans la journée de vendredi, mais pourraient durer plus longtemps s’il y a des difficultés à parvenir à un accord final.

L’article COP29 : toujours pas de compromis sur l’accord de financement climatique est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Kaïs Saïed salue le rôle de l’Armée dans l’exécution des projets

23. November 2024 um 08:16

Recevant, ce vendredi, au palais de Carthage, le ministre de la Défense Nationale Khaled S’hili, le président de la République, Kaïs Saïed, s’est enquis de l’avancement de plusieurs projets, engagés par le génie militaire.

Cité dans un communiqué, le chef de l’État a salué le travail accompli par les forces armées tunisiennes en un temps record, et avec beaucoup de professionnalisme.

Au cours de cette entrevue, le président Saïeda pris connaissance des plans d’aménagement de la Maison de la Culture Ibn Khaldoun et des places Monji Bali et Barcelone dans la capitale Tunis.

Le chef de l’Etat s’est enquis également du plan d’aménagement et de restauration des Bassins des Aghlabides et de la muraille de la ville de Kairouan, outre l’installation de l’hôpital de campagne à Bir Ali Ben Khalifa, dans le gouvernorat de Sfax.

Avec TAP

L’article Kaïs Saïed salue le rôle de l’Armée dans l’exécution des projets est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Tunisie : PhosCo identifie un portefeuille de phosphate pour renforcer le secteur minier

Von: walid
23. November 2024 um 10:00

Les représentants de la Société australienne PhosCo, qui exerce dans le secteur minier, ont fait savoir “qu’ils sont actuellement en train d’identifier un portefeuille de phosphate dans le bassin du nord de la Tunisie pour soutenir un potentiel centre d’engrais de classe mondiale et développer ainsi ce secteur en Tunisie”, selon la FIPA.

Lors d’une rencontre tenue, vendredi, avec le directeur général de l’Agence de Promotion de l’Investissement Extérieur (FIPA), Jalel Tebib, Tarecq Aldaoud, et Mehdi Ben Abdallah respectivement Directeur Général et Directeur exécutif de PhosCo, ont exprimé leur volonté de consolider les efforts de la Tunisie et d’ouvrir de nouveaux horizons de coopération économique entre la Tunisie et l’Australie.

La société PhosCo est “un leader mondial dans le secteur minier et exerce dans un cadre qui respecte les meilleurs standards environnementaux, mais surtout avec l’engagement de s’aligner sur l’agenda social du gouvernement avec la participation des communautés à travers les sociétés communautaires”.

Pour les responsables de cette société, la “Tunisie est un pays d’Afrique du Nord idéalement situé aux portes de l’Europe et à proximité des marchés d’exportation et dispose des atouts préférentiels “.

De sa part, Tebib a salué cette initiative et s’est engagé à fournir le soutien nécessaire pour concrétiser leur projet en Tunisie.

Kaïs Saïed salue les forces armées et suit les projets d’aménagement à Tunis et Kairouan

Von: walid
23. November 2024 um 09:50

Recevant, ce vendredi, au palais de Carthage, le ministre de la Défense Nationale Khaled S’hili, le président de la République, Kaïs Saïed, s’est enquis de l’avancement de plusieurs projets, engagés par le génie militaire.

Cité dans un communiqué, le chef de l’État a salué le travail accompli par les forces armées tunisiennes en un temps record, et avec beaucoup de professionnalisme.

Au cours de cette entrevue, le président Saïeda pris connaissance des plans d’aménagement de la Maison de la Culture Ibn Khaldoun et des places Monji Bali et Barcelone dans la capitale Tunis.

Le chef de l’Etat s’est enquis également du plan d’aménagement et de restauration des Bassins des Aghlabides et de la muraille de la ville de Kairouan, outre l’installation de l’hôpital de campagne à Bir Ali Ben Khalifa, dans le gouvernorat de Sfax.

Tataouine : Valorisation des produits locaux grâce à l’appui de l’OIT

Von: walid
23. November 2024 um 09:42

Le ministre des affaires sociales Issam Lahmar s’est rendu vendredi au gouvernorat de Tataouine pour s’informer de visu des trois projets de valorisation des produits locaux dans les localités de Tlalet (délégation Tataouine- nord) de Ksar Aoun (délégation de beni Mhira) et de Karchaou (délégation d’Essamar) qui ont bénéficié de l’encadrement technique de l’organisation internationale du travail (OIT).

A cette occasion, le ministre a visité l’unité de valorisation des produits du terroir oasien dans le groupement féminin de développement agricole “El Waha” à Tlalet, qui a été financée par l’union européenne et la coopération suisse, moyennant une enveloppe estimée à 400 mille dinars.

Il a remis des diplômes aux apprenantes brillantes de ce centre, notamment parmi celles qui se sont distinguées dans la fabrication des produits en nattes (Hssira) et des objets de décoration en bois de palmiers, soulignant l’importance de mettre en œuvre les orientations de l’état en matière d’inclusion socio-économique en coopération avec toutes les parties intervenantes.

Au cours de sa visite au village Kasr Aoun relevant de la délégation de Beni Mhira, le ministre des affaires sociales s’est rendu à l’unité de valorisation de la laine, qui a été réalisée dans le cadre de ce programme (financement européen et encadrement technique de l’OIT).

Il a pris connaissance des quatre étapes de réalisation de ce projet qui fournit, à chaque saison, une moyenne de 400 tonnes de laine.

A la fin de sa visite, lahmar s’est rendu à la localité de Karchaou relevant de la délégation d’Essamar au cours de laquelle il s’est informé du projet de fabrication du fromage, financé par l’Union européenne, la coopération suisse et l’aide technique de l’OIT moyennant une enveloppe estimée à 100 mille dinars.

Par ailleurs, il s’est informé de visu de la marche du travail au sein de l’unité de collecte du lait à Kerchaou, lancée en 2019 et auditionné les préoccupations des ouvriers et des éleveurs de bovins dans la région.

Le ministre des affaires sociales a souligné dans une déclaration au correspondant de la TAP dans la région, que l’état s’emploie à travers son rôle social et sur instructions du président de la république Kais Saied à garantir la couverture sociale et les sources de revenu permettant d’assurer des conditions de vie décentes à tous les citoyens à travers le système AMEN social qui fournit des aides financières et des allocations destinées aux familles et aux enfants, en vue de lutter contre la pauvreté.

Au cours de sa visite à Tataouine, le ministre s’est informé de la marche du travail au sein de la direction régionale des affaires sociales et de l’unité locale de promotion sociale.

Green’it 2.0 : Un programme PNUD pour booster l’éco-entrepreneuriat féminin en Tunisie

Von: walid
23. November 2024 um 09:38

Un programme d’accompagnement en éco-entrepreneuriat du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), “Green’it 2.0” a été lancé, vendredi, en marge d’une conférence nationale organisée, à Tunis, sur la thématique “L’entrepreneuriat féminin, comme moteur d’une économie verte et inclusive en Tunisie”, en partenariat avec le ministère de l’Economie et de la Planification, et avec l’appui du Canada.

Ce programme prévoit d’encadrer 350 femmes micro- entrepreneures dans les chaînes de valeurs vertes sur les volets de création, reconversion ou diversification d’entreprises, selon un communiqué rendu public, vendredi, par le PNUD.

“Le PNUD s’engage avec la Tunisie pour appuyer une transition écologique inclusive et durable, où l’autonomisation économique des femmes reste une priorité, notamment face à l’urgence climatique qui affecte de manière disproportionnée les populations les plus vulnérables. Nous sommes fiers d’appuyer l’entreprenariat féminin, à travers une approche d’économie verte, comme levier de résilience des communautés, et de réduction des inégalités”, a affirmé la représentante résidente du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), Céline Moyroud, lors de cette conférence, qui s’inscrit dans le cadre de l’initiative “Économie verte et autonomisation économique des femmes en Tunisie » (Green Economy: Women’s Economic Empowerment in Tunisia, GEWEET).

Le débat engagé à cet évènement a permis de mettre en lumière le rôle clé des femmes entrepreneures dans le développement économique local résilient aux changements climatiques.

Le PNUD œuvre dans le cadre de cette initiative GEWEET ciblant les gouvernorats de Gabès, Gafsa, Kairouan, Kébili, Médenine, Tataouine et Tozeur, le PNUD, à promouvoir une économie verte tout en renforçant l’autonomisation économique des femmes. Agissant à la fois au niveau institutionnel et auprès des populations cibles, à l’échelle centrale et locale, il s’engage dans une approche intégrée en faveur de modèles économiques et des stratégies alignés sur les Accords de Paris et les priorités du gouvernement Tunisie.

L’objectif recherché est de garantir une croissance durable et inclusive, permettant aux femmes des régions ciblées de réaliser leur plein potentiel économique tout en renforçant leur résilience face aux chocs climatiques.

Le Canada réaffirme également son engagement, à travers cette initiative, envers la promotion des droits des femmes et le financement d’initiatives en faveur d’un entrepreneuriat féminin durable en Tunisie, illustrant une coopération bilatérale fructueuse entre les deux pays.

L’Ambassadrice du Canada à Tunis, Lorraine Diguer, a déclaré à cet effet que “Pour le Canada, la croissance pour toutes et tous et l’égalité des genres sont au cœur de notre politique d’aide internationale féministe. À travers cette initiative, le Canada pourrait accompagner davantage de femmes éco-entrepreneures, en renforçant leur résilience face aux

défis climatiques et en soutenant le développement de leurs activités dans le cadre de l’économie verte”.

Le ministre de l’Économie et de la Planification, Samir Abdelhafidh a souligné à cette occasion que “Le développement de l’entrepreneuriat féminin dans le cadre de l’économie verte s’inscrit pleinement dans les priorités de nos politiques publiques. Il constitue un levier stratégique pour la Tunisie afin de réussir la transition vers un modèle économique inclusif et durable, en répondant aux défis environnementaux et sociaux”.

Alors que les femmes en Tunisie représentent la moitié de la population en âge de travailler, seules 27,9 % sont actives, et leur taux de chômage (21,3 %) reste nettement supérieur à celui des hommes (13,6 %). Occupant souvent des emplois précaires et informels, elles sont particulièrement vulnérables face aux crises économiques et climatiques”.

La Tunisie fait en effet face à des risques climatiques qui s’intensifient : des sécheresses de plus en plus longues, des températures élevées accompagnées d’une baisse importante des précipitations ou encore la désertification des terres. Les changements climatiques pèsent sur l’économie (2,1 % du PIB), et le secteur de l’agriculture, dans lequel les femmes représentent près de 70 % de la main d’œuvre, est particulièrement impacté.

Elles sont donc en première ligne face à l’impact du changement climatique, d’autant plus qu’elles sont souvent dans des

situations économiques et sociales précaires, ne leur permettant pas de se protéger ou d’accéder à d’autres opportunités économiques.

Le lien entre climat et genre a été reconnu ainsi par la Tunisie, comme souligné dans sa Contribution Déterminée au niveau National (CDN). Véritable feuille de route climatique pour la Tunisie, la CDN met au centre de ses mesures d’adaptation et d’atténuation la création d’emplois pour toutes et tous, veillant à ne laisser personne de côté. Il est en effet estimé que 12 000 emplois seraient créés d’ici 2030 à travers la transition énergétique.

De ce fait, la transition vers une économie verte et inclusive, inscrite dans la Vision Tunisie 2035, reste une priorité, non seulement pour éviter de creuser davantage les inégalités, mais aussi pour contribuer à redresser l’économie Tunisienne.

 

Souveraineté énergétique : la STEG mise sur un contrat-objectifs ambitieux pour 2025-2028

Von: walid
23. November 2024 um 09:22

Le chef du gouvernement, Kamel Maddouri, a présidé, vendredi, un conseil ministériel restreint (CMR) consacré au programme d’amélioration du rendement de la Société tunisienne de l’électricité et du gaz (STEG) pour la période 2025-2028.

Prenant la parole, le chef du gouvernement a souligné l’importance de concrétiser la vision du président de la République visant à garantir la sécurité et la souveraineté énergétiques du pays à travers une approche de développement qui assure l’efficacité énergétique et renforce la gouvernance des établissements publics.

Créée en 1962, a-t-il rappelé, la STEG est une entreprise publique qui s’est imposée en tant que pilier-clé de la sécurité énergétique du pays et continue à ce titre à jouer un rôle vital en assurant la continuité de l’approvisionnement du pays en électricité et en gaz naturel.

Dans ce contexte, il a souligné que le programme d’amélioration du rendement pour la période 2025-2028 sera articulé autour d’une nouvelle approche.

Cette approche, a-t-il poursuivi, s’est fixée pour objectif d’améliorer des services rendus aux citoyens, de promouvoir les performances techniques et commerciales de la société et de mettre en œuvre de nouveaux projets afin de répondre à la demande croissante en électricité et gaz.

Il a également souligné l’impératif de renforcer la gouvernance, d’optimiser les ressources humaines et la maintenance des équipements et d’œuvrer à relever les nombreux défis.

Pour sa part, la ministre de l’industrie, des mines et de l’énergie a présenté un exposé détaillé du programme d’amélioration des indicateurs de performance pour la période 2025-2028 qui vise à renforcer les équilibres financiers de l’entreprise, à continuer à répondre aux besoins énergétiques du pays et à contribuer à la transition énergétique basée sur le développement durable et l’économie verte.

L’exposé prévoit l’engagement de la STEG à promouvoir ses performances financières et commerciales à travers l’élaboration d’un programme d’action et la mise en place d’une série d’indicateurs de performance précis dans le cadre d’un contrat-objectifs pour la période 2025-2028.

Au terme de la réunion, le conseil a décrété une série de mesures importantes dont la teneur comme suit :

-La mise en œuvre du programme d’amélioration de la performance 2025-2028 de la STEG dans le cadre d’une stratégie globale et intégrée liée à la sécurité énergétique.

-L’accélération du suivi des projets en cours de la société et la mise en place des conditions nécessaires au lancement des projets programmés pour la période 2025-2028

-La révision du cadre juridique régissant l’activité de l’entreprise et la garantie des mécanismes au niveau de la politique de gestion et de recouvrement et de répression des abus.

La Tunisie mise sur le biogaz pour une transition énergétique durable

Von: walid
23. November 2024 um 09:15

Un groupe de travail sera bientôt créé pour élaborer un cadre tarifaire favorable au développement des activités de production de biométhane et d’électricité issus de la valorisation du biogaz dans les réseaux nationaux d’électricité et de gaz, a fait savoir, vendredi, le Secrétaire d’État auprès de la ministre de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie, chargé de la Transition énergétique, Wael Chouchane.

Présidant un atelier organisé à Tunis sur « Le développement d’un système de valorisation du biométhane et de l’électricité produite à partir du biogaz», Chouchane a souligné que ce groupe de travail se chargera de développer un système favorable à la valorisation énergétique des déchets et d’explorer les opportunités de financement nécessaires à son développement. Il aura, aussi, à définir les mesures d’accompagnement nécessaires en matière d’appui technique, de formation et de systèmes de management de la qualité.

L’atelier a permis de passer en revue certaines expériences internationales dans le domaine et de présenter le potentiel national des déchets organiques et les moyens de les valoriser, notamment dans les secteurs prioritaires ayant un impact direct sur l’environnement, en particulier les décharges contrôlées, les stations d’épuration et les grands projets de production agricole et d’industries alimentaires.

Le Secrétaire d’État a ainsi souligné la nécessité d’assurer le suivi des résultats de cet atelier et de travailler à leur mise en œuvre dans les meilleurs délais.

Le chef de l’Etat s’informe des efforts de lutte contre la criminalité

23. November 2024 um 09:23
Le président de la République, Kais Saïed a reçu, vendredi, après-midi, au Palais de Carthage, le ministre de l’Intérieur Khaled Nouri et le Secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Intérieur chargé de la sûreté nationale Sofiene Belsadok. Lors de cette réunion, le chef de l’Etat a eu l’occasion de s’informer du bilan des opérations en […]

CMR : Mesures urgentes en faveur de la STEG

23. November 2024 um 09:20
Le chef du gouvernement, Kamel Maddouri, a présidé, vendredi, un conseil ministériel restreint (CMR) consacré au programme d’amélioration du rendement de la Société tunisienne de l’électricité et du gaz (STEG) pour la période 2025-2028. Prenant la parole, le chef du gouvernement a souligné l’importance de concrétiser la vision du président de la République visant à […]

Le président Saïed salue le rôle de l’Armée dans l’éxécution des projets

23. November 2024 um 09:18
Recevant, ce vendredi, au palais de Carthage, le ministre de la Défense Nationale Khaled S’hili, le président de la République, Kaïs Saïed, s’est enquis de l’avancement de plusieurs projets, engagés par le génie militaire.Cité dans un communiqué, le chef de l’État a salué le travail accompli par les forces armées tunisiennes en un temps record, […]

❌
❌